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L’enterrement de garçon « Chez Gégé »

L’enterrement de garçon « Chez Gégé »



L’enterrement de garçon « Chez Gégé »
Ou quand j’ai été baisé dans un bar par un groupe de rugbymen

Voici ce qui m’est arrivé le soir de mon enterrement de vie de garçon.

J’ai 24 ans et suis fiancé à Anne, de deux ans plus jeune que moi. Nous nous sommes connus à la Fac, avant que je commence à travailler pour une banque d’investissement en ville.
Elle n’est pas une bombe atomique (1m66 et 58 kilos), elle a son charme, mais surtout elle est très coquine et aime me faire plaisir en portant de jolis dessous sexy quand nous sommes au lit. Elle en a une sacrée collection, elle aime ça, et aussi de jolies tenues de ville.
Je dois dire que son penchant pour la jolie lingerie m’a bien aidé – après la première surprise – car je dois avouer qu’avant je n’étais pas particulièrement un garçon « sûr de lui », macho ou entreprenant en matière de sexe. 1m71 et 59 kilos, une pilosité faciale et corporelle quasi inexistante – limite imberbe – vous voyez je ne suis pas vraiment ce qu’on considère comme un « mâle alpha ».

Nous étions fiancés depuis huit mois, et avons enfin décidé de nous marier. C’est le printemps et nous organisons nos enterrements de vie de garçon et de jeune fille pour la semaine précédent nos noces.
Comme la coutume le veut, je sortirai avec mes potes, et Anne avec ses amies, et devons nous retrouver à la fin de la soirée. Nos amis ont décidé du thème de la soirée et du « gage » que nous aurions : nous grimer et nous déguiser dans le sexe opposé.
Anne sera donc transformée en homme, avec l’aide de ses copines (une de ses amies esthéticiennes lui fait des sourcils épaissis, une moustache en postiche, les cheveux attachés en catogan et gominés, un peu de cirage sur le menton pour obtenir un fond de « barbe » rasée), et un costume trois pièces la masculinisant avec beaucoup de réalisme.
De mon côté, je dois me transformer en femme – mais sans l’aide de mes potes qui n’y connaissent absolument rien. Anne en revanche m’est très utile ; elle me prête tous les habits nécessaires, et me « travestit » le visage : comme je suis presque glabre, un très léger rasage de rien du tout suffit à ôter les quelques poils très fins de mon menton. Sa copine esthéticienne finalise le travail, elle me passe un fond de teint, m’affine les sourcils en léger accent circonflexe, m’applique un fabuleux maquillage de yeux à l’aide de fards à paupières, mascara et crayon noir, me dessine de jolies lèvres au lipstick d’un rouge discret pas trop tape à l’oeil, et quelques coups de blush m’affinent encore le visage. Dans le miroir, j’hallucine de la transformation, des yeux de biche hyper love, une bouche coquine et un véritable visage de femme ! Elle m’ajuste une perruque (le seul accessoire que nous avons du acheter) mi-longue châtain, discrète et très féminine, qui achèvent la transformation de mon visage…
La copine esthéticienne me fait une manucure et m’applique du vernis à ongles.
Pour les habits, Anne se fait une joie de m’ouvrir sa garde-robe : elle me prête de très belles pièces. Comme nous avons presque la même taille et poids, tout me va. Elle commence par me passer des bas fumés, pas trop opaques, à travers lesquels on voit le grain de peau, un soutien-gorge noir push-up qui, très ajusté, ramène mes petits pectoraux de poulet au centre, créant l’illusion d’une jolie petite poitrine, ensuite une sorte de body-guêpière en dentelle très transparente qui se termine en bas avec quatre lanières porte-jarretelles qu’elle agrafe aux bas.

Woow, je dois avouer que je me fais presque bander moi-même !
Elle termine le travail en m’enfilant une jolie robe noire, dont le décolleté laisse apparaître la dentelle transparente du body par-dessus le soutif – et l’ombre dessinée par ma poitrine crée vraiment l’illusion d’une vraie poitrine. Des petites fleurs rouges très discrètes égayent la robe juste ce qu’il faut.
Et enfin, des escarpins/sandales noirs à bride pas trop hauts pour que je puisse marcher sans me casser la gueule, mais suffisamment pour être sexy, féminiser le galbe des mollets et remonter mes fesses, qui dans cette robe, font ma foi un très joli fessier (comme j’ai exactement la même pointure qu’Anne, ces Salomés me vont parfaitement).
Le grand jeu quoi !
Dans le grand miroir de notre appartement, nous « admirons » nos transformations » avant de sortir ; Anne ressemble à un gentleman très classe, classique et intemporel, et moi je suis bluffée, on dirait une vraie nénette, une belle femme BCBG aux jambes galbées et au visage d’ange !

Ce soir c’est la fête, ma fiancée est adorable et la semaine prochaine nous nous marions, nous allons fêter ça. Nous rejoignons nos amis respectifs et sortons. Anne part avec ses copines au restaurant puis faire les bars de notre petite ville, et moi pareil de mon côté avec mes potes, resto, puis bars.
La soirée se passe bien, on s’amuse grave et buvons pas mal 😉
Et j’ai eu droit à du « madame » toute la soirée dans les bars, ça a bien fait rire mes potes !

Nous nous rejoignons vers 1 heure du matin au point de rendez-vous, la fontaine de la place du marché. Nous sommes tous pas mal éméchés, il faut bien l’avouer… De là nous partons tous en direction d’un espèce de bar de nuit qui ferme plus tard, 2 ou 3 heure du mat’, pour terminer la soirée ensemble.
En colonne de voitures nous arrivons devant le bar « Chez Gégé – bar de nuit ». Nous nous garons et discutons un peu ; environ la moitié des copines d’Anne et la moitié de mes potes, vont rentrer, soit car déjà fatigués ou activités le lendemain, soit parce que déjà trop alcoolisés.
Restent donc quatre potes à moi, trois copines d’Anne, Anne et moi, et deux voitures pour neuf personnes pour rentrer, ça va nickel.
Anne s’agrippe à mon cou et m’embrasse langoureusement : « Je t’aime » me dit-elle – « Moi aussi mon coeur » je lui réponds, et elle m’embrasse de nouveau, promenant sa main sur mon popotin de fille, excitant légèrement mon sexe. A peine cachés des autres par notre voiture, elle soulève légèrement ma robe, se baisse et m’enlève le string, qu’elle range dans son sac à main, pose délicatement ses lèvres sur le sommet de mon pénis, et me met une petite claque sur les fesses en me disant « J’ai enlevé mon string aussi dans le dernier bar, le voici, sens comme il a l’odeur de ma chatte humide, mon chéri, mets-le ! »
Décidément, j’adore ma fiancée, elle est délire !
D’un coup d’oeil en direction du bar, je vois ce qui devait être le patron s’éloigner de la fenêtre. A priori il n’avait rien raté du spectacle…

