J’étais sur mon plongeoir, en position courbé, mes mains touchaient mes pieds, je respirais lentement et profondément avant le grand saut, j’avais mis mon maillot rouge vif, celui qui me dessine une bite d’enfer.
Top, je me lançais et fit un plongeon parfait. Après quelques brasses sous l’eau, je resurgis de l’eau et me lance pour 3 longueurs de piscine. La piscine, je ne suis pas fan mais j’ai repéré un trio de copains, bien gaulés – de vrais nageurs – présent tous les samedis soirs. J’avoue que je préfère me faire prendre dans les saunas ou avaler des queues le samedi soir que traîner et faire des longueurs dans l’eau. 3 samedis et nous échangeons juste regard et politesse – « Bonsoir / Bonsoir ». 1 heure de natation, je sors de l’eau, passe devant ce trio masculin, caresse mes fesses et me dirige vers les douches. Cette piscine vient d’être refaite et c’est le grand luxe. Je commence à faire couler l’eau, des distributeurs de savon sont positionnés sur les murs – tout est bien pensé. Pudique, j’ai l’habitude de garder mon maillot – je me trouve toujours un peu ridicule mais j’ai eu peu de chance jusqu’ici et je n’ai pas rencontré un bel étalon sous les douches. Je commence à me savonner. C’est là que tout bascula et j’ai vécu ce que jamais je n’aurais imaginé, même dans mes rêves les plus fous.
Un des 3 gars rentre dans la douche, clairement les yeux fixés sur mon maillot recouvert d’une mousse blanche et me lance « tu te fais du bien, mec ! » Un peu sibyllin, je pense avec le recul qu’il imaginait que je me masturbais sous la douche. Peu importe. Il retire son maillot et se met à côté de moi. Je n’osais pas baisser le regard sur sa bite, c’est pas l’envie qui me manquait. Mais quand j’entendis un bruit régulier – que l’on reconnait tous, nous les hommes – que je baissa les yeux : une bite bien raide : il était entrain de se branler, ses yeux dans mes yeux et j’ai eu droit à un large sourire : Était-ce une invitation ?
J’ai pas osé dans un premier temps l’imaginer, mais je retira mon maillot découvrant ma bite, en demi-bandaison, des couilles lourdes et bien pleines. Je continuais à me savonner mais de façon plus provocatrice et sensuelle. Il s’approcha. Mon cœur battait. J’ai l’habitude des endroits gay la nuit mais pas dans les lieux publics.Il passa sa main sur mes fesses puis il saisit doucement ma bite et commença à la branler. Moi de même, sur le même rythme, je pris la sienne à pleine main et la branlait à mon tour. « mmm, c’est bon… gémit-il »… »Je t’invite dans ma cabine ? » Il m’attrapa la queue et me guide jusqu’à son repère.
Nous rentrons, me fait asseoir sur le banc face a lui : je commence a embrasser sa bite, lécher le frein donner des coups de langue sur la hampe en remontant, lui gobe le gland puis commence à le sucer plus intensément. J’aime les changements de rythme : je stoppe prend du recul lui malaxe les couilles, respire sa queue, plaque mon visage dessus, la promène sur le nez, les joues puis joue avec ma langue. Après quelques instants de jeux, je la suce à nouveau à pleine bouche. Le plaisir dura de longues minutes. Il attrapa dans son sac un préso et du gel. Je me retourna me pencha légèrement vers l’avant : je sentis sa langue me fouiller mon trou, me lécher le fion. Il se mît du gel sur les doigts et commença à travailler mon anus : il était plutôt expert : 1 doigt puis 2…il me prit ensuite par les hanches et je n’avais plus qu’à m’empaler sur sa queue : 1 cm – je remontais – bougeais – puis redescendait de 2 cm etc. Jusqu’à être complètement assis sur lui, sa bite entièrement en moi. Lui, on ne peut pas dire qu il me branlait mais m’effleurait ma queue avec sa main. La porte s’ouvrit, et c’est empalé que je vis rentrer ses 2 copains. Pas du tout surpris, ils s’avancent vers moi, descendent leur maillot : j’avais 2 bites à sucer…
le premier enleva entièrement son maillot de bain, sa queue était encore au repos, se plaça devant moi, il m’attrapa les cheveux et me guida vers son sexe. j’étais au ciel : je remuais mon bassin pour bien sentir la bite du premier mec en moi, je suçais la queue du second et à proximité, le troisième se branlait. C’est cette troisième bite que je pris finalement aussi en main : pas question d’en laisser une de côté. Je m’en occupais alternativement, je commençais en avoir mal à la mâchoire. Nous étions tous tellement excité que je sentais que la jouissance ultime approchait. Le second s’est retourné m’a présenté son cul à lécher, puis s’est empalé sur moi, le troisième s’est empalé sur le second.
Première expérience d’une telle sodomie : quel pied !! il suffisait que le troisième bouge pour nous provoquer à tous des sensations de plaisirs. On finit pas se déboîter, non sans maladresse, on se leva et reproduisit la scène debout : on avait plus de liberté de mouvement. Ça sentait le stupre dans la cabine, une bonne odeur de mâle en rut : nous étions dégoulinant de sueur. Je sentais cette queue allait et venir en moi, et je faisait de même en enculant le second mec…Les gémissements de faisaient de plus en plus fort : des « t’es une bonne salope » « petite pute » « vas-y, plus fort » se lâchaient par moment sous la folie du plaisir. L’excitation était à son comble, les coups de queue se faisait plus violents : le moment de la jouissance ultime approchait…
A très peu de temps de décalage, nous avons jouis en même temps : de puissants râles rauques ont résonné dans la cabine.
Après le plaisir, je commençais à sentir mon cul, maltraité par les coups d’un gros chibre. Je sentais également des engourdissements dans les jambes mais peu importe…c’était si bon. Je m’assis, et lentement je sortis mon préservatif et vida le contenu dans ma bouche, appuya sur ma queue pour en extraire les dernières gouttes de sperme, je suça mes doigts. Ma queue reprenait à vie . A tour de rôle, je nettoya chaque bite de ma langue experte.
Le temps se faisait plus lent…il se rhabillèrent…
J’étais toujours assis, tous les trois, l’un après l’autre, me roulèrent une pelle d’enfer, avant de s’éclipsait.
Les reverrais-je samedi prochain ?
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