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Romance d’un dépucelage … et sa suite

Romance d’un dépucelage … et sa suite



1ère partie

Il était une fois … non, c’est un peu trop roman à l’eau de rose pour commencer ainsi !

Il y avait plutôt un tout jeune homme dans une certaine tourmente, celle de ne pas avoir encore, à 18 ans, connu ni l’amour ni le sexe.

Pourtant, rien de semblait apparemment poser de problème. Ce tout jeune homme, clément, était grand, blond, élancé, bref d’un joli physique.

Ah si, il ne fallait pas oublier sa très grande timidité. Effectivement, c’était maladif, ça le rendait extrêmement coincé vis à vis des jeunes femmes. Il y avait un blocage, une gêne qui le tétanisait quand il s’agissait d’approcher une jeune femme ou de leur parler. Il n’avait à son actif aucune conquête féminine et il n’osait même pas encore les imaginer. Sa timidité était un blocage absolu à toute tentative de séduction.

C’était une réelle frustration. Il gardait cela pour lui, impossible d’aborder un tel sujet avec ses parents ou encore ses amis les plus proches. Le sexe, ce n’était pas encore pour lui. Pourtant, depuis son passage à la majorité, son absence de sexualité lui semblait anormale, surtout vis à vis de ses amis qui fréquentaient déjà des petites amies.

Clément s’enfermait en quelque sorte dans une forme de solitude sexuelle. La masturbation de son pénis était son seul soulagement. L’achat de revues érotiques vendues en librairie lui permettait d’assouvir ses pulsions sexuelles à travers des branles et des éjaculations solitaires.

Clément avait une grande passion, la voile. Effectivement, il pratiquait depuis son plus jeune age cette activité sportive pour son plus grand plaisir. Il partageait cette passion avec son grand frère et pratiquait ainsi la voile seul ou avec lui.

Son grand frère possédait une planche à voile qu’il entreposait dans un club de voile privé. Ce club détenait un hangar, sorte d’entrepôt où chaque adhérents pouvaient y installer et ranger son matériel de planches à voile. Il y avait aussi quelques de petits dériveurs à disposition des adhérents. Une petite partie du hangar était constitué d’une pièce servant de vestiaire. On y trouvait des bancs installés face à face, des patères et des armoires métalliques pour y déposer et ranger ses affaires le temps de la navigation sur le plan d’eau.

Clément et son frère faisaient souvent de la planche à voile ensemble, ou du dériveur, celui qui appartenant au club de voile. Il arrivait aussi parfois, que Clément se rendait seul, avec l’autorisation de son frère pour y faire de la voile avec la planche à voile.

Ce jour là, un après midi en semaine, Clément était parti faire de la voile dans ce club. En ce début d’après midi, il était seul au hangar. Il avait gréer son matériel et mis au bord de l’eau la planche à voile prête à partir. Clément réapparut en combinaison néoprène et partit naviguer sur un plan relativement peu fréquenté ce jour. La pratique seul de ce sport lui allait comme un gant, il prenait son pied sportivement sans ne rien demander à personne.

Comme souvent, des petites pauses étaient nécessaires, l’obligeant à revenir sur le rivage devant son club nautique pour boire ou simplement se relaxer avant de repartir sur l’eau.

Il remarqua alors une autre personne préparant son matériel de planche à voile. Même s’il ne se connaissait pas, il salua l’homme d’une trentaine d’année. Amicalement, ce dernier engagea une conversation portant essentiellement sur les conditions du vent d’aujourd’hui le plan d’eau. Quand à Clément, il semblait intéressé par la planche à voile haut de gamme de l’homme. Le contact était facile entre eux, comme quoi, sa timidité naturelle pouvait s’effacer lorsque les conditions favorables étaient là.

L’homme devait avoir la trentaine, plutôt grand et mince lui aussi, bel homme pensait Clément, avec une assurance et la conversation aisée. Ça lui donnait une maturité nettement plus supérieure à lui.

Les deux planchistes se mirent rapidement à l’eau pour se tirer des longueurs tous les deux. Il est évident que se jauger et d’aller le plus vite possible était le challenge des deux sportifs du jour. La technique supérieure de Clément permettait de contrer les qualités de la planche à voile l’autre, cela donnait une grande satisfaction à Clément. L’esprit entre les deux sportifs restait néanmoins bon enfant, chacun faisant des chutes dans l’eau selon les rafales ou encore les virements de bord plus ou moins bien réalisés.

