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recit d’une soumise

recit d’une soumise



J’arrive par le train de 22h17. Je cours vers mon Maître qui m’attend sur le parking. Je le vois ouvrir la portière arrière de loin. Je l’embrasse toute souriante, je pose ma valise derrière et j’enlace mon Maître et nous nous embrassons tendrement dans la voiture et nous disons des mots d’amour.

Maître Dobi me dit que la peau de son gland est irritée et qu’il va ménager son sexe ce soir et ne pas me pénétrer.

Mon Maître nous emmène vers la pizzeria et comme souvent nous dinons dans la voiture en discutant et nous continuons à parler pendant le trajet jusqu’à la maison.

Quand nous arrivons, nous nous enlaçons puis nous montons dans la chambre. Maître Dobi se déshabille et je fais de même. Puis, je fais quelques offrandes à mon Maître et je sors les sex toys et mets mes chaussures à talons.

Maître Dobi m’ordonne de l’attendre en posture avec quelque chose dans le cul, le masque sur les yeux, le petit violet près de moi. Il me dit de mettre l’alèse. Je pressens alors qu’il veut me fister.

Mon Maître vient vers moi. Je suis allongée sur le dos, nue avec mes talons. Mon Maître commence à me caresser tendrement. Je mets le masque noir sur mes yeux pour que je me concentre sur mes ressentis. Je me suis mise le petit plug noir dans le cul. Mon Maître me fait mettre du gel sur la chatte et alors qu’il utilise le petit violet sur mon clito, il commence à enfourner un puis deux doigts dans ma chatte. Je suis relâchée, plus que d’habitude dans cette situation. Je fais confiance à mon Maître qui bouge ses doigts pour stimuler mes points de plaisir. Mon excitation augmente et Maître Dobi insère un troisième doigt. Il me laisse les manettes du petit violet que je fais vibrer à ma convenance. Mon plaisir est tel que parfois je me serre les seins à plein main, parfois je me pince les tétons.

Mon Maître veut que je sois saoulée de plaisir, il veut que mes zones érogènes des parties génitales soient stimulées pleinement quand il m’a bien excitée. Je sens qu’il enfonce l’œuf vibrant dans mon vagin, je crains toujours ce sex toys car plusieurs fois, je me suis pincée les lèvres avec. Maître Dobi me permet de le rentrer moi-même et il dirige la vibration. Je suis remplie par le cul, la chatte et mon clito est excité par le petit violet.

Maître Dobi me parle pour m’exciter davantage. Il me dit que je suis une salope qui aime le cul et qui aime se soumettre à ses ordres, et qu’une fois que j’aurais joui, il me traitera comme une chienne qui devra obéir à tout ce qu’il ordonne. Il me dit que je devrais venir le sucer, je devrais porter un plug au cul, boire dans ma gamelle. Plus mon Maître me dit qu’il sent mon vagin gonfler, que j’aime être traitée comme ça, plus mon plaisir s’intensifie.

Les paroles crues de mon Maître et ses pincements sur les seins, le plug anal et l’œuf vibrant dans mon vagin ajoutés aux vibrations du petit violet me font avoir un orgasme explosif au bout d’un bon quart d’heure de stimulation.

Je crie, râle et hurle pendant un bon moment (plusieurs dizaines de secondes) pour exprimer cette jouissance intense. Mon Maître me serre pendant cet instant et quand je termine, comme la plupart du temps par des sanglots. Mon Maître m’enlace et je me serre contre lui, heureuse mais toujours troublée de cette énergie sexuelle qui est en moi et que je déploie en présence de mon Maître.

Après m’avoir cajolée un moment, mon Maître m’autorise à enlever mon œuf vibrant du vagin et nous descendons nous laver.

Nous nous endormons tard dans la nuit. Mon Maître a enregistré ma série que je regarde à côté de lui. Je le rejoins dans son sommeil une fois que j’ai visionné l’épisode.

Vendredi 24 juillet

Aujourd’hui, mon Maître a prévu une après-midi shopping.

Après notre réveil tardif, nous nous préparons tranquillement pour partir après le déjeuner.

Je prépare le repas. J’ai très faim. Je commence à manger. Maître Dobi me fait me lever, avancer, et baisser ma culotte avec mes mains sur la tête devant la porte de la buanderie. Je fais ce qu’il demande et je reste en position, jusqu’à contre ordre.

Après une minute, mon Maître me rappelle à lui et j’ai autorisation de reprendre mon repas. Nous discutons normalement et après quelques minutes, mon Maître m’ordonne à nouveau de me lever et de lui faire la lecture de son journal sportif pendant qu’il mange. Je suis toujours surprise par ce contraste, ce mélange des genres, des moments de domination et d’attention à la femme que je suis. J’en suis troublée à tel point que je me mets à pleurer. Pourtant, cette façon de faire, le passage d’un extrême à l’autre, caractérise mon Maître.

A nouveau, je peux recommencer à manger.

Il est vrai que ces derniers temps, bien que je sois assez bien obéissante, je ne fais pas ou très peu de gestes de soumission spontanés. C’est encore un de mes grands défauts que mon Maître déplore dans notre relation. C’est pourquoi je comprends mieux qu’à certains moments impromptus, ce soit lui qui me les impose.

Le soir, nous dinons chez un ami de mon Maître et nous rentrons très tard dans la nuit. Très fatigués, nous nous endormons enlacés, après avoir regardé ensemble ma série.

Depuis mon arrivée jeudi soir, Maître ne m’a pas encore pénétrée et j’ai très peu vu sa queue. Je n’en ai pas moins envie de lui. Mais les bons moments et l’ambiance d’amour permettent de compenser et de patienter avant d’être pénétrée. En plus, Maître Dobi fait monter le désir.

Samedi 25 juillet

Nous nous réveillons tard vers 13h15. Maître Dobi décide de sortir prendre une pizza à emporter et de faire une pique-nique dans la forêt. Je mets trop de temps à me préparer. La pizzeria est fermée quand nous arrivons en ville. Je m’excuse après de mon Maître qui est clément et ne me punit pas.

Après notre repas improvisé dans la forêt, nous rentrons et bricolons dans la maison.

Vers 18h, quand nous terminons, je suis sur le lit. J’ai très envie de mon Maître et je fais quelques gestes explicites et lui lance quelques regards gourmands pour attiser son désir. Maître Dobi vient vers moi et s’allonge sur moi. Je me suis déshabillée et je suis allongée sur le dos.

Il m’embrasse et commence à élaborer un scénario qui m’a toujours excité : celui de la vierge peu initiée par un amant expérimenté.

Tout en me parlant, Maître Dobi continue à me baiser la chatte. Il m’a relevé les jambes sur ses épaules et me pine fort à mesure que son scénario augmente mon excitation. Mes répliques alimentent le plaisir de cette étreinte. Maître Dobi me baise sans ménagement pendant longtemps alors que je suis sur le dos. Je peux décupler mon plaisir à le regarder me prendre comme une jeune fille fragile qui découvre la sexualité avec envie. Mon Maître me dit qu’il va m’enculer et m’explique la sodomie comme si j’étais ignorante des pratiques anales. Il me place sur le côté et continue à me piner la chatte en cuillère. La position me fait mal au ventre et je me mets à pleurer. Maître Dobi me bascule alors sur le ventre et je suis alors baisée en posture N° 10. D’abord, je ne me cambre pas, ensuite, si. Mes cris et gémissements et le scénario excitent fortement mon Maître, il s’active de plus en plus et alors qu’il sent sa jouissance monter, il se retire, se retourne. Je me mets sur le dos et à l’ordre de mon Maître mais surtout instinctivement, je saisis sa queue que je branle au dessus de mon visage jusqu’à faire juter mon Maître.

Maladroite encore pour cette pratique, je dirige mal son sexe et je reçois du sperme dans les cheveux. Je n’y prête pas attention, je suis surtout heureuse d’avoir fait jouir mon Maître.

J’éclate en sanglot et je pleure. Quand mon Maître me demande pourquoi je pleure, je lui dis que dans le contexte du scénario de cette étreinte, je me sens coupable de ce que je viens de faire vis-à-vis de mes parents. Maître Dobi éclate de rire, moi aussi un peu mais je pleure encore plusieurs minutes dans les bras de mon Maître que j’aime très fort et que je remercie de me faire vivre des expériences des plus variées et des plus excitantes.

Mon Maître m’a baisée près de 35 minutes et j’ai eu du plaisir jusqu’à 8 sur une échelle de 10.

Nous descendons nous laver puis continuons à faire du travail dans la maison.

Il est très tard quand nous dinons. Je suis mal coiffée depuis plusieurs heures. Depuis la douche, ma frange refrise et je n’ai ni pris soin de me remaquiller, ni de me coiffer. De plus, je suis en tenue de ménage. Maître Dobi me met en garde contre ma négligence, mon laisser aller et mon attitude « tendance mémère » qui privilégie les taches ménagères et une maison rangée à une attitude et une présentation de soumise. Mon Maître me rappelle que je suis sa pute soumise, à son service et à celui de son plaisir et il attire ma vigilance sur l’importance d’être apprêtée, désirable et de venir plus souvent faire des gestes de soumission explicites, lui demander ou le provoquer pour être baisée plutôt que d’être une soumise domestique.

Mon Maître ajoute que c’est une question de dosage et d’équilibre. Je demande alors des exemples concrets de ma négligence. Il me dit que je mets des talons beaucoup moins souvent qu’il y a quelques mois et que je ne suis pas assez sexy.

Je suis blessée et je laisse couler des larmes. Sans doute par orgueil, j’ai du mal à accepter cette critique. Je reconnais après quelques tergiversations que j’ai sans doute tendance ces derniers temps à être moins coquette. Je m’en excuse auprès de mon Maître et je lui dis que je compte remédier à ce tort. Nous remontons et nous allongeons sur le lit. J’ai ma valise à faire et mon « planning » pour les 15 jours à venir. Mon Maître m’aide à prioriser mes taches quotidiennes quand je suis loin de lui. Pour l’instant, je caresse tendrement mon Maître.

La musique nous relâche. Mon Maître s’endort sous mes caresses et moi aussi après lui.

Je me réveille après 45 minutes de sommeil. Je fais ma valise avant de me recoucher près de mon Maître.

Dimanche 26 juillet

Je pars tout à l’heure. Le week-end est passé très vite.

Nous nous réveillons un peu avant la sonnerie du réveil. Je me lève pour finir de préparer mes affaires. Je suis coiffée et maquillée quand je rejoins mon Maître avec son citron pressé. Il est allongé sur le lit et il me dit de me rapprocher pour me câliner encore avant que je parte. Après m’avoir ordonné de mettre de gel sur ma chatte et ma vulve, il me dit de venir sur lui. Mon Maître me montre sa grande queue bandée. Placée sur lui, je m’enfonce son sexe dans le vagin. Je crains toujours de le lui tordre mais je semble avoir intégré la technique qu’il m’a apprise la dernière fois. Une fois en moi, mon Maître me tend les bras et je me couche sur lui. Il me serre tendrement et commence à me bouriner. J’ai toujours énormément de plaisir dans cette position à la fois tendre et érotique. En plus mes sensations sont particulièrement voluptueuses quand mon Maître me prend comme ça. Ma respiration s’emballe. Je décolle vite et mon excitation est amplifiée par le souffle de mon Maître dans mon oreille. Voyant que je m’emballe, Maître Dobi m’autorise à serrer mes jambes et à les tendre et me placer entièrement sur lui à le recouvrir de tout mon long. L’angle de pénétration de sa queue est différent.

L’expression de mon plaisir donne à mon Maître l’envie de me voir et il me bascule sur le dos pour me prendre de face. Il continue ses va et vient en appui sur ses genoux, et je peux voir son torse et son plaisir dans ses yeux, ce qui me rassure toujours. Comme très souvent, quand une étreinte a lieu, je suis rassurée du plaisir que je procure à mon Maître. Paradoxalement, je provoque trop peu souvent une étreinte de moi-même.

Maître Dobi est sur moi, il me fait l’amour en missionnaire et j’agrippe ses fesses, ses épaules à mesure de ses coups de reins. Mes mains parcourent les parties de son corps qu’elles peuvent atteindre.

Maître Dobi se redresse et il me pose les jambes sur ses épaules. Il me bourine un peu la chatte dans cette position. Il déplace au rythme de ses envies mes jambes sur le côté ou me tient les chevilles jambes écartées. Il me donne l’impression d’être un cavalier qui trotte ou galope sur sa jument et je trouve cette image très excitante. Sans sortir sa queue de mon sexe, Maître Dobi se couche derrière moi. Il continue de me baiser dans la chatte en position de la cuillère, une de mes positions préférées. Tantôt nous sommes collés, tantôt mon Maître éloigne son torse de mon dos et il me prend ainsi selon un angle de pénétration différent.

L’excitation fait enchaîner à mon Maître la position de la levrette que j’aime aussi beaucoup. Je vois d’un « autre angle » l’image du cavalier sur sa jument : )

Après des va et vient plus ou moins forts en levrette, c’est en posture N° 10 complètement allongé sur moi que mon Maître poursuit l’étreinte. Je me cambre pour sentir davantage sa queue prendre mon vagin.

Maître Dobi m’informe qu’il va m’enculer. Il se lève et me tire par les jambes vers le bout du lit. Je suis debout jambes tendues et le buste penchée sur le matelas. Je reçois mon Maître qui s’enfonce à nouveau dans mon anus cette fois-ci très peu de temps après que je me sois placée dans cette position. Je sens rapidement sa queue qui s’enfonce dans mon cul. Comme toujours, je crains d’avoir mal. C’est le cas mais très peu. Maître Dobi attend quelques secondes que mon anus se dilate et il reprend ses va et vient d’abord doucement puis plus virilement. Il m’enlace et me recouvre le dos de son torse et de ses bras.

D’un mouvement rapide, je me tourne sur le dos pour être prise dans le cul de face. Maître Dobi aime beaucoup me regarder quand il me sodomise car j’entre comme en transe bien souvent dans ces moments-là : je gémis, je crie et râle et surtout quand mon Maître est dans mon dos. Aujourd’hui, peut-être que son regard me trouble et il me semble que je suis plus à l’aise pour m’exprimer à travers ces cris quand je lui tourne le dos, malgré toute la confiance que j’aie en lui. Je me retrouve avec moi-même et ce ressenti m’est très personnel.

Mon Maître me fait grimper sur le lit et mettre à 4 pattes. Il m’encule fortement en levrette puis plus tendrement quand il entend mon trouble à travers mes cris.

Aimer autant me faire prendre le cul me trouble et je finis toujours par en être perturbée. Pour calmer l’étreinte et en faire progressivement baisser l’intensité, Maître Dobi me bascule sur le côté et me perfore en cuillère avec des mouvements doux. Je me mets à pleurer et Maître Dobi me prend dans ses bras. Il continue très doucement ses va et vient un dernier instant avant de se retirer en m’embrassant. Maître Dobi me dit qu’il est sûr qu’un jour je vais jouir par le cul et que ce sera énorme. Je pense moi aussi que c’est possible. Mon Maître m’a offert cette étreinte de 35 minutes avant notre séparation de 15 jours. Mon niveau de plaisir est monté jusqu’à 9 sur une échelle de 10.

Mon Maître me raccompagne à la gare et je reprends le train.

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