Histoires de sexe Histoires de tromper Premières histoires de sexe

Folle des zeb des noirs — Noria

Folle des zeb des noirs — Noria



Histoire raconter par une amie :

Je m appelle samira. Je suis une blonde aux yeux verts, kabyle et ayant residee dans un village d environ 2000 habitants en algerie il ya quelques annees de cela, j avais dans le temps 39 ans et sans enfants, mon mari qui travaillait dans un milieu professionnels tres dur et qui parfois exigeait de lui qu il s absente ou qu il arrive tard la nuit ou qu il parte tres tot le matin et qu a l epoque il avait 47 ans. Ilme faisait l amour du mieux qu il pouvait avec sa petite zigounette de 8 cm environ en erection et au repos il faisait a peine 2 a 3 cm.c est toujours une horreur pour une femme aussi chaude telle que moi mais vue la culture, je m y contenter mais avec de grande envie entre mes cuisses ! et je simulais tres souvent en pensant a un gros calibre et ce jusqu au jour de ma rencontre avec “khadidja” une algeroise,une autre blonde comme moi aux yeux bleue. C etait dans une fete de marriage d
un ami commun de mon mari dans une ville lointaine, a peine rencontre qu on avait tres vite sympathise, nous etions les seules blondes de cette fete, toutes deux assises dans un coin a discuter de nos vies, des difficultes de la vie de tout et de rien jusqu au moment ou je lui pose la question avec qui elle etait mariee et me regarda au fond des yeux comme si je savais et elle lacha d un coup avec un beau sourir sur les levres :”avec un noir africain musulman” et je lachait a mon tour un grand :” QUOI !?” sans avoir le moindre controle sur ce que je disait et ma machoire resta ouverte comme pour recevoir son grand et raide -gourdin- et en me regardant elle savait a quoi je pensait et
tout de suite elle repliqua que s etait magnifique et qu il la comblait qu elle n avait jamais reve avoir un homme comme lui car selon elle, il etait parfait et ajoutait comme pour me rendre jalouse:etre mariee a un noir c est ne plus avoir aucun fantasme car quand il me prend, il me ramene toujours au 7 eme ciel,car m avait elle confiee que lui, il avait grand et gros dans le panthalon et qu une fois “entre mes blanches cuisses, il ne veut plus ressortir” disait elle a chaque fois. Ils adorent tous les blondes, repetait-elle, je n en pouvait plus tellement j etais excite au vue de mon grand manque pauvre de moi !et ma petite culotte etait toute mouillee et je voulais qu elle me raconte plus, j en mourrais d envie d en entendre plus et mon petit ventre devenait un volcon..
mais elle avait prefere se taire et me posa la question a laquelle je ne m attendais pas du tout effrontee qu elle etait : “Et toi c est comment ta vie conjugale avec ton blanc de mari ?” je ne savais pas quoi lui repondre tellement j etais bouleversee ! Et je voulais pas me faire passer pour une insatisfaite et tout en mentant,je lachais que s etait parfois bien parfois banale, une a deux relations
par semaine parfois en deux semaines mais la realite etait pire tellement mon mari etait epuise par son travail et ses responsabilites… elle me dit que ca n avait rien a y voir, que c etait genetique que les noirs etaient plus puissants sexuellement et meme dans d autres domains, quand il demarre a faire l amour ils ne s arretaient pas pour reprendre le souffle c etait d une meme lancee ! ils tirent et tirent et lime, lime et ne s arrête que lorsque tu es toi meme essouflee et que tu demande une petite pose tellement il t a fait criee qu ils s arretent enfin mais ils
reprennent tres vite a te labourer le minou a te faire crier de plaisir. A chacune de ses parole j etais encore plus excite et mouillait plus et l imagination allait droit vers le gros mandrin que cachaient les black au fond de leur panthalon, elle me montra meme le pied d une table basse pour me dire tu vois il l a comme ce pied la et je fantasmais en m imaginant prise avec
