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Jeune homme ferait petits boulots

Jeune homme ferait petits boulots



A cette époque, j’étais sans emploi. J’ai passé une annonce sur le site internet d’un journal local, précisant que j’étais disposé à faire des petits travaux variés, et, le jour-même, j’ai été contacté par un homme qui m’expliqua qu’il était en train de restaurer un vieil appartement, avec sa femme, et qu’il avait besoin d’un coup de main. Il y avait quelques trous à reboucher, mais surtout de la peinture à faire.
Il devait s’absenter pendant plusieurs jours, pour son travail, mais sa femme serait sur place. Il m’a donné ses conditions, qui étaient très correctes et que j’ai acceptées.
Je pouvais commencer quand je voulais.

Je n’avais pas tout à fait 30 ans, et j’en ai donné un peu moins de 40 à la femme qui m’ouvrit la porte de cet appartement, le lendemain matin, aux alentours de 9 heures. Elle était assez grande, brune avec un chignon, vêtue d’une salopette blanche tachée de peinture.
Je me suis présenté et elle m’a fait entrer, m’a offert un café dans la cuisine qui était en chantier, comme toutes les pièces de l’appartement. Un poste de radio diffusait de la musique dans le salon qui était immense. Il y avait trois chambres, dont une occupée par un matelas avec des draps défaits et des affaires en vrac.
« Je dors ici, m’a dit la femme. C’est plus pratique pour travailler. Sitôt levée, je peux me mettre à faire de la peinture. »
Elle s’appelait Hélène et elle m’a proposé qu’on se tutoie.
Après avoir fait le tour complet des lieux, on est revenu dans la cuisine.
Sous sa salopette, elle portait un t-shirt gris chiné, mais elle était pieds-nus. J’ai supposé qu’elle n’était pas levée depuis longtemps et j’ai accepté un deuxième café.
Puis elle a allumé une cigarette en disant :
« On a tout notre temps, et je dois t’avouer que je ne travaille pas très vite. J’ai même tendance à me laisser aller. »

J’ai commencé par le salon, tandis que la femme était dans la cuisine. La musique à la radio diffusait des tubes des années 80 et 90. Nous étions en plein été et il allait faire une chaleur à crever dans les prochains jours, mais l’appartement était assez frais.
J’ai poncé de l’enduit et balayé la pièce. Ensuite, j’ai ouvert un pot de peinture beige et je me suis mis à peindre en sifflotant.
En fin de matinée, Hélène est venue me voir pour me proposer de boire un verre. C’était un peu tôt, mais j’ai accepté. Elle est repartie vers la cuisine et je l’ai suivie. Là, elle a ouvert une bouteille de vin blanc et on a bu un verre.
Elle m’a dit :
« Ne te sens pas obligé d’aller vite. Mon mari a de l’argent et il n’y a pas de délai à respecter. »
Elle était assez mince et à peu près de la même taille que moi. Son visage était ordinaire. Il y avait quelques petites taches de peinture sur son front.
Elle a ajouté :
« Il y a des boîtes de conserves dans le placard, mais si tu préfères qu’on aille déjeuner à l’extérieur, il n’y a pas de problème. C’est mon mari qui paiera le repas. »
J’ai répondu que je n’avais rien contre les conserves, puis on a pris un autre verre. Ensuite, on a choisi des boîtes et on a mis le couvert sur une table de camping posée dans un coin de la cuisine.
On a déjeuné en discutant de choses et d’autres, puis fini la bouteille. On a débarrassé la table, fait la vaisselle, pris un café.
Puis Hélène m’a dit :
« Tu as l’habitude de faire la sieste après manger ? »
Je lui ai répondu que ça m’arrivait et elle a dit :
« Moi, il faut que j’en fasse une. Tu veux la faire avec moi ? »
La question m’a surpris. Je n’ai pas eu le temps de répondre. Hélène s’est levée, a déposé sa tasse dans l’évier, puis elle est sortie de la cuisine en disant :
« N’hésite pas à me rejoindre. »

