Chapitre 30 : Belle surprise pour Paul.
Le dimanche soir en allant me coucher je prends la main d’Aurélie et je la tire derrière moi vers sa chambre. Une fois à l’intérieur de sa chambre, je ferme la porte et me presse contre elle.
-La prochaine fois que tu fais du pied à ton frère, fais le plus discrètement. Je crois que ton père l’a remarqué. D’ailleurs il me semble qu’il est temps de mêler ton père à nos petits jeux i****tueux car il te dévore des yeux de plus en plus.
– Veux-tu qu’on le fasse un soir en même temps qu’il te baise ?
Je frotte mon corps contre le sien en attendant sa réponse.
– Maman ! Vraiment ? Oh mon Dieu je vais… bien sûr que je veux ! Je suis tellement excitée ! Quand veux faire ça ?
– Pourquoi pas ce soir. Je te fais signe quand je serais prête. Prépare-toi !
– Oh, maman ! Je serais prête ! Oh, merci maman !
Elle m’embrasse fougueusement mais je ne dois pas m’attarder. Je la repousse et je sors de sa chambre pour me diriger tout droit dans ma chambre à coucher.
Paul est sous la douche et me rejoint dans le lit peu après. Moi je suis toute nue sous les draps.
– Paul, veux-tu que l’on parle de ce qui s’est passé le soir de la séance photos qui a pour le moins dérapé.
– Pourquoi ? Nous avons fait ça tout naturellement.
Je lève mes yeux vers lui et je mets ma main sur sa cuisse près de sa bite. Je la sens se tendre rapidement.
– Paul, j’étais complètement nue devant nos enfants. Et Aurélie ! Notre fille était également nue ! Et j’ai…j’ai pris son slip et…
Je m’arrête, attendant qu’il m’aide un peu.
– Tu veux dire…quand tu as reniflé son slip qui avait l’odeur de sa chatte humide ?
– Oui…
Chuchotais-je en déplaçant ma main pour toucher sa queue avec mes doigts. Sa bite est maintenant très dure.
– Tu sais chérie, c’était très érotique. Penses-tu que tu… aurais pu… enfin tu vois…
– Si j’aurais pu lécher sa chatte ?
Dis-je pour finir sa phrase en attrapant sa queue.
Il écarte ses jambes avant de répondre.
– Huuummm, Oui, lécher sa chatte. Tu avais envie de le faire ?
Il attend ma réponse mais je prends mon temps et je fais semblant de réfléchir tout en caressant sa queue maintenant toute dure.
– Paul… c’est notre fille…
Je branle sa queue en serrant mes doigts un peu plus et je le regarde dans les yeux. Ce que je vois confirme ce que je pense. Il espère que je vais dire oui. Il est mûr pour s’associer à nos petits jeux pervers.
– Je… oui…tu… probablement.
Il gémit, écarquillant ses yeux.
– C’est ce que tu aurais voulu voir ? Que je lèche la chatte de notre fille ?
Il retient son souffle…maintenant, c’est moi qui pose des questions difficiles. Il ne répond pas tout de suite et je commence à m’inquiéter.
– Ce n’est pas aussi simple que ça. J’AI…J’aurais vraiment aimé te voir déguster sa… chatte…
– Mais ?…
– Mais je voulais en voir encore plus… de toi…d’elle…Je ne sais pas… plus que ce que nous avons fait. Vous étiez si sexy ensemble, si désirables, que j’ai eu une indéniable envie d’être avec vous… avec vous deux. Je sais que c’est mal, que c’est un fantasme stupide, mais je ne peux m’empêcher de penser que j’avais envie de vous baiser toutes les deux ! Toi et surtout ma fille qui m’a l’air d’être une chaude femelle.
Il a presque crié les derniers mots, avec passion et je sais qu’il dit la vérité. Et moi j’ai la même envie que lui. Je lui souris et serre sa bite pour le branler avec ferveur.
– Ce sont des fantasmes mon chéri…et je peux te comprendre. En attendant, es-tu prêt pour ton traitement dominical ?
– Quoi ? quel traitement… dit-il un peu confus.
– Je me suis arrangé pour que mon amie soit libre ce soir pour nous rejoindre.
– Huuummmm…je veux bien me faire traiter…Tu crois que les enfants dorment ?
– Sûrement, ils m’avaient l’air éreintés.
Je souris et rapidement il se retrouve attaché sur le lit, la bite dressée et dure comme du roc. Je m’approche de lui avec le bandeau.
