Pas grand monde pour ce film Art & Essai en version originale et sous-titres français qui venait de commencer. Les lumières étaient éteintes depuis environ cinq bonnes minutes, quand un homme est apparue dans la salle. Après s’être habitué à l’obscurité, puis repéré les lieux et le peu de gens en place, il vient s’installer dans ma rangée. Mieux, il s’assied à côté de moi.
Je ne comprends pas pourquoi il se colle là, alors que tous les autres fauteuils de la rangée sont vides d’occupants. Un court instant, je suis agacée par sa façon de faire, car si je m’étais mise au dernier rang et dans ce coin, c’était pour avoir du recul par rapport à l’écran… Et surtout ne pas être importunée.
Quelques minutes après qu’il se soit assis, son agitation attire mon attention. Intriguée, J’ai tourné la tête de son côté… Et j’ai eu du mal à croire ce que je voyais dans la lueur réfléchie du projecteur et de l’écran… Le truc de fou qui n’arrive que dans les films X.
Ce vicieux avait déboutonné son pantalon, sorti son robinet et était en train de « s’astiquer le manche » en me matant avec un sourire libidineux.
Profitant de ma stupéfaction, il se penche vers moi et me murmure « Vous ne voulez pas m’aider » tout en se saisissant de ma main pour la poser directement sur sa verge.
Abasourdie, je reste là, main posée sur cette queue gonflée de désir que je sentais palpiter sous mes doigts. J’étais tétanisée. Mon cœur battait la chamade. Je ne savais pas quoi faire. Je ne me reconnaissais pas. C’était comme si ce n’était pas moi qui étais là dans ce cinéma, une bite dans la main ! Comme si je m’étais dédoublé et que mon double observait la scène. Pire ! Au lieu d’être scandalisée, d’enlever ma main et de partir en le traitant « de grand malade », je sentais un émoi pas désagréable du tout me gagner
S’apercevant que je n’avais de réaction négative, il s’est mis à frotter son membre avec, avant de me le mettre carrément dans la main. Elle était épaisse, chaude et raide comme un gros bâton. Inquiète, j’ai jeté un œil dans la salle. Les quelques spectateurs étaient dans leur film et ne faisaient pas attention a ce qui se passait a l’arrière.
Mystérieusement, la situation m’émoustillait, au point que je sentais ma culotte se mouiller et se coller à ma chatte. Ainsi que mes tétons s’ériger sous ma robe que je portais sans soutien-gorge… J’étais prise à mon tour d’une envie irrépressible de jouir.
Comme je ne bougeais toujours pas avec ma main, il m’a initié un mouvement de va-et-vient. Puis mécaniquement, de mon plein gré, j’ai commencé à le branler tout en regardant a quoi ressemblait ce vit. Malgré l’obscurité, j’ai pu constater « qu’il en avait une grosse ». De voir et d’avoir ça dans la main, me faisait couler un peu plus dans ma culotte et une envie de me masturber en même temps que je le branlais s’est emparée de moi. Je me suis bien dit que j’étais complètement cinglée ! Mais c’était trop tard, pour partir, j’étais maintenant trop excitée !
Il était à ma merci, et pour l’instant ne représentait aucun danger pour moi, je sentais qu’il ne résonnait plus que par son machin. Alors, je me suis mise à bien le branler, décalottant et recallottant consciencieusement ce gros nœud, avec une seule idée en tête : lui vider les couilles ! … Et « cerise sur le gâteau » me faire jouir en même temps.
Tout en continuant de secouer mon voisin, la respiration haletante, j’ai passé ma main libre sous ma robe. J’ai commencé par me masser la chatte à travers la culotte. Je mouillais « comme une salope » au point que la dite culotte était foutue pour la suite de la journée. Je serais obligé de l’enlever. Ne serait-ce que pour l’odeur de sexe qu’elle dégage si, je ne veux pas me faire remarquer par mes flagrances, en sortant de ce cinéma.
Puis mes doigts sont passés sous le tissu du sous-vêtement pour enserrer mon clitoris entre mes grosses lèvres et le branler avec. J’ai su de suite que j’allais jouir rapidement. Chaque mouvement de friction me rapprochait de la délivrance. J’y allais comme je sais si bien me le faire. Rien ne pouvait plus m’arrêter !
Je me suis alors appliquée à terminer mon voisin. Il était de plus en plus dur, et il couinait faiblement signe que son jus arrivait. À moment donner, j’ai même cru entendre « suce moi » Mais là pas question ! Alors avant qu’il ne me force, et que je ne sache pas refuser, j’ai accéléré le rythme sur sa queue, en coordonnant mes mouvements dans mon entrejambe pour venir en même temps que lui.
Il s’est contracté d’un coup, émis un long râle qu’il a étouffé comme il a pu, et j’ai senti son sperme chaud jaillir par saccades et me poisser la main… Il devait avoir les couilles bien pleines, car il n’en finissait plus de juter !
C’est à ce moment là que je me suis finie. Et je ne me suis pas ratée ! Avec les contractions de ce chibre qui crachait sa semence et décuplait ma jouissance en me salissant; la boule qui s’était formée dans mon bas-ventre à explosé et ce fut un déferlement apocalyptique de vagues de plaisirs. Je suis venue avec une intensité incroyable ! Contenant mon orgasme en me crispant un maximum et en me mordant les lèvres pour ne pas crier…
Je ne sais pas comment il s’est débrouillé avec ses salissures. Au contraire, savoir que je l’avais souillé m’amusait, c’était un peu ma revanche !… Et pour lui le revers de la médaille ! De plus, sans gêne, je me suis essuyée sur son pantalon. Puis sans avoir repris totalement mes esprits, je profitai de ce qu’il se nettoie et se reculotte pour quitter la salle au plus vite, en priant le Bon Dieu qu’il ne me poursuive pas !
Avant de sortir du cinéma, j’ai fait un passage par les toilettes pour me redonner une allure et enlever cette culotte complètement maculée. Devant la glace plein de choses me traversaient l’esprit, Je me posais des tas de questions sur ce qui venait de se passer et ce que je venais de faire et laisser faire.
Paradoxalement, si j’étais soulagé de m’être dégagée de cette situation, mes sens étaient toujours enflammés, et l’orgasme que je m’étais procurée n’avait en rien calmé mon excitation. Cette queue que j’avais tenue dans la main m’avait donné l’envie d’être remplie…
Quand j’ai ouvert la porte de la cabine, j’ai frémi… De peur… Le pervers était la ! Devant moi avec ce même sourire libidineux que tout à l’heure dans la salle. Il s’est rapproché presque à me coller, je sentais sa respiration, j’étais paralysée. Il me prit par la taille et me repoussa à l’intérieur de la cabine, me plaqua contre le mur et verrouilla la porte.
Je lâchais un jet qui coula sur ma jambe. Était-ce de la mouille où étais-je en train de faire pipi dans la crainte de ce qui allait m’arriver ?
Sa bouche fouillant fougueusement la mienne, le désir charnel à vite repris le dessus. De nouveau irrépressible. Je savais que j’allais y passer… Et j’étais consentante, quoi que je me raconte. J’avais trop envie d’être remplie par une queue. Même si le faire avec cet inconnu pouvait comporter quelques dangers. Mais tant pis ! Je fermais les yeux et m’abandonnais à mon fauteur…
Tout en nous embrassant frénétiquement, il pelotait mes seins à m’en faire mal. Puis une main remonta sous ma robe, y trouva la mouillure de mon sexe enfiévré. J’écartai mes jambes pour lui faciliter les caresses. Nos respirations étaient haletantes. J’ai mis ma main sur sa braguette, sentit l’énorme bosse qui déformait l’entrejambe de son pantalon… Et cette fois-ci, c’est moi qui l’ai déboutonné et fait jaillir ce joujou que je connaissais déjà…
Je l’ai pris à pleine main et comme tout à l’heure, je l’ai branlé. Soupeser ses grosses couilles que je pinçais et malaxais de l’autre. Il me regardait droit dans les yeux, ses doigts dans mon vagin avaient trouvé mon point faible, sa paume appuyait sur mon bouton, j’étais prête à venir, je gémissais et je dégoulinais de plaisir.
