J’ai toujours été une dévergondée. Mais ça vous l’aviez compris, je pense. Ma mère me disait toujours que trop se tripoter était malsain pour une fille quand elle avait deviné mon appétit sexuel naissant.
A presque treize ans, j’étais déjà une petite salope adepte de jouissance solitaire. Je ne perdais aucune occasion pour laisser traîner mes doigts dans ma culotte. Un jour, je me fis surprendre par le patron d’un haras en train de me caresser, en regardant la saillie d’un étalon sur une jument.
« Sale petite vicieuse ! Ca t’excite de voir une saillie ? J’vais t’faire passer cette envie moi ! Viens par là ! »
Il me prit par le bras et me traînât dans une écurie. Il m’attachât à un boxe et me floutât à poil. Je me débattais et criais mais rien n’y fit. Il prit un fouet de dressage et me dit :
« Puisque ta mère n’a pas su te dresse petite salope, moi j’vais le faire ! »
J’étais horrifiée et il se mit à me fouetter.Je me tortillais sous les coups qui audébut frappait mon ventre et mes cuisses.
Ce monstre, en me voyant me tortiller comme une malheureuse, s’en pris rapidement à des endroit plus sensibles en me fouettant sur les seins.
Je le suppliais :
« Arrrrêtezzzzz !!!! J’ai compris la leçon !!!! Je ne le ferais plus ! »
Il me rétorquât alors :
« C’est sûr ! Car maintenant j’vais te montrer le loup et si tu en parle à ta mère la punition sera exemplaire ! »
Sur ces mots, il sortit son mandrin et m’enfilât sans plus de procès. La pénétration fût douloureuse d’autant que j’étais vierge.
Il avait jouit sur moi et en me donnant une claque violente sur les fesses il m’avait congédiée :
« La prochaine foi, j’encule et j’te fais baiser par mes palfreniers ! File petite putain ! »
Le minou démoli par ce premier assaut, je demandais pas mon reste et filais tout en me rhabillant. En me voyant revenir avec une grise mine, ma mère me dit :
« Hé bien, hé bien ! Te voilà bien tristounette ? »
Rougissante de honte, j’avouais à ma mère tout en pleurnichant :
« J’ai seulement voulu me caresser un peu en regardant une saillie. Mais le propriétaire m’a vue, m’a engueulée et m’a fouetté pour me punir. »
Je me gardais bien de dire à ma mère qu’il avait aussi abusé de moi et m’avait dépucelé. Elle me regardât en soupirant :
« Mais que vais-je faire de toi ? Il a eu bien raison de te corriger ! Monte dans ta chambre ! J’arrive ! »
Quand elle arrivât dans ma chambre et me déshabillât, elle comprit l’empleur de la correction.
« Et bien ma pauvre chèrie, il n’y est pas allé de main maorte. Mais tu le méritais. »
Tout en me parlant, elle me passait un baume apaisant sur les traces de morsure du fouet et ses doigts s’aventurèrent sur mon clito et mes seins et ma rosette, me faisant instantanément réagir mon corps.
J’aimais la manière dont elle me caressait et je me mit à jouir quand elle me fit minette. Elle me dit :
« Tu ne parlera de rien à ton pére. C’est notre petit secret. »
Pour l’assurer de mon silence, j’attrapais ma mère par le cou et collai ma bouche contre ses lèvres voraces. Nos langues partirent à la rencontre l’une de l’autre pour un ballais langoureux.
Ensuite nous avons fait un savoureux cunnilingus jusqu’à l’orgasme.
Couchées entièrement nues sur mon lit, nous reprîmes notre souffle.
« Sais-tu ce qu’il faudra faire une autre fois ? » Me murmura-t-elle en caressant ma poitrine. Quand tu auras envie de te caresser, et pour éviter d’être punie aussi violemment, viens me le dire. Je trouverai toujours un moment pour m’occuper de toi.
Je lui promis que je n’oublierais pas ses recommandations. Il n’en fallut pas plus pour que tout les prétextes soient bon pour faire appel à ma mère. Un jour où je me caressais sous la douche, j’eus une furieuse envie de me gougnotter avec elle.
Je sortis de la douche rapidement et tout en me séchant, j’allais retrouver maman pour lui demander de faire l’amour avec moi. Mais c’était pas le bon jour et me répondit :
« C’est pas de chance, ma chérie ! Aujourd’hui, c’est pas possible. Je dois accompagner ton père en ville. »
Je me retrouvais frustrée et d’un coup de tête, je décidais de retourner au haras. Là je vis mon dépuceleur qui semblait ravis de me voir. Il me proposa aussitôt :
« Veux-tu venir aux écuries avec moi pour donner à manger aux chevaux ? »
J’approuvais d’un sourire. Je suivis Bernard avec un seaux rempli d’avoine. Le tour complet des écuries fait, il m’enlace tendrement cette fois-ci et me murmure :
« Je rêverais que tu me fasse une sucette. Tu dois être magnifique avec mon sucre d’orge dans la bouche ! »
Chaude comme j’étais, l’occasion était trop belle. Nous étions seuls dans une stalle. Bernard baissât sa braguette et extirpât une trique bien dressée. Décalottant son gland, je tombais à genoux devant cette bite et j’ouvris la bouche en grand. Ce fût comme un électrochoc pour moi d’avoir pour la première foi un engin masculin dans ma bouche. Il me dit :
« Me mords pas petite salope et suce moi bien ! Sinon tu sais ce qui pourrait t’arriver ! »
Je fis glisser la bâton de chair imposant entre mes lèvres, sans me presser. Ma caresse buccale semblait plaire à Bernard qui commençait à haleter. Quand il sentit sa séve monter dans sa bite, il me prit la tête et en lâchant sa créme dans ma bouche ; il me lançât :
« Avale ça petite pute ! »
La saveur du sperme me dégoûtât , mais je ne pouvais faire autrement que d’avaler.
J’étais accroupie, jambes écartées avec cette queue qui débandait dans ma bouche. Ma bouche était déformée par son engin et j’affichais en une moue écœurée mais je terminais de pomper son dard. Brusquement, je me sentis mal à l’aise. Le goût mêlé de sperme et d’urine, me remontât et j’eus envie de vomir.
Bernard me voyant pâle me dit :
« Tu t’habitueras et tu aimeras ça plus tard ! »
« Vous croyez ? Mais là, j’ai envie de vomir Monsieur ! »
« Ca passerât ! File j’ai du taf ! »
En rentrant à la maison, mes parents étaient rentrés. Ma mère s’inqiète de mon air livide :
« Tu es malade Michèle ? »
« Oui Maman ! J’ai envie de vomir. »
« Tu as mangé quelque chose qui passe pas ? »
J’osais pas répondre en pensant à la queue de Bernard qui s’était vidée d pour la première fois dans ma bouche. Ma mére m’accompagnât vers la salle de bain et en m’embrassant remarquât l’odeur caractéristique du sperme. Elle me demandât alors :
« Mais ! Je comprends mieux ! T’as sucé un mec ? »
Honteuse, je lui avouais mon aventure dans l’écurie.
« C’est pas grave tu en prendras d’autres tel que je te connais. Allez va te coucher ! Ca ira mieux demain ! »
Ma nuit fut agitée et peuplée de cauchemars érotiques. Je ne trouvai un sommeil calme qu’au petit matin. Les nausées s’étaient calmée. Quand je me réveillais, j’avais encore le goût de Bernard dans la bouche. Je revis à d’autres reprises Bernard, mais je ne voulais plus aller seule dans les écuries avec lui. Pourtant, Bernard me harcelait et me disait :
« Pourquoi tu veux plus Michèle ? Tu es une fille douée pourtant ? »
Quelque années plus tard, C’était le jour de mon anniversaire et ma mère allait me gâter. Je traînais encore au lit quand elle entrât dans ma chambre en me disant joyeusement tout en tirant mes couvertures :
« Allez, petite fainéante, debout ! »
Elle me découvrit nue sous mes draps. Ma main était entre mes cuisses, légèrement écartées.
Me réveillant en sursaut, je défiais ma mère d’un regard espiègle. En riant, elle sautât sur le lit et commençât à me chatouiller. Nous chahutâmes, moi hurlant de rire et me mordant les lèvres, sentant les mains baladeuses de ma mère sur mon corps. Elle pelotât mes seins, mes fesses.Un de ses doigts finit par glisser dans la fine ouverture des lèvres de mon vagin. Elle me fouilla la chatte et je me mis à gémir tout en lui mouillant les doigts de ma cyprine. Nous fîmes l’amour et eûmes un orgasme commun.
puis, elle me tendit un paquet enrubanné en me souhaitant un joyeux anniversaire. Quelle ne fût pas ma surprise en ouvrant la boite de découvrir un gros gode très réel. Devant ma mine dubitative, elle me dit :
« Tu ne le reconnais pas ? C’est le pénis de Bernard ! Tu sais celui qui t’as dépucelé ! J’ai pensé que cela t’amuserait. »
« Je ne sais pas, maman ? »
Je me saisis de l’objet et l’approchais de mon visage et m’écriais :
« Oh ! Merci maman ! C’est un très beau cadeau ! »
Maman avait invité Bernard et Isa ma cousine au repas d’anniversaire. A la fin du repas, je leurs déclarais que maman m’avait fait un super cadeau. Isabelle curieuse me demandât :
« Fais nous voir ça ! »
Bernard, qui devait être dans la confidence me regardait avec un sourire presque lubrique. Quand je redescendis de ma chambre avec le fameux cadeau, Bernard se faisait sucer par ma cousine sous les yeux égrillards de ma mère qui me dit :
« Ta cousine est une sacré suceuse aussi ! Regarde ça ! »
L’olibos à la main, je dis à ma mère, enjouée :
« C’est vrai ! C’est vraiment sa bite ! »
Isa le suçait de plus bel et Bernard ne mis pas longtemps à se lâcher dans sa bouche.
Bernard vint vers moi et me saisissant par les cheveux il m’imposât de me mettre à genoux et se mit à me pisser dessus. J’essayais de me débattre devant cette dégradante humiliation. Mais, Isa et ma mère trouvaient le spectacle réjouissant malgré mes cris de colère.
Puis ma mère et Isa me prirent dans leurs bras pour me calmer. Isa en profitât pour rouler un patin à Bernard qui se terminait sur nous.
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