un tel pieu!je m imaginais avec un tel penis entre mes cuisses. Je lui avait dit que donc c etait pas une legende que c est bien une realite ? et elle relanca que “ la realite et bien plus forte que l imagination, la realite est suffoquente et etourdissante “ disait elle. J etais toute bouleversee…je suis restee silencieuse devant ses descriptions et ses narrations car mes pensees allaient ailleurs jusqu au moment de la fin de la soireenous quitter et de la fete, la nuit tombait et qu on allait partir, elle sortie la premiere et son mari l attendait a l exterieur quand arriva mon tour de sortir, je trouva mon mari m attendant a l exterieur, en faisant
quelques pas vers notre voiture qui etait stationee a une centaine de metres de la en marchant je senti une main qui s agrippa a la mienne, je m arreta sec ainsi que mon mari et je me retournait et mon mari fait exactement pareil, etonne ! je vie khadidja sous son voile et son mari a quelques pas de la, elle me dit qu elle voudrai bien prendre mon numero de telephone si je voulais bien le lui donner, je me retourna vers mon mari qui acquiessa de la tete. Son mari lui tendit un stylo et une petite feuille, je griffonais le numero de telephone de notre maison et elle m embrassa de nouveau pour me dire au revoir, et me dit:” lui c est mon mari ..”et son mari s approcha, je remarqua tres vite le gros gourdin entre ses jambes a chacun de ses pas son gourdin
allait d un cote puis de l autres quand il fit un autre pas, elle me le presenta, il me tendit sa main, je regarda mon mari qui m autorisa a lui donner ma main et je fit pareil, je presenta mon mari a khadidja , elle lui tendit sa main et n avait pas besoin de l accord de son mari pour dire bonjour au mien, elle etait vraiment trop libre cette femme la pensais-je. Mon mari et le sien discuterent quelques temps et
echangerent leurs numeros de telephones probablement pour les affaires et on s etaient separes. On s etait appelle parfois en souvenir de cette soiree la mais pas plus et on ne s etaient plus jamais revu. Sauf que depuis, les paroles de khadidja entrerent dans ma tete et que je vie ce gros gourdin entre les jambes de son mari aller d un cote puis de l autre a chacun de ses pas, j en etais toute bouleversee et j y pensait tout les matins jusqu au jour ou j entendi un jour abdou le noir (un marchant ambulant malien) dans la ruelle du village crier a la vente de ses vetements neuf ramenes de la
ville et ses mains magiques qui repparaient tout, du tamis ou outils de bois. Ma curiosite me brulait et j entrouvrit la porte pour le voir et je vie exactement ce que le mari de khadidja avait entre ses jambes. A l instant meme qu il me regarda a travers la porte entrebaillee qu il vit dans mes yeux la chaleur qui couvait dans mon petit ventre et il comprit vite ce que je voulais. Il etait tres excite a
l idee de me tirer, une belle blonde au yeux vert se disait il surement. Je me suis souvenu des commentaires de khadidja qui disait : » ils aiment tous les blondes  » et il mit sa main directement sur son sex pour le grater et je vis exactement un monstre qui commencait a ce raidir, il se pencha sur son carosse pour enfiler sa djellaba qu il mettait parfois. Ainsi vetu, il cachait son beau sex en erection, il repassa la semaine d après en criant un peu plus pour me faire sortir de derriere
ma porte entrebaillee, cette fois, il caressa son gourdin jusqu au genoux pour me montrer sa grandeur, je mouillais totalement ma culotte et la semaine d après, il revint ce fut pareil, je le voulais entre mes jambes tellement il le caressait et je voyais trop bien ses formes montrueuses. Rien que d y pensait a abdou, je mouillais ma petite culotte, meme lors de nos ebas au lit, mon mari me dit que je mouillais trop…ce qu il ne savais pas c est que durant qu
il me faisait l amour toute mes pensees allait vers le gros penis d abdou que j imaginait entre mes cuisses blanches enfoncant son pieu pour me faire crier et me prendre par derriere en me serrant tout contre lui par mes hanches et enfoncant son gros engin au fond de mon ventre avide de sex. Quelques semaines plutard, au cours d une journee d ete, vers midi ou plus personne n est dans les ruelles et que tout le monde etait entrain de
