Vous vous rappelez comment j’ai été déniaisé par Tonton Vick. Il me revient une autre aventure qui c’est déroulé pendant des vacances chez lui. Il avait une grande maison avec des dépendances et une piscine. Grâce à lui, j’ai découvert comment être salope avec des hommes. Pour les femmes, je ne l’avais pas attendu avec mes multiples expériences au Lycée. Pour cette fois-ci, Vick s’était amusé à fouiner sur des annonces coquines pour trouver quelque chose d’originale à me soumettre. Il répondit à cette annonce laconique d’un type :
« Homme de 65 ans. Dominateur expérimenté. Cherche JF pour dressage de qualité. »
Il me la montre en me disant que cette annonce est pour moi. Sans me laisser le temps de lui donner mon avis, il répond à l’annonce devant-moi :
«Je suis une JF en quête d’expériences et d’éducation. Souhaite rencontre pour dressage dans des limites fixées par mon mentor. »
La réponse ne tarde pas. Un rendez-vous est pris pour le lendemain dans un restaurant pour faire connaissance et établir les limites de cette expérience. Il précise seulement :
« Dis à ton Mentor qu’il devra t’habiller de telle façon à ce qu’il y ai aucune ambiguïté sur ton désir de soumission. Le vouvoiement sera de mise et tu m’appellera Maître. »
Le lendemain, Vick prend soin de me laver lui même avec soin. Il m’épile personnellement ma fine toison et choisit mes vêtements. Il m’enfile un string minimaliste, avec un soutien-gorge seins nus assorti et un corsage résille très sexy. Je suis fébrile mais le fait que mon Oncle soit présent lors de cette présentation me rassure. En arrivant au restaurant, avant de me dire bonjour, il serre chaleureusement la main à mon Oncle en me détaillant comme on le fait d’une bête à viande sur le marché. Puis, très classe, il me fait un baise en murmurant :
« Ravissant petit lot. »
Durant le dîner, les deux hommes parlent entre eux de la façon dont je serais dressé sans se préoccuper de ma présence. Au dessert, mon sort est fixé. Enfin il s’adresse à moi.
« Tu as une culotte ? »
« Oui Maître. »
« Oui. Enlève là ! »
Je regarde apeurée mon Tonton qui me fait signe de m’exécuter. Je regarde autour de moi. D’où nous sommes, tout les clients peuvent voir ce manège s’il le veulent. Heureusement que la nappe est longue et peu masquer la manœuvre. J’hésite trop longtemps à son goût et il s’exclame comme un coup de fouet :
« Obéis petite pute ! »
Aussitôt, je fais glisser discrètement mon string et une fois le tissu diaphane au creux de ma main,ite possible. Une fois le bout de tissu dans ma main, je lui tends sous la table. Un sourire malsain s’affiche sur son visage en tendant sa main au-dessus de la table en m’ordonnant :
« Donnes ! »
Je regarde à nouveau Vick comme un appel au secours et rouge de confusion, je lui donne ma culotte qu’il exhibe aussitôt ostensiblement, juste au moment où le serveur se pointe. Ce vieux vicieux lui dit, en exhibant toujours ma culotte :
« L’’addition s’il vous plaît ! Cette jeune petite salope a tellement envie de se faire baiser qu’elle a déjà enlevé sa culotte comme vous voyez. »
Je ne sais plus où me mettre. Le serveur me jette un regard dédaigneux et répond au Maître :
« Tout de suite Monsieur. Il ne faudrait pas la faire attendre. »
Plusieurs clients me dévisagent en faisant des commentaires déplacés. Je suis morte de honte mais aussi très excitée. Le Maître est attentif à toutes mes émotions et me dit :
« regarde moi dans les yeux petite pute ! »
