Mme Rosina la gentille maquerelle vient m’ouvrir, toute nue, comme d’habitude.
Sa bouche charnue se plaque sur mes lèvres dans un gros baiser amical, et ses seins très charnus s’écrasent sur ma poitrine.
Toujours rieuse, avec ses cheveux blonds torsadés, elle me fait une proposition originale:
-Tu connais ma soeur, Luisa?
émoustillé, je demande à lui être présenté.
Luisa est une petite dame brune typiquement brésilienne, avec laquelle je sens tout de suite un véritable courant de sympathie.
-Tu veux qu’on fasse quelque chose avec elle?
Sur ce lit dans cette chambre vieillotte, pleine de miroirs et de tissus rouges, les deux soeurs, les deux mamies putes…comment résister?
Luisa m’explique qu’elle a ses règles.
-on ne pourra pas faire l’amour.
Qu’importe! J’attends nu sur le lit, Luisa se déshabille, se frotte contre moi.
Elle a les mêmes gros seins que sa soeur. La même voix gutturale, exactement la même bouche.
Ce sont donc vraiment des soeurs. Ce que je raconte est tout ce qu’il y a de plus authentique.
Collée contre moi, nous nous embrassons, enlacés. Les lèvres de Luisa sont douces, sa langue caresse la mienne. Je bande.
-Alors, les amoureux! lance Rosina en entrant dans la chambre, avec son attirail de crèmes, godes, tout son bazar d’infirmière vicieuse.
On va se faire une nouvel séance de massage prostatique, précédé d’une petite pipe.
Il arrive que, par faveur, Rosina me suce nature, comme on dit. Je ne sais plus si c’était le cas ce jour là. Je me rappelle surtout que Luisa n’arrêtait pas de m’embrasser goûlument, tandis que je pelotais ses gros nichons.
assise sur le lit, Rosina est concentrée à pénétrer mon anus, un préservatif au bout d’un doigt.
Elle m’a d’abord branlé, après m’avoir huilé la queue.
Elle adore voir ma queue prendre toute son ampleur. La langue de Luisa augmente mon excitation.
Rosina invite sa soeur à partager son admiration pour le membre tendu.
Très souvent, en me branlant et en m’enculant, elle appelle une de ses filles d’une voix forte, pour la pute, brésilienne, roumaine ou slovaque, entre dans la pièce pour me saluer, pour que la fille voie ma queue, sans doute aussi pour me donner envie de sauter la pute en question un de ces prochains jours.
-J’adore faire ça, me confie souvent Rosina en m’enculant.
Elle prétend que c’est très bon pour la santé. lorsque je vais jouir, elle le sent à certaines contractions involontaires de ma prostate.
-Cela fait comme ça, comme ça, précise-t-elle, en rassemblant rythmiquement ses doigts tendus.
Lorsqu’elle a bien pris possession de mon cul, et que mon anus accueil sa pénétration, plein de compréhension pour la sensibilité des homos, on change de registre:
-Branle-toi.
Je m’exécute, tandis qu’elle m’encule plus vigoureusement.
Elle me lèche un peu les boules. Je demande à Luisa de me lécher en même temps que sa soeur.
Putain, les deux soeurs qui me lèchent les couilles!
joue contre joue, les langues bien actives…
On se prépare pour les derniers mètres avant la jouissance.
Rosina presse son doigt plus fort, tandis que je me branle.
-Vas-y…gicle!
Oui maman….un sperme crémeux, abondant, s’échappe du gland violacé d’excitation, tandis que, très douce, très caressante, la langue de Luisa se berce dans ma bouche.
Ah! Les bonnes putes! Je vais emmener Marlène dans ce bordel, cela va lui plaire de se faire lécher pendant que je l’encule.
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