Apres les explications de Georges, nous déchargeons mes affaires des voitures et les emmenons dans la maison.
– Je peux prendre la chambre rose ?
– Bien sûr tu es chez toi maintenant
– Sincèrement cela me gène
– Arrêtes de parler et range un peu tes affaires je vais préparer à manger
– Merci Georges
– Au fait il y a peut-être encore des affaires de ma filles tu n’auras qu’à faire le tri.
J’entends Georges descendre l’escalier et j’ouvre les différents meubles de la chambre. Cette jeune fille rangeait ses deux chambres exactement pareilles. Les mêmes choses au même endroit je décidais donc de ranger à ma façon. Dans la commode je plaçais dans le premier tiroir les dessous de tous les jours. Dans le deuxième Bas, Collant, chaussettes et socquettes pour cela j’enlève les serviettes périodiques et les couches culottes que je place dans un sac plastique et je le glisse sous le lit. Dans le dernier je place tous les sous-vêtements affriolants. Ensuite je range l’armoire ou je découvre des maillots de bains 1 et 2 pièces. En rangeant le rayon du bas j’ai la surprise de retrouvé le même paquet que dans la chambre de la maison du médecin. Je le replace au même endroit en ajoutant celui que j’ai récupéré et la boite avec les gods et les cahiers. Je dissimule tout cela par d’autres vêtements. J’ai vus qu’à l’entrée de la maison il y avait un placard ou je pourrais ranger mes chaussures. Après avoir raccroché tout ce que j’avais trouvé dans la penderie. Une fois finis je fais le lit. Et passe dans la chambre d’à côté ou je fais le lit aussi. En me disant que si la relation entre moi et Georges va plus loin que cet après-midi au moins les deux lits seront fait. Je descends dans la cuisine rejoindre mon docteur qui s’affaire derrière les fourneaux. Une bonne odeur se repend dans la pièce.
– A te voilà ? tu as pu rangée tes affaires
– Oui le principal est en place sauf que je ne vais plus savoir quoi porter avec tous les vêtements Féminins que j’ai.
– Je suis sûr que tu en feras bonne usage, il doit y en avoir d’autre dans l’autre chambre tu regarderas quand tu auras le temps.
– Merci à toi. Mais à part garder la maison que veux-tu que je fasse pour toi je ne vais pas me faire entretenir
– Et pourquoi- pas
– Quoi que je dise tu ne voudras rien entendre ?
– C’est cela
Il est 19h30 nous passons à table, Un repas tout simple mais excellent. Le repas finis il me propose de boire un café devant la cheminé qu’il a allumé avant la préparation du repas. Je m’installe sur le canapé et Georges arrives avec les cafés une fois finit je m’installe mon dos contre sa poitrine et il m’entoure de ses bras. Je crois rêver mais ce que je sens battre au bas de mon dos n’est pas un rêve croyez-moi. Je passe ma main droite au niveau de sa braguette et commence à masser la bosse. Ses mains à lui caressent mon corps au-dessus de la robe. Une main prends le chemin de mon entre jambes et l’autre caresse ma poitrine. Je le sens s’exciter sous ma main alors je me lève et lui demande de me suivre. Je monte dans la première chambre allumes les deux lampe de chevet de chaque côté du lit. Cela fait une lumière tamisé. Je m’assois sur le lit et commence à le déshabiller doucement. Une fois en caleçon je lui dis qu’il mérite bien sa surprise puisqu’il a été sage. Mais avant je lui glisse a l’oreille qu’il est un peu plus gros que le god que je me sers habituellement. Et je lui demande d’y aller doucement. Il me répond que si je ne suis pas prête il ne faut pas que je me force. Bien sûr que je suis prête quelle idée a-t-il.
Il s’allonge sur le lit je me mets au pied de celui-ci et debout je quitte délicatement la veste que je porte puis un par un je défaits les boutons de haut en bas de la robe et je fais tomber celle-ci.
– Comment me trouves-tu ?
– Très mignonne viens me rejoindre
Je quitte mes chaussures et m’allonge à ces cotés. Il m’embrasse délicatement sur les joues en me disant « merci » et ses lèvres se place sur les miennes que j’écarte automatiquement pour laisser pénétrer sa langue qui vient valser avec la mienne. Il me place sur le dos en me demandant de me laisser faire. Sa bouche descend le long de mon cou. Je suis en frisson des pieds à la tête. Elle continue et s’arrête sur mes tetons. Il enlève les boules de coton mis en place pour rembourrer les bonnets de la guêpière. Sa bouche se place sur mon têton gauche et l’aspire délicatement. Sa main droite caresse l’autre et ses doigts commencent à le pincer et le tordre. Cela m’envoie des déchargent électrique et j’émets des cris de joie. Il retire sa bouche et me demande si cela me plait ma réponse est positive. Alors il gobe mon tetons gauche et le mordille en douceur et de plus en plus profondément. Je quine comme jamais mais j’aime cela. Une fois avoir bien maltraité mes bouts de seins.
Il se met à genoux et décide de commencer par les pieds à me sucer à travers le nylon des bas ce qui me fait craquer complètement il est aussi doux que violent dans ses gestes car lorsqu’il fait cela il sert mes chevilles dans ses main dans une position écarter comme si j’étais attaché car cela m’empêche de bouger. Sa langue remonte de temps en temps à gauche puis à droite cela me fait tellement de bien. Que ma jouissance explose dans ma culotte ce qui fait une tache sur le fond de celle-ci.
– Cela t’excite ma belle
– Oh oui je n’ai jamais connus cela
– Tu as aimé ce que j’ai fait à tes têtons
– Oh oui je ne pensais pas que l’on pouvait être aussi excité
– Je t’apprendrai d’autre chose si tu le veux
– Oh oui fait de moi tout ce que tu veux
Délicatement il baisse ma culotte souillé de mon sperme et en boule la place dans ma bouche comme un bâillon la partie mouillée sur ma langue. En me disant que si j’ai aimé ce qu’il m’a fait je devrais gouter ma jouissance et nettoyer le fond de ma culotte. Là je sans qu’il place sa bouche sur mon petit clito et commence à le nettoyer. Il décalotte mon sexe et le replonge dans sa bouche. Une main se promène sur mes bourses et fait rouler mes testicules l’une contre l’autre. Cela fait monter en moi un plaisir que je ne pensais pas possible. Mais au moment d’arriver à l’extase celui-ci me tord et tire sur mes bourses et mord mon gland. J’hurles malgré la culotte toujours placé dans ma bouche mais je crie autant de douleurs que de plaisir.
Il se place au-dessus de moi en 69 son sexe cogne a la porte de mes lèvres que j’ouvre pour prendre son gland que je commence à téter comme un biberon. Puis il s’enfonce doucement pour que ma langue puisse commencer à jouer avec son gland. De son côté, sa bouche a saisi mon petit clito de ses mains il écarte un maximum mes cuisse et commence à faire de douces caresses sur mon anus mais pour lui faire comprendre mon acceptation pour aller plus loin je commence à délicatement chercher son doigts pour lui en demander encore. Je sens qu’il fait quelques choses mais sa présence au-dessus de moi me gêne pour voir quoique ce soit. Son doigt s’approche de nouveau et je s’en le contact d’un liquide froid. Un doigt passe la barrière de ma petite chatte et dépose plusieurs fois de ce liquide dessus et dedans en faisant de doux aller-retour.
Je sens mon anus commencé à se dilater un deuxième doigt est venus rejoindre le premier. Mais la pénétration est toujours aussi douce. Le troisième doigt ne tarde pas à suivre le même chemin que les deux premiers. Malgré sa bite dans ma bouche je commence à gémir. Une fois avoir bien préparé mon anus, il quitte ma bouche et place mes pieds sur ses épaule et je sens son sexe chercher l’ouverture. Il pousse doucement et le gland commence à écarter mes sphincters anaux. Je crie car la pénétration est douloureuse il est énorme et en plus très excité ce qui n’arrange rien pour ma première fois. Georges récupère la culotte et me la remet entre les dents en me disant de mordre dedans si la douleur était trop intense. Il pousse un peu plus et enfin son gland est entré. Maintenant il laisse mon anus s’habituer à sa largeur pendant un petit moment. Il explore tout doucement mon cul je suis pratiquement en apnée tout le temps. Ses poils de pubis touchent enfin mes fesses il marque un petit temps d’arrêt mais je sers toujours entre les dents ma petite culotte.
