Le 14 Février, approche. C’est le jour de la St Valentin pour les amoureux. Je ne sais pas encore ce que mon mari va bien inventer cette année pour me surprendre. Mais je sais qu’il a toujours des idées tordues. Hier matin, alors que je suis sous ma douche, le téléphone sonne. Je me précipite pour répondre, toute nue et trempée et j’arrive à décrocher.
« Allo Madame Michèle ? »
« Heu,,,Oui c’est moi ! »
« Il faudrait impérativement passer récupérer votre colis
avant 11h00. Dans le cas contraire, nous le renvoyons ! »
« Mais quel colis ? J’ai rien commandé ? »
« Comme vous voulez ! Mais sans vérification et signature de votre part, c’est retour à l’envoyeur ! »
« Pouvez-vous me dire quel est l’expéditeur ? »
« Oui bien sûr ! C’est Espace Libido,com ! »
J’ai un instant de surprise et de honte quand j’entends le nom du site. C’est encore un coup d’Alain pour la St-Valentin ça ! Je me racle la gorge et lui réponds :
« Ok j’arrive ! »
Je me sèche, me coiffe, me maquille en catastrophe et saute dans la voiture, un peu fébrile en pensant à ce colis mystère.
Dix minutes plus tard, j’arrive à l’entreprise qui détient le colis. Je suis accueillis par un employé qui me déshabille des yeux et sourit bizarrement en me voyant arriver.
« Madame Michèle je suppose ? »
Sur un ton sec, ne voulant pas lui faire penser à la moindre possibilité de drague, je lui réponds :
« Oui ! Alors, où est mon colis qu’on en finisse ! »
Il pose le carton sur le comptoir et, pressée de partir, je lui demande :
« Je signe où ? »
« Pas si vite ma p’tite dame ! Je veux votre carte d’identité et vous devez vérifier le contenu pour approuver la réception et signer seulement ensuite ! »
Je suis verte de rage. Je lui balance ma carte d’identité et j’ouvre avec hésitation ce mystérieux colis. L’employé me regarde amusé. Quand je vois le contenu, je reste figée. Comment devant cette homme vais-je pouvoir vérifier cette commande. La rage fait place à la confusion et je deviens rouge écarlate de honte. L’emplyé ne perd pas le Nord et me propose :
« Peut-être voulez-vous vérifier ce paquet dans un endroit plus discret ? »
Très gênée je le remercie et le suis dans un bureau. Mais il reste planté là à mes côtés. Je lui demande de rester seule, mais il me dit :
« Non désolé Madame mais je dois rester pour constater avec vous que le contenu correspond bien à votre commande ! »
Je grommelle et me dit que j’ai à faire à un salopard de vicelard mais je ne peux pas faire autrement et sors les articles du colis. Il y a des menottes, un fouet et un gros gode que je dépose en tremblant sur le bureau. L’employé me lance alors :
« Bien ! Le contenu vous convient ? Vous allez vous éclater avec ça à la St Valentin ! »
Je me retourne furieuse pour lui balancer une réflexion bien sentie mais j’ai le souffle coupé quand je vois deux autres mecs que je n’avais pas entendu entrer.
L’employé, sans se désarmer me dit :
« Signer ici ! Bon pour livraison, lu et approuvé !»
Je me retourne et me penche pour signer la feuille. Dans ma confusion, je ne pense même pas que ma robe courte dévoile mes charme et que les trois salopards doivent bien se rincer l’œil.
Au moment de signer, je reçois un texto de mon mari qui dit :
« As-tu bien réceptionné le colis ? Si tu signe, les employés sauront qu’ils peuvent faire de toi ce qu’il veulent et utiliser tes cadeaux. Bonne St Valentin ma chérie ! »
Je reste figée. Je savais bien qu’il y aurait anguille sous roche. Fallait bien qu’il trouve un truc tordu. Pleins d’images se bousculent dans ma tête. La décision m’appartient. Si je signe, ils savent que je suis à eux sans contrainte. Si je ne signe pas, Alain va être furieux et je risque une sévère punition quand il rentrera ce soir pour l’avoir humilié par rapport à ces mecs. Le dilemme est terrible. Rien que de penser à ma punition, j’en tremble.
Mes yeux vont des cadeaux à la feuille que je dois signer. D’un main tremblante, je me décide à signer. C’est comme un signal pour eux. L’employé principal me dit sur un ton dominateur qui change du tout au tout par rapport à tout à l’heure :
« Ton mec veut tout voir ! De son bureau, en direct, il va pouvoir profiter de ce qu’on va te faire salope ! »
Les deux autre pendant qu’il installe la vidéo m’ordonnent :
« A poil la pute ! »
Toujours tremblante, je m’exécute et rapidement je me retrouve entièrement nue devant ces trois lascars qui me mate en décrivant vulgairement mon corps.
« Elle a des grosses mamelles de vaches cette pute ! »
« Et t’as vu son cul et sa chatte ? On doit être bien dedans ! »
« Oui ! Et son mec m’a dit qu’elle suçait comme un pro ! » Dit le troisième.
L’un d’eux se place derrière moi et commence à me peloter les seins pendant que les deux autres sortent leurs queues et se masturbe en me regardant.
Malgré l’humiliation de me laisser faire comme la dernière des salopes, je sens mon corps réagir et je me met à mouiller abondamment. Celui qui me pelotait, m’allonge sur le bureau et me fourre son engin dans la bouche. Machinalement, par automatisme, je me met à le sucer alors que les deux autres me fouilles la chatte.
« La pute ! Sans la solliciter, elle est déjà toutes trempée ! »
« T’aime te faire mettre salope !!! Tu vas être servie !!!»
À ces mots, je sais que je vais être leur chose. Pendant que je suce, des doigts pénètre mon vagin et mon cul. Je perds tout contrôle et me laisse aller au plaisir. Je gémis, ondule du bassin sous ces assauts. Je m’abandonne complètement.
Il se retire de ma bouche et me dit en montrant son sex :
« C’est ça que tu veux, salope ? Dis-nous que t’as envie de nos queues putain ! »
« Ouiii défoncez moi avec vos gros trucs ! »
Aussitôt il replonge dans ma bouche. L’un des deux autres m’enfile d’un coup, jusqu’à la garde et se met à me saillir violemment. Le troisième ne voulant pas rester à tenir la chandelle décide de m’enculer. La pénétration est compliquée mais avec ferveur, il y arrive et me voilà embrochée par tout les trous. Curieusement cette double pénétration est presque jouissive. Je me sens éclatée et j’adore ça. Je ne pense même pas à mon mari qui doit se délecter du spectacle qu’involontairement je donne.
Mes cris de plaisir sont étouffés par sa grosse bite et je suis prise sur ce bureau, comme une vraie chienne. Le mecs sont si excité de se servir de moi comme un vide couilles qu’ils ne pense même pas ç utiliser mes cadeaux. Je suis comme en état de transe et je suis bien incapable de dire combien de temps cet assaut dure. Il change de place et de trou sans même faire attention à mon plaisir qui est pourtant présent.
Tout à coup, les mâles en ruts se mettent à grogner comme des bêtes. Mon orgasme monte en vagues successives et quand ils explosent en moi, je me met a hurler comme une louve. Avant la fin de leurs éjaculations, ils se retirent et se terminent sur moi. J’étais souillée de sperme, humiliée, mais si heureuse.
A ce moment, mon téléphone sonne. C’est Alain qui m’envoie un texto :
« Joyeuse St Valentin ma chérie ! J’espère que tu as aimé ce cadeau ! Mais je suis déçu qu’il n’aient pas utilisé mes cadeaux. C’est pas grave, je m’en occuperais ce soir en rentrant. »
Le temps que je lise le texto, les employés s’étaient éclipsés et je reste, nue, hébétée, couverte de sperme dans ce bureau qui me semble si glauque maintenant que l’adrénaline sexuelle est retombée. Je remballe le colis, me rhabille sans pouvoir m’essuyer et rentre chez moi me prendre une bonne douche en attendant anxieuse mon mon homme.
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