Je l’avais draguée dans le train. Je n’étais pas assis face à elle mais un peu plus loi et je pouvais la voir en travers de l’allée. Elle avait les jambes croisées et quand elle a changé de position, je n’en ai pas cru mes yeux parce qu’elle n’avait pas de culotte.
J’ai cherché son regard et elle a vu que je la regardais et elle a changer encore de position. Sa jupe était remontée sur ses cuisses et elle est restée assez longtemps les cuisses ouvertes pour que je puisse le constater.
Au terminus, elle a pris l’escalier qui menait au métro. Je marchais derrière elle et j’ai pensé qu’elle s’était trompée de direction et qu’elle hésitait mais en fait, elle m’attendait. Quand je suis arrivé à sa hauteur, elle a descendu les marches en même temps que moi.
Il y avait un mini-bar dans la salle d’échange et je lui ai proposé de prendre un café avec moi. Elle m’a souri et elle m’a dit pourquoi pas.
Ce n’était pas vraiment une pin-up. Elle avait un joli visage mais le reste ne suivait pas. J’ai pensé qu’elle aurait eu besoin d’aller chez le coiffeur et d’être maquillée. Quand à la poitrine, elle n’en avait pas vraiment et seuls ses mamelons pointaient au travers du tissu de son top. Je lui aidit une bêtise et elle a ri et j’ai vu bouger ses seins et j’ai compris qu’elle n’avait pas non plus de soutien-gorge.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire qu’elle ne doit pas aimer les soutifs.
– Oui, m’a répondu la fille ! J’ai toujours détesté ça, ces trucs inutiles.
– Mais si vous aviez des gros seins, lui ai-je demandé ?
– Quoi, me seins, m’a répondu la fille ? Ils étaient plus gros quand j’étais plus jeune ! Moi aussi, mais j’ai fait un régime !
– Floppy, saggy, ai-je ajouté ?
Elle a ri puis elle m’a dit que je fréquente les sites de cul.
– Non, c’est mignon, les seins qui pendent, ai-je ajouté !
Le type qui était installé à côté de nous semblait s’intéresser à notre conversation. J’ai payé les cafés et j’ai entraîné la fille et en marchand, je lui ai demandé si elle a un moment.
– Pour quoi, m’a fait la fille ? Pour baiser ?
– Non, mais…
– On m’a déjà fait le coup, m’a dit la fille ! Je dois avoir la tête à ça ?
Je n’ai pas répondu et elle m’a demandé où je travaille et elle m’a proposé de déjeuner ensemble. On s’est mis d’accord sur une heure puis on s’est séparés mais j’ai eu le temps de lui dire de ne pas prendre froid.
Ce n’était pas qu’il fasse frais. La fille a hésité puis elle m’a dit que ce matin, elle n’avait pas de culotte propre puis elle a ajouté qu’elle va en acheter d’autres. Je lui ai répondu que je veux l’aider à choisir. Elle a encore hésité puis elle m’a donné son accord.
J’étais en retard au bureau mais le patron n’étais pas là et j’ai pensé à cette fille toute la matinée. A midi, je suis parti la rejoindre. Elle m’attendait là où elle m’avait dit.
– On va où, lui ai-je demandé ?
– D’abord, les petites culottes, lui ai-je répondu !
Il y avait une boutique et la vitrine était pleine de mannequins en petite tenue. La fille m’a dit qu’elle dira que je suis son mari et nous sommes entrées et elle s’est quasiment fait montrer tout ce que contenait la boutique, n’hésitant pas à me demander mon avis devant la vendeuse.
– Alors, lequel, a fini par me demander la fille ?
Je lui ai répondu que je préférais qu’elle porte des strings.
– Alors, va pour des strings, m’a-t-elle répondu et elle a fait déballer plein de boîtes.
– Alors ces trois-là, a-t-elle fini par me demander ?