En joyeuse équipe de 9 lurons, nous entrons dans le bar, moi en tête, le string d’Anne dans la paume, au bras de ma « gentleman » de fiancée :
« Bonsoir m’sieurs-dames » nous lance le patron qui me me scanne, que dis-je, qui me « déshabille » du regard de la tête aux pieds, deux fois, avec un sourire presque humide, s’arrêtant sur l’échancrure de ma robe qui laissait deviner la dentelle transparente et la petite poitrine… « Bienvenue chez Gégé, je suis Gérard, le patron, installez-vous, ce n’est pas la place qui manque ».
Le patron est seul avec ses deux dobermans, c’est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après qu’on lui ait expliqué le pourquoi de notre présence.

Je file direct aux toilettes, pour enfiler le string – le petit délire d’Anne m’avait excité et ma queue, même si pas très grande ou facilement excitable, avait commencé des soubresauts, que je craignais devenir visibles sous ma robe ajustée… Je humais son parfum, et c’est vrai qu’elle était mouillée de cyprine et sentait la chatte de ma fiancée. Cette idée m’excite aussi, j’enfile le string humide, ressors des WC et rejoins mes amis.

Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d’autres, en vannant en en rigolant (l’alcool…). Gérard nous offre une tournée de « shots » pour fêter notre événement, c’est vraiment très cool de sa part – mais ça va finir pas nous torcher définitivement cette histoire lol 😉
Un groupe d’hommes arrive peu de temps après et s’installe à coté de nous. Ils sont sept et ont des carrures de bûcherons ou de Vikings, et Gérard les salue tous par leur prénom. Des habitués – Gérard, joyeux et lancé, fait des sortes de présentations :
« Hé, je vous présente la moitié de l’équipe de rugby du RC *** (notre ville…), de bons amis à moi, et vous les gars, voilà une fine bande qui fêtent leur enterrement de célibat, ils se marient la semaine prochaine – Hasta la vista baby ! »
Ils nous saluent et commandent directement plusieurs bouteilles d’alcool, composant leurs cocktails eux-mêmes. Ils sont bluffés par nos « transformations » et nous complimentent :
« Félicitations, c’est à s’y tromper ! Le gentleman moustachu, au top, la classe ! Et la « dame », bluffant, on s’y tromperait, très très sexy ! »
Nous rigolons et commandons une autre tournée, j’en profite pour tirer sur le bas de ma robe qui est décidément vraiment très courte – elle découvre mes cuisses presque jusqu’au sexe, et visiblement attire le regard du petit groupe d’à-côté.
Bien que je leur trouve un air pas très catholique, ils paraissent sympathiques, rieurs et chahuteurs. Des rugbymen quoi !
Deux de mes potes et une des copines d’Anne nous disent qu’ils sont fatigués (ou torchés… lol) et qu’ils vont rentrer. Nous leur faisons la bise, ils prennent l’autre voiture et rentrent.
Les rugbymen nous sourient et nous précisent qu’ils sont là pour fêter l’anniversaire de l’un d’eux, nous leur répondons joyeusement que décidément nous avons tous quelque chose à fêter !
Ils nous proposent gentiment de trinquer avec eux. Nous acceptons avec plaisir et levons tous nos verres à l’anniversaire et à nous-mêmes. Nous entamons une discussion courtoise et entrecoupée de blagues avec ces hommes, et constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter leurs mixtures. Bien que forts en alcool, leurs cocktails sont bons, nous parlons un peu des joies et des contraintes du mariage avec ceux qui sont mariés, et de l’amusement et que « jeunesse se passe » car nous sommes tous plus jeunes qu’eux.
Ils tiennent à nous offrir une autre tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables. La troupe est joyeuse, certes « virile » et brute de décoffrage mais sympathique, la soirée a été bonne et nous sommes tous un peu alcoolisés (de plus en plus même), alors un peu d’animation avant de rentrer est la bienvenue.
Ma fiancée semble ravie, ses copines aussi, mes potes aussi, chacun raconte des anecdotes ou des blagues pendant qu’ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne… Je me sens pour ma part sur un petit nuage.
Vers 2h30 (le bar fermant à 3 h) les deux dernières amies d’Anne disent : « Nous allons rentrer, maintenant, on ne se voit plus les pinceaux, hi hi hi » et un de mes copains renchérit « Pareil, j’en peux plus mdr ! » Anne n’a pas l’air d’aller très bien non plus, mais semble « gérer » mieux que nous, alors elle dit :
« D’acc, on va y aller », constatant même « Ah mais, il nous reste qu’une caisse, la nôtre, et on est six… Bon, moi je crois que ça va aller pour conduire, je vais donc ramener tout le monde (les deux dernières copines et les deux derniers potes), à cinq dans la voiture, et revenir te chercher après mon chéri. Tu nous attends là ? A toute, bébé » (En même temps où d’autre pouvais-je attendre LOL).

J’acquiesce, les cinq partent en saluant tout le monde ; moi, j’ai la tête qui tourne, je demande à Gérard s’il est possible d’avoir un café. Après toutes ces boissons, un petit besoin m’oblige à avoir recours aux toilettes.
Je me lève, traverse en titubant l’arrière-salle et retrouve les WC : « Je suis carrément pompette » me dis-je en riant.
J’en profite pour réajuster un peu mon allure – remettre un tout petit peu de rouge à lèvres, car entre les baisers d’Anne et les verres d’alcools, il en est parti ; et surtout réajuster les balconnets du soutien-gorge sous ma robe, qui avaient bougé, ouvrant l’échancrure de décolleté de ma robe un peu plus… Cela explique les yeux un peu trop fixés sur ma poitrine durant l’apéritif.
Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservé d’habitude, je souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me porte – n’attirant que rarement le regard des femmes avec ma silhouette fluette, j’avoue m’amuser de la situation (en-dehors de l’état d’enivrement avancé), de susciter, en femme, le désir ou le reluquage de la parts de ces mâles bien costauds, bien hétéros.
En sortant des toilettes, je m’aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune. Ils se sont attablés et discutent dans cette arrière-salle, toujours autour de plusieurs bouteilles d’alcool, je vois de même Gérard au comptoir qui parle, rigole et continue de boire avec les deux autres rugbymen.