– Je te mets le bandeau mais ce sera peut-être la dernière fois. On va bien se faire plaisir ce soir.
– Que…quoi… tu crois que…
– Paul… ne dis plus un mot. Profite de la soirée et on verra bien.
Je lui mets le bandeau sur les yeux en m’assurant qu’il est bien aveugle. Pour l’instant…
Il a compris que nos séances mystérieuses de sexe avec les yeux bandés touchent à leurs fins. Mais je ne veux pas lui donner d’indices sur ce que je projette de faire.
– Je te laisse une minute. Je vais voir si notre partenaire est là. Penses à ce que tu as envie qu’elle te fasse…ou à ta fille…gros pervers !
Je referme la porte derrière moi, ne voulant pas qu’Eric voit accidentellement son père, ligoté au lit avec sa bite en érection. J’écoute à sa porte et j’entends qu’il parle avec Gina et je suis sûre que c’est en vidéo sur skype et qu’ils vont se dire et faire des cochonneries pendant un bon moment.
C’est une de leur habitude lorsqu’ils ne peuvent être ensemble.
J’enfile ma chemise de nuit et je vais chercher ma fille.
– Aurélie, J’ai préparé ton père, on peut y aller ?
– Oui, mais Eric est dans sa chambre… il va falloir ne pas faire trop de bruit…
Elle est complètement nue et très excitée, surtout avec son frère qui est à la maison. Il pourrait nous surprendre à tout moment et je pense que c’est trop tôt de l’inviter à nos ébats avec son père.
Je m’approche de ma fille et la prenant par ses cheveux je la force à me regarder et je lui dis.
– Dès qu’on rentre dans ma chambre, tu vas sucer la bite de ton père jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. Compris ?
Ce sentiment de domination sur ma fille me donne toujours des frissons et je sens que ma chatte s’humidifie.
Je verrouille ma porte qui heureusement est bien isolée et je mets une musique de fond, adaptée à la situation, pour couvrir les gémissements de plaisir qui ne vont pas tarder à remplir la chambre.
Aurélie est debout devant le lit et regarde son père ligoté, les jambes écartées, la bite redressée à 45 degrés et qui va devenir son jouet pour ce soir. Je la vois avaler sa salive et lécher ses lèvres avides de goûter à sa bite. Elle me regarde, et rampe sur le lit entre les jambes ouvertes de Paul, veillant à bien arquer son dos pour me montrer son cul. Je vois sa chatte humide nichée entre ses fesses et l’étroit trou plissé, juste au-dessus, qui à eu l’honneur, il y a peu de temps, de recevoir la queue de son frère. Elle rampe lentement, veillant à ce que j’ai la meilleure vue pour m’exciter en attendant qu’elle suce la bite de son père.
Dès qu’elle atteint la bite de Paul, elle la lèche sur toute sa longueur avant d’aspirer le gland et de commencer à la sucer.
– Chérie, Huuuummmm, t’es là ?
– Oui, je le suis là.
J’ai répondu de la porte, afin qu’il sache que ce n’est pas moi qui lui fait une belle fellation.
– Huuummmm, c’est toujours ton amie ou c’est une autre fille…demande-t-il.
Aurélie lève les yeux vers lui, et puis vers moi, mais continue à le sucer. Je m’approche de lui en ôtant ma chemise de nuit et complètement nue je l’embrasse sur la bouche.
– Elle ne te suce pas comme la dernière fois, mon chéri ?
Juste quand je lui demande ça, ma fille serre la base de sa bite et le suce sauvagement
– AAaahhh, si… mais d’une autre façon… Oooohhhh, elle me bouffe carrément, putain ! Tu peux me la décrire…
Comment pourrais-je ? C’est sa fille.
– Pourquoi veux-tu savoir ? Ce n’est pas suffisant qu’elle te suce la bite et qu’elle te fasse jouir ?
J’embrasse sa poitrine, son ventre, jusqu’à ce que je me retrouve prés de ma fille et de sa bite. Aurélie me regarde et me tend sa bite mouillée de sa salive. J’ouvre la bouche et je me l’enfonce à moitié pendant que notre fille caresse le bas. Dès que je la lâche, elle la reprend en l’enfonçant profondément dans sa bouche. Pendant les prochaines minutes nous alternons pour ne jamais laisser sa queue se reposer pendant plus d’une seconde jusqu’à ce que je sente qu’il est prêt à jouir. A ce moment, j’arrête Aurélie.