faire la sieste, j entendit toujours au meme moment comme chaque semaine, la cariole d abdou et le grincement d une de ses roué, il s arreta sec aupres de notre mur pour se reposer et s arbiter du soleil de midi, mon volcan s etait mis en ebullition dans mon petit ventre et je me suis directement dirigee involontairement vers la porte que j ouvrit entrebaillee. Il etait la a m attendre et entrain de toucher ses grosses parties intime. Moi, je le scrutais derriere la porte entrebaillee. Il s etait tres vite appercue de
ma presence et me dit ce que je voulais. je lui repopndit toute tremblante :”combien coute ce sous-vetement” je pointais mon doigt droit vers une robe de nuit rose et me dit que pour moi c etait gratuit, je lui repondit que je devais payer que rien n est gratuit et me dit alors :”tu pourra payer d une autre facon..” je lui retorque aussitot que je serai ravie et
prete a le faire mais qu il devrai venir le samedi vers 3h du matin de par le haut notre grande parcelle de terrain et d enjamber les fils de fer pose pour delimiter nos biens (essentiellement constitue de terre et d oliviers) et qu il devrai etre dans la
petite maisonette construite de terre et de roseaux ( qui nous servait pour abriter le foin et autre aliments du betail ainsi que parfois les animaux domestiques) et ce au lieu et au temps que je lui avait indiquer et de m y attendre. je lui precisait que par ce chemin plus personne ne passe. car, il y a juste a
cote le cimetiere du village. Le vendredi, j entendit la cariole d abdou mais je n en ressorti pas. Tout les vendredi mon mari ne travaille pas et reste a la maison ou va rejoinder ses amis au café pour un tour de dominos… et revient vers 20h pour diner et aller s endormir car la 1er journee (samedi) de la semaine est trop chargee, vers 02 du matin, je le reveille et après avoir preparer le café, il le bus son et son petit dejeuner et sorti pour prendre sa voiture rejoindre son enterprise..des que je vis les farres de la voiture tourner au fond d un virage, j enjambais le balcon de ma chambre vers notre jardin sans faire de bruit pour ne pas reveiller la famille…je courru vers la maisonette, je levais la
vieille porte de mes mains et l ouvrit. A peine a l interieur que je sentis les grosses chaudes mains d abdou sur mes epaules. il me retourna et je ne vis que la blacheur de ses dents scintillaient dans l obscurite de la nuit.
il fit descendre ses mains sur mes hanches me poussa un peu derriere pour me planquer contre le mur et colla ses grosse levres contre les miennes, s etaient comme des vantouses, je senti sa force des l instant ou il posa ses grosses mains sur mon corps. il me prit par la taille et me souleva legerement et colla tout son corp contre le mien d**** dans une seule robe d ete. Des le moment ou il se colla a moi je senti son gros et grand penis tout raide entre mes cuisse qui fouiller pour trouver son chemin. Son sex remontait tout le long de mes cuisses pour toucher mon pubis, remonter mon petit ventre et arriver au niveau de mon nombrille. il frappais contre mon pubis et a travers le tissue deja il titillait mon clitoris tres grossi par l excitation, les frissons et les caresses mais surtout, il me bouffait les levres par de torrides baisers et le tout devinrent excitation qui engendrait de la
cyprine qui me mouillait en grande quantite, jamais de ma vie je n ai ete aussi bien preparee et excite. Abdou me mordais le cou et je lui disait de faire attention de ne pas me faire de trace sinon mon mari s appercevrai tres vite au fil du temps, le trouble s emparait de mon corps et je senti le desire se multiplier par quatre et j entrouvrit mes cuisses pour laisser passer ce monstre trouver son refuge, son nid. Mes seins et ma chatte reclamaient ses mains et son gros penis. Abdou passa ses deux mains derriere mon corps me caressa par mes fesses et mes cuisses, il etait divin ! et me souleva par mes fesses, me caressa longuement et mis mes seins au niveau des ses grosses levres avec lesquelles, il me suca les bouts endurcit, j etais deja au septieme ciel.abdou etait un vrai homme, viril et tres fort.Mon pauvre mari etait insignifiant devant Abdou. Il souleva ma robe ecarta vite mon petit slip de cote et entreprena d enfoncer son gros penis dans ma chatte en ebullition, je senti son gros gland