Je lui ai dit de les prendre et j’ai ajouté qu’on verra ce soir à l’appartement mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle me dise de payer. Une fois hors de la boutique, elle m’a demandé si ça me gêne d’avoir offert des sous-vêtements à une inconnue. Je lui ai répondu que j’ai l’impression qu’on ne restera pas longtemps des inconnus et j’ai ajouté que je voulais les lui essayer. Elle m’a répondu que je suis un cochon. Il n’était plus temps d’aller déjeuner. Elle m’a demandé quel train je prend et elle m’a promis de m’attendre.
A la gare, je ne l’ai pas vue sur le quai et j’ai pensé que je m’étais fait avoir et je suis monté dans mon wagon habituel et la fille était là, assise sur une banquette double et elle m’a fait signe de la main de venir m’asseoir à côté d’elle et la première chose que je lui ai demandée est si elle a mis une petite culotte. Elle a souri et elle a ajouté qu’elle m’attendais pour ça.
– Tu es sûre ? Tu n’as rien ?
Elle m’a proposé de vérifier. J’ai posé la main sur son genoux et elle a entrouvert ses cuisses et j’ai pu aller plus loin, jusqu’à toucher son minou mais la fille m’a dit que si je vais trop loin, elle va jouir. D’autant plus qu’il était temps d’arrêter parce que le wagon se remplissait. Un couple s’est assis en face de nous. Une fois le train parti, ils se sont embrassés sur la bouche. J’ai demandé à ma voisine. Elle a rougi et j’ai insisté. Comme ses lèvres étaient douces, mais elle a gardé la bouche fermée et quand j’ai arrêté mon baiser, je lui ai dit qu’elle sent bon puis j’ai ajouté que j’ai envie d’elle.
Elle m’a répondu qu’elle aussi. Elle descendait à ma gare. Dire que je ne l’avais jamais vue avant ce jour. Elle m’a proposé de venir boire un verre chez elle. Elle habitait à deux rues de chez moi. Une fois mes lèvres trempées dans mon verre, j’ai attrapé la fille par la taille et je lui ai redit que j’ai envie d’elle.
– Je sais, m’a répondu la fille ! Tu es trop impatient !
Je ne tenais plus et j’avais déjà la trique et je lui ai dit et elle m’a répondu que ça ne se passe pas comme ça.
– Tu reste pour dîner ? T’es seul ? Tu es sûr que tu n’as personne, a-t-elle insisté ?
Je n’avais pas de raison de lui cacher la vérité, que ma dernière conquête m’avait largué six mois plus tôt mais je ne lui ai pas dit que je me masturbais plus que de raison. Je l’ai enlacée à nouveau et elle m’a dit que puisque c’est comme ça, on va passer au lit mais elle m’a prévenu qu’elle aime bien les caresses.
– Tu n’iras pas trop vite, m’a encore demandé la fille ?
J’ai promis. Je lui ai demandé si je pourrais la toucher et elle m’a répondu qu’elle aime bien les caresses. On s’est déshabillés et je lui ai dit de s’allonger sur le lit, jambes pendantes puis je lui ai écarté les cuisses et j’ai remonté mes doigts tout le long de sa cuisse depuis le genou et quand je suis arrivé à sa vulve, je lui ai demandé si elle aime ça. Tout ce qu’elle m’a répondu, c’est de la faire jouir. Elle avait déjà fermé les yeux.
J’ai masturbé son clit entre deux doigts et j’en ai enfoncé trois dans son vagin.
– Oui, comme ça, m’a fait la fille plusieurs fois !
Son corps s’est crispé. Ses jambes ont battu la chamade et elle a joui. Quand elle a rouvert les yeux, je lui ai demandé si elle se masturbe. Elle m’a répondu qu’elle aime ça.
– Moi aussi !
Elle m’a attrapé les couilles et elle m’a dit qu’elle peut me sucer si je veux. Je n’avais rien contre. C’était super excitant et je lui ai demandé si elle a quelque chose à la langue et elle m’a montré son piercing et là, on s’est vraiment embrassé, en emmélant nos langues.
Je ne sais pas pourquoi je lui ai demandé si elle a déjà embrassé une fille sur la bouche. Elle a hésité.