– Pas si vite.
– OH, non ! Continue Aurélie, oh, nooonn, j’ai envie de…
Je serre rapidement la base de sa queue jusqu’à ce que je sente la pression diminuer et qu’il ne va pas jouir. Je relâche la pression de mes doigts sur sa bite et je vois une petite quantité de sperme suinté sur le bout de son gland.
Je réalise aussi que Paul est dans son fantasme car il appelle la fille qui je le suce du prénom de sa fille Aurélie ! A moins qu’il a deviné que c’est elle… mais je ne crois pas.
-Alors mon chéri…tu crois que mon amie s’appelle comme ta fille ou tu pense trop à elle en cet instant ?
– Hoonnnn, heuuu…
– Sale pervers ! Mais on peut faire semblant si ça t’excite tellement.
Je me tourne vers ma fille qui me regarde de ses grands yeux et qui se demande si c’est du lard ou du cochon.
– Monte-lui dessus et baise-toi avec la queue de papa !
Elle veut sucer les gouttes de sperme sur le gland rougeâtre de son père mais je l’arrête et je la place à cheval sur lui. Je positionne la queue de son père à l’entrée de sa chatte et elle s’abaisse lentement pour enfoncer la bite bien dure de son papa à l’intérieur de son corps en gémissant.
– Huuuuummmmmmm…
– OOooohh, ouiiiiii…baise moi…. Gémit Paul
C’est incroyable de regarder ma fille baiser mon mari. Son jeune corps monte et descend comme une cavalière menant son étalon au trot. Sa chatte c’est ouverte pour accueillir l’épaisse bite de son père et elle est lubrifiée par son humidité. La bite de mon mari entre et sort de ma fille avec facilité. J’en ai l’eau à la bouche. J’ai une forte envie de goûter leur jus mélangés en tirant sa bite humide hors de la chatte trempée de ma fille pour la sucer, la nettoyer. Je m’agenouille sur le lit derrière elle. Je lève les bras d’Aurélie au-dessus de sa tête, puis je place mes mains sur ses seins en pressant ses tétons avec mes doigts. Je commence à embrasser son cou alors qu’elle baise son papa en gémissant.
– Uhhhhmmmm… ohhhhhhhhh… Ouiiiiiiiiiiiiii… aime-moiiiiiiiii
– Oooh, Kate…Kate, qu’est ce que tu lui fais… Demande Paul en l’entendant gémir.
Il ne peut nous voir mais il sait bien que je m’occupe d’elle.
– Je lui masse ses seins en serrant ses petits tétons bien durs. Les petits tétons de ta fille ! Elle aime ça, Paul, elle a ses bras au-dessus de sa tête et je suis juste derrière, embrassant son cou… pendant…Ooooh, ooooohh, qu’elle se baise comme une chienne sur ta queue
-Mon Dieu Kate, j’aimerais voir ça aussi, sa chatte est si bonne et je la sens bien.
J’ai sacrément envie qui sache que c’est notre fille qu’il baise et je suis excitée à mort ! Je pousse Aurélie en avant sur ses mains au-dessus de son père, et je laisse courir ma langue sur son dos jusqu’à ce que j’atteigne la fente de son cul. J’écarte largement ses fesses pour admirer les lèvres de la chatte de ma fille étirées par la bite de son père qui entre profondément à l’intérieur de sa jeune chatte. Juste au-dessus, son petit trou du cul. Il y a quelque chose de sale mais qui inexplicablement… est sexy… alléchant…
Aurélie se déplace verticalement pour bien profiter de la bite de son père et je continue de fixer son cul qui se déplace au rythme de leur accouplement tabou… et qui fait gémir ma salope de fille. Sa chatte coule tellement elle mouille et Paul doit sûrement avoir aussi du pré-sperme qui fuit de son gland.
Avec leurs jus mélangés et, le frottement de leurs sexes une humidité mousseuse ressort autour de la bite de Paul.
Les seins de ma fille se balancent au dessus du visage de mon mari, ce qui lui permet de grignoter ses tétons au passage. La langue de Paul s’élance hors de sa bouche pour laper les bouts durs de sa fille quand elle s’abaisse pour s’enfoncer sa queue profondément.
Tout à coup il arrive à prendre un téton entier dans sa bouche et il le suce durement.
– OOooooooohhhhhh, Mon Dieuuuuuuuuu !
Gémit Aurélie en regardant son père.
Je suis ivre de plaisir devant ce tabou, cet i****te qui m’échauffe les sens. Je remets mes mains sur les fesses de ma fille pour bien les écartées et me penchant en avant je lèche la fente de son cul jusqu’à ce que ma langue se presse contre son trou du cul.
– Ohhh, ouiii, vas-y bouffe moi le cul, ouiiiii…
Gémit tout doucement ma fille.
Doucement, je tourne ma langue autour de sa rosette et je pousse le bout de ma langue sur le trou plissé pour explorer cette zone interdite. Son trou du cul tremble et à chaque fois que ma langue touche le centre, il se contracte et à chaque fois que ma langue tourne autour, il se détend. J’adore !
Je frotte ma langue vers le bas, du trou du cul de ma fille à sa chatte qui se gave de la bite de mon mari. Ma langue glisse le long des lèvres de sa chatte vers le bas de la bite de son père couverte de son jus d’amour, jusqu’à ce que je lui touche ses couilles.
– Oh, mon dieu ! Kate ! OOoohh ouiii, suce-moi, suce mes couilles ! OOohhh, putain… vous êtes des salopes ! J’aime !
Mon mari sent ma langue sur sa bite tout en baisant notre fille ! Je lèche ses couilles et je glisse ma langue le long de son axe jusqu’aux lèvres de la chatte de notre fille et de là, jusqu’à son trou du cul, pour le taquiner.
– Hooouuuuuu…ouiiiii, encore… AAAAAHHHhhhh… plus fort….
Je suis heureuse et ivre de plaisir sexuel d’avoir amené notre fille dans notre chambre ce soir. Mais je veux plus. C’est le moment de voir si mon hypothèse est la bonne. Paul s’apprête à jouir. Je ne veux pas qu’il éjacule dans le ventre de sa fille. Je sais qu’elle prend la pilule, mais ne veux pas prendre le risque de la voir tomber enceinte de son père. Je me glisse hors du lit et me dirige vers ses mains ligotées.
– Paul, je vais délier tes mains, mais je veux que tu me promettes de rester les yeux bandés. Tu jures ?
– Promis, juré, bébé.
– Paul, c’est très important, jures que tu ne retireras pas ton bandeau.
– Juré ! Croix de bois, croix de fer !
Il est au bord de l’apoplexie.
Aurélie me regarde étonnée mais ne dit rien. Elle continue de se baiser sur la bite de son père. Je libère les mains et les pieds de Paul qui immédiatement att**** les seins d’Aurélie pour les presser dans ses paumes. Puis il glisse une main sur son cul et le presse fermement.
– OOOoohhh, gémit Aurélie.
Je remonte sur le lit à côté d’eux.
– Paul, tu es prêt à jouir,
– Oui… oh Oui… j’en peux plus !
– Toi, sort de sa bite et suce là !
Ma fille n’hésite pas une seconde.
Elle se relève laissant la queue de Paul glisser hors de sa chatte et elle se place entre ses jambes pendant que je relève un peu mon mari.
-Aller ! Suce-le et fais-le jouir !
Sans hésitation, sur ses mains et ses genoux elle prend en bouche la bite de son père et la suce fiévreusement tout en regardant vers le haut. Elle prend son pied à voir le plaisir extrême et l’expression de luxure et de satisfaction sexuelle sur le visage de son père, alors qu’elle le lèche et le suce. À genoux à côté de mon mari je l’embrasse sur ses lèvres.
– Tu sais que je t’aime Paul, pour faire ça !
– Oui bébé, oui mon amour. Je t’aime aussi…oh Dieu qu’elle suce bien… oh je vais…
– Je veux que tu saches que quoi qu’il en soit, quoi qu’il arrive…je t’aime…
Je lui dis ces mots alors qu’il se prépare à jouir et éjaculer son sperme.
Je sens son corps se raidir sous un premier spasme de jouissance et le premier jet de sperme va directement dans la bouche de sa fille.
Juste à ce moment là, je suis derrière lui et d’un mouvement rapide j’enlève son bandeau de ses yeux. Les yeux de Paul clignotent un instant pour s’ajuster et lorsqu’il envoie sa seconde charge de sperme dans la bouche de notre fille, il baisse son visage et cligne des yeux plusieurs fois pour s’assurer qu’il ne rêve pas. Son visage reflète une expression de choc, de merveille et de luxure.
– Aurélie… mon Dieu Aurélie…! Aurélie !