Alors que je me dirige vers ma table, toujours en titubant, l’un des cinq hommes m’interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre ma fiancée, afin de (me) donner quelques conseils masculins avertis pour mon prochain mariage.
Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse, le plus baraqué de la bande de baraqués m’att**** rapidement par le bras et me demande de m’asseoir. Malgré leur gentillesse et leur bonne humeur, j’hésite à rester, mais la main ferme, mon esprit embrouillé et l’envie de ne pas passer pour un timoré / sainte-nitouche, ont raison de mes réticences.
Les autres chaises de l’arrière-salle étant déjà toutes retournées sur les tables (Gérard doit fermer dans quinze minutes) ce galant homme m’installe donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite, en me tenant par la taille : « Ça ne vous gêne pas j’espère ? » finit-il par me dire.
Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente en me faisant des grimaces : « Moi c’est Alain ». Je m’apprête à répondre en rigolant : « Moi c’est… » « Tssssssuuut ! » m’interrompt-il prestement, comme pour ne pas briser la magie de l’illusion entre mon apparence et mon véritable genre.
Nous discutons de rugby (je n’y connais rien !), d’eux et surtout de moi, des hommes et des femmes en général, ils me distillent des conseils au « futur marié », quelques notions sur le « cul » – pour parler crument lol (moi qui ne suis pas un champion de la chose, et en plus avec mon état d’ébriété je n’entrave pas le dixième de ce qu’ils me racontent…) avant d’aborder notamment la fidélité qui ne doit jamais être trahie, en me donnant en exemple avec fierté…
Toujours en sirotant leur breuvage-de-la-mort-qui-tue : « Mon verre doit être magique, je n’arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli » dis-je en m’esclaffant.
J’ai chaud, mais je me sens bien, même si le café demandé à Gérard n’est jamais arrivé.
J’ai la tête qui me tourne, mais je suis bien calé, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n’arrête pas de bouger) d’Alain, avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite (qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas.
« Vous avez de jolis petits seins (Ah bon ? s’ils savaient mdr ! mais ils savent, nom d’un pétard !), et des jambes magnifiques » me dit le plus jeune en face de moi ; je baisse la tête et m’aperçois que le balconnet droit, a de nouveau bougé, écartant à nouveau le décolleté de ma robe et laissant apparaître la dentelle du body.
Je rougis un peu et entreprends de remettre le soutien-gorge récalcitrant à sa place, mais avant que j’aie pu mettre la main sur mon téton droit pour mener à bien la remise en place, Alain me précède et passe la sienne dans mon décolleté, directement sous le body.
« Laissez, je vais faire. » Je suis de plus en plus gêné et mes joues virent à l’écarlate.
« Euh… bbhhh… » Je bafouille et att**** vainement le bras d’Alain, parti à la palpation de mon « sein » droit, le ramène au centre, en pince doucement le téton, le soupèse, le masse circulairement, le caresse délicatement et en titille la pointe.
Absolument pas gêné, il me complimente sur ma (minuscule, et pour cause !) poitrine, avant de passer ses deux mains dans mon dos, sous ma robe, pour dégrafer mon soutien-gorge complètement… me laissant avec la seule dentelle du body sous ma robe, définitivement échancrée sur l’avant.
Il ressort ses mains : « Ne soyez pas timide, vous avez des petits seins magnifiques, laissez-les respirer, on devinait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! ».
La tête me tourne de plus en plus et Alain me ratt**** in-extremis, m’évitant de tomber ; il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe. « Pour les nénés, ça restera notre petit secret » me murmure-t-il à l’oreille, en y plaçant un petit bisou et en continuant de me peloter entre la dentelle et le tissu de la robe.
Je suis déconcerté, très bourré, perdu entre le bonheur de la soirée, le cocasse et ma foi surprenant et (… !) agréable de la situation, mon ébriété, mes réticences de garçon timide et mon excitation du moment – je réponds en bégayant : « Bon d’ac…d’accord… », et je reprends mon verre.
Alain me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite, et sa main gauche sur ma poitrine d’éphèbe féminisé. Je sens sa main qui me caresse légèrement la fesse sous le bas de ma robe, il l’a relevée lorsqu’il m’a attrapée, dévoilant ainsi le sommet de mes bas, les attaches du porte-jarretelles, mon string trempé de l’odeur de ma fiancée… et les quatre autres gaillards regardent le triangle de mon string avec insistance.
Assise sur Alain, je sens son entrejambe devenir de plus en plus dur. Ma parole, je suis en train de faire bander un joueur de rugby !
Je sens une douce chaleur envahir mon bas ventre, et j’ai l’impression d’avoir les fesses en feu, comme si elles avaient faim de quelque chose… La ficelle de la minuscule culotte me rentrant dans la raie du cul, et mon sexe durcissant, ne m’aident pas à avoir les idées claires. La main gauche d’Alain lâche mes seins pour venir pétrir mon sexe à travers la dentelle. Il sent immédiatement que mon string est trempé, il fallait s’y attendre, il le caresse, avant de ramener ses doigts à ses narines :
« Hmmmmmm, mais ça sent la chatte, putain, elle mouille ! Vous allez pas le croire les gars, la coquine sent carrément la moule trempée, ça sent la chatte excitée ! » et il se lèche les doigts !
Il replonge ses mains vers mon bas-ventre, et je ne sais plus où je suis, ni qui je suis, ni ce qui m’arrive.
Mon cerveau part en vrille, je suis perdu, excité, enivré et chaud, mon sexe tressaille de petits soubresauts, durcissant doucement.
Les doigts d’Alain caressent mon string humide, et la bosse que fait ma queue sous la dentelle…
Humide, sans réfléchir, j’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache !
Il passe lentement son doigt entre la dentelle mouillée et ma queue qui devient dure, la caressant doucement.
Le jeune se lève, s’approche de moi, se place sur la gauche d’Alain, relève ma robe au-dessus de mon sexe et pétrit ma poitrine à deux mains. Alain embrasse mes lèvres, un autre larron s’agenouille devant moi en écartant le string trempé et dit : « Ah oui ça sent le minou de chatte, bien mouillé ! Et elle est toute épilée en plus, cette petite salope » (Anne m’avait effectivement épilé le peu de poils que j’ai au sexe, laissant un délicat triangle très féminin juste au pubis) et il commence à me caresser les couilles, avant de gober doucement mon sexe. Je bande de plus en plus, et maintenant, dans la bouche d’un homme…
Alain me retire le fameux string, odorant et mouillé, tel un trophée, le hume et le lèche, avant de le passer aux autres qui font de même, puis malaxe mes fesses avec vigueur ; la langue suçotte ma queue, léchant la hampe et les couilles, descendant vers mon anus, lui donnant des petits coups de langue et le mouillant.
Je suis là, assise sur un homme, les jambes écartées et gainées de délicats bas et en talons aiguilles, en train de me faire sucer par un autre homme…