Il se retire à la limite du gland. Et là je sens un grand vide dans mon rectum que j’aimerai vite sentir combler. Alors j’avance mes fesses pour lui faire comprendre que j’aimerai le sentir à nouveau au fond de moi. Comprenant mon consentement, Georges commence sont va et vient puissant mais si bon.
Voilà je suis enfin enculer depuis le temps que j’attends de trouver le bon partenaire. Je me sens très très bien les va et viens me font pousser des râles de bonheur. La douleur à laisser la place au plaisir. Et un moment après cette pénétration de quelques dizaines de minutes le plaisir de Georges se répand ce qui déclenche mon plaisir qui monte sans s’arrêter pour atteindre une magnifique jouissance et qui me fait perdre connaissance.
Quand je reprends mes esprit, Georges est allongé à mes côtés et me souris. Le premier mot qui me vient c’est « merci ». Mais mon médecin d’amour me dit que c’est à lui de me remercier pour ce que je venais de faire.
– Cela t’a plus ?
– Oh oui pour une première, j’ai adoré Merci pour ce plaisir
– De rien j’espère que l’on aura la chance de recommencer ma belle
– Quand tu veux enfin le temps que je me remette de ce que tu viens de me faire
– Tu as tout aimé ?
– Oh oui à ce que je me souvienne. J’ai même appris des choses
– A bon lesquels ?
– Quand tu t’es occupé de mes tétons par exemple je ne pensais pas avoir de plaisir par ces endroits-là. Par contre mon plaisir était partagé quand tu t’es occupé de mon sexe et de mes bourses entre douleurs et extase je ne sais pas quel effet cela m’a fait. Et toi tu as appréciez au moins ?
– Oh que oui tu es vraiment très féminine. J’espère pouvoir te faire découvrir d’autres choses si tu le veux bien. Je ne te forcerai pas cela viendra au fur et à mesure.
Ma main caresse son torse et mes lèvres se posent sur les siennes pour un long baisé de remerciement pour le plaisir que je venais d’avoir.
– Si tu me le permets je vais me retirer dans ma chambre et allez prendre une douche. Puis je descendrais fumer une cigarette.
– Je vais faire pareils que toi mais sans la cigarette
Je récupère mes affaires éparpillées dans la chambre. Une fois dans la salle de bain de ma chambre je quitte ce qui me reste de vêtements et me glisse sous l’eau d’une douche bien apaisante. Apres un bon séchage j’ouvre le tiroir de la commode pour prendre une culotte simple satinée. J’enfile une nuisette blanche mi-cuisse. Je trouve un peignoir accroché dans l’armoire une paire de pantoufles. J’att**** mes cigarettes et descends sur le canapé face à la cheminé ou me rejoint peu de temps après Georges avec un verre de jus de fruit que j’accepte avec grand plaisir. Nous restons silencieux chacun dans ses pensées.
– Merci Georges pour cette belle soirée cela te dérange si je couche seule ce soir ?
– Non pas du tout fais ce qui te plais
– C’est qu’en une seule journée plein de choses me sont arrivés et j’aimerai faire un peu le point
Je me lève embrasse Georges, Fais rentrer Rex et le fait couché sur sa couverture mis en place dans le salon et monte à l’étage en passant par les toilettes ou je m’aperçois que j’ai eu quelques fuites du sperme de Georges dans le font de ma culotte. Apres mettre soulagé je pense aux serviettes périodique que j’avais mis dans un sac plastique en vidant la commode. Une fois dans la chambre je ferme la porte la culotte rejoint le tas de linge sale je récupère une serviette, un slip un peu plus gainant place la protection et remonte la culotte.
Je rentre dans les draps, j’entends mon amant allez se coucher dans son lit. Et mes yeux se ferment pour une bonne nuit.
A suivre
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