Histoires de sexe Histoires de sexe gratuites Histoires porno

Ma fille…

Ma fille…



Bonjour,

je m’appelle Michel, j’ai 46 ans et j’ai un gros soucis : ma fille me rend fou…

Voilà : Anna, a dépassé l’adolescence depuis quelques années maintenant. En grandissant elle est devenue spectaculairement jolie et surtout très très sexy …

De la part d’un père, c’est délicat de juger ça, mais ce sont des critères objectifs : elle est de taille moyenne, les hanches larges mais la taille très fine.

Ses seins sont très volumineux, splendides. Même cachés sous un pull, ils sont tellement présents que c’est difficile de rester insensible à leur pouvoir érotique.

Quant à ses fesses, ce sont deux globes parfaits, ronds et fermes… Anna a toujours marché extrêmement cambrée, son petit cul toujours en arrière… Ca m’a toujours rendu dingue…

Le problème, en plus, c’est qu’Anna n’a jamais été spécialement pudique, et qu’à l’adolescence elle a continué à se promener à la maison à moitié nue.

J’ai longtemps été persuadé qu’elle ne voyait pas le mal, mais moi dès que je la croisais en petite culotte, parfois même seins nus, je devais faire des efforts incroyables pour ne pas baver d’envie….

Souvent, c’est entièrement nue que je la croisais dans les couloirs lorsqu’elle sortait de la salle de bain.
Si ça n’avait pas été ma fille, il y a longtemps que je l’aurais coincée pour lui montrer l’effet qu’elle me faisait… Mais non, je suis son père !!!

Sa mère n’arrêtait pas de lui dire « arrête de te promener à moitié à poil, va t’habiller ! », rien à faire…
Anna continuait de se balader dans la maison dans des tenues plus que provocantes.

Ca a duré comme ça un moment. C’était assez dur. J’avais du mal à m’empêcher de fantasmer sur elle.
En faisant l’amour avec Nicole, ma femme, il m’arrivait de penser à Anna, tellement belle et excitante…

Je m’interdisais de penser à elle lorsque je pénétrais Nicole, mais plusieurs fois j’avoue avoir craqué, et imaginé sa petite chatte si charmante…

Et puis un jour Nicole a été envoyée une semaine par sa boite en séminaire à Paris.
On est resté une semaine seuls, Anna et moi.

J’avais vraiment peur de ce moment.

C’était l’été. Je n’en pouvais plus de la voir si désirable..

Je m’efforçais de ne rien montrer, mais elle ne faisait rien pour m’épargner…
Elle avait sorti les petites robes ultra légères, les mini jupes et autres mini t shirts….

Avec la chaleur, le soir dès qu’elle arrivait de la fac, c’était pour se mettre en petite culotte, avec dans le meilleur des cas un t-shirt léger…

Un soir, nous sommes allé en boite ensemble. Chose incongrue pour un père et sa fille.

Je me suis complètement affolé lorsque je l’ai vue habillée : une mini jupe en skai noir, ras la touffe, et des bottes hautes noires. En haut, un petit bustier qui ne cachait pas tout à fait ses seins…
Elle était splendide.

« Anna, tu vas pas sortir comme ça ?? »

« ben si, pourquoi papa ? T’as pas honte de moi au moins ?? »

En boite, j’en pouvais plus d’admiration et de désir.

Elle n’arrêtait pas de danser, monopolisait la piste, laissant aller son corps dans des chorégraphies d’une sensualité torride.

C’était la reine de la soirée. Tout le monde la regardait. Les mecs bavaient devant elle…mais elle était avec…moi…

Elle ne regardait pas les autres garçons, et dansait avec moi seulement.
Collé serré, nous dansions l’un contre l’autre, quand je me suis surpris à la caresser…

Oui…J’étais en train de caresser les fesses de ma fille…
Anna se laissait faire, restait collée à moi.
J’avais passé les mains sous la jupe. C’était la peau douce de ses cuisses, puis de ses fesses que je caressais nerveusement.

