Je vais vous raconter une histoire qu’il c’est produit pas plus tard que le mois dernier.
Tout d’abord, voici les présentations, je suis un jeune de 18 ans qui n’a pas eu la chance encore de connaître sa première fois même si une ex petite amie m’avait déjà une fellation.
Mes revenons à mon récit. Un samedi soir, je devais me rendre à un loto organisé par le boulot de ma mère en compagnie de mes parents et de ma sœur mais un jour avant, une épidémie de gastro se propagea au sein de ma famille et je fus le seul rescapé. Ma mère souhaita quand même que je m’y rende et appela une de ses amies du boulot pour lui demander si elle pouvait m’héberger pour la nuit.
Cette amie s’appelait Séverine, elle avait le même âge que ma mère, c’est à dire 44 ans. C’était une femme de taille moyenne, assez mince, blonde, avec de superbe yeux bleu et qui nous connaissait bien car elle avait l’habitude à l’époque de ma plus tendre enfance de nous garder ma sœur et moi chaque mercredi après-midi. Du coup, je la considéré comme étant ma nounou.
Je me rendit en bus vers cette salle de loto et même si je n’arriva pas à gagner le moindre lot, je passa une excellente soirée en compagnie de Séverine. Ne l’ayant pas vue depuis plus de 3 ans, j’appris lors de cette soirée qu’elle était maintenant divorcée depuis 6 mois environ.
Une fois le loto fini, on alla chez Séverine, elle m’emmena vers sa chambre d’amie où un lit m’attendait, une fois en caleçon, j’entrai dans ce lit.
Au environ d’une heure du matin un énorme orage éclata, quelques minutes plus tard j’entendis la porte s’ouvrir, c’était Séverine.
Séverine : Tu dors ?
Moi : Non, l’orage m’a réveillé.
Séverine : Oui, à ce propos, j’ai une peur terrible des orages, ça te dérange si on dort ensemble ?
Moi : Non pas du tout, le lit est bien assez grand pour nous deux.
A ces mots, elle me rejoignit dans le lit. N’arrivant pas à dormir, elle me parla de sa vie actuelle, de son divorce, de la garde partagé de ses enfants, du fait qu’elle avait du mal à aller vers d’autres hommes malgré son envie. Puis la discussion passa à ma vie amoureuse.
Séverine : Alors, et toi, tu as une petite amie ?
Moi : Non.
Séverine : De toute façon à ton âge, vaut mieux que tu enchaînes les relations, tu es trop jeune pour une relation sérieuse.
Moi : Je n’imagine même pas la réaction de ma mère si elle t’entend me dire ça.
Séverine : C’est normal qu’elle pense le contraire, c’est ta mère, moi aussi je dirais l’inverse à mes enfants lorsqu’ils auront ton âge.
Moi : En fait, mon problème c’est que…
Séverine : Je t’écoute.
Moi : Non oublies, c’est trop gênant.
Séverine : Plus gênant qu’une femme de 44 ans qui t’avoue avoir des orages comme une gamine ?
Moi : En fait, je n’ai pas encore fait l’amour.
Séverine : Ah d’accord mais tu es jeune, ça viendra.
Moi : Mais ce qui m’énerve le plus, c’est de ne pas encore avoir vu de femme nue alors que la plupart de mes potes on déjà couché.
Séverine : Ca te pèse tant que ça ?
Moi : Tu n’imagines pas à qu’elle point.
Séverine : Bon, j’ai un marché à te proposer, je veux bien te faire un strip tease à la double condition que tu n’en parles à personne et à la condition que tu n’espères rien de plus ensuite, c’est ok ?
Je n’arrivais pas à croire qu’elle me proposa cela, je mis quelques secondes à lui répondre.
Séverine : Alors ?
Moi : Oh oui !
Elle quitta le lit pour allumer la lumière, puis pour mon plus grand bonheur, elle retira sa nuisette et se retrouva en sous vêtement devant moi. La vue de ses longues jambes nues et de ses fesses fendues par son string me rendaient fou de désir. j’avais l’impression que mon pénis allait exploser dans mon caleçon tant elle était sublime.
