le DJ repris la musique par quelques paso doble et valse ou marche, avec Julia nous nous étions mises dos à la table tournées vers la piste de danse que nous regardions tout en discutant, dans mon champ de vision un papy ne me quittait pas du regard sans que cela ne paraisse le gêner de l’avoir remarqué, Julia fini par me dire il va en perdre la vue à force de nous mater, allez un coup toi un coup moi on lui en montre un peu plus enfin surtout toi qui n’a pas de culotte, et elle éclata de rire, en disant je commence et elle décroisa haut et lentement et amplement ses cuisses en les laissant disjointes, et nous on commentait en disant qu’il allait en tombé le dentier, « je crois qu’il apprécie la vision de mon petit string transparent, allez à toi maintenant pour le coup de grâce » dit Julia . Je fis de même en regardant Julia en lui disant qu’on était quand même garce !
Des airs de tango résonnaient et un monsieur aux cheveux grisonnant la soixantaine alerte vint m’inviter à danser. Pour ne pas le froisser je lui avouais que je ne savais pas très bien danser le tango, il m’assura qu’il me guiderait et qu’il était certain que je serai une excellente cavalière. Il m’enlaça de près, sa jambe bien avancée entre les miennes tant et si bien que mon entrejambe frottait sur le dessus de sa cuisse, rapidement je m’accordais à ses pas et sa main droite au bas de mon dos me donnait le signal pour que je tourne et sa main gauche reprenant ma main droite pour revenir contre lui. À chaque fois la main droite revenait dans mon dos toujours un peu plus bas et elle finit par arriver sur mes fesses. Je me trouvais de dos au mur de ce fait personne ne voyait rien du manège de sa main, il me susurrait que j’étais la femme la plus sensuelle de l’assistance tout en me serrant plus contre lui, je ne pouvais pas ignorer qu’il bandait, sans scrupule ses doigts glissèrent entre mes cuisses me caressant mes lèvres et même ma rosette tout en me soufflant dans l’oreille « je sais que ça te plait », malgré ma stupéfaction, je le laissai faire et il en profita, c’est vrai qu’il n’avait pas tort, j’appréciais. On dansa quatre morceaux ainsi. Dès que je me trouvais de dos au mur ses doigts glissaient entre mes cuisses et reprenaient leur attouchement sur ma fente, et revenaient dans une position plus conventionnelle quand j’étais de dos aux autres danseurs, sa remontant sur mes fesses. à nouveau il me chuchota à l’oreille qu’il regrettait de ne pas vivre ici et qu’il m’aurait dressée et fait de moi sa soumise certain qu’il était que je serai une bonne chienne bien salope, c’est le changement de rythme qui nous sépara, non sans m’avoir remerciée galamment pour cette danse.
Les rythmes afro-cubains garnissaient la piste, je dansais à nouveaux avec plusieurs cavaliers dont Tony, mais aussi les copains de Patrick et enfin avec mon chéri une petite série de slow, en dansant je lui racontais ce que mes différents cavaliers s’étaient permis de faire, je le sentais dur contre mon ventre il en perdait même la cadence de la musique, au creux de l’oreille il me disait qu’il aimait quand je faisais « la salope » comme ça et il ne me mentait pas j’en avais la preuve raide contre mon bas ventre. Je lui demande si il veut que je continue, sa réponse me surprend presque, « oh oui, Flo, et sois même encore plus salope, montre toi, allume les, laisse toi caresser et plus … et si je ne vois pas tout tu me raconteras ». Et sur ses paroles qu’on entend le DJ égrener le compte à rebours 10 – 9 – 8 … 1 BONNE ANNEE 2019 à tous ! Patrick et moi nous nous embrassons passionnément longuement au milieu de la bousculade des gens qui se font la bise pour l’an nouveau.