Je me surprends à caresser doucement les cheveux de mon brouteur avec mes ongles vernis.
Je suis complètement trempé.

Sous mes fesses, je sens Alain ouvrir la braguette de son pantalon et sortir sa queue raide comme un piquet.
Dans un sursaut de lucidité, je tente de me lever un peu pour tirer ma robe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain, les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance. Je regarde dans la direction du bar et de Gérard pour chercher de l’aide, mais ne le vois plus.
« Non, s’il vous plait laissez-moi… … ».
Ces paroles à peine terminées, Alain me relève les jambes très haut, me basculant en arrière tout contre son torse, mon bas-ventre présenté à la vue de tous, le trou du cul visible, quasiment « offert » ; mon brouteur de queue, me lèche l’anus, d’abord doucement, puis avec vigueur, il force l’entrée avec sa langue et me met de la salive partout sur le trou de balle, et même dedans.
Je manque vaciller, les jambes en l’air, gainées de bas et talons aiguilles, le cul trempé de salive, je ne sais pas ce qui m’arrive, je suis en train de devenir dingue.
Mon brouteur se retire, Alain me soulève un peu et je le vois cracher dans sa main.
Il étale sa salive sur son gland, m’en met sur l’anus, y introduit son index tout mouillé puis… il m’enfile sa bite d’un seul coup dans le cul !

Je sens son sexe chaud envahir mon petit trou – je lâche un râle de douleur et de plaisir. D’abord la douleur, intense, vive, mais rapidement effacée par une incroyable sensation de « plein », de cage à pétole remplie par un sexe viril et durci comme jamais, je peux presque sentir les veines du chibre bouger sous la pression du sang qui durcit le mandrin d’Alain :
« Aaaaïeeeaaa… aaAaaaaaaAAaaaaaaaaaah… ! » Alain me fait taire en me roulant une pelle…
Mon intestin est rempli et c’est en train de me plaire, de me rendre fou – ou folle, je crois bien !
Ma petite queue d’éphèbe bande, et ce salaud d’Alain est en train de me faire jouir par mon cul de femelle.
Les deux rugbymen du bar sont venus rejoindre leurs collègues, ne ratant pas une miette du spectacle hallucinant auquel ils assistent. Et auquel ils vont participer, ça ne fait aucun doute…
Gérard est là aussi, et… il prend des photos ! En fait, il mitraille de photos. Sous tous les angles.
Mais je suis dans un autre monde, je suis dans un rêve, un rêve cauchemardesque ou un cauchemar rêvé. Enivré d’alcool certes, mais enivré de sexe, de désir, d’excitation lubrique, enivré d’envies de femelle cochonne, un rêve sexuel, baisée par une bande de mâles virils, dans une arrière-salle de bar…
J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller.
Empalée jusqu’à la garde par l’énorme verge d’Alain, qui coulisse dans mes entrailles. Il me fait monter et descendre sur sa tige, et chaque « presque » sortie de sa queue me donne l’envie qu’il me la renfile rapidement, vite, loin, comme un manque ; et chaque enfilade, est comme un percement de bonheur, une prise de possession de mon ventre, et me fait jouir.
Les autres enlèvent leur pantalon et s’approchent, leurs verges déjà dures ou bandant à moitié. J’att**** le premier sexe à ma portée, le branle et le lèche, j’ouvre ma bouche et le suce avec vigueur. Jamais je n’avais fait ça, jamais je n’aurais pensé le faire, et pourtant c’est venu, ça vient, machinalement, « naturellement ». J’ai envie de ces queues, envie de sucer ces verges et les sentir en moi.
Deux heures avant je n’avais jamais touché un pénis d’homme à part le mien, et maintenant j’en ai un dans le derrière, et j’ai envie de sucer tous ces magnifiques chibres durs et luisants tendus vers moi.
Je sens le désir monter de plus en plus, chez moi, chez eux, et je suce plusieurs sexes en érection avec passion, avec un appétit de salope, pendant qu’Alain me lime toujours et que les autres me caressent tout le corps. Ces bites, je les gobe, je les lèche, je les suce, je les enfourne et les avale aussi loin et profondément que je peux, y laissant ma salive, mon rouge à lèvres détruit, dans ma faim soudaine de queues d’hommes.
Un des gars va et vient lentement dans ma bouche, puis accélère jusqu’à frapper mon palais, avant d’éjaculer au fond de ma gorge. J’avale toute la semence avec délectation, le suçant jusqu’à la retombée du sexe.
« T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de timide, et ta tenue de bourgeoise allumeuse » me dit-il, pendant qu’un autre prend sa place.
Je sens à l’explosion de chaleur – et de liquide gluant – qui envahit mon ventre, qu’Alain vient de jouir à son tour. J’écarte les cuisses au maximum, jambes toujours relevées, et serre légèrement les fesses afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me violer.
J’ai du sperme d’homme dans mon ventre. Pour la première fois. J’adore.
Alain se retire et me roule une galoche très cochonne, mon cul dégouline de sperme…

Deux autres m’att****nt, m’enlèvent complètement ma robe et remontent mon body jusque sous ma poitrine. Ils me mettent sur le ventre sur la table, me lèchent la raie du cul et me lubrifient l’anus (sil y en avait encore besoin !) avec leur salive, commencent à forcer l’entrée avec leurs doigts, et m’enculent à tour de rôle en me pelotant les seins.
C’est ma première fois, ma première fois avec des hommes, ma première fois « en femme », ma première fois que je me fais sodomiser… Après un début franchement douloureux – mais rapidement jouissif quand même – j’ai maintenant envie que tous viennent remplir mon petit trou.
J’ai envie qu’ils m’enculent tous, à tour de rôle, encore et encore. Mon anus en a envie, j’en ai envie, j’ai envie de sentir ces bites durcies dans mon ventre, envie de sentir l’excitation de ces mâles alphas, leur faire douter de leur sexualité comme il me font douter de la mienne, ah ces salauds, ah là là comme j’aime ça ! J’ai envie de leurs énormes queues, qu’elles me défoncent le trou du cul, qu’elles me remplissent de sperme, j’ai envie que ces huit bites me liment et me fécondent.
Qu’elles me fassent bander en même temps que je jouis des fesses, ma rosette remplie de leurs chairs, mon intestin inondé de leurs semences.

On me retourne à nouveau, sur le dos cette fois, jambes en l’air sur la table ; mes deux orifices sont pris en même temps.
Je sens leurs aller-retours au fond de mes intestins, chaque coup de rein, chaque centimètre de membre viril qui me remplit le ventre, me lance une décharge de jouissance anale.
Je sens leurs couilles taper contre mes fesses à chaque coup de butoir, et leurs bites élargir ma rondelle et grossir à l’intérieur de mon rectum, avant de lâcher leur jus blanchâtre tout au fond de mon cul qui en redemande. Ils me poutrent sans discontinuer, l’un après l’autre, comme la salope qu’ils ont fait de moi. J’ai une bite dans chaque main, une dans la bouche, parfois deux. Je les branle, leur caresse les couilles, les lèche avec gourmandise, suce leurs sexes, pendant que je me fais défoncer sérieusement le trou de balle.
Ça ne s’arrête pas, et je n’ai pas envie que ça s’arrête.
« HaaaaaaHHaaAAAaaaaaaaaaaaaaaH ahhhhouiiiiiiii aaaaaH ! »
Jamais je n’ai joui autant.
Je suis remplie de sperme.
J’ai le cul et la bouche qui dégorgent de leurs éjaculations. Les sept rugbymen, plus Gérard, tous m’ont violée, baisée, remplie.
Alain, le jeune Michel, mon brouteur Pascal, Antoine, Victor, Philippe, Norbert et Gérard, huit solides gaillards aux queues épaisses et vigoureuses, viennent d’abuser de moi.

Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et m’attache à plat ventre à la table, les fesses en l’air, face au comptoir.
Ils en profitent pour me claquer les fesses, pas trop fort, mais néanmoins une bonne petite fessée, alternant avec des doigts dans mon derrière. Un doigt, puis deux doigts dans le fion, hop une claque, deux doigts, deux claques, puis trois doigts me fouillent le ventre, et encore des claques… Mes fesses me brûlent, dehors et dedans, mais je ne dis rien, soumise et demandeuse.
Je vois Gérard sortir de la cuisine, tenant un gros seau dans la main. Quand il arrive vers moi, je peux lire « Huile de noix de Coco » sur le seau.
Je sens qu’on me colle contre le trou du cul, un objet plutôt froid et dur – on dirait du verre. Gérard me dit :
« Ecoute poulette, tes amis sont tous partis, fatigués ou bourrés, ce qui n’est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans leurs boissons. Même ta greluche, tu vois, n’est pas revenue, elle a du s’endormir chez vous. »
« Pendant que tu t’éclatais comme une bête, j’ai pris un bon nombre de photos, et tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante, vu tes cris de plaisir et l’ardeur mise à l’ouvrage. Comme tu nous suçais et redemandais à sucer, et comme tu ouvrais ton cul à nos bites ! »
« Alors on va continuer à s’amuser, puis on te ramènera chez toi, puisque ta pute n’est pas revenue. Mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule, tu viendras une fois par semaine nous vider nos couilles. N’oublie pas qu’on a fouillé ton sac à main, on sait où tu habites et où tu travailles – si tu ne veux pas que tous tes voisins et collègues voient les photos ! »
Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer.
Pas très longtemps, car je sens de nouveau le truc pousser contre mon trou de balle. C’est le culot d’une bouteille de bière. Un des gaillard essaie de forcer, mais évidemment, vu la grosseur du truc, ça ne rentre quand même pas comme ça.
Gérard dit : « Laisse, Victor, j’ai amené ce qu’il faut », en prenant le fameux seau d’huile de noix de coco…
Il ouvre le couvercle, trempe sa main dedans, et me badigeonne le cul, toute la raie fessière, avec l’épaisse huile qu’il a ramenée de sa cuisine. Le truc bien gras, mais évidemment grandement lubrifiant… Il me fourre ses doigts dans le cul, les faisant coulisser, remplissant l’orifice avec cette graisse de coco.
Victor s’empare d’une bouteille de bière, la décapsule et me l’enfonce dans l’anus complètement dilaté. Ça rentre comme dans du beurre, comme on dit, et pour cause, vu la dose de coco dans mon cul, et finalement il me l’a enfoncée par le goulot : drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins.
Il s’applique à de longs va-et-vient ; j’écarte les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans mon cul. A chaque aller et retour, la bière gicle, puis il alterne avec son sexe, un coup la bière, un coup sa queue, ensuite une fois la bouteille de bière vide il la ressort, et me sodomise pendant que les autres réinvestissent ma bouche.
Et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
Il éjacule et je sens son sperme gicler contre mes parois intestinales. Il ressort de mes reins, et un autre gars s’empare de la bouteille de bière. On me rebadigeonne abondamment le trou de balle avec l’huile de coco, j’ai le sphincter complètement ouvert, plein de sperme et de coco, et le gaillard vient ajuster la bouteille contre mon trou, mais cette fois du gros côté, celui du culot… Il pousse, ça fait mal, je ferme les yeux, mais ces salauds m’ont rendue dingue, en fait j’ai envie de ce gros truc dans mon ventre : depuis que j’ai eu leurs queues en moi, que j’ai ressenti cette incroyable sensation d’avoir le cul rempli par un membre, j’aime ça, j’en ai envie.
J’écarte les jambes et « pousse », pour m’ouvrir à cette intromission… La bouteille finit par glisser, centimètre par centimètre, aidée et graissée par l’abondante huile.
Oui, c’est encore plus gros que la plus large et la plus épaisse de leurs queues ! Mais bon dieu que c’est bon !
Les 6 centimètres de diamètre de la bouteille de bière élargissent ma rondelle comme jamais, ça brûle et ça me remplit complètement, c’est douloureux, un peu, mais jouissif, beaucoup ! Le bonhomme pousse jusqu’au maximum avant le rétrécissement de la bouteille, puis entame un va-et-vient, très lentement : jésus-marie-joseph, c’est délirant et délicieux ! J’ai le fion complètement investi, rempli, dilaté par la bouteille et les aller-retours me font vriller de plaisir.
Je me mords la lèvre, tellement c’est bon. Et je bande.