frapper contre les levres de mon vagin et mon clitoris, le gland etait tres gros, aussi gros que la poignee d un jeune homme, je senti sa force a chaqu un de ses gros coups de reins, il cherchait son chemin. il passa une de ses main par derrire mes fesses et ecarta les grosses levres pour se frayer un chemin. moi je tremblait de desire et me suis abondonnee dans ses bras et attendait qu il le fasse glisser dans mon petit ventre en feu et d un coup le penis d abdou ecarta enfin les grosses levres et coulissait sur les petite levres, il etait a mi-chemin, il n etait pas loin de la grande porte d entrée trop petite pour son mandrin. Il le fit glisser plusieurs fois entre les petites levres pour l enduire de ma cyprine abandante, il etait vraiment trop gros son gland, il me camdra legerement et d un coup de rein je senti le gros monstre s introduire en moi, il ecarta ma sex a son maximum et gemissait de desire d une vraie femelle… enfin
!!!! j ai un gros …, mon mari ne m avait jamais fait gemir ainsi. Abdou etait tres doux et me dis :” tu es vierge ?” dans le c*** ou il m avait mise, je lui repondit que j etais mariee mais sans enfant, il m embrassa sur les levres et sur le cou et me dit, ton mari a une petite hein ?!! et je lui dis: oui !!! et il dis alors: cette nuit je vais te baiser et tu sauras ce que c est qu un vrai homme, tu decouvrira ce qu est un vrai zob.. avec un arabe casse, il me dit : » hebit enikek emnhar al-awal win cheftak, raki chaba bizaf ! nhab tramtik, ou nmout ala hetchounek zreg !!! » et ajouta : »tu sera ma pute a moi » et je lui ai dit toute tremblante de desire : » arghigh, ahhetchouniw yergha, yehma, avghigh aytheqoudh dhegaouas amezouarou ikwalagh » (hebit tnikni menhar leouel ouin cheftek : je voulais que tu me nike le premier jour ou je t avais vu).Plus il s enfoncait plus j etais au ange, je senti mon sex totalement ecarte, mon sex moulait et palpitait autour du gros penis d abdou qui commencait a faire des vas et vient et moi je suffoquais de desire et d envie extreme. j avais depasse toutes les limites du desire pour atteindre le 7 eme ciel. mon
sexe etait secoue plusieurs fois ainsi que mon corps, je ne savais plus si s etait des orgasmes ou juste un desire extreme mais dans tout les cas , il me baisait trop bien et je n ai jamais pense un seul instant qu un tel desire pouvait existait, j ai cru que l acte avec mon miserable mari etait le TOP.il etait insignificant devant tant d art sexuel d abdou et tant de vagues
immense et intences de desires que mon mari ne pouvait meme pas me faire subir le centieme d une seule des vagues d abdou, mon maitre. j aimais follement abdou des cette instant mon coeur avait flanche pour lui, il etait devenu mon idole, mon amour, mon maitre….abdou me tira dans toutes les poses : il me posa sur le foin et entra entre mes cuisses qu il souleva et son sex ne rentra pas entierement mais je le touchait de mes deux mains pour sentir lorsqu il s engloutissait tout au fond de ma chatte toute trompee, il me pris en me tenant par mes fesses et me faisait
descendre sur son manche puis enfin, il me colla contre le mur la face au mur et me l introduisit par derriere,c est cette pose que j aime toujours et d ailleurs toutes les femmes adore se faire baiser dans cette pose (begouri et en kabyle arrety) mais avec abdou s etait tout autre chose, j ai sentie sa bite arriver jusqu au fond de mon ventre et ainsi baisee,il a pu l introduire totalement et frappait au fond de mon petit ventre, ma chatte coulait de cyprine et lui il donnait des coups de reins tres puissants et allait tres vite et il m affolait par des gemissements criardes, j entendais les clapotis de son penis dans le miens.mon vagin etait totalement ouvert, et tres glissant, on pourrait introduire un