On s’est assis dans un canapé dans un coin un peu discret de la boite, et là toute notre frustration s’est trouvée libérée.
Nous nous sommes embrassés fiévreusement, nous caressions furieusement comme deux amoureux transits…
Pour la première fois, j’ai aventuré ma main entre ses jambes. Sa culotte était trempée…
Elle aussi vibrait de désir.

« Papa, on rentre ? … » Elle avait dit ça avec un petit sourire très doux.

Dès que nous avons passé le seuil de la maison, j’ai regardé Anna quitter à toute vitesse sa jupe, son bustier, retirer sa culotte, et elle s’est jetée sur moi.
Elle était magnifique. Elle était pour moi.

Je me suis vite retrouvé à poil moi aussi.

Anna s’est affairée sur mon sexe, énorme de désir.

« ha, papa, depuis le temps que j’en ai envie !! »

« moi aussi ma chérie, j’en ai envie ».

« je sais papa » .

Elle s’est mise à me sucer. C’était divin. Où avait elle appris ça ???

Sa mère avait mis des années à me sucer correctement. Anna savait d’emblée ce que ma queue aimait.
« Viens, j’en ai envie, mets la moi, papa »

« tu…tu es sûre ma chérie ? Je… Je mets un préservatif ? »
« non, papa, viens, c’est toi que je veux sentir… »

Alors je suis rentré. j’ai pénétré ma petite fille chérie.

C’était le paradis. Anna était fraîche et pleine de vie. .

Je lui ai fait l’amour longtemps, longtemps, comme elle aimait. Je voulais que ça dure le plus longtemps possible pour lui apporter le plus de plaisir possible.

« ho papa, elle est bonne ta queue ! »

Elle miaulait, gémissais de plaisir.

« Papa, viens, je veux te sentir venir en moi »

Alors je me suis lâché. C’était extraordinaire. J’avais l’impression de lâcher un fleuve de plaisir, me répandant en elle…
Lorsque je me suis retiré, elle est venue prendre à nouveau mon sexe dans sa bouche, et a aspiré ce qu’elle pouvait encore tirer de mon jus…

« hmmm c’est bon papa ! « 

Les jours suivants ont été divins. Un paradis. Nous étions bien. On regardait des films, écoutait de la musique, on se faisait bronzer dans le jardin, et surtout… on faisait l’amour, comme des fous, plusieurs fois par jours. Je n’en finissais pas de me régaler du corps somptueux de ma princesse….

Elle même était insatiable, réclamait toujours plus.

Nous faisions l’amour, puis elle redevenait ma petite fille. Puis elle redevenait mon amante.
« tu devrais travailler un peu, Anna, tu as tes partiels à la fac dans 15 jours … »

« ok, papa… Mais fais moi goûter un peu de ta formidable queue avant … Après promis j’y vais… »

Lorsque Nicole est rentrée, le dimanche soir, ça a été un peu difficile de faire comme si rien n’était, et la satisfaire comme un bon mari.

Mais il était hors de question qu’elle se doute de quoi que ce soit.
Anna était d’accord :

« C’est bon, papa, je veux pas qu’on arrête ! Je veux que tu me baise encore et encore ! Tu ne dois rien dire à maman, on se cachera ! J’ai envie de ta queue, on fera ce qu’il faut pour ça ! « 

C’est ainsi que depuis deux ans, je vis une double vie. Nicole me voit comme le mari idéal et fidèle.
Nous faisons un peu moins l’amour, mais comme je suis très attentionné, elle n’est pas inquiète.

Elle est loin de se douter que dès qu’elle a le dos tourné, Anna remonte sa jupe.
Discrètement, je passe la main entre ses jambes.
Elle n’a pas de culotte…

La petite chatte de ma coquine de fille est là, chaude et humide, déjà ouverte. Elle attend ma queue…

C’est le paradis…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire