Après cette première fois ensemble, Gilles et moi échangions par messages.
Une petite semaine plus tard il m’envoya un message, en me disant « samedi je passe une soirée chez toi avec ton père vu que ta mère bosse » et un autre tout de suite après disant « fait toi belle ».
Le samedi soir arriva, j’avais pour l’occasion mis une petite robe, jolie sans être trop aguicheuse, elle avait de petites bretelles fine et elle tombé sur le haut de ma poitrine et m’arrivée juste mi cuisses en dessous j’avais mis une culotte mais pas de soutif.
Vers 20h Gilles arriva, on se dit bonjour en se faisant la bise style de rien mais je vu bien son petit regard vicieux.
On était dans le salon, ils buvaient l’apéro, je restais avec eux comme souvent rien de surprenant, temps en temps nos regards se croisaient mais on se regardait pas très longtemps.
Un moment mon beau père alla à la cave chercher une bouteille, il ne fallut pas longtemps à Gilles pour me sauter dessus, et m’embrassa en passant sa main sous ma robe et me caressa la chatte par-dessus ma culotte, quand il décolla sa bouche de la mienne il me dit « j’ai envie de te baiser tu imagines même pas », je lui dis « quand tu veux », avec un ton malicieux il me dit « je le fais boire, quand il sera bourré comme d’hab il va dormir et je m’occupe de toi ».
J’avais hâte que la soirée passe, je restais avec eu une bonne partie de la soirée mais ça s’éternisé, ils buvaient et grignotaient en même temps, je voyais Gilles temps en temps me lancer des regards et dès que mon père aller quelque part il en profitait pour m’embrasser.
Un moment je me faisais chier alors j’allais me coucher avant de partir je fis la bise à mon beau père et à Gilles qui me murmurait à l’oreille « je t’oublie pas », mais vu l’heure qu’il était j’y croyais moyennement.
Mais presque 2 heures plus tard je fus réveillée par une main qui me caressait la cuisse, c’était Gilles, il me murmura « tu vois je t’ai pas oublié », mon beau père lui était couché, et il avait proposé à Gilles de dormir à la maison vu ce qu’ils avaient bu.
Il me câlina tendrement le temps que je me réveille, il s’était glissé sous ma couette contre moi, il était nu, je sentais son sexe contre ma cuisse.
Lentement je me réveillais sous les baisés et caresses qui devenaient de plus en plus intime, ses doigts caressant ma chatte par-dessus ma culotte qu’il me retira rapidement, son sexe durcissait contre moi, alors je commençais à le branler pour le faire durcir encore plus, cette double masturbation était très sensuel , mon haut prit rapidement le chemin de ma culotte et on se retrouva nue collé l’un contre l’autre, mes seins se dressaient sous ses baisés qui me faisaient mouiller de plus en plus, je n’avais plus qu’une envie, c’était de le sentir en moi.
Alors je passais ma jambe par-dessus son corps pour me retrouver à califourchon sur lui, je frottais mon sexe contre le siens pendant que nous nous embrassions à pleine bouche, avec ma main j’attrapais son sexe et le glissa entre mes cuisses pour doucement l’introduire en moi.
Ma petite foufoune s’ouvrait pour laisser entrer sa queue de belle taille, le fait que je sois déjà bien humide facilité la chose, j’y allais lentement, je voulais bien le sentir glisser en moi quand son sexe fut entièrement entré il me dit « vas-y bouge bien », alors je commençais des vas et viens, sa queue glissait bien en moi, il avait empoigné mes seins avec ses mains, je commençais à gémir tellement je prenais du plaisir, il me disait d’accélérer, le rythme devenait vraiment soutenu, j’avais du mal à retenir mes gémissements et mes petits cris, Gilles me disait de me lâcher de surtout pas me retenir, je lui dis alors « oui mais papa » car je l’appelais papa sachant qu’il m’avait toujours élevé, il me dit « t’inquiète pas pour lui », je comprenais pas sa réponse, alors avec étonnement je lui dis « je comprends pas » et là je fus sur le cul quand il me dit « tu crois que j’ai des secrets pour ton père » et d’un coup il me retourna sur le dos et me dit « ton père sait depuis le lendemains que je t’ai sauté, il faut juste rien dire à ta mère » et il commença à me baiser, cuisses bien écartées il faisait des aller-retour rapides et brutaux en moi en me disant « aller vas-y gueule bien », la situation était étrange mais tout autant ne me dérangeait pas, pendant qu’i me baisait je lui posais des questions qui avaient plutôt l’air de l’exciter, je lui demandais comment il avait réagis, ce que ça lui avait fait de lui dire qu’il m’avait sauter, il me dit alors « il m’a posé beaucoup de question sur toi », « il voulait savoir si tu avais une aussi petite chatte que tu avais l’air d’en avoir une » ça m’excitait de savoir ça, je devenais de plus en plus expressive, je lui disais de me baiser fort, il y a allé à fond son sexe entrait et sortait à grande vitesse, je jouis à plusieurs reprise avant que lui aussi ne jouisse en moi, son foutre m’inonda il s’étala sur moi épuisé par la baise que nous venions d’avoir.
Après quelques bisous intenses, il s’endormit à côté de moi.
Je venais de vivre un moment étrange et je me posais beaucoup de questions, je mis beaucoup de temps avant de m’endormir.
Le matin fut tout aussi spécial.
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