train ainsi huile…je ne pourrai pas dire combien de fois abdou m avait fait jouir mais je pourrai seulement dire que jamais mon miserable mari avec son miserable sex de 8cm ne pourrai me faire jouir le millionieme de ce que abdou m avait fait…lorsque il jouit enfin , il l introduisit totalement en moi et je ressenti le jet de son sperme chaud mais encore plus je ressenti les vibrations de son sex se tendre de haut vers le bas et de bas vers le haut. son penis voulais me soulevert a chacun de ses jet de sperme et tout ceci en a peine 30 a 40 mn car deja le soleil se levait. j ouvrit la porte la premiere pour partir, il me prit par le bras et me dit :quand est ce que tu voudrai que je reviennes : “demain a la meme heure, viens un peu plus tot”, il m embrassa en m entourant de ses bras et je courru vers mon balcon et en douceur je rentre dans ma chambre, remis mon chemisier et m endormit ainsi sans me laver du sperme d abdou, je voulais le garder en souvenir de lui.le matin je me levais a la meme heure et je senti mes cuisse pleine de sperme d abdou mais j etais tres fiere d avoir son sperme sur mes belles jambes de blanche, j etais
tres heureuse, s etait ma vraie nuit de noce, mon vagin etait tellement ouvert, il etait rassasie du penis d abdou. vers 17 h mon mari rentra comme a son habitude et la nuit, il se levera pour aller au travail et moi retrouver mon maitre pour me tirer toute la nuit avec son gros manche ainsi toute les nuits jusqu au jeudi ou il me fit une confidence qui l baisait aussi une autre femme dans le village, au debut je ne voulais pas savoir mais quelques instant plutard, je demandais qui s etait et abdou tout gentillement me dit que s etait fahima, une belle jeune femme que ses parents avait mariee a un vieux retraite de france qui n avait plus que quelques annees a vivre et elle revenait chez ses parents avec une pension en devise ce qu ils ne savaient pas c est que abdou faisait le travail sense etre fait par le vieux de son mari. Abdou me confia qu elle adorait son gros zeb : »theb zebi kthar min koulchi »et qu elle lui demandait aussi de la tirer par
derriere et lui avait fait confidence que son mari ne la touchait qu une fois par mois et parfois une fois tout les deux mois mais qu elle voulait baiser 3 a 5 fois par jours. Abdou rentrait par la fenetre de la chambre qui donnait sur le jardin. Mon amant me baisa pendant tout le mois et un jour mon mari m apprit que c etait temps qu il aille faire des achats pour l enterprise dans une ville de l ouest du pays et ceci voulait dire qu il allait partir pour deux jours. Mon mari quitta la maison a 3 h du matin et abdou rentra a 3h 15 mn pour me baiser dans mon lit en lui disant de ne pas trop faire de bruit, jai du dechanter tres
vite car impossible pour un caulosse comme lui de ne pas faire de bruit avec ses coups de reins, je posais quelques paillasse par terre et il continua de me baiser toute la nuit dans toutes les positions et je dormit dans ses bras son sex au fond de mon ventre, il ne se degonfla pas comme la bite de mon mari qui une fois jouit, devenait a peine de la taille de la moitie d un pouce ( a peine 2 cm) le matin abdou resta dans ma chambre et s allongeait derriere mon lit ou personne ne pouvait le voir meme si j
ouvrit la porte. et parfois je l ouvrit. une fois le temps de la sieste venu, je venais faire ma sieste mais au fait je courait vers les bras d abdou et son gros manche sur lequel je sautait avec mes grosse fesses, abdou etait un grand expert de la baise, il me retourna d un coup et se retrouva entre mes belles cuisses blanches et lui tout noir, il allait et venait au fond de mon ventre et me rendait folle,je ne voulais pas qu il s arrete. je lui demandais de l enfoncer et de le laisser au fond de mon vagin, je le senti se tendre, grossir et bouger, il etait chaud et dur meme tres dur, il moullait mon vagin , il etait l exacte mesure pour ma chaude chatte et il me pillona un bon bout de temps puis on jouit ensemble et on resta ainsi coller l un contre l autre. Abdou etait devenu un vrai amant, ce n etait plus un fantasme, il etait la entre mes cuisses et je l accrocher totalement a moi pour qu il ne quitte plus ma chatte trop chaude d un beau penis comme