Il crie son prénom en tirant une autre charge de son sperme dans sa bouche.
Même s’il voulait arrêter cela, il n’en a pas la force et la volonté. Il est dans son orgasme, en pleine jouissance. Les yeux d’Aurélie, un peu effrayée, sont grand ouverts, mais elle n’a pas relâché son emprise sur la bite de son père. Elle continue de la sucer et d’avaler toute la crème que son père lui envoie dans la bouche.
Paul se vide complètement, en regardant sa fille avaler son foutre jusqu’à la dernière goutte, sous un orgasme intense combiné avec le choc de réaliser qu’il jouit dans la bouche de sa fille qui lui procure l’orgasme le plus intense que jamais !
– AAAaaaaahhhhh, Aurélie, Ma belle Aurélie…Ooooohhhh…Ouiiiiiiiiii…
Et il lui envoie encore un jet de sperme qui vient du fin fond de ses couilles.
Je lui tiens ses mains pendant qu’il regarde sa fille et qu’il ne jouisse plus. Mais quand il s’arrête, le moindre mouvement de la bouche d’Aurélie, qui va et viens sur sa bite, lui provoque des spasmes dans son corps. Il faut plus d’une bonne minute pour que ses spasmes s’estompent pendant qu’Aurélie continue doucement de sucer et lécher la queue de mon mari, de son père.
-Aurélie, mon bébé, viens là. Murmure -t-il.
Je me demande ce qu’il va faire mais je suis rassurée quand il écrase ses lèvres contre celles de notre fille dans un long baiser, humide et très intime. Je peux deviner et même voir par moment leurs langues dans un joli duel amoureux. Aurélie se blottit dans les bras de son père et pousse un profond soupire de soulagement.
– Alors c’était toi, ma fille ! A chaque fois !
Aurélie est encore incertaine sur la position à prendre et ne dit rien. Paul me regarde et dit.
– Whaou ! Vous avez réussi à me le cacher jusqu’à maintenant. Vous êtes très fortes.
Il me fiche une claque sur mon cul ce qui fait sursauter sa fille.
-Ouille ! Attention je pourrais te faire la même chose !
Il prend mes lèvres et m’embrasse passionnément avant de s’adosser sur la tête de lit avec ses femmes de chaque coté.
– Maintenant ça devient logique. Je sentais quelque chose de familier avec cette amie mystérieuse, mais je ne pouvais pas discerner exactement pourquoi.
– Tu veux dire la « salope mystérieuse »
– Maman ! crie Aurélie le visage rougissant.
-Oh, ma chérie, ne sois pas si sensible, si tu savais combien de fois on m’a appelé « salope ».
Je ris et je suis heureuse ne plus avoir ce grand poids qui pesait sur mes épaules.
– Paul… ça va… tu es d’accord avec ce qui vient de se passer ?
Il prend quelques secondes pour répondre et ma fille le regarde, anxieuse…
– Parfaitement d’accord. Même quand je ne savais pas que c’était Aurélie, je… je fantasmais en imaginant que c’était elle.
– Papa… vraiment ?
Le visage d’Aurélie montre de l’excitation et de la surprise. Moi, je me doutais qu’il avait envie d’elle dès l’instant où nous avons commencé à prendre des photos plus que coquines. La façon qu’il la regardait était très édifiante.
– Mais la question que je me pose c’est comment êtes-vous arrivés à être si proches.
Oui, c’est une bonne question. Paul attend tranquillement pendant que je cherche une réponse. Je n’ai pas très envie de lui dire que moi aussi je suis sexuellement attirée par ma fille et que nous avons déjà fait pas mal de cochonnerie ensemble.
– Paul… s’il te plaît… ne pouvons nous pas juste profiter de ce que nous avons en ce moment ? De cet instant magique…
Il a compris que ce n’est pas le moment d’insister sur nos relations et il se contente de regarder nos corps à coté du sien. Aurélie me jette un coup d’œil puis ses yeux glissent sur la bite de Paul. Il est déjà à moitie bandé, rien qu’à voir le corps nu de sa fille prés de lui.
Aurélie reporte ses yeux sur moi et je vois exactement ce qu’elle à envie car j’ai la même chose en tête. Je la regarde glisser lentement sa main sur la poitrine de son père jusqu’à ce que ses doigts enrobent la queue de Paul devenue subitement plus rigide. Et d’une voix de petite fille innocente.
– Papa va baiser sa petite fille…Humm, encore une fois, en sachant que c’est bien elle…
Du coup sa bite est complètement en érection et dure comme du granit
– Heu… si ma petite chérie, ma puce d’amour le désire….
– Oh, oui…oui…et ouiiiiii.
Elle l’embrasse doucement pendant que je me glisse vers sa bite pour commencer à lui faire une fellation. Je suce et je lèche sa bite bien dure, sachant que dans un moment il va labourer la chatte de notre fille. Je les regarde s’embrasser comme deux amoureux et quand je relève de nouveau ma tête ils sont tous les deux entrains de me regarder avaler la bite de Paul.
– N’est-elle pas belle ma maman ?
Demande Aurélie. Mais c’est plus une déclaration qu’une question.
– Surtout quand elle suce ta bite avec une telle intensité.
Bêtement je rougis comme une pucelle sous le compliment de ma fille. Je continue ma fellation mais Aurélie chevauche son père et se retrouve avec sa chatte sur mon visage… à côté de la bite de son père. Je retire la bite de Paul de ma bouche, et tout en continuant de la caresser, je passe ma langue tout le long de la fente humide de ma fille.
– Oh, oui, maman…lèche moi…
C’est bien ce que je fais. Je la lèche en caressant la bite de son père jusqu’au moment ou elle n’en peut plus.
– Maman…maman…Ooooohhhh, mets la bite de papa… en moi. Pousse là dans ma chatte pour qu’il me baise. Je t’en prie maman… vite !
Je place la bite de Paul devant son trou et Aurélie se laisse tomber dessus jusqu’à ce qu’elle disparaisse entièrement.
– AAAAAhHHHH…putain qu’elle est bonne ! OOoohh, Aurélie, qu’est ce que je te sens bien ! Gémit Paul
Aurélie commence à se baiser sur la bite de son père, tout d’abord lentement, mais en se l’enfonçant bien à fond à chaque descente de son cul. Je suis surprise de la facilité qu’a sa chatte de jeune fille pour absorber entièrement une queue de ce calibre. Son importante humidité enduit la bite de son père ce qui évidemment rend plus facile les aller et venus de cette grosse queue. Je me régale de les voir ainsi mais cela ne me suffit pas. Alors j’enjambe le visage de Paul, et j’abaisse ma chatte sur sa bouche jusqu’à ce que sa langue tendue s’enfonce le plus loin possible dans mon trou. Je tends la main à Aurélie, et je l’embrasse.
J’explore sa bouche avec ma langue, alors que mes mains trouvent ses seins et que mes doigts pincent ses tétons.
– AAAaaaaahhhhh…OOooooooohhhhhh… Gémit Aurélie, de douleur et de plaisir.
Moi je frotte ma chatte sur la langue de Paul de façon qu’elle atteigne mon trou du cul et mon clito. C’est merveilleux de me faire sucer la chatte par mon mari tout en embrassant ma fille en même temps.
Au bout d’un moment je descends de Paul et lui présente ma chatte et mon jus avec lequel il s’est barbouillé le visage.
– Chérie, Huuummm…J’ai envie de la baiser. Je veux baiser notre fille par derrière…
– Ooohh, oui, chéri ! Je veux voir ça. Je veux voir ta grosse queue lui défoncer sa chatte !
Paul prend immédiatement position derrière sa fille qui, à genoux, écarte bien ses cuisses pour faciliter l’accès de ses trous, et Paul s’enfourne d’un seul coup dans sa chatte baveuse.
– Uhhhhmmmm… oh papa… tu vas si loin, si profond ! Tu vas venir dans mon ventre !
Paul commence à marteler Aurélie par derrière et moi je me place devant elle, les jambes écartées. Aurélie sait ce que je veux et sa langue experte se mets instantanément à travailler ma chatte. Sa langue glisse entre mes lèvres de chatte, dans le trou et sur le clitoris. Je regarde mon salaud de mari baiser sa fille et c’est tellement irréel, tellement scandaleusement agréable que je ne vais pas tarder à avoir mon orgasme. Je gémis, saisis les cheveux foncés d’Aurélie et j’enfonce son visage dans ma chatte fumante.
– Oui… lèche moi, salope… oh, Ouiiiii, là… encore… bouffe ma chatte et fais moi jouir !
Paul me regarde avoir mon orgasme pendant qu’il continue de baiser Aurélie, ses yeux pleins d’émerveillement et de luxure. Il me voit gémir et me débattre sous mon orgasme qui n’en finit pas. Il a vu, avant, sa fille Aurélie, me dévorer et boire mon jus qu’il sait important dans ce moment là et aussi, il regardait sa bite qui allait et venait dans la chatte de sa fille. Il me faut quelques minutes pour récupérer. Aurélie n’a pas arrêté de me lécher ma chatte, mais pas aussi intensément.
Après quelques instants, je me redresse et repousse Aurélie pour pouvoir l’embrasser comme un remerciement silencieux.
– Oohh, maman…ta chatte est délicieuse…
Me dit-elle toujours sous les coups de queue de son père qu’elle accepte avec un plaisir évident.
J’embrasse Paul qui après le baiser et avec un regard concupiscent sur son visage, pousse doucement ma tête vers le bas jusqu’à ce qu’elle se pose sur le dessus de son cul. Quel salaud, quel pervers ! Je sais ce qu’il veut !
Je me demande si je dois le faire ou si je dois refuser. Mais soudain Paul a glissé sa queue hors du trou de sa fille et c’est une bite humide, presque dégoulinante, du jus d’Aurélie qu’il enfonce dans ma bouche en appuyant sur ma tête.
– Huuuummmmmm…
Et en belle salope, folle de bites, je gémis comme une chienne.
Il baise ma bouche un instant, puis la remet dans la chatte d’Aurélie et régulièrement recommence son manège. Je m’émerveille du goût qu’elle a dans ma bouche. C’est une saveur musquée, lourde, un mélange de Paul et d’Aurélie. J’adore ! Aurélie regarde par-dessus son épaule et elle se rend compte de ce qui se passe.
– Oh mon Dieu, murmure-t-elle. Elle réalise que son père baise sa chatte et ma bouche en même temps.
En alternance, sans relâche il nous baise comme si nous étions des salopes de putains qu’il a payé, juste pour son plaisir personnel. C’est lui le maître en cet instant.
– Papa ! Oui ! Baise-moi fort ! OOoohhhhh Oui… Je vais jouir !
J’espère que Eric ne peux pas entendre tout ça, j’espère que la musique que j’ai mise est assez forte pour masquer les bruits que nous faisons. Paul pilonne notre fille en plein orgasme. Elle à mis son visage sur l’oreiller et crie dedans pour étouffer le plus possible le bruit, quand son père la remplit de son sperme avant de sortir sa queue humide, dégoulinant de sperme et du jus d’Aurélie.
Il me regarde et la pousse dans ma bouche. Je la prends en gémissant, sachant très bien qu’il me voit en profiter, mais je m’en fous. Je veux juste la jouissance d’Aurélie, ma fille. Je la lèche jusqu’à ce qu’elle soit propre et qu’il la sorte de ma bouche pour, sans prévenir, l’introduire dans la le trou du cul de ma fille qui crie.
– Hooooouuuuuuuu ! Salaaauuuudd !
– Oh ! Pardon ! J’ai pris le mauvais chemin !
Mon œil, ouais, moi je n’en suis pas sûre. Heureusement que son frère lui a préparé son petit cul. Il s’arrête un moment enfoncé complètement dans son boyau et quand sa fille commence à geindre doucement.
– Huuummmm, ouiiiiiiiiii…
Il commence une baise rapide et sauvage en s’agrippant à ses hanches. Ma fille se retient comme elle peut pour subir le martellement de son papa dans son cul. Il ne lui faut guère de temps pour éjaculer à nouveau des charges de foutre dans ses entrailles.
Moi qui ne voulais pas qu’il jouisse à l’intérieur de sa fille ! Et bien il a trouvé un autre trou pour ça ! Ce salaud est entrain lui remplir ses boyaux de son sperme i****tueux après l’avoir fait dans sa chatte !
Une fois calmé, il se retire et s’effondre sur le lit sa bite trempée. Aurélie, anéantie, se couche près de lui. Moi, je ne baisse pas les bras et je veux encore sucer sa bite et son sperme que j’adore tellement. Je rampe sur le lit entre ses jambes et je commence à le sucer.
– OOOoohhh, maman ! T’es vraiment une belle salpe !
Murmure ma fille en me regardant nettoyer la bite de son père qui vient de sortir de son cul.
– Nettoie-la bien maman. Assure-toi que tu lèche bien tout !
C’est… embarrassant d’être traitée comme une chienne par ma propre fille, tandis que mon mari regarde, mais je suis une salope et je donne un coup d’œil à Paul, juste pour voir s’il me regarde.