Elle s’agenouilla et se releva plusieurs fois face à moi, m’exposant son sexe encore protégée par le fin tissu. Je me délectai de cette incroyable vue !
Puis, elle pinça entre ses doigts la bretelle gauche de ton son soutif et le fit glisser sur ton épaule, tout en continuant à bouger sensuellement son magnifique corps. Puis ce fut au tour de la bretelle droite, ce qui me semblait une éternité, laissant enfin apparaître ses seins. Sa poitrine était comme je me les imaginais, plutôt grosse, mais surtout bien dessiné avec des pointes dressées.
Elle commença ensuite à enlever son string. Pendant ce temps, n’en pouvant plus, je baissa mon caleçon et me masturbai sans retenu. Ce qu’elle finit par remarquer.
Séverine : Mais… Tu te branles ?
L’ayant fait machinalement, Je ne savais pas quoi répondre.
Séverine : En même temps, c’est tout à fait normal.
Moi : Tu ne l’as pas mal pris j’espère ?
Séverine : Non au contraire, ça fait toujours plaisir de voir qu’on fait ce genre d’effet.
Même si j’avais promit de ne rien attendre de plus, je me dis que c’était me chance d’enfin faire l’amour avec une femme.
Moi : Tu sais, nous sommes nus tous les deux et seuls alors…
Séverine : Tu ne veux quand même pas avoir une relation sexuelle avec une femme qui pourrait être ta mère ?
Moi : Mais tu n’es pas ma mère, ce qui fait toutes la différence.
Séverine : Oui mais…
Moi : Tu m’as toi même dit que tu avais envie de re-fréquenter des hommes et j’ai bien vu ton regard lorsque tu tes aperçues que je me branlais.
Séverine : Ca sera notre petit secret à tous les deux.
Alors que j’étais assis sur le lit, juste devant mon nez, elle saisit sa poitrine par le dessous et les remontaient comme en offrande et écrasa ses tétons entre ses doigts. Elle se redressa et proposa ses jolies fesses à ma vue. Elle les fit rouler, à quelques centimètre de mon visage, je pouvais sentir l’odeur de son sexe tellement elle était proche et excitée.
Je n’en pouvais plus. Je l’attira à moi, me saisis de sa bouche pour y introduire ma langue. Elle m’attrapa alors la nuque et m’embrassa fougueusement. Nos langues se mêlèrent. Je sentis sa main caresser ma queue. Elle se saisit de mon pénis et après quelques coup de langues, hésitante, elle introduit enfin mon sexe entre ses merveilleuses lèvres et l’avala entièrement avant d’entreprendre une lente fellation. Je sentis la chaleur de sa bouche irradier sur mon sexe. Sa langue roulait et chahutait mon gland si sensible. Je tutoyais les anges ! Mais ce traitement me mena rapidement au bord de la jouissance.
Je la fit se relever pour éviter d’éjaculer, on s’embrassa quelques secondes puis elle me pris par la main, on quitta la chambre et nous nous retrouvèrent dans son salon, elle alluma un feux de cheminé et me dit qu’ainsi c’était bien plus romantique. Elle se plaça alors sur son fauteuil en position de levrette, son envie était très claires. Son cul est bien haut et son sexe s’ouvrit ainsi naturellement.
J’étais bien trop excité pour attendre une seconde de plus. Et elle aussi également car c’est elle qui s’empara de mon sexe pour le guider vers l’entrée de son intimité. Quand je lui introduis mon gland, elle poussa un cri rauque et me demanda d’y aller sans peur de la faire mal. Je profitais alors de cette sensation merveilleuse de sentir ce sexe si doux, si chaud, si humide, et que je découvre si étroit. A peine pénétrée, un spasme orgasmique vient enserrer mon sexe. Je commença alors à la pilonner en force, essayant d’aller toujours plus loin en elle. Elle semblait apprécier cela car elle balança ses fesses à ma rencontre.
Je finis logiquement par jouir. Elle retira la capote de mon sexe et me le nettoya avec sa bouche. Une fois nettoyé, elle s’assit sur le fauteuil et écarta bien les jambes.