Je suis resté dans la pièce, avec ma tasse vide. La radio diffusait toujours des tubes et le soleil cognait sur la table qu’on avait débarrassée. J’avais bu quatre verres en tout, et ma tête tournait légèrement.
J’ai tardé à me lever.
Puis à quitter la cuisine pour aller doucement vers la chambre où Hélène avait installé son matelas. Quand j’y suis arrivé, je l’ai trouvée allongée sur les draps, sur le ventre, complètement à poil. Elle avait un superbe cul et je ne suis pas allé plus loin que le seuil de la chambre. Je suis resté à regarder ce cul, jusqu’à ce que Hélène tourne la tête vers moi et dise :
« Allez, déshabille-toi. Et viens te coucher sur moi. »
La situation me dépassait, mais j’ai fini par me laisser tenter. J’ai enlevé tout ce que je portais sur moi, puis je me suis approché du matelas, tout nu, la queue à moitié dure. Je me suis mis à genoux devant le matelas, puis Hélène a tendu la main vers ma queue en disant :
« Mon mari aime bien qu’on s’occupe de moi. »

Pour cette première fois, Hélène est restée couchée sur le ventre. Après m’avoir sucé un court moment, elle a seulement ouvert ses jambes et j’ai enfoncé ma queue dans sa chatte en lui cramponnant les fesses. Elle a d’abord poussé des soupirs, puis elle s’est mise à gémir tandis que ma bite durcissait en elle. Ensuite, j’ai posé mon ventre sur son dos et j’ai accéléré mes mouvements. De ce que j’avais vu, elle s’épilait la chatte, et sa moule était trempée.
J’ai fait des va-et-vient en elle pendant quelques minutes, puis je me suis retiré pour éjaculer sur son cul. Mon sperme était très liquide et je l’ai vu qui coulait sur l’anus. Hélène l’a étalé un peu avec ses doigts, puis elle s’est mise sur le dos, m’a pris dans ses bras, et je me suis endormi avec la tête posée sur ses nichons qui tombaient sur ses côtes.

Quand j’ai ouvert les yeux, Hélène n’était plus là. La musique circulait dans l’appartement. C’était Kim Wild qui chantait Cambodia. Je me suis levé et j’ai passé mes vêtements. Puis j’ai trouvé Hélène qui peignait en blanc un mur de la cuisine. Elle avait remis sa salopette blanche, mais elle ne portait rien dessous. J’apercevais un nichon qui remuait dans les mouvements qu’elle faisait avec son rouleau de peinture.
Elle m’a souri et je lui ai dit :
« Je vais m’occuper du salon. »