– C’est bien, maman. Suces ses couilles maintenant.
– Uuuugggghhhhmmmm… Je gémis à voix haute et je fais ce que ma fille me dit.
Les mots quelle emploie sont avilissants, mais elle augmente mon plaisir. SALOPE. Je suis une salope, crie mon deuxième moi dans ma tête.
Ma fille sait que parfois j’aime être traitée de cette façon et elle profite de moi en ce moment.
-Maman, dis moi comment tu aimes sucer mes jus sur la bite de papa.
Je ne répons pas. Je suis tellement gêné que mon mari voit ça. Mais les vagues du plaisir courent à travers moi. Pourquoi ?
Aurélie m’att**** par mes cheveux et me force à les regarder.
– Dis-moi à quel point tu aimes sucer mes jus de tous mes trous !
Elle me traite comme si j’étais son jouet, sa salope ! Comme si elle était capable de m’ordonner et de me dire quoi faire.
– Je…J’aime… sucer ton jus…tous tes jus de jeune fille…
Oh non ! Pourquoi ai-je dit ça ? Je n’aurais pas dû, mais je n’ai pu m’en empêcher. Je remarque que la bite de Paul durcie à nouveau et je comprends que de me voir traitée ainsi l’excite. Il faut que j’arrête ça.
Mais Aurélie tire sur mes cheveux et je lâche la bite de Paul. Elle me fait mettre à genoux devant elle, et écarte ses jambes.
– Maintenant tu vas me lécher comme une bonne chienne que tu es. Et assure-toi de bien tout racler le sperme de papa de ma chatte. Et je veux te voir avaler !
Elle lâche mes cheveux car je tremble devant elle, de honte et de plaisir. Je regarde sa chatte humide de sperme, son trou du cul idem… et… je m’abaisse vers elle. Je ne me rebelle pas car je ne peux pas arrêter.
– Oui, maman, t’es une bonne fille obéissante. Une bonne salope !
Ma fille roucoule de plaisir en me regardant.
A ce moment là, je réalise que je suis son esclave, son esclave sexuelle. Ma bouche atteint sa chatte et je lape de ma langue tout ce qui coule encore sur ses lèvres trempées en passant de son clitoris au bas de sa chatte puis sur son trou du cul. Et je recommence en remontant jusqu’au clito palpitant.
– OOoohh, mon dieu…Aurélie, Kate, vous êtes de parfaites salopes mais qu’est ce que je vous aime ainsi.
Je ne peux pas le regarder, pas encore. J’écarte largement les lèvres intimes de ma fille et je plonge ma langue dans son trou pour lécher et aspirer ce qu’elle a reçu de son père. C’est facile, car son vagin est encore dilaté par les nombreux coups de bite que son père lui a donnée. J’appuie mes lèvres autour de son trou, pour faire un joint étanche et j’aspire, je siphonne bruyamment toute cette crème mousseuse.
– Ahhhhhhh…Maman ! Tu ne m’as jamais sucée comme ça ! OOOOoohhhhhhh….
Je recueille ainsi la presque totalité du sperme i****tueux que son père lui a mis au fond de son vagin et de son trou du cul et j’avale cette crème en relevant ma tête pour qu’Aurélie et Paul me voient la déguster tout en l’avalant.
Je remarque que la bite de Paul est de nouveau prête pour une nouvelle baise. Que les tétons d’Aurélie sont dressés et bien durs en attente d’être écrasés entre les doigts d’une personne.
Je suis comblée, heureuse, satisfaite. J’ai maintenant plus de secret entre ma fille et son père…entre mon fils et ma fille. Il ne reste plus qu’a se retrouver à quatre pour que le cercle soit bouclé. Et nous pourrons nous réunir à tout moment pour de bonnes baises en famille. Je ne me tracasse pas pour Eric, il sera évidemment d’accord pourvu qu’il puisse baiser sa sœur et sa mère en même temps.
Je me couche sur le côté, recroquevillé contre mon mari, épuisé par mes jouissances.
Mon esprit bat la chamade et je pense à tous ses événements qui m’ont transformé en une mère assoiffée de sexes de tout genre. En belle salope que va satisfaire les perversions de mon fils et de ma fille, sans oublier celles de mon mari. A nous quatre et à nos relations i****tueuses. A nos prochaines baises familiales…
La suite dans le dernier chapitre de cette saga familiale.
Phantome
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