Sa femme et ses enfants sont partis en week end.
Il se retrouve seul, ce qui ne lui est pas arrivé depuis longtemps.
Il s’achète quelques bouteilles d’alcool, se met à poil et s’assoit dans le canapé devant un film porno
lui rappellant toutes les aventures hardcores que lui a conter sa femme sur sa jeunesse. une jeune femme,
physiquement très semblable à la sienne lorsqu’ils se sont connus; de long cheveux chatins noués en queue de
cheval. Des yeux claires et persant et une bouche qui donnerai envie à qui quiconque de gicler dessus.
De jolis seins fermes et un cul laissant imaginer des heures de perversion.
Cette jeune femme à l’expression totalement provoquante en compagnie d’un homme très bien monté qui l’utilise
comme une vulgaire poupée gonflable la soumettant à ses pires envies. Usant de sa bouche, ses seins, sa chatte
et son cul à volonté.
Il enfonce sa queue profondement dans une allure de bête sauvage au fond de la gorges de la jeune femme dont
il profite éhontément. Elle semble tout juste sortir de l’adolescence et ne s’attendait visiblement
pas à subir un tel traitement en ayant accepté de faire ce film pour quelques billets.
L’homme se masturbe comme un fou en voyant ces images, la vision trouble, devinant bientôt le visage de sa
femme à la place de celui de la pauvre soumise.
Bling. Il pose son énième verre de la soirée, met la vidéo en pose pour ne pas louper un seul instant de ce
qu’il voit et qui le trouble excessivement. Il saisit son portable, le déverouille, à ce moment précis le rêve
se transforme en cauchemard. Tous ces films qu’il s’imaginait, toutes ces scènes qui l’excitait,
toutes ces fois où il pensait à sa femme et tout ce qu’elle avait fait avant lui venait de lui sauter au visage.
Comme un coup de massue ne lui permettant pas de se relever tellement sa tête le ferai horriblement souffrir.
Son sang ne fait qu’un tour, ses yeux écarquillés ne lachent pas le douloureux spectacle qui lui saute au
visage.
Il s’attarde sur chaque contour de l’image reçue, distingue avec rage deux doigts tenant le téton gonflé de
son épouse, celle-ci mordillant ses lèvres comme il l’a tant de fois vu faire.
Il éssaie immédiatement de la rappeller, elle ne répond pas. Il retente encore deux fois avant de recevoir un
nouveau message. Avec comme seule inscription : « -trop remplie pour qu’elle puisse te parler !!! »
Le message lui écorche les yeux, lui hante la tête, assèche sa gorges.
Il ratt**** son télèphone et retente de l’appeller à plusieures reprises. Il reçoit à nouveau un message avec
en gros plan les joues de sa femme complètement gonflées par l’énormité qu’elle absorbe.
puis un second comprennant une petite vidéo de quelques secondes ou il voit et entend sa femme « subir »
visiblement avec délice la baise de sa petite gorges.
Il devient fou, pose son télèphone et allume une clope pour se calmer. Bling un nouveau message…
Il tourne en rond, refusant de découvrir cette nouvelle perversion qu’il a reçu. Bling, il ne peut résister
et vérifie son portable. le dernier message indique simplement : « -c’est comme tu veux… »
le précédent guere plus long clamé : »-appel si tu veux m’entendre. »
Il hésite. supportera-t-il de l’entendre? De l’imaginer? Mais évidement il ne peut résister.
Les tonalités se font entendre, une, deux, trois, ils doivent être bien occupés, quatres. Puis enfin ça
décroche, « Allo, Allo, Allo… Putain tu réponds ou pas » il s’énèrve puis distingue dans son silence des
gémissements. Il entend des grognements, des cuinements de sommier. Privé de la vue, l’ouïe est à l’affut
de chaques micros bruits. Chaques gémissements, chaques claquements, chaques mots employés résonnent dans son
crân. Il entend absolument tout, des indications notifiés à sa petite femme aux déclarations étouffées de
celle-ci. Il peut tout voir dans sa tête, chaques positions, chaques mouvements, chaques expréssions du visage
de son épouse lui sont totalement claires comme si il les contemplés en face de lui.
Tout commence par des bruits de suffocation, ça il le sait c’est qu’elle met du coeur à l’ouvrage pour réussir
sa profonde féllation.
Soudain le premier ordre de la conversation tombe : « -Allonge-toi ». Suivi par des gémissements intenses qu’il
reconnaît bien. Elle gémit comme une chienne : « humm, oh oui, écarte bien ma chatte de petite blanche sérrée. »
« -Défonce moi bien fort vazy. Fais moi crier pour que mon mari m’entend bien. »
« -Aïe, humm ouiii… J’adore sentir ta grosse queue en bas de mon ventre. Tape moi bien tout au fond »
Un nouvel ordre : « Tourne toi, à quatres pattes! »
Des bruits d’agitations se font entendres. Des cris beaucoup plus fort rugissent.
« -HOOOOOO oui, humm t’arrête pas. Défonce moi… Casse moi comme une brindille. »
Des bruits sourds de sommier retentissent.
Puis une supplication résonne :
« – s’il te plait, prends moi par le cul maintenant! »
Le mari dégluti difficilement en entendant cette requête prononcé par la petite voix tout douce de sa chérie.
« -Oh, OOOOOOOh, ahhhhh, putain tu me défonce, HOOOOOOOOOOOOOOOOO HUMMMM ouiii Encu … »
Puis plus rien.
Le mari gueule. « Putain de télèphone de merde!!! » il ne lui reste plus que son imagination pour finir cette
soirée.
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