– Tu serais jaloux, m’a demandé la fille ?
– Pourquoi ?
– Parce que ça m’arrive, a ajouté la fille ! Ça ne se commande pas ! C’est comme avec toi !
– Et je suppose que tu as déjà fait l’amour avec ?
– Puisque tu veux tout savoir, oui, a-t-elle ajouté ! Plusieurs fois !
– Et moi, j’ai envie de toi, ai-je ajouté !
– Alors, prends-moi !
Je l’ai prise, avec rage et elle m’a dit que je lui fais mal et elle me l’a répété plusieurs fois et j’ai fini par retrouver mon calme.
– Comme ça, m’a dit la fille !
Je lui ai dit que je veux la prendre en levrette et elle a accepté mais elle m’a précisé qu’elle ne veut pas de sodomie. Comment pouvait-elle penser ça ?
Je l’ai prise en levrette et elle m’a attrapé la main pour que je touche ses seins.
– J’aime ça, m’a dit la fille !
– Floppy et saggy, lui ai-je répondu mais elle n’a pas relevé. Ses seins étaient vraiment mous, comme des poches vides mais elle m’a réclamé plusieurs fois de lui toucher les seins et je ne m’en suis pas privé.
Elle m’a prévenu que si je continue comme ça, je vais jouir et elle a joui et j’ai lâché ma semence au fond de son vagin.
– Mon dieu, comme c’est bon, m’a dit la fille en se retournant ! Tu ne veux pas qu’on recommence ?
Je lui a répondu que je ne suis pas comme elle et qu’il faut que je bande. Elle m’a répondu qu’elle va s’occuper de ça. En attendant, elle s’est lavée et elle m’a lavé la bite puis elle a essayé les strings. Elle tournait et retournait devant moi et je lui ai demandé si elle sait ce que ça me fait.
– Non, m’a répondu la fille avec un petit sourire narquois ?
– Ça me donne envie de t’enculer !
Elle a hésité un instant puis elle m’a répondu qu’il faudra bien qu’elle y passe un jour où l’autre.
– Tu feras attention, m’a-t-elle demandé ? Si je te dis d’arrêter, tu arrêteras ?
J’ai promis mais une fois que j’ai eu enfoncé le gland, je n’ai eu qu’une hâte, enfoncer tout le reste de ma bite.
– Mon dieu, a gémi la fille !
– Je t’encule !
J’ai joui sur ses fesses puis je suis rentré chez moi. Je n’en revenais pas d’avoir levé une fille dans le train et de l’avoir baisée le jour même. Je me suis réveillé avec la trique au milieu de la nuit et j’ai commencé à me branler mais je tombais vraiment de sommeil.
Le lendemain, la fille était dans le train. Je me suis assis à côté d’elle et je l’ai embrassée sur la joue avant de lui demander si elle a mis une culotte.
– Vérifie, m’a répondu la fille !
J’ai posé la main sur sa cuisse et elle a écarté les genoux. Personne ne pouvait nous voir. J’ai poussé mon avantage et mes doigts ont touché sa chatte.
– Fais-moi jouir, m’a demandé la fille !
– Pas dans le train !
– Fais-moi jouir !
J’ai vérifié qu’on ne pouvait pas nous voir et je l’ai masturbée. Elle s’efforçait de ne pas faire de bruit mais elle gémissait quand même. Elle m’a répété plusieurs fois qu’elle aime ça mais on arrivait à la gare suivante. Le train s’est arrêté et des voyageurs sont montés.
– Zut, m’a fait la fille à l’oreille ! Juste au moment où j’allais jouir !
Je lui ai promis qu’on réessaiera. On s’est donné rendez-vous pour le midi, mais au lieu de déjeuner, je l’ai emmenée dans une ruelle où il y avait un chantier et je l’ai baisée au milieu des gravas. Nous avons continué à nous voir mais j’avais deviné qu’il y avait un mystère dans sa vie. Un jour, elle m’a avoué qu’elle ne peut pas avoir d’enfants puis elle a disparu de ma vie.
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