Au bout d’un moment de ce traitement, ils me ressortent la bouteille du fion, dans un « plop » dont je suis à la fois honteuse et à la fois fière (…). Mon anus doit être béant, un choux-fleur sentant la baise et le foutre, mais j’ai quand même « avalé » un machin de 6 centimètre de diamètre ! Ils se branlent, puis reviennent m’enfiler, un par un.
Je me fais enculer et je suce sept bites… à tour de rôle ou parfois deux ou trois en même temps.
Ils me remplissent – je suis à nouveau inondée de semence de partout.
Ils me forcent à soigneusement lécher toutes leurs queues, jusqu’à la dernière goutte de sperme. Je lèche tout, goulument, certaines ont un tout petit goût de caca, mais rien d’insurmontable, et puis c’est l’odeur de mon caca à moi, après tout. Je fais reluire ces tiges comme des sous neufs avec ma langue, avalant chaque parcelle de foutre.

L’effet de l’alcool commence à se dissiper, et je mesure maintenant la réalité de la situation.
Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails au comptoir. Je suis toujours attachée à la table, à moitié à poil – à vrai dire, en bas et sandales à talons, porte-jarretelles et body relevé, le cul offert.
Dégoulinant de sperme, de graisse de coco, de bière, et encore de sperme.

Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe accoudée au bar ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai honte et n’ose rien dire.
De toute manière, ils ont mes papiers, mon nom et mon adresse, l’endroit où je travaille, ils ont des centaines de photos de moi avilie, baisée par tous les trous, enculée et suçant des bites. Qu’aurais-je pu dire, et quand bien même, huit solides gaillards face à une espèce de garçonne efféminée de 59 kilos, attachée à une table en lingerie de pute, encore enivrée d’alcool : résister est inutile, pleurnicher tout autant – avec la certitude de me reprendre des paires de baffes, voire me faire passer à tabac, pour de toute façon finir violée quand même. Les coups en plus.
Et puis, je serais bien hypocrite de me plaindre, parce que oui ils m’ont violé, oui ils abusent de moi, mais j’ai aimé ça, j’ai aimé me faire pilonner l’oignon, j’ai aimé être traitée comme une salope, une traînée qu’on baise par tous les trous. Alors est-ce encore un viol ?

Ils reviennent.
Toutes ces sodomies m’ont perturbé le ventre, j’ai envie d’aller aux toilettes. Les coups de bites et le plaisir contre ma prostate sans doute, j’ai besoin de faire pipi. Mais aussi, caca… Je demande la permission d’aller me soulager. Ils me détachent et, en body, porte-jarretelles, bas et talons, je me dirige vers les WC. J’ai l’impression de sentir la baise à un kilomètre, d’être souillée comme une putain ; ma vessie lâche un demi-litre, et mon ventre se vide, mélange d’huile de coco, de merde et de sperme. C’est étrange de se vider, après avoir été autant remplie… Mais je sens que mes fesses en redemandent… J’essuie un peu de leur foutre sur mes joues, je réajuste ma perruque, mon rouge à lèvres et mes bas – pourquoi je me refais « belle » ? En fait inconsciemment je veux leur plaire, les faire bander, qu’ils aient envie de moi…
J’ai la rondelle en feu.

Je reviens dans la salle. Ils me repositionnent contre la table, debout. Je crois que je suis devenue une salope qui aime la bite, car instinctivement je me cambre et présente ma croupe…
Il a suffi de quelques heures, de quelques bites dans le cul (à vrai dire, à la première, celle d’Alain me dépucelant et me bourrant les entrailles, la révélation m’apparut comme une évidence) pour transformer un hétéro timide, en chaudasse gourmande de queues.
Cambrée sur mes talons, le croupion tendu et bouillant, on recommence à me caresser délicatement le bas des reins, le sillon fessier, les couilles, la bite, les seins. Broute-minou repasse à l’action (décidément ce Pascal, il doit aimer ça) et me lèche alternativement la queue et l’anus.
Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent machinalement et mon cul béant – ou devrais-je dire ma chatte de garçon – est prêt à accueillir de nouveau.