J’ai travaillé sans m’arrêter, sauf une fois pour aller pisser. J’ai peint en écoutant la musique et en me demandant si je n’avais pas rêvé. De temps en temps, j’avais entendu des bruits en provenance de la cuisine, et même Hélène siffloter sur certains morceaux, mais rien d’autre. A un moment donné, son téléphone portable avait sonné et elle avait répondu, mais je n’avais pas saisi un mot de la conversation.
Puis Hélène m’a rejoint dans le salon, vers 18 heures, avec deux verres et une nouvelle bouteille de vin blanc. Elle les a posés au milieu de la pièce, par terre, puis elle m’a dit :
« On se prend un petit apéro ? »
« Avec plaisir, ai-je répondu. »
Elle a ajouté :
« Mon mari m’a appelé pour prendre des nouvelles. Je lui ai dit que tout se passait très bien. Il est ravi. »
Je lui ai souri et je suis descendu de mon escabeau. Le temps que je rince mon rouleau dans la salle de bains et que je me lave les mains, elle a débouché la bouteille, rempli nos verres, puis s’est assise en tailleur au milieu du salon. J’ai fait comme elle et j’ai refusé la cigarette qu’elle m’a proposée, puis on a trinqué.
Ensuite, elle a dit :
« Tu veux dormir ici cette nuit ? »
J’ai hésité. La situation me dépassait toujours.
Alors elle a ajouté :
« Je comprendrais que tu ne veuilles pas. Tu es peut-être attendu chez toi. Mais dans ce cas, si ça ne te dérange pas, j’aimerais que tu me fasses l’amour avant de partir. »
J’ai pris une gorgée de vin, j’ai reposé mon verre, puis répondu :
« Je peux rester dormir ici, personne ne m’attend. Mais je veux bien te faire l’amour tout de suite. »
Elle ne m’a pas répondu. Elle a souri en se levant, puis elle a enlevé sa salopette. Dessous, elle ne portait même pas de culotte. Elle s’est retrouvée à poil et elle est venue s’empaler sur ma bite que j’avais sortie entre temps, sans changer de position. Mais je n’ai pas éjaculé cette fois-ci. J’ai gardé mon énergie pour la suite de la soirée. On a bu cette bouteille et baisé dans des pièces différentes de l’appartement : salon, cuisine, chambres, et même dans la salle de bains pour finir. On a ouvert une autre bouteille, puis des boîtes de conserve. La radio diffusait toujours des vieux tubes.
On s’est couché vers 23 heures, un peu ivres. J’ai sodomisé Hélène, puis elle a tenu à me sucer pour finir, jusqu’à ce que je décharge sur sa langue, puis au fond de sa bouche. Mon sperme a débordé sur son menton.

Le lendemain, je fus réveillé par la sonnerie d’un téléphone qui n’était pas le mien. J’ai sursauté et, dans une autre pièce de l’appartement, j’ai perçu des voix. Je me suis levé et j’ai passé mon pantalon et mon t-shirt. J’ai pris le téléphone en question et me suis dirigé vers la cuisine. Là, j’ai trouvé Hélène en compagnie d’une fille qui devait avoir une vingtaine d’années. Je l’ai saluée et j’ai dit à Hélène :
« Ton téléphone a sonné. »
Elle a pris l’appareil, vérifié le cadran, puis elle a dit :
« C’est mon mari, je vais le rappeler. Je te présente Chloé. Elle est étudiante. Elle cherche des petits boulots, comme toi. Elle est déjà venue me donner un coup de main dans l’appartement, pendant que mon mari était en déplacement. Elle va se joindre à nous aujourd’hui et demain. »
La fille m’a fait un grand sourire que je lui ai retourné. Elle avait du charme. Puis elle a quitté la pièce en disant qu’elle allait se changer. J’ai laissé Hélène rappeler son mari et suis retourné dans la chambre pour finir de me préparer. Au passage, dans le salon, j’ai aperçu Chloé qui enlevait son pantalon. Elle me tournait le dos et portait une fine culotte noire. Elle avait un superbe cul.

Nous avons fait de la peinture pendant toute la matinée. J’ai fini de faire le tour du salon, tandis que Hélène était toujours dans la cuisine et Chloé dans une des chambres.
A midi, nous avons bu des verres de vin et fait chauffer des conserves. On a mangé, préparé du café, puis Hélène nous a demandé si on voulait faire une sieste. J’ai hésité à répondre, mais Chloé a dit :
« Avec plaisir. »
Elles ont quitté la cuisine ensemble et, comme la veille, j’ai tardé à me décider. J’ai terminé mon café en tournant en rond dans la pièce, l’oreille tendue vers la chambre dans laquelle j’avais passé la nuit avec Hélène. Chloé l’avait suivie et j’avais une vague idée de ce que j’allais trouver si je finissais par m’y rendre aussi. J’étais tombé sur un bien étrange couple, ma foi. L’homme qui voulait qu’on s’occupe de son épouse en son absence, et puis cette étudiante qui nous avait rejoint. Je n’en revenais pas.