Les yeux baissée regardant mon assiette, je relève doucement la tête pour soutenir son regard d’acier. C’est une façon pour moi, la boule au ventre, d’accepter sa domination et de me livrer à ce vieux salop. Il me sourit. Quand le serveur revient avec l’addition, il en profite pour me demander devant lui :
« Es-tu une salope Michèle ? »
Prenant mon courage à deux mains et enlevant un neurone, morte de honte, je répond d’une voix blanche :
« Oui Maître, je suis une petite salope. »
Il insiste en regardant le serveur médusé :
« Tu es ma chienne soumise pour toute la journée ? »
« Oui Maître. Je suis votre chienne et suis prête à vous servir. »
Sur ce, nous nous levons et quittons le restaurant sous les regards offusqués des clients. Arrivés à la voiture, il se retourne vers moi et me dit :
« Enlève ton corsage ! »
Je tente une dérobade en lui disant que je n’ai qu’un soutien-gorge seins nus. Mais il insiste en me laçant :
« Je le sais très bien ! Tu ne cache rien avec ce corsage transparent ! Enlève ça et plus vite que ça ! Je n’ai pas être contredit ! »
J’obéis sur le champ. Il mate mes seins mis en valeur dans ce joli écrin de dentelles et me lance d’un ton autoritaire :
« Le soutif maintenant ! »
Nous sommes en pleine rue. La situation est vraiment humiliante pour moi. Mais j’obtempère en baissant les yeux pour ne pas voir les regard des passants.Je ne suis plus qu’en mini-jupe en pleine rue exposant mes seins aux multiples voyeurs. Satisfait de mon obéissance, il garde le soutien-gorge et me tend mon corsage en me disant :
« Tu n’a vraiment pas honte de t’exhiber comme ça en public. Remet ça vite fait avant que des flics se pointent et t’embarque pour racolage. Monte dans la voiture. On va s’occuper de ton petit cul. »
Une fois chez mon Oncle, il m’ordonne :
« A poil salope et main sur la tête jambes écartées ! »
Vick lui sert un sky pendant qu’il m’inspecte en détail. Mon Oncle lui demande :
« Alors cher ami ? Content de la marchandise ? C’est du premier choix comme vous pouvez le remarquer. »
Il ne répond pas tournant autour de moi. Puis, comme un maquignon qui inspecte une vache, il commente mon anatomie en me pinçant un sein et en fouillant ma jeune chatte gluante de cyprine. Il regarde mon Oncle et lui demande :
« Elle aime être exhibée ? »
« Oui. Elle adore ça. D’ailleurs vous devez le constater. Je suis certain qu’elle mouille comme une salope, là ! »
Il s’adresse alors à moi en me pinçant plus fort un mamelon :
« Oui en effet. Ça t’a excité de montrer à tout le monde que tu étais une salope ? T’es excitée là ? Tu mouille comme une chienne en chaleur. »
« Oui Maître. »
Il me pince de plus en plus fort le téton. Je grimace et serre les dents pour ne pas crier.
« Tu veux de la bite petite putain? »
« Aiiiie !!!! Oui Maître ! »
« Tu veux sucer nos bites salope ? »
« Ouiii !!! Merci Maître ! »
« C’est bien. A genoux ! Je vais voir si tu suces comme il faut. »
Ils sortent leurs queues déjà bien raides et en me mettant à genoux, je commence par les branler. Puis tour à tour, je me met à les sucer avec une sorte d’acharnement. Je me prends un gifle par le Maître qui me lance :
« Doucement petite pute ! Ton Oncle ne t’as donc pas appris à déguster une bite ? »
Je me calme et reprend mes fellations comme Tonton me l’a appris.
« C’est mieux. Si tu fais ça bien, après tu auras le droit de te faire baiser par nous deux. Sinon c’est à coup de fouet que je t’apprendrais à sucer.»
Je fais de mon mieux, c’est vrai que jusqu’à présent, j’avais plutôt considérer la pipe comme un plaisir personnel et une façon d’être maîtresse du plaisir de mon partenaire. Mais là, on me l’impose comme soumission à l’homme et ne suis que sa chose. Je découvre un autre plaisir dans cette soumission et dans l’humiliation. Je m’applique à la titiller du bout de ma langue les méats, lécher leurs hampes, engloutir à fond leurs membres, sucer leurs couilles….. Le Maître me guide en sirotant son whisky. J’aime être à leurs pieds comme une sorte d’esclave sexuelle qui n’est utile que pour servir leurs queues. Il commente ma fellation à Vick :
« Votre jeune nièce a de l’avenir cher ami. Elle suce déjà les bites comme une pro. Pourquoi ne lui perceriez -vous pas la rondelle pendant qu’elle me pompe ? Je suis certain que ses ardeurs sur ma bite seraient différentes. N’es-ce pas Michèle ? Demande à ton Oncle de te trouer le cul ! »
« Oui Tonton, viens me défoncer le cul s’il te plaît ! Je suis votre femelle docile et mon cul est à votre disposition. »
Tout en continuant à satisfaire la queue du Maître,Vick se place derrière moi et d’une poussée ferme, il s’enfonce dans mes entrailles. La douleur de cette pénétration me fait serre trop fort la bite du Maître qui me le fait savoir rapidement d’une claque sur mes seins. Je dois être une bonne salope docile et tout accepter d’eux. Mon cul, ma chatte, ma bouche, mes seins doivent être à leur entière disposition. Ça m’excite tellement que je suis à deux doigt de jouir. Le Maître s’en rend compte et me l’interdit en me donnant des claques sèches sur me doudoune qui commence à rougir. Jamais encore on ne m’avait maltraité ma poitrine ainsi. C’était douloureux mais je m’apercevais que j’aimais ça.ait totalement. Vick, tout en me bourrant le cul demande au Maître :
« Alors ? Qu’en pensez-vous ? Elle suce pas mal, ma petite salope de nièce ? »
« Oui, elle met de cœur à l’ouvrage . Mais elle a encore des progrès à faire. »
Je suis leur objet sexuel. Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là.
« Bon, prenez ma place, je vais tester son cul maintenant que vous avez fait le passage. »
« Ok, je pense qu’elle meurt d’envie de sentir votre queue dans son cul cette salope ? Pas vrai Michèle ? » Dit-l en en me donnant une grande claque sur les fesses.
« Oui enculez-moi Maître ! »
Le Maître sort de ma bouche, me donne une dernière claque sur mes seins si sensibles en m’ordonnant :
« Demande mieux que ça petite pute ! »
« S’il-vous plaît Maître, je vous en supplie Maître. Honorez mon cul de votre grosse bite. Prenez-moi le cul. Défoncez-moi ! »
Il rigolent tout les deux et c’est très humiliant.
« C’est demandé si gentiment que je ne peux pas faire autrement que d’accéder à ta demande . T’es vraiment une petite chienne en chaleur toi ! Tu fera un putain de vide couilles et de garage à bites ! »
D’un coup de reins violent, il s’enfonce d’un seul coup dans mon rectum, jusqu’à la garde.Même si je suis déjà dilatée, lLa douleur vive qui me transperce, me fait hurler. Tonton profite de ma bouche grande ouverte pour y fourrer sa verge souillée de mon cul.
« Ferme là Michèle, tu nous casse les oreilles ! » Me dit-il.
La douleur de mon anus diminue pour faire place à nouveau au plaisir. Pendant que le Maître me pilonne le cul. Cette situation de femelle prise en brochette avec une queue dans la bouche et une dans le cul me plaît énormément. Je tortille du cul et m’applique de mon mieux pour extraire le jus de la queue de mon Tonton. Ma fellation est rythmée par les coups de boutoir du Maître qui me défonce la rondelle. Leurs commentaires vont bon train. Tonton dit au Maître :
« Votre intervention est extraordinaire. Cette petite salope suce de mieux en mieux. »
« Oui je sais driver ce genre de petite femelle en chaleur. En attenant la suite, je peu dire que qu’elle a le cul bien serré sur ma queue. C’est un régal, un jeune cul comme le sien. Elle promet la salope. »
Vick demande au Maître :
« Pourriez-vous la bourrer plus fort ? J’ai l’impression que plus vous la défoncez brutalement, mieux elle suce. »
Comme on chevauche une jument au galop, il s’acharne avec velléité dans mon fondement en me claquant les fesse à tour de bras. Je sens Vick qui vibre en spasme dans ma bouche en disant à mon enculeur :
« La pute ! Elle me fait jouir cette salope ! »
Il crache plusieurs jets de foutre dans ma bouche que j’avale sans en perdre une goutte. Au même moment, le Maître se répand dans mes fesses tout en continuant à me rougir le cul. A ce rythme, je vais pas pouvoir m’asseoir pendant plusieurs jours. Puis il sort de mon orifice distendu et me lance :
« T’es une vraie truie ! Va prendre une douche pendant que nous statuons sur ton sort ! »
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