On me met au sol à quatre pattes et le patron arrive avec ses deux dobermans. Il place le premier contre mes fesses, le chien me renifle le trou de balle, mais ne semble pas comprendre l’idée… Il ne me grimpe pas, mais me lèche de partout ! Sa langue râpeuse me nettoie tout le cul. Au moins, maintenant je suis propre…
Gérard ne perd pas le nord et ordonne à son chien de se coucher devant moi, le retourne et me dit : « Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens ».
Après la bouteille dans le fion, le patron, décidément jamais en manque de perversité, va me faire baiser par ses chiens ?
Devant mes faibles protestations, je reçois une nouvelle paire de claques. Ecœurée, c’est en larmes que je m’exécute. Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche, pour devenir d’une taille plus que respectable.
Pendant ce temps Gérard me regraisse l’anus et se met à me besogner en levrette, il m’encule sans ménagement et moi je suce le pénis de son doberman… Les autres bonhommes sont en train de se pignoler en mâtant cette scène de folie. On me redonne quelques claques sur les fesses au passage.
« Tiens ! Tiens ! Han ! Tu aimes, hein t’aimes ça, petite pute, t’aimes la bite hein petite chienne… T’aimes bouffer le sperme, t’aimes te prendre nos queues et sucer mon chien ! »
Ces mots pleins de poésie et la pine de Gérard dans mon cul, mes larmes sèchent, je sens la jouissance monter et c’est avec bonheur que j’avale la purée de « Médor » qui gémit de bonheur ; ça semble avoir grave excité son maître, qui lâche sa purée au fond de mon ventre, en deux-trois longues giclées.
Toujours dans son délire zoophile, Gérard fait venir le second doberman – il me renifle un coup les fesses, je suis cambrée, ouverte, lubrifiée, et mon trou sent le sexe et le sperme. Lui ne se fait pas prier et comprend tout de suite : il me grimpe par l’arrière, je sens sa queue tâtonner une ou deux fois pour chercher mon trou, trouve mon orifice graissé, et il s’enfonce d’un coup dans mes reins.
« Quelle grosse pute ! Elle se fait engrosser par mon clébard ! Hein que t’es une bonne putain, dis-le que t’es une chienne, que t’es notre pute ! »
Dans un état second, je réponds : « Oh oui j’suis une pute… j’suis votre pute… »
Ses pattes sur mon dos, « Médor II » s’agite dans mes entrailles ; au bout de quelques minutes de pistonnage canin, je sens sa queue devenir comme une grosse boule à l’intérieur de mon cul, il laisse échapper des petits jappements et me lèche le dos pendant qu’il me ramone l’intérieur. Une queue a****le dans le rectum, et ça me plait…
Mon sexe rebande.

Qu’est-ce qui m’arrive nom de dieu, suis-je en train de virer pédé ? Je ne crois pas, je me sens toujours hétéro, mais là, la situation, le contexte, ma tenue de femelle sexy, l’excitation de ces mâles pour moi, sentir leur désir pour mon corps, mes formes, mon cul et ma bouche, sentir leurs queues durcies pour moi, rien que pour moi… Les sentir en moi… Et eux, ils se sentent pédés, eux ? Je suis sûre que non. Huit mecs, un chien, chacun une queue entre 17 et 21 centimètres, dans ma bouche, dans mon cul, et plusieurs fois ! ça en fait des mètres de bites en moi, mon dieu, et j’aime ça – Je ne sais pas, je me sens comme une salope nymphomane !

Le doberman m’encule toujours, et puis je sens une énorme et très longue giclée d’un liquide chaud et visqueux, me remplir le fondement.
Le maître et le chien se sont vidés dans mon anatomie. Je suis de nouveau pleine de sperme, cette fois d’un homme et de ses deux chiens…
Mon cerveau déconnecte – C’est trop de plaisir en même temps, trop de baise, trop de perversité, trop de sexe, trop de sale et trop de bien, trop de jouissances ! J’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour.
Je sens la sève de mes bourses monter dans mon urètre. Je vais jouir. Toujours à quatre pattes, telle la chienne fécondée par le chien, sans même me toucher, mon pénis crache sur le carrelage son trop-plein de plaisir et de jouissance.

Je constate que l’on ne cesse de me prendre en photo.
Mes jambes sont tremblotantes.
Plaisir, crainte, bonheur, honte, jouissance, peur, et encore cette envie d’être saillie…

Ces festivités terminées, trois rugbymen m’att****nt sans ménagement, m’enlèvent le body et me remettent le soutien-gorge, et m’entraînent telle quelle, comme une pute, donc presque nue – toujours avec juste mes bas, mes talons aiguilles, un porte-jarretelles et en soutif – dans leur voiture.
Nous roulons un peu, et quelques kilomètres plus loin, nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle la nuit.
Ils me sortent de la voiture, et moyennant quelques euros la passe (les salopards !), je me fais reprendre par tous les trous. Par je ne sais combien de mecs.
Cambrée contre la voiture et les jambes écartées, ou allongée sur le capot, ou bien encore à quatre pattes à me faire sodomiser par un homme pendant que j’en suce un autre.
Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, tous m’ont labourée, j’ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui reluque toujours les secrétaires en bas et talons… Sûr que désormais, il ne se privera pas avec moi !
Cerise sur le gâteau, ils m’ont fait baiser par deux clochards, à titre gracieux…
J’ai du foutre partout sur le visage, et de la semence masculine qui coule de mon fion.
On peut me suivre à la trace ! 😉

Suite à cela les trois comparses me raccompagnent chez moi. Evidemment, j’avais presque oublié, le sac à main, mon permis de conduire et ma carte professionnelle, ils savent tout…
Arrivés, ils ouvrent et entrent. Effectivement, Anne est là, dans le lit conjugal, inerte. Shootée aux somnifères, sans aucun doute.
Lubriques, décidément jamais en manque de trucs glauques, les trois hommes investissent notre lit, poussent un peu Annie sur le côté ; ils m’att****nt, me jettent dans le lit, sur le dos, les jambes écartées et relevées, le cul (encore…) offert. Ils me violent encore, m’enculent à tour de rôle, deux ou trois fois chacun, prenant possession mon cul, pour la combien, cinquantième fois de la nuit ?
Ils me baisent fort, m’embrassent à pleine bouche, me lèchent et me pétrissent mes petits tétons durcis, me sodomisent encore et encore – avec Anne endormie, à trente centimètres de nous dans le lit.
Je dois faire une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant qu’un autre me sodomise en levrette, pendant que le troisième continue à prendre des photos. Ils m’enculent encore une dernière fois, et pour finir m’urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.
« Bon enterrement de garçon, chérie, t’es une baiseuse de première ! » me disent-ils.
« Ta fiancée c’est Anne, et toi t’es Anale ! On a vraiment enterré le garçon, hein bébé, ha ha ha, et t’as aimé ça ! »
« A l’avenir, évite de te trimballer en mini-robe et talons aiguilles, et surtout te faire enlever le string devant les bars, ça t’évitera des ennuis, ha ha ha ! »….. (C’était donc ça qui avait tout déclenché, oui le fameux Gégé à sa fenêtre n’avait pas manqué une miette de la scène du parking, et avait du raconter ça à ses copains du rugby).
« Et pour ta bonne femme, ne t’inquiète pas, demain elle aura la gueule de bois mais ne se rappellera de rien du tout. »
Et ils disparurent.