Mais ce sagouin ne m’a pas fait jouir. Sa main est sortie de ma minette pour passer sous ma cuisse me soulever la jambe, m’obligeant à lâcher ses couilles pour me suspendre à son cou. De l’autre, il m’a confisquée son machin pour le glisser sous ma robe, jouer avec son gland sur ma chatte, en une caresse fébrile qui me rendait folle surtout quand le nœud venait frotter mon capuchon. Je sentais monter en moi un désir brutal de pénétration.
J’étais surexcitée, je mouillais de nouveau comme une cochonne, et je n’avais plus qu’une envie, c’était qu’il me remplisse, qu’il s’active dans mon trou à plaisir pour chasser cette tension sexuelle qui m’avait envahit !
Il colla son morceau sur mon pubis, puis lentement, le descendit sur ma vulve, la sensation était voluptueuse et m’arracha une plainte de plaisir. L’impatience de le recevoir me devenait insupportable.
Enfin, il toucha l’entrée de ma grotte avec la tête de sa tige, et commença à écarter mes petites lèvres. Je ne pouvais plus me contenir, j’ai eu un cri et je me suis pâmée, accrochée a son cou, alors qu’il mettait son gland dans mon con. J’étais parcourue de frissons extatiques.
Me sachant à sa merci, par jeu, il me faisait languir, en n’allant pas plus profond. Il prenait son temps, il voulait m’exciter au maximum, il voulait que je devienne « salope ». Que je le supplie de me fourrer.
N’y tenant plus, c’est moi qui d’ un coup de hanche me suit empalée sur son membre. Ce qui m’arracha un long râle de plaisir quand j’ai senti ce pieu séparer mes nymphes et s’enfoncer. J’étais enfin remplie par ce sexe long, épais et puissant. Son bâton est venu taper au fond de mon vagin…
C’était un bon coup ! … Il savait se servir de sa trique. Les bourrades qu’il donnait avec son cul, ses couilles qui tapaient dans mon entrejambe, me faisaient vibrer au plus profond de mon être.
Puis après quelques minutes de pilonnage intensif, je sentis le rythme ralentir, les pénétrations devenir plus lentes, mais toujours aussi profondes. Cette baguette magique glissait sans difficulté, son va-et-vient régulier et exaltant diffusait un plaisir extrême dans mon ventre. Je n’étais plus qu’un sexe, et je vibrais des coups de boutoir de nos deux bassins… Heureuse, ruisselante et gémissante
J’étais pendue à son cou, ma tête sur son épaule pendant qu’il malaxait mes fesses, les ouvrait tout en allant et venant en moi… Jusqu’à ce que je le supplie de me finir !
Alors il accéléra, de plus en plus vite, puis frénétiquement. Ma chatte clapotait tellement j’étais trempe. Nos bouches se mangeaient pour étouffer nos cris… Et au moment où il fut pris de spasmes incontrôlés, libérant plusieurs jets puissants et chauds qui remplirent mon vagin de son sperme chaud, ce fut l’explosion ! Je suis partie dans un orgasme irréel qui me laissa agonisante, inerte. Empalée à sa queue, j’étais parcourue de spasmes incontrôlables… Jamais je n’avais autant joui !
Au moment ou l’inconnu retirait lentement sa bite, laissant les jus odorants de nos deux jouissances s’échapper le long de mes cuisses en même temps qu’ une forme de honte, mêlée de remords m’envahissait, je suis réveillée par la sonnerie de mon réveil…
C’est en émergeant agréablement de cette rêverie érotique, que je m’aperçois que je baigne dans des draps souillés, que mon entrejambe est entièrement liquéfié, et mon lit un vrai champ de bataille…
J’avais entendu parler par certaines de mes amies, de ces rêves lucides qui occasionnent des orgasmes nocturnes très intense. Mais pour moi, c’est une découverte, mon premier et j’espère pas le dernier !… C’était si bon !
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