Après être allé souhaiter la bonne année à Julia et aux copains de Patrick, je file aux toilettes pour soulager ma vessie, je réajuste bien le collant, rectifie mon maquillage et je retourne poser mon sac à main à notre table, le DJ passait des airs de bossa nova, je proposai aux autres de venir danser, mais c’est seule que j’allais sur la piste pour aller onduler à la façon des « filles d’Ipanéma » et je sentais tous les regards accrochés à mes tétons semblants vouloir percer le tissu de ma robe. Au bout de quelques minutes Tony vient m’y rejoindre, posant ses mains à ma taille, il me souhaita la bonne année en me claquant une bise sur chaque joue et une troisième que je n’ai pas vu arriver sur mes lèvres. Tout en lui souriant je lui dis que j’aimais bien sa façon de souhaiter bonne année, mais que j’espérai que mon copain ne s’en soit pas aperçu, mais je marquais aucune opposition quand il m’enlaça pour danser collé serré sur ces airs Brésiliens. Cette fois sa main dans mon dos était bien plus basse, ses doigts effleuraient le début de mes fesses et je le laissai faire. Tout en dansant, il me murmurait à l’oreille que j’étais ravissante, sexy et que même tous ses copains ne parlaient que de moi, je le coupais, et de ma voix la plus enjôleuse je disais, mais c’est entre tes bras que je suis, tout en me lovant et ondulant lascivement encore plus contre lui, ma poitrine s’écrasant sur son torse. Interprétant mes paroles et mon attitude comme un signe de consentement, les doigts de sa main droite serpentaient ver mes fesses pour finir bien à plat sur une puis l’autre tout en les palpant délicatement. Il me déposait de petits bisous dans le cou, ma respiration était plus profonde, sa bouche venait chercher la mienne, mais je l’arrêtais, malgré mon envie, au prétexte que mon compagnon pouvait nous voir. En fait il y avait en moi comme un frein m’empêchant à me laisser aller, je n’éprouvais rien pour ce garçon, il était attrayant physiquement avec un joli visage et de beaux yeux bleu vert, mais je pensais à Patrick et à ses amis qui devaient trouver mon attitude irrespectueuse envers lui. C’est sur ces réflexions que j’entendis le DJ annoncer le service du dessert et une musique d’ambiance remplaça le rythme sud américain. Je rejoignais ma table après que Tony proposa de nous retrouver sur la piste une fois la douceur sucré avalée.
Le serveur venait de nous servir la bûche et le champagne comme je m’asseyais, les flutes remplies on trinqua à 2019. Pierre avait dégotté une seconde bouteille de précieuses bulle. Julia n’en pris qu’une seule car elle conduisait, moi j’aime bien le champagne je m’en octroyais deux coupes et demi, mais les 4 copains eux avaient le coude alerte et Pierre alla dénicher une nouvelle bouteille de whisky. Julia essaya de les sermonner mais Pierre lui répondit en prenant Patrick et l’autre copain par les épaules « nous on s’en fout on est piéton et on dort chez moi c’est à deux pas », et il versa le breuvage Ecossais dans les verres, du coup Julia fit la leçon à son compagnon qui lui assura que ça allait et qu’ils rentraient tranquille chez eux. Cette pause faisait du bien, elle dura bien une bonne demie heure, quand le DJ lança la lambada, Julia entraina son chéri vers la piste, moi je demandai à Patrick d’aller danser, il refusa, j’interrogeai alors Pierre puis Alexandre qui accepta tout en me disant qu’il n’était pas très doué pour danser. Il ne dansait pas si mal que ça, au bout de trois morceaux il retourna à la table, et moi je retrouvai les bras de Tony pour quelques pas de meringué colle serré évidemment.
Viens, allons nous asseoir, je tiens à t’offrir le champagne. Me dit Tony au creux de l’oreille. Je le suis jusqu’à sa table en nous faufilant entre les personnes assises. Il tire une chaise de la table après avoir servi deux coupes, la chaise quelque peu dans le passage entre les tables, il s’assoie et me désigne ses genoux. Je m’assoie en travers de ses cuisses, tenant ma coupe dans la main droite tandis que je pose mon bras gauche sur son épaule. Je jette un œil sur ma robe qui découvre amplement mes cuisses, l’ourlet est au ras de mon entre jambe et la fente sur ma cuisse droite dévoile tout le côté et même jusqu’à l’arrondi de ma fesse. Les personnes aux alentours doivent apprécier ce que je dévoile, d’ailleurs les copains de Tony ne se gênent pas pour jeter d’incessants regards dans notre direction. Une fois nos coupes vidées, Tony pose une main sur ma cuisse tandis que l’autre me caresse doucement le bas du dos, mon bras gauche derrière sa nuque et tout en passant ma main droite sur son buste j’incline juste ma tête et ma bouche trouve la sienne, nos langues s’emmêlent, dansent le temps d’un long baiser. Mais aussitôt je lui dis « j’espère que mon compagnon ne nous voit pas » soufflant ainsi un peu le chaud et le froid. « Ne t’inquiète pas on est masqué par la déco de ce massif de plantes artificielles » me dit Tony se voulant rassurant.