Je me suis décidé.
Je suis allé jusqu’à la chambre sans faire de bruit, et j’y ai trouvé à peu près ce que j’avais imaginé : Hélène et Chloé étaient toute nues sur les draps du matelas, en position 69. L’étudiante était dessus et, d’où je me trouvais, j’avais une vue imprenable sur son cul ouvert. Hélène le léchait.
Je n’ai pas réfléchi bien longtemps.
J’ai ôté mes habits et me suis approché d’elles. Chloé avait les seins plus volumineux et fermes que Hélène. J’en ai tripoté un après m’être mis à genoux, puis j’ai passé ma main sur son dos, en direction de ses fesses que les mains de Hélène cramponnaient. J’ai touché les bords de son anus du bout du doigt, tout en me masturbant, puis je l’ai enfoncé un peu, doucement, tandis qu’une langue s’agitait sur la chatte qui était lisse. Ma bite était raide et les deux femmes gémissaient de bonheur.
Lorsqu’elles ont changé de position, j’ai pris Chloé par devant, tandis que Hélène s’était assise à califourchon sur sa bouche. J’avais deux paires de nichons à portée de mains, et deux chattes à disposition. Ainsi que deux bouches et deux langues. Je ne me suis pas privé d’en profiter.

Nous n’avons pas beaucoup travaillé cet après-midi-là. Après avoir baisé, nous avons fait une longue sieste et, quand je me suis réveillé, il était déjà 17 heures. Chloé dormait près de moi, sur le ventre, mais Hélène sifflotait dans la cuisine. J’ai caressé le cul de l’étudiante, puis je me suis levé pour me rhabiller et rejoindre Hélène.
A mon arrivée, elle était en culotte, assise en train d’écrire un SMS. Elle a levé les yeux vers moi et dit :
« Mon mari ne sera pas de retour samedi comme prévu. Il rentrera lundi au plus tôt. Veux-tu rester travailler quelques jours de plus ? »
J’ai hoché la tête :
« Oui, avec plaisir. »
Elle a souri :
« Je vais aller faire quelques courses pour ce soir et demain. Je n’en ai pas pour longtemps. »
Elle s’est levée et a quitté la pièce pour s’habiller dans la chambre. Ensuite, elle a quitté l’appartement et je l’ai suivie des yeux depuis la fenêtre de la cuisine, sur un trottoir de l’avenue qui grouillait de piétons et de voitures. Elle est sortie de ma vue et j’ai examiné la multitude de maisons qu’on voyait depuis ici. Des façades et des dizaines de fenêtres. Je me suis demandé si, dans d’autres appartements, il y avait des personnes qui baisaient à cette minute, à poil dans des chambres ou dans d’autres pièces. Des couples, des groupes, de très jeunes et des plus âgés. C’était tout à fait probable, mais impossible à vérifier. On n’imagine pas ce qui se passe chez les autres, quand on se promène dans la rue. On n’imagine pas toutes les fellations, les pénétrations, les masturbations derrière les volets des fenêtres et les rideaux.
Je me suis remis à bander sur cette pensée.
Puis j’ai entendu les pas de Chloé venir vers la cuisine. Elle était toute nue. Elle m’a fait un sourire et a rempli un verre d’eau au robinet. Je l’ai suivie des yeux en me disant que c’était une drôle d’histoire que je vivais là, ou alors j’étais encore en train de rêver.
Grâce à une simple annonce passée sur le site internet d’un journal local, je m’étais envoyé une femme de 40 ans et une étudiante en l’espace de deux jours. Je me suis promis que, dès que les travaux de cet appartement seraient terminés, j’en publierais une autre. Peut-être même qu’elle serait plus explicite que la première. Elle pourrait dire :
« Jeune homme ferait petits travaux de peinture pour couples très ouverts d’esprit ou pour femmes seules, âgées de 20 à 45 ans. »
Allez savoir…

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