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Inversion des rôles

Inversion des rôles



Je ne m’attendais définitivement pas à ce que les choses tournent de la sorte en montant dans l’ascendeur.
La situation était classique et avait même un goût de déjà vu. Moi, la vingtaine, et elle, soixantenaire, entrain de retenir la porte pour que je puisse entrer également. Un goût de déjà vu puisque cette situation avait déjà été vécu, avec la même dame, que j’avais d’ailleurs pris un malin plaisir à baiser. Mais cette histoire, je l’avais déjà raconté sur ce même site.

Cette fois ci, les choses étaient différentes. Ou du moins, elles allaient le devenir.
J’ai rapidement compris que je n’étais pas dans le même cas de figure à son ton sec et son vouvoiement qui mettait de suite une distance net. Son « veuillez me suivre chez moi je vous pris » a sonnée comme un ordre que je ne me suis pas permis de refusé. Je n’apprécie pourtant pas ça, j’ai un aspect plutôt dominant qui ne supporte pas la contrainte, mais je n’ai pourtant pas osé refusé cette fois-ci.

En entrant chez elle, rien n’avait changé, l’appartement était méticuleusement rangé comme dans mon souvenir. Je me suis positionné un peu penaud au centre de son tapis de salon, sans trop savoir comment réagir. Elle m’a doublé, son cul moulé par un jean s’éloignant de moi afin de rejoindre la grande porte fenêtre. Elle a saisit les rideaux de chaque coté, les a tiré afin de nous dissimuler à tout vis à vis et de plonger la pièce dans une ambiance plus trouble, puis a dit « à genoux ».

Le ton était sec, imperial. Je n’ai pas su comment réagir. Je n’étais pas habitué à ça, c’est toujours moi qui donnait les ordres aux femmes, jamais l’inverse. A la fois j’étais tenté de me laisser prendre au jeu, mais en même temps ma fierté me l’interdisait. Ce n’était pas ma vision du sexe. J’aime être dans le contrôle, gérer moi même mon plaisir ainsi que celui de ma partenaire. Avant que je ne puisse réagir, je l’ai entendu m’ordonner de me dépêcher.

C’est là que j’ai compris que j’allais découvrir de nouvelle sensation, lorsque j’ai sentit mes genoux toucher le tapis, et que j’ai compris que je me tenais là, par terre devant elle, comme une marionnette répondant à ses ordres, je savais que je ne pouvais plus faire marche arrière…

En se retournant, elle déboutonna sa jupe, la fit glisser à ses pieds, puis l’enjamba pour s’avancer vers moi, toujours dans son débardeur noir, sa culotte rose au bordures blanches, et ses petites ballerines. Une fois devant moi, elle mis ses mains sur ma tête, l’approchant de ses cuisses et collant ma joue contre le satin de sa culotte qui semblait si doux. Ce geste était terriblement humiliant, quasi protecteur comme si elle me maternait en me gardant contre elle, mais extrêmement excitant.
Pour une fois, j’avais l’impression de laisser le contrôle m’échapper, que je ne pouvais rien faire, si ce n’est vivre le moment, sans pouvoir influer sur ce qu’il se passait. J’ai voulut mettre ma main sur ses fesses, comme pour enlacer ses cuisses, mais au moment même ou ma main arrivait sur le tissue recouvrant l’ensemble de ses petites fesses, elle me mit une tape dessus pour m’interdire d’y toucher.

Impossible pour moi de faire quoi que ce soit, je devais juste attendre la prochaine de ses consignes qui ne se fit pas attendre. Elle m’a fait me mettre à 4 pattes, toujours à genoux, mais cette fois les mains au sol. Jamais je ne m’étais sentit aussi humilié, je ne m’étais jamais retrouvé dans cette situation, et pourtant quand elle déboutonna mon short, l’érection qui en sortit trahissait mon excitation devant cette situation. Elle était à califourchon sur mon dos, mais dans le sens inverse à moi. Ainsi, elle pouvait laisser ses mains se balader sur mes fesses découvertes.
J’étais là, à 4 pattes, mon short et mon boxer au niveau des genoux, avec une femme mure assise sur moi. Et elle, elle n’était pas timide. J’ai sentit l’un de ses index glisser sur mon anus, elle jouait avec mon cul sans que je ne puisse rien faire. Heureusement pour moi, elle a vite descendu sa main pour enserrer mes couilles. Elle les a serré, a tiré dessus, je sentais qu’elle jouait avec et finalement j’ai entendu, et sentit, qu’elle venait de me mettre une énorme fessé. Normalement c’est moi qui mets ce genre de fessé, pas l’inverse… Et pourtant je ne dis rien, toujours ébahit devant cette scene, ne comprenant même pas comment je peux être ici.
Et le pire, c’est que ça a continué. J’ai sentit une pluie de fessée pleuvoir, donnant des coups de plus en plus fort, mes fesses commençant à brûler pendant qu’elle jouait avec moi.

Elle a fini par se lever, venir devant moi, et enlever ses ballerines avant de me demander de nettoyer ses pieds. J’y suis allée au départ un peu timidement, léchant le dessus de son pied. Ne sachant pas trop comment m’y prendre, mais soucieux de répondre à ses demandes, acceptant mon nouveau rôle. Lorsqu’elle redemanda de nettoyer d’un ton plus sec écartant ses orteils, je m’exécuta du mieux que je puisse, léchant chaque parcelle de son pieds, prenant le soin de passer entre chacun ses orteils…
C’était humiliant, terriblement humiliant, mais excitant de répondre à ses requêtes. Je me sentais comme redevable auprès d’elle, me sentant obligé de répondre à ses demandes.

Et des demandes, il y en a eu d’autres. Mais la suite, je ne souhaite pas la partager pour le moment, trouvant cela encore trop personnel pour pouvoir l’exposer. Je souhaite prendre le temps de bien l’écrire pour être sûr de retranscrire au mieux ce que j’ai ressentit, et c’est pourquoi je ferais cela une prochaine fois.
Si l’histoire vous a intéresse, et que vous avez envie de savoir ce qu’il s’est passé après, n’hésitez pas à me le faire savoir.

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