Sa main au bas du dos a glissé sur mes fesses qu’il caresse, son autre main a quitté la cuisse pour ma poitrine, il empaume un sein et mes tétons déjà durcis se tendent encore plus, nos bouches s’unissent à nouveau. Sur mes fesses je sens ses doigts explorer mes rondeurs ou plutôt à la recherche d’une couture ou d’un élastique. Alors d’un ton ironique je lui dis « pas la peine de chercher y en a pas » et il me demande pour s’assurer si il avait bien compris « tu n’as pas de culotte ? » « Exactement, pourquoi ça ne te plait pas une fille sans culotte ? Parce que à tes copains ça a l’air de leur plaire, ils déploient des efforts pas possibles pour faire ceux qui matent pas ». « Bien sur que ça me plait, c’est hyper excitant ! » Durant l’échange de paroles, ses doigts avaient glissé sur le coté de ma cuisse que la découpe de la robe dévoile et repartaient sur ma fesse en se glissant sous le fin tissu offrant certainement un peu plus aux regards le galbe de mes fesses. L’autre main venait de quitter ma poitrine pour revenir sur ma cuisse, mais cette fois tout en haut et le bout de ses doigts effleuraient mon pubis et le début de ma fente intime, sans que cela n’échappent aux yeux de ses copains. Moi, mon excitation ne faisait que croitre et tout compte fait je n’éprouvais aucune gêne d’être caressée sous les regards intéressés de l’entourage. J’embrassais à nouveau Tony, mes cuisses avaient laissé glisser entre elles un doigt fureteur qui passait et repassait sur ma fente. Le baiser fini, je baissai rapidement mes yeux sur mes cuisses pour constater que les caresses de Tony avaient fait reculer ma bien courte robe tout en haut des cuisses et que je devais dévoiler au moins mon pubis seulement voilé par le fin collant.
Le temps de mes constations, Tony avait demandé à un de ses copains de nous resservir nos coupes. Une fois les fines bulles avalées et après quelques autres baisers et caresses, à son grand regret, je retournai à ma table retrouver mon conjoint et ses amis, mais en ayant fait la promesse à Tony de revenir dans un petit moment.
Je retournais à ma table avec des sentiments mitigés entre honte d’avoir flirter et tromper mon compagnon et cette dose d’excitation de ces caresses et baisers échangées sous les regards de nos voisins. « Alors où t’étais passée ? » me demande Pierre tout en me servant d’autorité une vodka orange. Je répondis en riant que je me faisais baiser, ce qui déclencha l’hilarité générale et une étincelle jaillit dans les yeux de Patrick. Une fois la tablée calmée, je leur dis que j’avais juste était invitée par un gentil jeune homme à boire une coupe de champagne. Julia et son copain allèrent danser, Alex m’invitait, ses pas étaient bien moins assurés, les verres avalés en était la cause. De retour à table je buvais tranquillement ma boisson quand Julia et son copain nous annoncèrent qu’ils rentraient car ils avaient de la route à faire pour aller manger le midi chez la famille de Julia et c’était déjà 2h30, d’ailleurs pas mal de personnes avaient déjà quitté la salle. Les trois copains se resservaient à boire, me demandant si je voulais un autre verre, je refusais, mais Pierre me rajouta une dose de vodka dans mon verre à moitié plein et Alex et Patrick qui enchainent en chantant « allez cul sec » ! « Vous voulez me saouler ou quoi ! » mais devant leur insistance et Pierre qui menaçait de rajouter de l’alcool, j’avalais le breuvage corsé en quatre gorgées, une vague de chaleur montait au fur et à mesure que le liquide descendait dans mon buste.
Je laissais les garçons à leur bouteille, et partait d’une démarche moins assurée vers la piste de danse noyée sous des airs antillais. À peine que je mettais un pied sur le dance-floor, j’étais enlacée par un cavalier de mon âge qui me fit danser collé serré, je le sentais durcir contre mon ventre, l’esprit certainement embrumé par l’alcool, j’en rajoutais en me frottant effrontément contre lui. Là du coup il était carrément raide surtout que sa main avait glissé sur ma croupe. À la fin du morceau, sa compagne est venue me l’arracher en le tirant par le bras tout en lui lançant « elle t’excite cette salope » la suite m’échappa couvert par la musique, mais je ne restais pas longtemps seule, Tony venait de me rejoindre pour danser sur un zouk très lascif. Je laissais sa main glisser sur mes fesses et l’autre empaumer un sein, moi, j’avais noué mes bras derrière sa nuque. Les ondulations de nos corps ajoutées à la sensualité de la danse je sentais bien le sexe de Tony dur et gonfler contre mon bas ventre, mes tétons pointaient fièrement ce qui ne laissait aucun doute sur mon excitation. Je voulais rester discrète, mais je n’ai pas pu ou su refuser le baiser que Tony demandait, nos langues se sont longuement entremêlées, je sentais parfois les mains de Tony se crisper sur mes rondeurs, comme réponse je serrai encore plus mon bas ventre sur sa queue raide, j’ondulais pour mieux me frotter à lui. Nous dansâmes ainsi quatre ou cinq morceaux. Il fallait que je regagne ma table, et à regret je quittais Tony en lui promettant de revenir dans quelques minutes.
Je trouvais mon homme et ses deux copains passablement éméchés, mon qualificatif est même en deçà de la réalité, Patrick se lève et d’une voix pâteuse me demande d’aller danser, coup de bol pour lui, le DJ vient d’entamer une série de slow. Nous nous enlaçons et je lui demande si ça va, il répond qu’il est un peu bourré mais que ça ira, il ajoute, alors avec ta petite robe sexy as tu ému quelques cavaliers ? Je lui réponds que oui et il me demande de raconter.
– tu sais cette robe je l’ais choisie pour toi, puisque je sais que tu adores quand je fais baver les mecs.
– je le sais bien mais les autres aussi en profite, bon alors raconte.
Pendant que je lui raconte, je sens sa virilité grossir et ses mains parcourir mes formes, à la fin du récit il me demande :
– et quand Tony a glissé un doigt entre tes cuisses, tu as aimé ?
– oui, et j’ai même écarté un peu les cuisses pour lui facilité le passage, bon ça n’a pas duré longtemps mais bien agréable.
– tu aurais voulu que ça aille plus loin ?
– oh oui, la situation ajoutée aux caresses sur ma chatte et mes seins, il a dû remarquer que j’étais bien humide.
Patrick, venait de glisser sa main sous la robe au niveau de ma hanche et avançait sur la fesse tout en la dévoilant. En plus j’étais de dos à la salle et un bon tiers de ma fesse s’offrait à leurs regards.
– Tony, c’est le mec qui a une chemise bleu pâle et un jean noir qui est au milieu de ses copains ?
– oui c’est lui, tu le trouves comment ? Mais dis, tu montres ma fesse à tout le monde !
– c’est pour le rendre jaloux, physiquement pas mal, mais il semble faire le fier.
– il a le style Hidalgo un peu toréro mais il me plait bien. Tu sais, je te sens bien raide ça t’excite ce que je t’ai raconté !
– ben oui que ça m’excite, et tu le sais bien que c’est mon plus gros fantasme. Moi ce soir je veux que tu ailles jusqu’au bout, que tu te donnes à ce Tony, alors moi je vais raccompagner Alex et Pierrot et je resterai chez Pierre, toutes façons une fois chez lui il va vouloir qu’on boive un coup, ainsi, ça te laisse toutes libertés.
– heu, Patrick, je le connais très bien ton fantasme, mais voilà, là t’es euphorique et excité, mais demain quand tu auras retrouvé tes esprits ne vas tu pas le prendre mal de m’avoir laissée seule, car comme tu l’as vu, Tony a des copains.
J’essayais encore pendant un petit instant d’argumenter sur le fait que cela pouvait détériorer notre relation, mais il n’en démordait pas.
– Ouai, suis peut être un peu bourré, mais c’est bien clair dans ma tête, je ne te ferai aucun reproche sur tout ce que tu auras fait, et au contraire suis certain que ça va m’exciter un max et qu’on en profitera tous les deux.
– si c’est ce que tu veux … j’espère qu’on ne le regrettera pas.
– tu sais que je t’aime comme un fou et si toi aussi tu m’aimes alors lâche toi, sois bien salope, je vais être raide comme pas possible en t’imaginant et demain quand tu vas me raconter ça va être hyper chaud !
La série de slow finissait et on retournait auprès des deux compères qui avaient ramassé les bouteilles de champagne non finies des tables environnantes, du coup je me servais une coupe pour me donner du courage, je faisais la bise aux deux duettistes et roulais un gros patin à mon chéri qui m’envoyait dans les bras d’un autre. Je prétextais que j’avais rencontré une camarade de classe qui me ramènerait à la maison. Je leur souhaitais de bien rentrer et pas trop boire Tout en récupérant mon sac à main, des pensées contradictoires se heurtaient en moi. Je n’aurai pas dû accepter ce que me demandait Patrick. Comment pouvait-il parler de preuve d’amour, n’allions nous pas faire exploser notre couple dans cette relation extraconjugale, là, le jeu prenait toute une autre ampleur, il n’était plus question de petits flirts aiguisant la jalousie pour mieux nous retrouver ensuite. Mais les petits picotements au creux de mon ventre me signifiaient que la situation m’excitait et de mon côté n’avais je pas aussi initié cette situation en choisissant cette robe courte et sexy que je portais sans rien dessous si ce n’est le voile du collant et quelles en seraient les conséquences une fois cette folie passée. Je n’avais pas de réponse à tout ça et de toutes façons je n’avais plus le temps de me poser des questions j’étais à deux pas de Tony.
A suivre
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