Les deux planchistes naviguèrent un bon moment, mais l’heure de rentrer se fit sentir. Bien repu, ils décidèrent quasiment au même moment de cesser leur activité nautique, car ils en avaient plein les bras. Sur la rive, chacun racontait ses petits exploits personnels du jour avec amusement et complicité. Chacun rangeait son matériel mais d’un commun accord, le portage des planches à voile se fit à deux du bord de l’eau jusqu’à l’intérieur du hangar. Le portage a deux permettait de faciliter notamment le posé des planches les étagères de rangement.

Ensemble et souriant, ils se retrouvèrent dans le petit vestiaire commun pour se changer. Si Clément était peu bavard, le trentenaire parlait beaucoup, avec plein de bonne humeur, de gentillesse. Sa courtoisie impressionnait Clément qui se sentait ainsi très à l’aise et en confiance.

Alors que Clément commençait à faire glisser sa combinaison de planche, ce dernier regarda le trentenaire grimacer au passage de la combinaison bloquée au niveau des pieds. Clément, tout sourire, l’aida tout naturellement tirer sur la combinaison pour faciliter le passage de cette dernière au niveau des pieds. Le trentenaire fut ravi de ce geste amical et sauveur.

Clément continua de retirer sa propre combinaison. Il réussit, lui, facilement le passage du néoprène au niveau des pieds. Le trentenaire semblait infatigable en matière de causette. Du coup, Clément écoutait sagement tel un complice. Assis et en en train de poser sa combinaison sur le banc, il regarda l’homme debout qui s’essuyait le corps à l’aide de sa serviette de bain.

En fait, le regard de Clément fixait plus particulièrement le sexe nu de l’homme qui s’essuyait. Le trentenaire était debout, face à lui, à cinquante centimètre de lui. Clément était gêné d’avoir posé son regard sur ce sexe dénudé qu’il avait quasiment sous le nez. L’homme n’éprouvait pourtant aucune pudeur à son égard, se séchant le dos et surtout continuant à discuter sans répit.

Clément regardait ce pénis, qu’il jugeait plutôt petit, mou, gigotant légèrement entre les jambes de l’homme au gré de ses gesticulations. Comment se faisait-il que Clément soit attiré visuellement par l’impudeur de ce sexe masculin. Il se dit aussi qu’il n’avait finalement jamais eu l’occasion dans sa toute jeune vie de se retrouver à mater d’aussi près un pénis d’un inconnu.

Clément, pudique, ne dit rien et ne voulut surtout pas se montrer effarouché et donner l’impression d’un puceau apeuré devant la présence nue d’un homme. Le trentenaire semblait lui très à l’aise tout nu, feintant ne pas se rentre compte de l’effet troublant qu’il créait sur le jeunot.

Clément fit glisser le plus naturellement possible son slip de bain le long de ses jambes sans chercher à se cacher avec sa serviette de bain. Il laisserait croire ainsi qu’il assumait lui aussi sa nudité. Alors qu’il se sentait malgré tout ému de cette situation, il fut surprit d’entendre le trentenaire lui demander, avec gentillesse, de se lever. L’homme invoquait l’idée de lui frictionner gentiment le dos. Malgré la stupeur de cette demande, Clément se leva pour ne pas offusquer l’homme. Clément était malgré tout dans une situation qui le gênait, c’est à dire tout nu, de dos devant un homme.

Ses pensées étaient composées de deux idées maîtresses ; la première, il se surprit à regarder la porte d’entrée du vestiaire qui lui faisait face. Il s’imagina bêtement l’arrivée soudaine, mais improbable, d’un visiteur qui tomberait ainsi, nez à nez, sur un jeune puceau nu, le sexe entre les jambes, se faisant frotter le dos par un homme plus âgé, nu, installé derrière lui. Sa deuxième pensée étaient pour ses propres fesses. Il se sentait le cul à l’air et sentait le regard d’un homme complice en train de lui mater son derrière de puceau. Ces deux pensées l’intimidaient mais Clément restait là pourtant, debout, tout nu, les bras le long du corps, se laissant délicatement frotter par cet homme plus âgé.

Clément, était perdu dans ses pensées alors que le trentenaire lui parlait toujours avec plein de gentillesse. Clément remarqua que les paroles de l’homme venaient maintenant de plus bas. En effet, l’homme s’affairait doucement à sécher ses fesses nues ainsi que le haut de ses cuisses. L’homme était à genou derrière lui, le regard fixé droit sur ses fesses. Clément se sentait très ému.

Son émoi augmenta soudain quand les mains qu’ils sentaient à travers la serviette de bain, sont venues lui sécher l’intérieur des cuisses. L’homme, certainement volontairement, frôlait également les testicules ou encore le bout de son sexe qui pendait mou entre ses cuisses. Jamais Clément n’avait ressenti cette sensation agréable, celle de se faire délicatement effleurer les parties génitales par un inconnu. Cette attention sur son corps lui parurent maintenant très érotiques. La scène, le lieu, cet inconnu, tous les éléments augmentaient ce sentiment qui malgré sa gêne, commençait doucement à se transformer en une petite érection. Son sexe était encore vertical entre ses jambes, mais Clément aurait parié que son pénis s’était déjà un peu allongé.

L’homme continua en séchant les mollets de Clément, comme pour montrer à ce dernier qu’il s’appliquait à sa tache du mieux du monde, sans tenir compte de ses parties génitales. Du coup, Clément continuait d’attendre tout nu que l’homme finisse. C’est dans cet état d’esprit que Clément écouta la demande du trentenaire qu’il lui indiquait de se retourner maintenant, comme pour continuer la séance séance de séchage côté face.

Clément pensa à son début d’érection et se sentait pour cela gêné. Mais l’homme le guida avec ses mains et Clément, soumis, se retrouva face au trentenaire qui le fit pivoter sur lui même. Clément eut à nouveau deux pensées troublantes. Droit devant lui, la fenêtre du vestiaire donnait dans les bois, mais soulagement, personne de visible dans les environs. Sa deuxième pensée concernait l’idée qu’il était en train d’exhiber malgré son sexe devenu sensible face au visage de l’homme. Jamais il n’avait montré son pénis d’aussi près à quelqu’un.

Si, face à Clément, personne n’était à la fenêtre, Clément repensa à la porte d’entrée derrière lui. Si quelqu’un se pointait, il tomberait sur les fesses nues d’un jeune puceau, qui montrait son pénis à un homme agenouillé devant lui, homme également tout nu. Cette scène lui fit immédiatement penser à un situation pornographique et surtout homosexuelle.

C’est perdu dans ces pensées que Clément senti un attouchement sur son pénis. L’homme venait de lui essuyer gentiment le bas du ventre, les hanches, l’entrecuisse et continuait par un attouchement sans équivoque de son sexe. Clément sentit une main qui touchait et accompagnait son sexe qui se redressait tout seul. Il comprit qu’il bandait et que cette main tenant son pénis en érection confirmait son envie de sexe. L’homme se mit à le masturber délicatement se pénis en érection et tendu devant lui. Clément en oubliait sa gêne et resta immobile. Il osa enfin baisser son regard vers les agissements érotique de l’homme.

Clément imaginait innocemment que le trentenaire le masturbait pour regarder son érection de puceau. Pourtant, ce n’est pas ce qu’il vit, ni ne sentit. Clément regarda, complice, l’homme avancé sa bouche. Simultanément, l’homme se mit à engloutir le gland dans sa bouche alors qu’il entamait une masturbation plus virile du pénis. La bouche de l’homme entamait une succion frénétiquement le gland du puceau. Cette fellation était une révélation pour Clément ; jamais il n’avait sentit autant de plaisir sexuel. Il se sentait bander comme un dieu et se surprit lui même à émettre quelque petits râles de plaisir.

Clément resta immobile pour profiter de ce moment sexuel même si au fond de lui, il comprenait qu’il subissait un acte homosexuel. Mais, il ne voulait surtout que la fellation prenne fin. Bien au contraire, cette succion buccale et cette masturbation se révélait une sublime découverte qu’il ne fallait surtout pas interrompre. Il regarda la scène, surtout celle de son sexe. Il se dit qu’il n’avait jamais autant bandé. Il était fière d’exhiber sa bite tendue, bien raide et au gland devenue bien gonflé également. La main vigoureuse de l’homme le masturbait méthodiquement alors qu’il découvrait la sensualité buccale d’une bouche et d’une langue enroulée autour de son gland. Le trentenaire le gardait en permanence dans sa bouche, le suçant sans relache. Clément sentait même parfois son gland venir toucher délicatement le palais de l’homme. Clément vivait son vrai premier moment d’extase sexuelle.

Cette fellation se révélait être un délice pour Clément ; oublié l’idée d’être surpris par quelqu’un, oublié son image de puceau, oublié le fait que se soit un homme qui le suce … Clément profitait de ce moment de pur plaisir sexuel.

Son érection était maximale, sublime et l’envie d’éjaculer commença à le titiller. Impossible de résister à une telle fellation, sa réalisation était trop parfaite. Combien de temps dura la fellation, il ne se posa même pas question. Il ne tenait plus. Clément éjacula sans se préoccuper de la position buccale de son sexe. Baisant le regard, il se rendit compte qu’il se répandait dans la bouche du trentenaire qui semblait vouloir absolument garder en bouche. Clément se surpris de son dernier râle, encore plus fort. Répandre sa semence dans une bouche lui sembla un moment formidable.

Il regarda justement l’homme se délecter de sa semence, la main qui le masturbait ralentissait lentement son mouvement masturbatoire puis s’arrêta. Tout aussi lentement, l’homme fit sortir le gland de sa bouche tout en venant faire le tour du méat avec sa langue. Le gland encore gonflé à son maximum, luisait d’une fine couche de salive. L’homme avait savouré le sperme jusqu’à la dernière goutte.

Le trentenaire lâcha le sexe et plaça ses deux mains sur les hanches de Clément. L’homme regarda avec admiration ce sexe encore raide lui faisant face, toujours dressé à l’horizontal. L’homme, avec ses mains posées sur hanches de Clément, l’invita a se redresser . Clément et le trentenaire étaient maintenant debout, face à face, chacun se souriant à l’autre. On pouvait lire dans les yeux de Clément un merci pour cette formidable fellation, premier acte sexuel de sa vie, et un merci pour l’offrande de son superbe sexe dans les yeux ravis de l’homme.

Le trentenaire attira au plus près son jeune puceau. L’un comme l’autre, ils sentirent leur sexe venir buter contre le ventre de l’autre. Le sexe de Clément, encore en érection, glissait à droite du ventre de l’homme, le sexe en érection du trentenaire glissa quand à lui sur le haut du ventre de Clément. Il compris que la fellation avait fait bander son amant.

Il comprenait aussi que c’était la première fois de sa vie qu’il se tenait collé en érection contre un homme. Clément, soumis à son homme, se sentait sur un petit nuage érotique. Il sentit délicatement le souffle d’une bouche s’approcher de lui, de sa propre bouche.

Les lèvres des deux protagonistes venaient de s’unir. Un long baiser commença. Le trentenaire glissa le premier sa langue fraîchement parfumée de sperme dans la bouche de Clément et rapidement les deux langues s’enroulèrent. Autant la fellation était pour Clément une formidable révélation, autant embrasser lascivement un autre homme lui semblait cette fois extrêmement impudique, mais surtout extrêmement homosexuel. En plus de se baiser charnel, de leurs sexes respectifs tendues dans le ventre de l’autre, Clément se faisait peloter le cul tel une gonzesse. Lui restait les bras le long du corps se laissant caresser les fesses nues et se faire bouffer la bouche harmonieusement. Honnêtement, Clément préféra la fellation à cette étreinte homosexuelle. Mais, timide et pour ne pas paraître désagréable, il se laissa embrasser par son amant, formidable suceur de sa bite.

Clément s’entait venir la fin du baiser. Il sentait que les mains ne lui pelotaient plus son cul ferme, il compris que l’homme retirait sa langue de sa bouche. L’homme le guida par les paroles et les mains fixées à nouveau sur ses hanches pour amener Clément à se mettre à genou. Soumis à son amant, Clément fit face au sexe en érection de l’homme. Son sexe lui sembla un peu plus petit que le sien, mais présentait un gland légèrement plus gros que le membre lui même. Cette queue était totalement décalottée et bien raide ; rien a voir avec le sexe nu et mou de l’homme qui s’essuyait de tout à l’heure. L’homme lui brandissait un sexe vigoureux et tendu vers lui, un homme qui avançait sans équivoque son bassin vers lui.

Clément hésitant se laissa guider par la voie masculine qui l’invitait à le sucer. Clément ouvrit la bouche et découvrit pour la première fois le goût d’un gland qui ruisselait déjà d’un liquide transparent. Clément découvrit aussi le volume que représentait un gland gonflé d’excitation dans sa bouche. Il posa sa main pour la première fois de sa vie sur un pénis tendu. Clément voulu paraître le moins débutant possible et montrer qu’il maîtrisait l’art de la fellation. Il reproduisait aussi fidèlement que possible la masturbation qu’on venait de lui faire. Alors qu’il se sentait hésitant, il fut satisfait d’entendre des râles discrets mais viriles de son amant. Réconforté dans son esprit, il continua hardiment sa fellation sentant qu’il ne se débrouiller pas trop mal.

Du coup, continuant à s’appliquer et à se réjouir des râles du trentenaire, Clément n’a pas eu le temps de son poser la question de l’éjaculation. Beaucoup plus rapidement que lui, l’homme lui envoya sa semence chaude tout au fond de sa gorge. Bouche grande ouverte, gland tout à l’intérieur, Clément n’eut pas d’autre choix que d’avaler ce sperme bien chaud. Petite panique, car il ne savait pas quel goût cela avait. Cette semence lui sembla d’un goût discutable mais n’en fit pas état à son amant. Il ralenti la masturbation puis la stoppa tout en sortant délicatement le gland de sa bouche. Clément vint, tout comme l’avait fait son amant, essuyer la dernière goutte de sperme au bout du gland.

Clément était envahi de pleins de pensées. Il venait pour la première fois de sa vie de faire fellation masculine, de goûter et d’avaler du sperme, de tenir fermement un sexe masculin en érection et de l’avoir masturbé vigoureusement jusqu’à l’éjaculation. Il comprit aussi que cet acte sexuel était bel et bien un rapport homosexuel. Il en était très gêné maintenant.

Il sentit les bras de l’homme le redresser, lui parler d’une voie pleine de compliments face à l’œuvre buccale qu’il venait de réaliser. Ils s’enlacèrent pour la seconde fois, comme deux amoureux. Clément se surpris à embrasser la bouche grande ouverte de son amant et d’y mélanger sa langue. S’il se sentait à nouveau peloter au niveau de ses fesses, lui aussi entoura les hanches du trentenaire et pris possession tactilement de son cul ; la scène de deux homosexuels nus se caressant sans aucune pudeur et se roulant une pelle sacrément obscène.

Clément et l’homme se lâchèrent. Chacun entreprit de s’habiller. Clément, muet de pudeur, laissait l’homme parler, le questionner, le féliciter. Clément dû poliment lui avouer qu’il s’agissait de son tout premier rapport sexuel, de sa toute première fois avec un homme. Mais l’élégance et la courtoisie de l’homme faisaient tout pour mettre en confiance Clément et de ne pas le faire culpabiliser de cet acte homosexuel.

Ils restèrent tous les deux encore un bon moment dans le vestiaire quand vint le moment de se quitter. Une fois le hangar bien verrouillé, Clément pensa bêtement saluer son amant avant d’enfourcher sa mobylette tandis que l’homme regagnerait sa voiture. Mais l’homme accompagna Clément jusqu’à sa mobylette et attendit qu’il l’enfourche et y installe son sac de voile entre les jambes, contre le carter.

Les salutations, à la surprise de Clément, furent homosexuelles et non un salut qu’il avait envisagé. Le trentenaire engagea un baiser sur la bouche de Clément et posa une main sur la braguette du jean de Clément, un geste manifestement sans équivoque. L’idée qu’on les surprenne ainsi en flagrant délit d’homosexualité gênât terriblement Clément. Mais par politesse, il attendit longuement la fin du baiser, soumis aux lèvres gourmandes de l’homme et laissant cette main tripoter sans pudeur ce qui se trouvait derrière sa braguette. Avant de se dire au revoir, Clément avait dit oui pour une retrouvaille. L’homme lui avait communiqué son adresse et l’invitait dès le samedi suivant à venir le voir chez lui.

Clément rentra chez lui et passa sa soirée à repenser à ce premier rapport sexuel. Il avait du mal à s’admettre homosexuel, par contre, la sexualité qu’il avant vécu restait un merveilleux souvenir. Il avait une grande envie de revoir le trentenaire dès samedi prochain …

2ème partie

Après sa première expérience sexuelle, Clément ne pouvait que ressasser cette mémorable aventure. Même s’il restait gêné par le caractère homosexuel de cette relation, y penser le faisait irrémédiablement bander au quart de tour. Souvent le soir, il replongeait dans le plaisir d’une fellation reçue ou d’une fellation à faire. Il en bandait, il s’en masturbait frénétiquement et il en éjaculait. Finalement, il attendait avec hâte le samedi après midi pour revoir son amant.

Il se rendit en mobylette à l’adresse laissée par son trentenaire. Clément trouva facilement, une petite maison de plein pied, dans un quartier chic. Il déposa sa mob à l’intérieur de la petite cour puis sonna. Son cœur battait, il ne savait finalement pas ce qui allait réellement se passer.

L’homme ouvrit la porte et accueillit Clément avec un large sourire. Clément avait imaginé le trentenaire nu, déjà en érection, prêt à lui sauter dessus. Il n’en était rien. Son hôte était habillé d’un jean et d’un polo, bref en tenue décontractée et tout ce qu’il y a de plus décent. Dès la porte d’entrée refermée, l’homme l’embrassa chaleureusement sur la bouche en guise d’accueil.

L’homme le conduit ensuite dans la salle à manger et lui proposa une boisson rafraîchissante. Très rapidement, le trentenaire mit Clément à l’aise. Il insistait maintenant pour se faire appeler Patrick. Ils discutèrent tous deux, de tout et rien à la fois, avec un vrai esprit de camarade. En fait, c’est surtout Patrick qui parlait, Clément était fidèle à sa timidité et à son manque d’entrain à la conversation. Mais à eux deux, un équilibre se faisait naturellement et les deux protagonistes ont vite été à l’aise. Même Clément se laissait aller à des révélations impudiques obtenues grâce au charme de Patrick.

C’est d’ailleurs Patrick qui invita Clément à venir prendre une douche avec lui. Il lui expliqua la sensualité des corps nus sous l’eau chaude d’une douche et du rapprochement mutuel des mains savonnant les corps ainsi offerts. Clément découvrit alors une grande salle de bain, très classe. Elle possédait notamment une douche dite à l’italienne grande pour au moins deux ou trois individus. Elle possédait un grand pommeau de douche avec de multiples jets possibles. L’un et l’autre se sont déshabillés, chacun posant ses vêtements sur deux petits tabourets installés dans la pièce.

Clément et Patrick ne bandaient pas encore, ils se regardaient mutuellement pourtant avec gourmandise. Clément passa le premier dans la douche accompagné de Patrick qui lui effleura la fesse d’une main audacieuse en passant. Très rapidement, ils s’enlacèrent et entrepris un baiser brûlant très impudique. Tous deux se mirent à la recherche des fesses de l’autre, chacun y allant de ses caresses charnelles. Leur langues se sont très vites mélangées et Clément compris que son sexe bandait maintenant comme un fou contre le ventre de Patrick. Ce dernier bandait lui aussi car son sexe se faisait également sentir sur le ventre de Clément. Tous deux restèrent un bon moment ainsi, aucun ne semblait vouloir arrêter cette étreinte impudique et sensuelle.

Patrick prit finalement l’initiative de se reculer pour att****r le gel douche sur sa gauche. Clément, nu, en érection, offrait un sexe tendu à l’horizontal. Il attendait tel un gosse pour se faire laver. Patrick, les mains pleines de gel douche, se mit à masser le corps de Clément. Il insista sur la poitrine et principalement sur les tétons de Clément. Il insista ensuite sur le bas ventre et les hanches de Clément, avant de venir savonner son sexe en érection. Patrick n’oublia pas non plus de savonner les fesses fermes du jeunot sans omettre de glisser ses doigts tout le long de la raie de fesse et d’avoir fait le tour sans équivoque de son anus.

Patrick bandait et se tenait face Clément. Il se mit à savonner, enfin, à masturber à deux mains les deux sexes en érections qui se trouvaient l’un en face de l’autre. Cet attouchement sexuel, Clément en rêvait depuis maintenant 3 jours. Ce fut un bonheur pour lui. Sentir sa propre érection contre l’érection de son amant le rendait ivre de plaisir. Les mains savonneuses de Patrick se baladèrent également sur ses fesses, sur ses hanches puis a nouveau sur les sexes en érection. Clément se demandait s’il devait commencer une fellation ou bien attendre que Patrick se penche pour le sucer. Finalement sa timidité l’emporta car il resta a attendre sagement la suite du programme. Il profitait surtout de cette masturbation, faite avec tant de sensualité par les mains de Patrick. Il trouvait très beau de voir sa propre queue en érection toucher la verge en érection de son amant.

Clément fut en peu déçu que cette douche ne soit pas plus pornographique. Ils étaient tout nu, tout propre, en érection mais Patrick annonçait la fin. Rincés une dernière fois à l’eau claire, ils sortirent de la douche et virent s’enrouler chacun dans un serviette mouleuse pour s’essuyer. Clément trouvait émouvant de se sécher nu, en érection devant cet homme, lui aussi nu et en érection. Chacun souriait de cette complicité, le regard posé sur les pénis de l’autre qui remuaient horizontalement suivant leurs mouvements.

Sec tous les deux, nus, Patrick prit la main de Clément lui indiquant qu’ils se rendaient dans sa chambre. Clément se sentit bizarre de marcher nu, la queue en érection, dans un couloir d’une maison qu’il ne connaissait pas. Tenu par la main, il se sentait tel un gamin. Marcher avec le pénis tendu le fait automatiquement gigoter de haut en bas à chaque pas. Cela troublait énormément Clément, mais ça l’excitait davantage.

Tous deux arrivèrent dans la chambre et un long baiser charnel, sensuel, impudique reprit naturellement. Clément se sentait là, en parfait soumis, à attendre le moindre souhait de son amant. Patrick lui indiquait alors de se mettre à quatre pattes sur le lit, en laissant bien les pieds dépasser dans le vide. Clément s’exécuta. Il compris rapidement que la position lui mettait les fesses nues bien tendues en l’air alors que sa bite regardait droit vers le bas. Délicatement, Patrick lui ouvrit davantage les jambes et lui attrapa son sexe tendu dans le vide en passant sa main entre ses cuisses. Patrick entama une masturbation le visage planté devant le cul offert de son puceau. Clément oublia vite la position obscène dans laquelle il se trouvait, appréciant de se faire branler par derrière.

Délaissant son pénis bien raide, les mains de Patrick se sont mises à masser les belles fesses offertes de Clément. Puis, le jeunot comprit que les mains lui écartaient sa raie du cul alors et qu’au même moment venait de se poser sur son anus une bouche chaude et humide. Clément était conscience de sa position à quatre pattes, jambes bien écartées, fesses grandes ouvertes et avec un mec qui lui embrassait, lui suçait et lui léchait son anus. Plus rien à voir avec une fellation masculine, Clément se sentait pétrifié par comprenant les prémisses d’une sodomie. Pourtant, se faire sucer l’anus le comblait d’un plaisir certain, et il finit par admettre que c’était très agréable.

Patrick passa un bon moment à se délecter de ce cul de puceau, essayant même de rentrer sa langue dans l’anus. Pourtant, Patrick mit fin au sublime léchage anal et attrapa une petite bouteille translucide à sa droite. Clément le regarda, alors qu’il restait toujours le cul grand ouvert et maintenant bien dégoulinant de salive. Patrick se mit du liquide sur sa queue. Clément compris qu’il s’agissait d’un lubrifiant pour les pénétrations. Patrick s’installa derrière Clément et fit glisser très rapidement son gland dans l’anus mouillé qui s’offrait à lui.

Clément savait ce qu’il l’attendait. Du coup, il restait sagement le cul grand ouvert. La pénétration, sans surprise, du gland dans son anus, lui avait fait pousser un râle non maîtrisé. Son petit cul accueillait pour la première fois de sa vie un gland bien gonflé par le désir. La taille de ce gland lui semblait énorme, mais ce gland restait là planté, bien à l’intérieur de son cul. Impossible de serrer les fesses, sa seule solution, attendre. Alors que Clément se relâchait un peu, Patrick fit entrer encore un peu plus son sexe à l’intérieur de son anus. L’homme commençait ses premiers mouvements de vas et viens, qui crispèrent Clément. Il poussait des râles tout en acceptant la pénétration complète de son cul.

Clément compris que chaque vas et viens enfonçaient davantage la queue de son amant. Cela faisait même la deuxième fois qu’il sentait que ses fesses venaient d’entrer en contact avec le devant des cuisses de l’homme, lui indiquant que Patrick y avait glissé tout son sexe. Le trentenaire s’immobilisa dans un râle bien fort et resta totalement enfoncé dans le cul. Il venait d’éjaculer. Clément perçu ce moment comme un soulagement. La sodomie n’avait pas duré longtemps, Patrick devait être sur excité. Clément avait maintenant hâte que ce pénis sorte de son cul.

Mais Patrick sortait son sexe le plus lentement possible pour profiter jusqu’au dernier instant de cette pénétration intime. La sortie parue une éternité pour Clément. Le passage, enfin, du gland au niveau de sa rondelle, le fit grimacer. Puis, la délivrance, pouvoir refermer son derrière d’une dilatation qu’il avouait malgré tout avoir apprécié. Patrick le guidait pour se relever et les deux amants se mirent à s’embrasser fougueusement.

Patrick s’écartait, pris une boite de kleenex et tendit deux feuilles à Clément. Lui s’en prenait deux également pour s’essuyer le bout de sa bite encore tendue. Pourquoi deux feuilles pour lui. Clément baisait les yeux gêné. Il bandait toujours, preuve qu’il avait gardé une érection pendant toute la sodomie sans s’en rendre compte. Il se sentait ainsi gêné car il ne pouvait pas dire qu’il n’avait pas aimé. Son putain de pénis bandait dure comme fer. Patrick lui indiqua que les deux feuilles étaient destinées à essuyer ce qui lui coulait à l’intérieur des cuisses.

Clément se sentait stupide et comprit que de sperme était en train de couler de son anus. Ainsi debout, le sperme s’écoulait maintenant le long de ses cuisses. Clément souleva sa queue bien raide, puis ses couilles bien fermes pour venir essuyer le sperme qu’il jugeait un peu jaunâtre. Clément n’osait se redresser devant son amant, honteux de la sodomie, honteux de bander encore, honteux d’aimer le sexe anal, honteux de s’essuyer du sperme sortant de son cul. Pourtant Patrick l’aidait a vaincre sa gêne en étant le plus chaleureux et délicat pour lui.

Puis Clément vit Patrick s’installer sur le lit et prendre la même position à quatre pattes. Il regardait les deux mains de Patrick ouvrir son cul et se surprit à mater ce postérieur impudique et masculin. Patrick lui demandait alors de venir lui embrasser son anus. Debout, Clément regardait ce cul, il était tellement maintenu ouvert que l’on voyait l’intérieur de l’entrée anale. Pourtant Clément avançait la bouche et nt toucher l’anus avec ses lèvres puis sa langue. Il embrassait ce cul sans grande conviction, il était gêné de le faire. Clément n’éprouvait pas l’envie de sucer longtemps cet anus, un léger dégoût se laissait voir sur son visage.

Du coup, Patrick qui s’en doutait, lui indiquait le flacon de lubrifiant et invitait Clément à badigeonner son sexe de cette lotion. Il s’exécutait et n’avait besoin finalement d’aucune explication supplémentaire pour faire la suite. Son beau sexe en érection, luisant de lubrifiant, fit son entrée dans le cul de Patrick. Clément fut surprit que son sexe rentre aussi facilement. Très vite Clément besognait son amant avec ardeur, comme pour se venger de s’être fait sodomiser quelques minutes auparavant. Très vite, lui aussi, cognait ses cuisses contre le cul rebondi de cette salope de mâle. Clément se sentait vulgaire, mais cette sodomie le rendait complètement fou sexuellement. Avec déception, il fit une dernière poussée au plus profonde avant d’éjaculer avec force, mais trop rapidement à son goût. Jamais il n’avait giclé son sperme avec autant de v******e.

Clément resta là planté dans le cul de son amant le temps de reprendre ces esprits. Il ne voyait que son ventre, collé au cul de Patrick, tout son sexe se trouvant à l’intérieur. L’homme lui fit comprendre qu’il avait besoin qu’il sorte de son cul. Clément finit par reculer lentement son pénis afin de faire durer le plus possible cette sodomisation. Clément vit réapparaître son gland dès le passage de la rondelle anale de son amant. Il était content d’avoir fait, lui aussi, gicler son sperme au plus profond de l’anus de son amant.

Cette fois, sans même s’essuyer, Patrick et Clément filèrent directement à la douche. Chacun se douchait, chacun se lavait les parties intimes et chacun se souriait. Le bonheur était visible chez les deux protagonistes qui furtivement venait tripoter le corps nu de l’autre. Bien sure, ils s’embrassèrent goulûment pour fêter cette partie de sodomies.

Séchés, ils allèrent nus reprendre une boisson dans le salon. Cela faisait bizarre pour Clément de rester nu dans cette maison, assis, pour boire une boisson ainsi. Ils restèrent ainsi et discutèrent longuement. Mais il fallait que Clément rentre, vivant encore chez papa et maman. Il ne voulait surtout pas à justifier son retard par un mensonge. Il lui serait impossible d’expliquer qu’une partie de sexe entre hommes l’avait mis en retard. Mais il se passait alors une dernière anecdote avant le départ de Clément.

Patrick lui demandait de ne pas mettre de boxer alors qu’il se rhabillait. Clément acceptait et enfilait comme dernier vêtement, son jean à même ses fesses. Alors qu’il le boutonnait, il compris l’indécence d’être à poils dans un pantalon. Patrick souriait beaucoup devant la tête que tirait son jeune puceau. Mais Clément n’allait pas revenir en arrière. Ils s’embrassèrent encore longuement avant de se quitter. Patrick l’accompagnait tout nu jusqu’au perron de la porte d’entrée et ne la refermait que lorsqu’il vit la mobylette quitter les lieux.

Clément avait tellement de choses dans la tête … la sodomie qu’il avait aimée, la sensation de sentir son sexe frotter nu contre le jean. Son retour chez ses parents était un trajet imbiber d’une ivresse sexuelle, tant il avait adoré son après midi.

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