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Ma tante Mado.

Ma tante Mado.



Vers 18 ans, séparé de mes parents, je fus recueilli par ma tante Mado, une femme de 50 ans, veuve, blonde, grande, aux formes paysannes, une croupe large et haute, une poitrine lourde et pleine, vivait seule dans sa ferme. Elle eût sans doute pitié de moi, et accepta de me loger quelques temps .Ce soir là j’étais sorti voir des copains et je suis rentré assez tard (vers minuit).C’est vrai on avait un peu bu avec les copains !
En entrant dans la maison, je fis tomber un vase qui explosa sur le carrelage !
Mado surgit en haut des escaliers qui mènent à l’étage :
– Espèce de petit débauché, c’est à cette heure que tu rentres, tu n’as pas honte, à peine 18 ans, et regarde moi dans quel état tu es !!!
Mado dévala l’escalier, en peignoir… Elle était rouge de rage, je la regardais droit dans les yeux, je souriais, bêtement. Je ne savais plus qui j’étais, ni où j’étais, la seule chose que je voyais, c’était cette femme, se tenant repliée, ramassant les morceaux du vase. Elle pestait à voix haute :
– Incroyable, ce petit c…n’en branle pas une, il sort, il boit, …
Elle ne finit pas sa phrase que je rajoutais :
– Et il a envie de baiser sa tantine .Avec son gros cul et ses gros nibards !
L’alcool m’avait désinhibé et libéré, et là je lui avouais la vérité, j’avais fantasmé plus d’une fois sur son corps, que j’imaginais rond, plein, chaud. Mado se tenait toujours dans la même position, retournée, penchée vers l’avant, je pouvais imaginer que sous son large peignoir, elle avait un gros cul, de grosses fesses, une grosse paire de nichons bien gonflés. Je m’approchais d’elle et relevais sa robe de nuit, elle devait sans doute être aussi nerveuse et apeurée que moi, mais je jouais le tout pour le tout, je me mis directement à bander en voyant son gros derrière blanc, quelles fesses, énormes, rondes, Elle était toute nue sous le vêtement, je la retroussais complètement, et jetais les vêtements par terre.
Elle se tourna brusquement, à poil, rouge jusqu’aux oreilles, elle voulut ouvrir la bouche pour dire je ne sais quoi et l’en empêchais en plaquant ma bouche sur la sienne, mon ventre contre le sien, et mes mains sur ses gros nibards. Mado résista quelques secondes, puis, elle succomba, se laissa aller, et resta passive, elle ouvrit ses lèvres et accueilli ma langue en elle. Je lui roulais une pelle bien baveuse.je bandais comme un âne. Je la sentais ouverte, offerte, soumise, je ne savais plus quoi faire, comment continuer, elle m’apporta la solution en disant :
– Nous serions sans doute mieux au lit, viens dans ma chambre, j’ai aussi très envie de toi, je ne devrais pas, mais je suis toute excitée, toute humide, en pensant à ton sexe ! Il est bien large !
Nous nous retrouvions dans sa chambre, dans son lit, elle se coucha et me tendit la main, en m’invitant à la rejoindre, je me déshabillais en triple vitesse, et me couchais sur elle. Le sexe tendu, gonflé, excité, nos corps étaient chauds, souples, attirés comme des aimants, je frottais ma queue contre son ventre, mes mains caressaient ses grosses mamelles, je l’embrassais à pleine bouche, elle me caressait les cheveux, le dos, les épaules, les reins.
Je sentais son épais pubis mouillé, chaud, attirant, ma langue s’attaqua aux énormes nibards, suçant les gros tétons roses, je les mordillais, les suçais, les avalais, je descendis plus bas, sur le ventre, déposant des baisers humides, puis la chaleur se fît plus intense, Mado écarta les cuisses charnues, pour me présenter un sexe large, odorant, couvert d’une toison bien fournie, dégoulinante de mouille, je lui léchais les grandes lèvres, lui aspirant le clitoris érigé, durci, elle devenait de plus en plus chaude, elle avança son bassin plus contre moi, je lui enfonçais la langue loin dans la chatte, lui broutant le minou, elle mouillait, elle gémissait, ondulait de la chatte, elle soupirait.
Elle contractait les muscles de sa chatte baveuse, ma langue allait et venait en elle, mes mains jouant toujours avec ses gros bouts, je sentais ma bite durcir, gonfler, palpiter, j’avais très envie de la pénétrer, de la baiser bestialement, de la faire crier.
Je sentis qu’elle jouissait quand elle m’aspergea le visage de sa cyprine abondante, elle encercla mon visage entre ses jambes et cria :
– Oui, je jouis, ta tantine Mado jouit comme une grosse vache, c’est bon ta langue, tu lèches comme un dieu, tu me rends folle, je mouille, c’est bon, viens sur moi chéri, viens bourrer ta salope, j’ai envie de ta queue en moi, viens me la mettre, je n’en peux plus d’attendre, je suis en feu, baise-moi, enfile-moi, bourre-moi, mon chéri !
Je ne me le fis pas dire deux fois, je pris mon sexe en main et le lui enfonçais d’un coup sec dans la chatte, elle poussa un ‘Aaaah’ de surprise, quand je fus enfoncé complètement en elle, je restais immobile un instant savourant cette chatte, puis, très lentement, j’entrepris de lents va-et-vient, ressortant complètement, entrant à nouveau dans son con baveux, ses grandes lèvres m’aspiraient comme une ventouse, quelle formidable sensation, quelle femelle en rut !
Je me mis à la pistonner sans aucune douceur à présent, je lui donnais de grands coups de reins, elle appréciait la salope, elle poussait des cris de plus en plus forts, elle se pressait les seins, tirant sur les mamelons, elle remuait son corps dans tous les sens, le lit craquait sous nos mouvements.

– Alors, elle est bonne à baiser ta tantine, tu aimes la remplir sa grosse chatte, tu vas jouir mon beau salaud, tu vas gicler en elle, et l’inonder!
– Tiens tiens ! Tantine ! Tu la sens ma pine ?
– Oooooh oui, Elle est bonne ! Bourre-moi ! Je mouille tellement…
– Çà oui tu coules tellement que t’en mets partout.
– Vas-y saligaud, baiser sa tante c’est pas dieu possible !
– T’es vraiment en chaleur pour juter comme ça !
– C’est pas tous les jours qu’on amène la vache au taureau !
– Ooooh c’est bon Tantine ! Tu me fais triquer dur !
Pendant ce temps je pétrissais les gros lolos.
– Vas-y mon neveu… Vas-y vas-y ! Putain elle est bonne ta queue !
– Grosse salope, t’aimes ma jeune bite ?
– Aaaah oui je vais venir. ! Je jouiiiiis…..
– Oui oui oui, moi aussi je décharge !
Je donnais encore quelques coups de reins puissants en elle et me vidais dans son ventre, j’éjaculais toute la sauce en même temps qu’elle criait son orgasme.
Je giclais en elle, en force, en quantité, la semence coulait entre ses cuisses, je tombais sur elle épuisé, nous étions en sueur, exténués, nous nous endormîmes ainsi, l’un dans l’autre. 

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