le sien. J avais dis a abdou que mon mari allait rentrer vers 1h du matin ou a 2h ou meme parfois vers 3h ou 4h et je lui ai dit aussi de commencer a me baiser vers minuit. On resta a regarder la tv et une fois minuit, je fais descendre ma main pour toucher le gros manche, il etait un peu degonfle mais des que je mis ma petite main sur lui sous le drap, il commenca a se redresser et a s endurcire, c etait un vrai zob d un vrai homme et une fois raide, abdou se leva et vint entre mes cuisses pour s enfoncer au fond de moi et me pilloner a fond puis me
retourner et me prendre par derriere, il se defoncait sur mes fesses et me fit jouir plusieurs fois et alla tres fort au point de me faire pleurer de plaisir tellement mes gemissements etaient ettouffes quand j ai senti qu il allait jouir, je lui avait demande de venire au lit et me prendre entre les cuisses, il continua et lui chuchottais dans son Oreil que j etais sa femme et sa vraie pute, que je pouvais venire avec lui s il le voulais., qu il etait mon vrai mari, mon vrai homme celui qui me donnait vraiment du
vrai bonheur que toute femme veut. je l excitait plus par mes propos et je senti son penis grossir encore plus et vibrer et sentie qu il allait decharger, moi aussi j etais au septieme ciel rien que d avoir cette vraie queue au fond de son vagin pouvait me faire jouir plus d une fois, je jouit quelque seconde après lui, je le rettenait avec mes jambes totalement entourees autour de sa petite taille et de sa maigreur plein de muscles, je voulais sentir sa grosse queue au fond de mon ventre avant qu il ne s en aille. J entendit alors au bas le renronement du moteur de la voiture de mon mari monter les virages, je dis a abdou que mon mari arrivait. je lui dit de ne pas paniquer, de sortir par le balcon de remonter le terrain vers le chemin du cimetiere ou personne ne passé et de rester labas quelques temps sous un arbre puis de partir après. Il sorti et referma derriere lui, moi je refile ma culotte, resta ainsi dans la meme position en renflant
legerement et en recouvrant mon corps d un drap et toute nue en attendant mon mari, qui ne m avait jamais satisfaite. Il rentra dans la chambre sans faire de bruit, enleva sa veste puis tout ses habits, alluma la petite lampe et rentra sous le draps pour m entourer de ses bras. il s appercue que j etais toute nue sous le drap, j ouvrit mes yeux et me retourna pour l embrasser, il m enlassa et entreprit de me caresser partout et m embrasser encore et encore, il entreprit de me toucher partout et alla droit vers ma chatte fouiller a l interieur, il la trouva toute mouiller, et me dit que j avais trop envie ? je lui repondit que d une ca faisait 2 jours qu il n etait plus la et de deux, qu il ne me touchait pas beaucoup alors j ai fait un reve ou on faisait l amour et tu viens de me reveiller toute mouiller, il aquiessa et vient sur moi, m ouvrit les jambes et tenta vite de faire descendre mon slip ainsi que le siens, il chercha la raie de ma chatte, fait glisser de sa main son miniscule
sex insignifiant que je ne sentait pas du tout, quand il le glissa a l interieur, il se rendit tres vite compte que mon vagin etait trop ecarte trop large pour sa bite( peut etre se doutait il de quelques choses mais je ne laissait rien paraitre), je poussais un petit gemissement pour lui faire croir qu il me faisait quelques chose mais au fait, ca n etait pas possible qu il y est encore des homme qui ont de telles bites ?! abdou serai champion du monde…je fait semblant de gemir a chacun de ses coups …et il me dit :” aujourd hui, tu as une grande envie, ton vagin degouline de plaisir “ je lui ai dis qu il s etait laisser faire quand il avait senti ton penis “ mon pauvre mari donnait ses coup de reins dans le sperme d abdou et croyait que c
etait mon plaisir qui lui faisait cela. je voulais me venger de toutes les fois ou il me tirait et une fois qu il jouit, il me laisait sur ma faim sans chercher a me faire jouir avec sa main. Et jouit enfin et ajouta son sperme au sperme d abdou, si un enfants allait naitre, je ne saurai s il serai d abdou ou de mon mari, mais la couleur de la peau nous le dirai. Mais je n eut pas d enfants car je prenait de pillules.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire