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Une histoire vécue.

Une histoire vécue.



Par OdetteMaso

« Maîtresse, votre esclave est à la cave. Masturbez-vous, puis venez en silence. Donnez-lui au moins douze coups de fouet de toutes vos forces. Soyez sans pitié même si elle hurle ».

Comme je passe mes journées seul, je m’excite sur internet. Quand je peux me retenir d’éjaculer, je suis dans un de ces états !
Alors j’ai l’habitude de lui laisser ce genre de billets dans le hall pour qu’elle le trouve en rentrant de son travail.
Cette fois, j’ai fait fort.
À la cave, j’ai installé des pitons aux murs, deux près du sol, deux en hauteur. Quand je m’y lie, j’ai les jambes et les bras très écartés, de manière à être accessible de partout sans gêne pour son fouet.
J’ai d’abord ouvert deux radios, sur des émetteurs différents afin de ne rien entendre d’autre et me suis mis des bouchons dans les oreilles.
Je me suis mise toute nue, ne gardant que mes escarpins à talons aiguille. Des pinces à dents, lestées et bien mordantes aux tétons. Je me suis entré le plug anal, et me suis suspendu un parpaing aux testicules, à la limite du supportable. Puis j’ai passé mes chevilles dans les cordes. En guise de bâillon, une de ses petites culottes prise dans la manne, la partie bien crasseuse sur ma langue, et une ceinture de soie serrée pour la maintenir. Puis j’ai passé mon poignet gauche dans le nœud coulant, j’ai baissé le bandeau sur mes yeux. Enfin, j’ai attrapé la corde pour y glisser mon poignet droit et tirer afin de fermer le nœud coulant. Là, je suis totalement incapable de me libérer seule.
Sans imprévu, Maîtresse doit rentrer dans une heure.
Au bout d’un moment, je commence à sentir la fatigue. D’abord les jambes, cambrées sur mes talons trop hauts. Mais surtout, ce sont mes testicules qui ne supportent plus le poids du parpaing, j’ai présumé de ma résistance. Inutile de dire que je ne bande pas. De plus, il commence à faire frais.
Enfin, je n’ai rien d’autre à faire que méditer sur mon sort.
Mon seul regret, et il est fondamental, c’est que ce devrait être Maîtresse qui m’impose ce genre d’épreuve. Or si elle accepte volontiers de réaliser mes demandes, elle ne prend pas assez d’initiatives à mon goût.
Elle a appris à me fouetter merveilleusement, me gifle volontiers à l’occasion, me fait faire les travaux ménagers en tenue de boniche, m’offre souvent son urine dans la bouche, dans un verre le matin ou même dans mes aliments, se fait lécher l’anus et me garde ses petites culottes bien encrassées. Tout cela, c’est moi qui le lui ai suggéré.et donc j’obtiens en partie ce dont j’ai besoin. Sauf l’essentiel : que tout ça vienne d’elle, qu’elle prenne enfin le pouvoir.
À la longue, l’attente devient insupportable. Je l’ai voulu ainsi dans mon excitation, expérimenter une vraie situation d’esclave, mais là, j’approche de l’état de détresse. Je me jure d’être plus prudent la prochaine fois.
Clac !
La surprise me fait sursauter, le parpaing m’arrache les couilles. Je hurle sous mon bâillon, me tords dans tous les sens. Mais, comme je l’en ai priée, son fouet continue de claquer, de me zébrer le dos et les flancs. Au bout des douze coups, elle s’arrête enfin. Elle éteint les radios, se place devant moi et me gifle à toute volée, en aller-retour. Tirant sur mes pinces aux tétons, elle demande, ironique :
– Alors, Solange, on ne supporte plus une petite correction ?
– Mmm…
– Comment ? Je ne comprends pas.
– Mmm…
– Ah, tu en veux encore un peu, c’est ça ?
Je secoue la tête dans tous les sens.
– Allez, je te laisse.
Sans pitié cette fois, elle me laisse là. Je n’en peux plus, c’est au-delà du supportable, je suis au bord des larmes.
Au bout de cinq minutes, une éternité, elle est de retour, me souffle la fumée de sa cigarette au visage. Puis souligne les traces de fouet d’un ongle acéré.
– Alors petite femelle, tu as eu ce que tu voulais cette fois ?
Je fais oui de la tête. Elle m’enlève le bâillon et me fait boire un grand verre d’urine chaude et très amère. Car elle a pris l’habitude de se retenir tout l’après-midi pour avoir un pipi bien acre.
– S’il vous plait, Maîtresse, détachez-moi.
Paf, une paire de gifles.
– Et alors, un bon fouet, un délicieux pipi, et on ne remercie pas sa Maîtresse ? Je crois que ça mérite une punition, non ?
– Par pitié, Maîtresse, je vous remercie du fond du cœur, mais je n’en peux plus.
– Non non non non, ta punition d’abord.
Dix violents coups de martinet sur la bite. J’ai l’impression que mes testicules vont s’arracher. Je vois 36 chandelles.
– J’espère que ça t’apprendra la politesse à l’avenir, Solange.
– Oui Maîtresse, merci Maîtresse.
Elle me remet sa culotte en bouche, ouvre les pinces, la douleur est intense dans mes tétons. Enfin, elle me libère un poignet.
– Je t’attends au salon, en tenue, tu as du travail. Et dépêche-toi.
Je me libère rapidement, bandeau, bras et jambes. Quand je défais le nœud coulant, mes pauvres testicules se recroquevillent et rentrent se cacher.
À l’étage, je me regarde fièrement dans le miroir : jolies zébrures rouges, mais ma petite bite est toute noire.
Je m’habille : faux seins, soutien-gorge, porte-jarretelles, les bas nylon, la petite culotte, les mules, mon chemisier transparent, ma jupette noire plissée et noue mon petit tablier. Enfin ma perruque.
Maîtresse est assise au salon. Je lui fais ma révérence, jupe relevée.
– Tu as ton gode, Solange ? Montre.
Je me penche, baisse ma petite culotte et écarte les fesses.
– Allons, montre s’il est propre.
Je l’extrais et le lui présente.
– Mwais, il a besoin d’être nettoyé.
– Maîtresse !
Elle bondit et me gifle.
– Quoi ? Dix coups de fouet ce soir pour ce refus. Allons, obéis.
Je prends le gode en bouche et le suce consciencieusement.
– On dirait que tu dois apprendre. J’y veillerai, une bonne femelle doit savoir sucer. Allez, remet le à sa place.
Humiliée et honteuse sous son regard, je le rentre dans mon anus.
– Bien. Mon apéritif et va préparer le souper.

Fin de l’épisode.
C’est une histoire réellement vécue.
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