J’ignore combien de sexes j’ai sucés cette nuit, ni combien j’en ai eus dans mon ventre.
Des mètres de queues et des dizaines de mecs dans la bouche et dans le cul, tournée et retournée et sodomisée dans tous les sens, pendant des heures, y compris par une bouteille, deux chiens et des clochards, et on a fait de moi une pute sur un parking.
Et j’ai aimé.

Je prends une douche, léchant le sperme que j’ai sur le visage et le corps, avant de me rincer. Suis-je homo, suis-je devenu une petite pédale ? Non. Suis-je une salope ? Je ne sais pas…
Je me couche et m’endors, la tête remplie de questions.

Tout s’est passé comme ils me l’avaient dit ; Anne ne se rappelle plus du tout ce qui s’est vraiment passé après avoir ramené nos quatre amis. Dormant debout, elle est rentrée se coucher, a appelé le bar pour avertir qu’elle envoyait un taxi « Chez Gégé »… Gérard a répondu et dit que c’était OK, que j’allais très bien, et que je « m’amusais même beaucoup… et que ses dobermans m’aimaient bien »…
Le taxi est sûrement venu, mais personne n’était là pour l’attendre !
Elle a cru aussi faire un vilain cauchemar dans lequel, juste avec mes dessous sexy, je me faisais violer dans notre lit par deux hommes, sans qu’il puisse intervenir. Mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve, ouf !

La semaine suivante, Anne et moi nous nous sommes mariés. Comme prévu 😉 Et tous nos amis ont adoré notre mariage, comme ils ont adoré la soirée de la semaine précédente.
Moi aussi, j’ai adoré.

Maintenant, je me rends régulièrement au bar « Chez Gégé » où je me fais défoncer tout aussi régulièrement par tous les trous, avec de nouvelles variantes : hétéros, couples libertins, homos qui veulent se taper du minet efféminé, lesbiennes à gode-ceintures, fisting, des blacks (mon dieu les calibres ! hmmmmmmmmm j’adore, j’en ai la rondelle trempée rien que d’y penser), gang-bangs organisés, mecs de chantiers, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements.
Les rugbymen reviennent très souvent aussi, eux et tout le reste de l’équipe. Toute l’équipe de rugby de ma ville m’a baisée, plein de fois. J’adore ces solides gaillards, leurs 190 cms, leurs 120 ou 130 kilos, leurs grosses queues bien dures et leur sperme abondant.
Avec tous les jolis dessous sexy qu’Anne affectionne, j’ai plus que le choix pour les tenues que je prends avec moi ; je me change toujours dans les toilettes du bar pour me préparer, et me fais baiser dans l’arrière-salle de Gérard.
A chaque fois, je récupère une photo.
Il m’arrive même d’y aller deux fois par semaine – pour me « justifier » je dis que c’est pour récupérer mes photos plus vite… Mais en fait non, c’est parce que j’adore ça.
« Quand tu auras récupéré toutes les photos, tu seras libre, poulette » me dit le patron.
« A moins que tu aimes ça… »
Oui j’aime ça… Mais je ne sais pas si je dois l’avouer, le leur dire…
Et puis quand il n’y aura plus de photos, je serais bien obligée de le faire.

Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Bien sûr, la sodo arrive en tête de liste 😉
J’ai toujours un sac de sport avec des dessous sexy que j’emprunte discrètement à ma femme, vu toute la collection de fou qu’elle a, entre les tiroirs pleins et ceux qui sont au lavage, j’arrive toujours à en avoir au bureau pour me changer.
Je ne compte plus les fois qu’il me prend dans les toilettes du bureau, m’enculant ou éjaculant dans ma bouche, à la pause de midi ou le soir à la fermeture ; parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au parfum, le salaud 😉
Il ne se passe plus un jour sans qu’un collègue qui est au courant me touche les fesses sous mon costume. Il ne se passe plus un jour sans que j’enfile une belle tenue de lingerie sexy, et me fasse labourer le fion, ou investir la bouche dans les WC.
Je me suis laissé pousser les cheveux, comme ça, même plus besoin de perruque ; avec mon visage fin, ma pilosité inexistante, je n’ai même pas besoin de me maquiller. Des bas, une belle lingerie, et je deviens tout de suite une vraie femelle, perchée sur mes talons, cambrant mes reins aux pénétrations anales dans les chiottes du bureau.

A la maison, lorsque je prends ma douche, je prends avec moi le grand spray de laque à cheveux, un cylindre de 30 centimètre par 6 ; avec l’aide du gel-douche, je me l’enfile dans les fesses, sous l’eau chaude. Je cambre mon fessier, mes reins avalent le cylindre pendant que je lape sensuellement l’eau qui me coule dessus, m’imaginant prise et défoncée par l’énorme sexe d’un monstre…

Pour le bureau, je me suis commandé un godemichet anal, que je garde dans mon sac avec la lingerie fine. Quand mon derrière me démange trop, je file aux WC me goder un moment.

Je suis devenue une folle du cul, dans les deux sens du terme : du cul, du sexe, mais toujours passivement, comme une femelle ; et du cul, de mon petit trou, de ma chatte anale, cet orifice innocent avant cette fameuse nuit qui a tout changé, qui n’avait jusque-là jamais été pénétré par rien, et ne m’avait jamais servi qu’à faire caca. Depuis….. mon cul a besoin d’être rempli, il en a envie, il en a besoin, il veut des bites et en redemande. Je ne sens « bien », jamais aussi bien et heureuse, qu’avec une grosse bite dans le cul.
Au début j’avais honte, maintenant je dois avouer, j’adore ça, avoir mes orifices remplis par des bites et avaler du sperme.

Ne pouvant me confier ni à ma femme ni à la police, je suis allé voir un « psy ». Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire pour vous : il m’a écouté, et m’a déclaré qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante…
Il se rend maintenant régulièrement « Chez Gégé » et me baise à chaque occasion.

J’ai arrêté les séances de psy. Ma foi, je kiffe carrément – sucer des queues, enfiler des dessous sexy, être traitée comme une pute et me faire enculer, encore et encore, alors pourquoi se poser des questions.

Anne n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant, et elle aussi ; même si elle se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle…

Bisous à tous,

Anale

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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