Initiation d’une jeune bourgeoise -12- Part2
Un évènement inattendu bouleversa tous les plans que nous avions prévu.
Le soir même un mail m’arriva en réponse à l’annonce qui était toujours en vigueur.
L’expéditeur , Roland, précisait que son amie , Berthe, et lui même constituaient un couple d’amants et qu’il voulait que sa compagne subisse sa première domination de la part d’un autre que lui. Il ajoutait qu’une expérience bisexuelle dans ce contexte lui plairait et regrettait que Mélody ne soit pas accompagnée d’un dominateur masculin pour rajouter du piment à la chose.
Etait jointe à cette envoi une photo de l’homme.
En l’ouvrant , j’eus la surprise de reconnaître l’amant de ma belle – mère.
Amusé , je lui répondis que la dominatrice pouvait être accompagnée d’un Maître sévère , qu’une rencontre répondant à ses désirs était envisageable mais que nous exigions une photo de la future soumise, ses expériences passées et le traitement qu’il voulait pour elle.
Je fixai un tarif de deux mille euros que j’estimai suffisamment prohibitif pour le dissuader.
La réponse ne tarda guère et , même si sa tête était floue, je reconnus en Gilberte la dame nue attachée à une croix de Saint André.
D’après ses dires c’était » une bonne bourgeoise, raffolant des choses du sexe pour peu qu’elle soit humiliée, rabaissée au rang de putain » Bien entendu, il ne saurait être question de sévices extrêmes, de marques, de coups mais une bonne fessée, la pose de pinces ainsi que l’utilisation de quelques jouets seraient appréciées.
Riant de bon coeur, je n’entendis pas arriver Camille derrière moi qui découvrit le pot aux roses.
Je ne pus lui cacher davantage nos échanges épistolaires .
Le visage empourpré , qu’il fut de gêne ou de colère, ma belle laissa échapper un » la salope ! » révélateur.
Fixe lui un rendez vous ! Me dit elle d’un ton impérieux.
Non Camille. La ça va trop loin !
Je veux le faire , je veux lui faire payer !
Elle pria, elle supplia. Je me montrai inflexible.
Elle me menaça . Je restai ferme.
Ce n’est que quand je la vis prendre ses affaires de toilettes et remplir sa valise que je compris que son caractère , maintenant de plus en plus affirmé , ne la ferait pas céder.
Je la retins en acceptant la rencontre mais en lui imposant ma présence de manière à la tempérer au cas ou elle se laisserait dépasser par ses ardeurs.
Un jour ou l’autre tu me paieras ton caprice ! Lui promis je en conclusion.
Tout ce que tu voudras mon amour . Me répondit elle mutine, fière de sa victoire.
Le rendez vous fut donc fixé dès le lendemain après midi et il me fallut courir les magasins spécialisés pour pouvoir dénicher quelques accessoires utiles à mon nouveau rôle.
Si notre incognito était assuré par le port de grands masques, notre voix serait susceptible de nous trahir aussi devrions nous faire très attention quand nous parlerions.
Ce fut Camille qui , le lendemain , leur ouvrit.
Une fois la porte franchie, ils découvrirent, un peu troublés , une jeune femme , masquée de cuir, vêtue d’un ensemble de la même matière et chaussée de vertigineuses cuissardes noires également.
L’homme la salua en un élégant baise main. Gilberte , mal à l’aise, hésita sur la conduite à tenir.
De sa cravache, ma femme lui désigna un de ses pieds.
A genoux ! Fais briller les bottes de ta Maîtresse avec la langue !
Apres un bref recul et quelques secondes d’hésitation, elle s’exécuta.
Ca suffit ! Suivez moi !
Elle prit le bras du monsieur et sa mère voulut se relever. Un léger coup sur les fesses la remit par terre.
A quatre pattes ! Une chienne suit sa Maîtresse à quatre pattes !
Bien Maîtresse. Murmura t elle
Quand ils furent dans la chambre, je les attendai également vêtu de cuir . Camille s’assit dans le fauteuil à mes côtés et la fit venir entre nous.
Présente tes respects à ton Maître, salope !.
Gilberte embrassa le bout de la botte que je lui tendai.
Alors mes jolis toutous, dîtes moi pourquoi vous êtes ici. Roland ?
Berthe est mon amante et aime être soumise à mes désirs. J’avais envie qu’elle soit la chose d’un joli couple de dominateurs comme vous.
Bien. Et toi Berthe la poufiasse ? Tu es d’accord ?
Oui Maîtresse. Répondit Gilberte , visiblement réticente d’être ainsi insultée.
Humm… pas très convaincant tout ça… Passons ..! Tu as déjà eu des relations avec des filles ?
Non Maîtresse…
Eh bien c’est le moment de commencer. ! Déshabille toi !!
Ma belle mère se releva et commença son effeuillage.
Quand elle fut nue, Camille m’adressa un clin d’oeil coquin.
Ecarte les jambes, mains croisées sur la tête ! Ordonna t elle.
Elle s’approcha, cravache à la main et examina sa soumise.
Tu es bien conservée pour une pute de ton âge !
Ce qui était vrai .
Le bout de cuir passa sur tout son corps, effleurant par ici, tapotant par la.
Ces sensations la firent frissonner et ses tétons se dressèrent.
Ma belle , de ses gants noirs, tata les seins de sa mère et en pinça les extrémités lui arrachant une grimace.
Pauvre chochotte ! Ça te fait mal ? Tiens, je vais te mettre les pinces !
Gilberte eut de nouveau un rictus quand les mâchoires se refermèrent ce qui fit ricaner sa tortionnaire.
Camille reprit son exploration et , alternant caresses et rudoiements, elle fit tant et si bien que, lorsqu’elle fouilla la fente poilue , son doigt ressortit humide.
Mais tu mouilles sale pute !
Oui Maîtresse.
Ça t’excite hein ?
Gilberte , le visage rouge de confusion , baissa et la tête et les yeux.
Penche toi en avant !
La dominatrice enfila son majeur dans le vagin de la femme et elle se servit de la lubrification pour s’introduire dans son anus.
Putain ! C’est un vrai garage à bites que tu as là. Tu dois bien te faire ramoner cochonne. Hein ?
La réponse ne vint pas et le claquement sec de la main sur la fesse lui arracha un
Oui Maitresse, je me fais sodomiser.
Je savais que tu étais une belle enculée !
Elle prit un plug et l’installa sans ménagement dans le fondement de la soumise qui geint un peu.
– Relève toi, je vais enlever les pinces. Tu vas voir c’est très douloureux !
Et c’est vrai que Gilberte grimaça quand le sang vint de nouveau irriguer ses pointes.
Bien. Maintenant il va falloir que tu t’occupes de moi !
Et Camille défit la fermeture éclair de sa robe pour apparaître seulement chaussée.
Une érection bien visible déformait le pantalon de Roland.
Regarde ton homme comme il bande pour moi ! S’écria t elle en s’affalant sur un fauteuil, le jambes bien écartées.
Elle fit venir sa soumise et l’installa à genoux devant elle.
Venez donc Roland ! Et montrez moi votre engin.
Il s’approcha. Ma douce s’empara de son sexe et le masturba quelques secondes sous les yeux brillants d’excitation de sa mère.
Lèche moi grosse salope et applique toi ! Susurra mon épouse à sa soumise en lui désignant , d’un index impérieux son sexe glabre.
La soumise pencha la tête et , s’aidant de ses deux mains, elle entreprit de passer sa langue sur le sexe féminin. Un brin hésitante au début, la sensation dut lui plaire car elle mit du coeur à l’ouvrage jusqu’à ce que, au bout de quelques instants, ma délicate épouse , lâcha un léger vent odorant à ses narines.
Oups, désolée, c’est dégoutant non ? Remarque tu as déjà du en faire des choses déguelasses . Non ? Ne t’arrête pas ! Tiens, lèche ma rondelle !
Gilberte eut une grimace de dégout et se retira. Je dus intervenir et je pris un malin plaisir à asséner un bon coup de cravache sur la croupe de ma belle mère qui reprit son travail en insistant sur l’oeillet.
– Hum , c’est bon ce que tu me fais ! Tu es une bonne chienne bien obéissante ! L’humilia t elle davantage.
Je m’emparai d’un martinet et commençai à faire rougir les fesses de Gilberte.
Oui, fais la souffrir cette pute ! Tu vas voir quand Maître Marc va prendre ton cul, tu vas aimer sa grosse bite !
A entendre mon prénom, la soumise eut un mouvement de surprise qui n’échappa pas à ma femme.
Ce prénom t’évoque quelque chose ?
Comme elle ne répondait pas Camille la prit par les cheveux et l’obligea à relever la tête.
Répond !
Oui Maîtresse, c’est le prénom de mon gendre.
Tiens donc ! Et il te fait de l’effet ton gendre ?
Gilberte , toute rouge , baissa les yeux.
Tu fantasmes sur lui grosse salope ? Lui dit elle accompagnant sa question d’une baffe bien sentie.
Oui Maîtresse, quelques fois j’envie ma fille.
Nous n’en revenions pas ni l’un ni l’autre. Ma femme fut décontenancée à cette idée et je dus reprendre les choses en main. Je l’attirai vers moi et elle se retrouva nez à nez avec mon bas ventre. Je baissai mon pantalon de cuir et ma bite tendue se trouva face à elle.
Suce moi, imagine que je suis ton gendre !
Bien Maître.
Et elle entreprit sa fellation. Je sentis bien que ça ne lui déplaisait pas, à l’inverse de ma douce qui vit cela d’un mauvais oeil.
Je pris sa tête entre mes mains et me servis de sa bouche comme d’un vagin, mon sexe allant toujours plus loin au fond de sa gosier.
Cette gorge profonde lui amena vite une envie de vomir et elle voulut résister à mes poussées mais je ne lui permis de s’arrêter que lorsque sa première régurgitation vint.
Larmoyante, elle cracha sa bile sous le regard mauvais mais ravi de Camille qui demanda à Roland de prendre ma place.
Marc , tu vas la prendre par tous les trous et vous Roland, vous vous ferez sucer et juterez sur sa tronche. Tu vas mettre une capote , mon amour, qui sait ou cette putain s’est faite baiser .
Je lui ôtai le plug et pris sa place m’enfonçant en elle brutalement. Elle poussa un cri de douleur mais sut se détendre vite, preuve s’il en fallait que la gourgandine n’en était pas à son coup d’essai.
J’alternai maintenant mes coups de piston entre sa chatte et son cul, la limant rudement.
Roland se faisait tailler une pipe en cadence et je vis mon épouse s’harnacher d’un gros gode ceinture.
Prête, elle me fit m’allonger et introduisis ma queue dans le vagin de sa mère puis elle s’agenouilla derrière elle et , bientôt, tous les trous de Gilberte furent occupés.
Nous la baisâmes en cadence et je ne pus savoir si les cris et les geignements qu’elle poussa le furent de plaisir ou de douleur.
Camille accompagna ses mouvements de hanches de claques sur le fessier qui fut vite écarlate.
Roland enfin se retira et ,de quelques mouvements de poignets , fit gicler sa semence sur le visage de son amante.
M’échappant à mon tour, je l’imitai et ordonnai à ma belle mère d’ouvrir la bouche.
Mon sperme s’ajouta au précédent et Gilberte eut le visage sali par les coulées de foutre mêlées aux larmes noircies de maquillage.
La tension retomba.
Camille lui indiqua la salle de bain pour qu’elle puisse reprendre visage humain.
Alors Roland, satisfait de la séance ? Lui demandai je
Un peu différent de ce que j’imaginai. Mais vous , Mélody, je vous ai senti totalement investie dans votre rôle. Par instant j’ai cru que vous la haïssiez vraiment , alors que vous ne la connaissiez pas.
Et en riant, ma tendre lui répondit :
Je me suis imaginée que c’était ma mère, vous ne pouvez pas savoir comme je la déteste !
Vint le moment du départ et Camille exigea que Gilberte s’agenouille devant elle pour la remercier en lui baisant le dos de la main tendue.
Je me contentai d’un bref hochement de tête mais je ne puis m’empêcher de lui murmurer perfidement :
Vous penserez à moi quand vous verrez votre gendre !
Ajouter un commentaire