Je ne réfléchis pas une seconde seconde et je plongea la tête vers son entre-cuisse. Ayant une expérience sexuelle proche de zéro je fis n’importe quoi avec ma langue mais elle avait l’air d’apprécier car elle me demanda de continuer à la lécher. Elle m’indiqua alors les mouvements à faire et la pression à donner en appuyant sur ma tête. Je la laissait diriger et je savourais ce moment délicieux.
Au bout d’un certain temps, elle ramena ma tête vers son visage et on put de nouveau s’embrasser tendrement avant qu’elle ne reprenne la parole.
Séverine : Bon, j’espère que tu as aimé ta première fois.
Moi : C’était magique !
Séverine : Je suis heureuse de l’apprendre. Maintenant, il temps qu’on prenne une douche avant d’aller dormir.
Je me savonnais sous le jet d’eau chaude en pensant à tout ce qui venait de se passer et en imaginant tout ce qui pourrait se produire dans un avenir proche. Dès son arrivée dans la douche à mes coté, mon érection revint à toute allure, je m’approcha alors d’elle pour la savonner. Je passa mes mains sur son corps, mon sexe bien dur vient pointer contre son ventre.
Séverine : Non non, c’est tout pour ce soir, il faut que tu reprennes de l’énergie pour demain.
Me dit-elle en prenant mon sexe à pleine main et en me masturbant. Elle m’embrassa, finit de se rincer puis s’éloigna pour aller se sécher. Je restai sous l’eau, tout pensif, en repensant à ces derniers mots avant d’aller la rejoindre pour dormir.
Le lendemain matin, je fut surpris d’être réveillé par Séverine qui était entrain de lécher mon sexe, le meilleur réveil de toute ma vie !
Lorsqu’elle s’aperçut que j’étais enfin réveillé, elle vint m’embrasser fougueusement avant de me parler.
Séverine : Je veux sentir ta langue sur mon corps !
Me dit-elle tout en enlevant son soutien-gorge. Je léchai ses tétons qui s’offraient à moi. Je les mordillaient, les aspira. Mes mains descendirent sur ses fesses où elles rencontrèrent son string. J’écartai les derniers bouts de tissus me cachant ce sexe tant convoité. Ma bouche descendit très vite sur son ventre, j’effleurai sa peau du bout des lèvres jusqu’à son sexe. Ma langue entra en contact avec ses poils, je tournai autour de l’entrée passant d’une cuisse à l’autre. Finalement je posai ma langue sur ses lèvres entrouvertes pour goûter à son intimité. Je jouai avec son clitoris, j’entrai ma langue en elle jusqu’à ce que je la sente onduler sous mes caresse buccales.
Puis, elle m’allongea sur le sol puis vint se mettre à califourchon sur moi, sans s’empaler toutefois. Elle me regarda une dernière fois, puis me prit les mains et les plaqua sur sa poitrine, m’enjoignant à la caresser, ce que je ne me fis pas dire deux fois. Mon sexe s’était retrouvé maintenu contre mon ventre, et elle glissa dessus quelques fois, savourant d’avance ce qui allait se passer ensuite, ainsi que mon massage qu’elle semblait apprécier, à l’entendre. Quand sa patience fut épuisée et son envie eut encore augmenté, elle recula le plus possible sans perdre le contact avec mes mains, se leva, saisit ma verge, la redressa et se posa dessus, se laissant descendre lentement, m’accueillant de plus en plus, jusqu’à la limite de sa vertu.
Elle s’arrêta, ouvrit les yeux pour chercher mon regard, et quand ils se croisèrent, elle reprit sa descente. Je sentis la chaleur de son vagin et bout d’une grosse dizaine de minutes, Je sentais venir l’inéluctable en éjacula une quantité assez énorme de sperme !
Nous restâmes un moment encore secoués de spasmes, et mes mains vinrent tout naturellement se mettre autour de sa taille, et je me rendis compte qu’elle avait ses bras autour de mon cou.
Je pris lentement conscience de la proximité de nos corps, ainsi que du flux sanguin qui quittait mon sexe.
Nous finîmes par prendre notre douche ensemble puis nous elle me ramena chez moi en me donnant rendez-vous pour remettre ça dans les plus brefs délai !
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