Quelques jours après, on sonne à la porte. Gilou ouvre.
-Un cadeau pour vous, madame, veuillez signer ici, s’il vous plait, dit le livreur.
-A bon, merci ,répond-elle.
Elle ouvre, c’est un ensemble tout blanc. Une jupe très courte, et un mini bustier. Un mot, accompagne le colis.
« De la part de Fred, pour demain quinze heure »
Elle va vite l’essayer.
» Oua, se dit-elle, on voit toute ma chatte »
Quinze heure, on tape à la porte. Gilou ouvre tout sourire.
C’est Didier. Le sourire de Gilou s’estompe.
-Oh là, maman, c’est pour moi, dit Didier en lui mettant la main aux fesses.
Il évite la gifle de justesse.
-Cà va pas, a quoi tu joues, se rebiffe Gilou.
-Tu es moins méchante avec Fred, répond Didier. Il te mate lui, hein?
-Quoi.., que.., qu’est-ce-que tu dis, mais tu es fou.
Didier balance les photos sur la table.
-Tiens, dit-il. Tu viendras t’asseoir sur mes genoux après.
Je sais que tu as rien dessous. J’ai gardé d’autres photo, au cas ou.
« Mon dieu se dit Gilou les mains devant son visage.
-Ton père est au courant, demande-t-elle.
-Pas encore, çà dépend de toi, répond Didier l’air arrogant.
Allez, maman, viens t’asseoir.
Telle un automate, Gilou obéit.
-Ecarte bien tes jambes, je vais pas te manger.
Didier glisse un doigt entre les cuisses de sa mère, et joue avec la fente.
-Tu es bien sèche, maman. Tu veux que je te fasse mouiller un peu.
-Fais ce que tu veux, répond-elle les larmes aux yeux.
Au bout d’un moment, les lèvres de Gilou deviennent humides.
Son souffle s’accélère.
-Plus haut, salaud, murmure-t-elle, bien sur mon clitoris.
Décalotte le, oui, comme çà, caresse le. Oh mon chéri qu’est-ce-que tu fais à ta maman. C’est bon tu sais. Haa ha..oui, je joui mon fils, tu me fais jouir ha…ha…oui.
-Soulève toi que je sorte ma queue, dit Didier. Voilà, tu peux redescendre. Met la au chaud dans ta chatte.
Gilou obéit.
-Qu’est-ce-que tu me fais faire, mon dieu, gémit-elle. Mais c’est tellement bon. Baise moi mon chéri, vas-y, crache dans la chatte de maman. Cet ensemble, je le mettrai que pour toi mon chéri. Comme çà tu pourras me niquer quand bon te semble. Oh, mais tu joui, viens mon trésor, fais toi plaisir.
-Han..han, je joui, salope, que tu es bonne, ha…ha.ouais.
Je peux emmener un copain un de ces jours.
-S’il est monté comme toi, oui, pas comme ton père.
Pourquoi, vous voulez me mettre des coups de queues tout les deux. Petits vicieux.
Le lendemain, vers dix heures, Didier se retrouve seul avec sa mère Gilou dans le salon. Comme convenu, elle porte son ensemble sexy. Lui, est tout nu.
Elle est allongée sur le canapé, une jambe dans le vide, dévoilant tout son corps à son fils Didier.
Il s’approche, se penche sur sa mère, et lui caresse son entre jambe.
Il lui extrait le clitoris de son capuchon, et le caresse du bout du majeur.
-Oh mon chéri, comme tu caresse bien pour ton âge, qui t’as appris.
Gilou tend la main, et saisit les couilles de son fils, remontant sur la queue pour atteindre le gland.
-Quelle belle paire, et quelle belle queue, dit Gilou.
Comparé à ton père. Ah, salaud, tu sens comme je mouille.
C’est ta faute, mon chéri. S’il te plait, donne un bon coup de queue à ta maman.
-Si tu veux, répond Didier, tu aimes quand je te niques, hein? Met toi à genoux sur le canapé.
Gilou obéit. Elle prend appuie sur le dossier, et cambre ses reins pour mieux s’offrir à son fils.
Didier caresse la croupe de sa mère. Il glisse un doigt entre ses fesses, le fait courir sur les lèvres ouvertes, titillant le petit trou au passage.
-Par quel trou tu veux que je te prenne? Demande Didier.
-Je suis à toi, mon fils, c’est toi qui décide. Les femmes aiment bien se faire prendre au petit aussi, pour peu qu’on leur caresse le bout des seins, et leur petit diamant.
Didier approche sa queue en érection, et la glisse dans la chatte de sa mère. Une fois pleine de mouille, il l’a ressort, et la fait pénétrer dans l’anus.
-Ah, salaud, tu m’encule mon chéri. Mais quelle délicatesse, tu avais peur de me faire mal. Oh, mon amour, allez, caresse bien ta maman maintenant. Fais lui du bien.
Didier va et vient dans le corps entièrement soumis de Gilou.
-Tu sens ton fils comme il te nique,Hein? Tu es ma petite pute, n’est-ce pas man. Tu vas voir comme je vais te remplir le cul. Après, tu me tailleras une pipe, d’accord?
-Bien sur, mon chéri, répond Gilou, maman va te faire une belle turlutte. A, là, mais tu craches, vilain. Je sens ton fifre qui se vide.
-Oh oui, maman,ha..ha..que c’est bon de me vider dans ton cul salope, tu te régales.
-Oui, oui, mon trésor, comme tu me maques. Ton père m’a jamais fait jouir comme çà. Ha..ha, je joui, vas-y, gratte bien mon petit bouton, oui..ouii.
Didier se retire, et présente sa queue sur la bouche de sa mère pour qu’elle la nettoie. Ce qu’elle fait goulument.
Ils s’allongent sur le canapé, et partent dans un baiser interminable.
Il est midi, ils prennent une douche ensemble, et passent à table.
Pendant le repas, Didier dévoile ses plans pour l’après midi, photos à l’appuie. D’abord l’humiliation de son père, et la visite de son copain Kader, un jeune beur de vingt ans super bien monté.
-Je ne veux rater çà, pour rien au monde, se réjouit Gilou.
Il faut s’organiser, je vais t’aider mon chéri. Déplaçons le yucca, et préparons la caméra.
Il est quatorze heure. Armand a eu son après midi.
-Bonjour tout le monde, dit-il, une bonne douche et je suis à vous.
Armand sort de le douche, une serviette autour de la taille.
En le croisant, Didier lui donne deux petites tapes entre les jambes.
-Dit dont, se fâche Armand, pour qui tu te prend. Un peu de respect, s’il te plait.
-T’énerve pas, papa, ironise Didier, c’est pour tester avec quoi je vais jouer tout à l’heure.
-Quoi, quoi, qu’est-ce-que tu racontes? Demande Armand. Je comprends rien à ce que tu dis.
-Tiens pour te rafraichir la mémoire, dit Didier. J’en ai d’autres.
Armand ouvre l’enveloppe, et découvre les photos de la scène des vestiaires.
-Oh mon dieu, fait-il, tu l’as dis à maman?
-Non, répond Didier, viens sur mes genoux, on va discuter calmement.
Armand s’avance vers son fils en le fixant.
-Tu veux quoi au juste, demande Armand.
-Rien de bien méchant, papa, je veux simplement jouer avec ton fifre, comme Fred.
Armand est KO debout.
Devant la situation, il est obligé d’obéir à son fils.
Il ôte lui même la serviette, et s’assied, jambes écartées, sur les genoux de Didier. Il ferme les yeux, attendant la suite.
Didier saisit les couilles de son père. De la main gauche, il fait rouler les testicules entre ses doigts, comme s’il froissait du papier. De la droite, il roule la queue, couverte par le prépuce, comme s’il roulait une cigarette.
Armand commence a avancé son bassin, acceptant les caresses.
-Tu vas me le mettre après? Demande Armand.
-Mais non papa, sauf si tu me le demande.
Armand se déhanche de plus en plus. Son souffle s’accélère.
Sa queue commence à raidir.
-S’il te plait, soupire Armand, fait quelque chose. Ne me laisse pas comme çà. Nique moi, et branle moi. Je t’en prie.
Armand se soulève pour que son fils puisse quitter son caleçon. Il lui saisit la queue en érection, la décalotte, et la guide contre son petit trou.
-C’est bien çà que tu veux? Demande Didier.
La queue de Didier disparait entièrement dans l’anus se son père, jusqu’aux couilles.
-Oui, gémit Armand, décalotte moi, moi aussi, et tape moi une queue, s’il te plait mon fils.
Armand monte et descend sur la bite de Didier. Didier, lui, fait coulisser le prépuce sur le gland de son père, qui gémit de plus en plus.
-Tu te régales, papa, demande Didier, tu aimes te faire branler et enculer par ton fils. Je vais te gicler dans le cul, tu le sais.
-Tant pis, fait toi plaisir, moi aussi je vais cracher, ha.
ha..oui.
-Tu me le dis quand tu craches, papa, on va pas tacher la moquette, maman serai pas contente.
-Je viens, çà y est, je joui mon fils, salaud.
Didier prend la tête de son père, l’incline en avant, et guide sa queue vers son visage.
-Ouvre la bouche papa, vite, avale petite tapette, c’est bon çà, hein?
Armand reçoit sa propre semence au fond de la gorge. Les larmes lui monte aux yeux.Il viens de se soumettre à son fils. Si sa femme savais çà.
-On va établir un programme, dit Didier, avec maman.
Armand ouvre grand les yeux, il a compris.
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