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lavandou

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J’ai des 2 tantes de 88 et 85 ans dans une maison de de retraite à Bormes les Mimosas. Elles sont là car leurs enfants n’ont plus le temps de venir les voir. J’ai une tendresse particulière envers elle, par des séjours mémorables à Cannes où elles avaient chacune leur maison. L’une comme l’autre étaient de bonnes vivantes et sexuellement épanouies. Jusqu’à l’âge de 75 ans pour la 1ère, elle ne rechignait jamais à prendre son pied lors d’un rapport sexuel avec son mari, la 2ème était frustrée car son mari allait trop vite et elle restait toujours sur sa faim. Enfin les deux époux décédèrent de mort naturelle à 80 ans pour l’un et l’autre d’un arrêt cardiaque à 76 ans. La tristesse des 2 amies n’était pas la perte de leur époux respectifs mais la disparition de leur joujou. Etant jeune, elles me racontaient comment elles baisaient dans la campagne car la ville d’Hyères n’était pas celle que je connaissais aujourd’hui. Elles m’ont dit le nombre incalculable de fois qu’elles ont pris leur pied avec un nombre de mâles aussi vigoureux les uns des autres car il y avait peu de maisons et lotissements. On pouvait se promener en robe courte sans le regard de pervers / il y en avait sûrement mais plus discrets /.Dès qu’on avait envie, on jouait au chat et à la souris coquine à travers la verdure. A cette époque, il y avait encore les maisons de plaisirs où un puceau pouvait découvrir son sexe et celui de l’experte naturellement. La liberté sexuelle était restreinte mais loin des grandes villes on pouvait avoir plusieurs partenaires.
J’aime parfois les emmener ailleurs au Lavandou, histoire de les faire sortir un peu. Nous étions partis à 2 voitures, une conduite par moi et l’autre par Marion. Mon homme me laisse conduire car il trouve que je suis sexy quand je suis au volant. C’est vrai que j’aime ouvrir mon chemisier afin que les routiers voient un petit morceau de sein ou une partie du soutien-gorge avec mes très jolies cuisses bronzées. Il va de même pour Marion avec ses gros seins et son ventre bien formé. Nous sommes descendus au Lavandou à l’hôtel de la Fossette pour 2 nuits autant en profiter à fond et par la suite aller faire un tour à Toulon. Comme nous étions 5 (Marion, mes deux tantes Thérèse et Christine, mon homme et moi), nous avions une suite de luxe pour 4 personnes et une chambre de luxe pour 2. J’ai partagé la chambre avec mes 2 tantes et Marion avec mon homme. Nous avons été reçus par un personnel attentionné et charmant. On se sent presque chez soi, ce n’est pas un hôtel mais un musée familial, une excellente adresse de séjour dans un cadre magnifique. Mes tantes étaient ravies de l’hôtel et de la discrétion du personnel. Aussitôt arrivée, nous nous sommes mises nues, nous avons mis un paravent sur le balcon pour profiter du soleil. Thérèse et Christine m’ont dit que j’avais fière allure et que ma poitrine ressemblait aux leurs étant jeunes. Elles avaient de beaux restes, certes les seins sont tombants, avec un peu de ventre mais comme elles disent 100% épilée, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Mon homme et Marion étaient dans la chambre voisine et nous leur avons demandé de nous rejoindre, Marion est entrée en peignoir et s’est mise nue. Mes tantes regardaient avec délicatesse la grosse poitrine de Marion. Puis mon homme est resté en peignoir sans doute pour ne pas vexer mes tantes. Ces dernières dirent :’’Mets-toi à l’aise, on a vu tellement de bites, une de plus ce serait des souvenirs’’. Mon homme s’exécuta et elles virent pour la 1ère fois une bite de 28 cm un peu en érection. Thérèse me dit :’’elle doit être superbe à sucer, je n’ai jamais vu une telle chose’’, je répondis :’’oui c’est la meilleure pour mon sexe et mon cul’’, Marion ajouta :’’je peux vraiment affirmer que c’est une belle bête’’. Christine dit :’’tu peux me laisser la toucher’’. Mon homme fit oui d’un hochement de tête. Thérèse dit :’’Mélanie, on peut jouer avec avant d’aller dîner ??’’, je leur répondis :’’oui, on vous laisse seuls ce sera mieux’’. Je suis allée avec Marion dans sa chambre et mon homme est resté avec mes deux tantes. D’après les dires de mon homme par la suite, elles ont pris le temps de regarder la bite de tous les côtés, elles soulevaient les boules, caressaient la tige, puis chacune son tour à donner ses lourds seins à mon homme pour qu’il puisse les embrasser, caresser et tirer dessus. Elles se sont mises face à la grande bite pour la sucer à deux tandis que leurs orifices étaient tournés vers la tête de mon homme. Ce dernier voyait des gros seins lourds, 2 gros ventres mais surtout 2 sexes épilés, qui avaient déjà des kilomètres au compteur. Cela l’excite davantage il mit 1,2,3 doigts dans ses sexes ouverts avant d’y songer mettre une main entière. De l’autre côté, Thérèse et Christine suçait la longue bite et appréciaient sa robustesse. Elles le prenaient en main chacune son tour pour la masturber, passer une langue dessus, voulant chacune l’avaler en entier. Mon homme les masturbait de ses mains dans les chattes baveuses. Elles accéléraient plus vite tout en se roulant des pelles. Les mains de mon homme exploraient leurs entrailles et elles commençaient à jouir. Thérèse prit le commandement en masturbant la bite vers la bouche de Christine qui miaulait comme une cochonne. Puis elle prit le gland et le suçait à son tour. Christine embrassait Thérèse et à son tour suça la bite. Elles avaient le feu profond dans leur minou. Pendant que mon homme les masturbait profondément, elles passaient chacune un doigt sur leur clito pour prendre plus de plaisir. Christine hyper mouillée voulait s’asseoir sur la bite de mon homme car elle n’en pouvait plus, ses lourds seins se balançaient dans le vide et elle aurait aimé se sentir tripoter voir sucer par une douce langue. Après d’innombrables léchouilles, elles sentirent que mon homme était prêt à exploser. Elles lui demandèrent de se mettre debout afin qu’elles puissent s’agenouiller pour recevoir ce doux nectar sur leur visage. Mon homme sortit ses mains de deux sexes, se redressa, embrassa les grosses paires de mamelles de Christine et comme les deux étaient debout, il mit son sexe dans le minou de Christine et la pénétra jusqu’à ses ovaires, elle s’agrippa à son dos, colla ses lourds seins contre sa poitrine et l’embrassa sur la bouche, après quelques va et vient puissants, il sortit d’elle et fit la même chose avec Thérèse, cette dernière avec ses seins un peu flasques les redressa et les donna à mon homme pour qu’il les embrasse et lui il mordit le gros téton. Elle penchait la tête en arrière devant tant de sollicitude. Mon homme pénétra à nouveau ce sexe mouillé et Thérèse lui dit :’’ baise-moi fort trop envie’’. Puis il sortit d’elle et les 2 vieilles salopes comprirent qu’il allait éjaculer. Elles s’agenouillèrent et un flot continu de sperme tomba sur leurs cheveux, visages, poitrines et chacune son tour pressait et suçait la bite pour en faire sortir la dernière goutte. Elles se léchèrent toutes les deux pour avaler ce délicieux sperme sans perdre une goutte. Elles se léchèrent les seins de chacune tout en se masturbant l’une et l’autre avec le restant de sperme. Mon homme et elles s’allongèrent sur le lit pour de douces caresses ainsi que de doux baisers chauds après cette séance.

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