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Voyage à Paris II

Voyage à Paris II



On accepte de suivre notre routier dans la cabine. on part en file indienne. Nous montons dans la cabine, super spacieuse : il sort une bouteille de whisky et nous sers un verre. J’ai la main sur la cuisse de Boodibicool, je bande à la seule de la pensée de sa bite. Nous échangeons 2, 3 mots puis le routier nous invite à s’allonger pour se reposer derrière la cabine.
On enlève nos vêtements superflus. On se retrouve presque à poil. Il ne fallut pas longtemps pour s’endormir tous en cuillère : je ne lâchais pas Boodibicool : je l’avais pris dans mes bras, ma main posée sur son slip bien rempli. Quant à moi, je sentais la grosse bite du routier contre mes fesses, une bite pas tout à fait au repos…Il faut dire que notre aventure à trois nous avait bien chauffé.

Je ne dormais pas, le routier ne dormait pas, Boodibicool ne dormait pas non plus…Donc c’est tout naturellement que je passa ma main sur le ventre de Boodibicool puis descendit pour prendre sa queue dans ma main. Je le masturbais doucement et en quelques secondes celle-ci reprit une forme avantageuse. J’aimais aller et venir, lubrifier son gland avec sa mouille, tirer sur son frein. Tout gémissement était un encouragement.

Le routier devait percevoir notre manège : sa main commença de lents « va et vient » sur ma bite qui ne tarda pas à grossir elle-aussi. Puis c’est naturellement qui dirigea sa bite contre mon cul. Je remuais un peu ce dernier : c’était à la fois une forme d’autorisation et une façon de m’empaler de manière perverse. En même temps mon cul était encore ouvert : cela ne faisait qu’ une ou deux heures qu’il avait subit les assauts de 2 grosses queues. Sa bite rentra comme dans du beurre : j’éprouvais le plaisir sans la douleur de la pénétration. je fermais les yeux pour bien me concentrer sur la sensation divine de ce pieu qui rentrait en moi, qui me perforait. Que c’était bon bordel !

Je me pencha sur le bite de Boodibicool et prit son gland dans ma bouche : je commençais à le téter. Ces gémissements m’encourager à prendre sa queue entièrement en bouche. Il me caressait les cheveux tout en me maintenant de manière ferme : j’avais compris : pas question de lâcher sa bite. J’étais pris en sandwich. Le routier me défonçait le cul, Boodibicool me défonçait la bouche. La bite de Boodibicool était une belle bite, longue et peu épaisse. Ces couilles étaient bien lourdes : je les imaginais bien remplies de sperme, sperme que je voulais avaler sans laisser la moindre goutte.

Nous étions un peu à l’étroit dans cette cabine. cela sentait le fauve en rut. Boodibicool s’amusait de temps en temps à me frapper les joues avec sa bite gluantes. Il riait. Cette baise était fort joyeuse. Le routier me donnait de grandes claques sur mes fesses. J’était dominer par 2 mâles, c’était mon pied. Personne ne s’occupait de moi : par moment je m’astiquais et dès que le plaisir montait, prêt à m’inonder : je stoppais net.

Pour pas que cela devienne monotone. Je dégagea la queue du routier pour m’asseoir sur celle de Boodibicool. Le routier enjamba Boodibicool et me présenta sa queue à sucer. je commençais toujours par les couilles, donnait des coups de langues sur sa hampe, faisait le tour du gland avec ma langue et engloutissait le morceau jusqu’au fond de la gorge : cela me rappelle un titre de film porno à succès : « gorge profonde » : J’étais une gorge profonde, capable d’engloutir des queues de plus de 18 cm. Sa bite sentait le cul : cela redoublait mon excitation.

Boodibicool me secouait de plus en plus, j’avais du mal à maîtriser ma fellation. Je branlais le routier avec ma bouche, sa bite plaquée contre son ventre. Il faisait chaud dans la cabine. Nos corps transpiraient.
Boodibicool, sans un ultime râle, me remplit le cul de jus. Le routier me gicla sur le visage de belles giclées de sperme sur le visage. Il étala le liquide avec ses mains puis me fit lécher ses doigts un par un. Nous nous démêlâmes les uns des autres et on commença à se rhabiller. Je sentais le sperme à 100m. Il me fallait vraiment une douche. Mais là, pour l’instant c’était pas possible.

Un seul regret sur cette aventure: je me serais bien fait pilonner par les 2 bites à la fois mais ce sera pour une prochaine fois.

Nous avions perdu assez de temps : Boodibicool et moi reprenions la route vers Paris.

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