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La belle-mère espionnée (4)

La belle-mère espionnée (4)



J’étais très excité depuis la reception de l’email de Paul. Ma femme en prenait pour son grade. Et j’étais impatient d’avoir ma belle-mère au téléphone. Paul m’avait dit que ma belle mère se masturberait en pensant à moi chaque jour. Et à chaque jour qui passait, je l’imaginais, en train de passer ses doigts sur sa fente, se les glisser à l’interieur, se faire jouir et mouiller, en pensant à moi. Le mardi soir, à peine rentré du travail, j’étais allé trouver ma femme dans la salle de bain où elle se faisait une couleur pour les cheveux, et je l’avais sodomisée royalement jusqu’à l’heure du diner. J’alternais ma queue entre sa chatte et son cul. Elle criait, hurlait, de plaisir et de colère, ne comprenait pas la libido soudaine, avait honte lorsque j’exigeais qu’elle me dise quand elle était sur le point de jouir. Je lui giflais le visage avec ma verge gonflée, pendant qu’elle se masturbait pour se faire venir.
Après le diner, elle me demanda quel dessert je souhaitais, et j’avais sorti une de ses petites culottes sales de ma poche, et je l’avais posé ouverte sur la table, à coté de mon assiette, mettant les traces de chatte bien en evidence. Je me penchais et sortais ma langue, frottant cette dernière sur le tissu souillé de mon épouse. Elle fit une petite grimace, et je l’invitais à se joindre à moi. Elle se leva, et un peu malgré elle, se pencha, et posa à son tour sa langue dans sa culotte.
– La chatte, c’est ce qu’il y a de meilleur dans la vie, lui dis-je, en me plaçant derrière elle. Je lui baissais son pantalon de pyjama, et lui glissa ma queue dans la chatte. Elle lécha sa culotte pendant que je la défonçais. Et j’explosais dans sa chatte.
Le lendemain arriva le jour J, où ma belle mère devait téléphoner.
Je masturbais ma femme depuis plus de 20mn. Je lui avais demandé de se laisser faire. Lorsque le téléphone se mit à sonner, je lui donnais mes instructions :
– Qui que ce soit, je veux que tu te masturbes la chatte à fond, tu as compris. Comme une folle. Et après tu me passeras le téléphone, et tu me suceras.
Elle devint blème quand elle entendit son interlocutrice à l’autre bout de la ligne. Elle me fit une légère grimace, mais mon regard se fit insistant. Avec résignation elle passa doucement sa main entre ses cuisses et se mit à se carresser. Je lui écartais les jambes en grand, et de deux doigts, lui ouvrit la chatte en grand.
– Frotte ton clito..
Elle se carressa en faisant tournoyer ses doigts sur son petit excès de chair, tandis que je gardais ses levres grandes ouvertes.
– Plus vite, murmurais-je.
Elle se mit à se branler furieusement, comme je ne l’avais jamais vu faire. Elle se mordait la levre superieure en tenant sa tete en arrière, essayait de ne pas soupirer et suivre la conversation, en répondant de facon en peu hachurée mais qui essayait de ne rien laisser paraitre. Je ne comprenais pas trop le sens de la conversation d’ailleurs, mais j’avoue que mon esprit était ailleurs. Je bandais comme un fou. Et mon excitation fut à son paroxysme quand elle me tendit le téléphone.
– Elle veut te parler, me fit elle, en se masturbant furieusement. Je vis de la mouille couler de sa chatte, par petites gouttes, qui giclaient à droite et à gauche.
Je devins blème en entendant la voix au téléphone. Je ne m’attendais pas à ça. Ma femme avait sorti ma queue, et commençait à me sucer. C’était ma mère.
– Je viens prendre de vos nouvelles, fit elle.
Ma femme me regarda, me branla un peu devant son visage, et me dit :
– Maman va bien s’occuper de toi…
– Non mais arrete tes conneries…
– Oh non, fit elle, en me sucant le gland et me branlant comme une folle.
Je tentais de parler à ma mère, pendant que ma femme s’occupait de ma queue. Je fermais les yeux, pour ne pas la voir me branler entre ses seins. Je me concentrais sur la conversation. Puis, d’un coup, j’ouvris les yeux, les écarquilla même, sentant un liquide chaud jaillir sur moi. Elle avait sa chatte contre ma queue, et me pissait dessus. C’était plus fort que moi, je me mis à me branler, et j’éjaculais presque de suite, tandis qu’elle m’aspergeais de sa pisse.
– Allo ? Allo ? ça va ? fit ma mère.
– Maman, attends, je te rappelle plus tard.
Je raccrochais. Ma belle mère n’appela pas durant la soirée. Je ne comprenais pas.
Putain il se passait quoi ?

A suivre

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