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Ma femme offerte

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Cela faisait 6 mois que nous étions mariés, Céline et moi, et nous prenions nos premières vacances. Ayant peu d’argent nous avions trouvé un petit hôtel sur la côte landaise : une dizaine de chambres sur deux étages. N’ayant pas de voiture, nous avions pris une pension complète et nous avions le projet de faire des balades à pied soit dans les bois de pins soit sur le bord de la plage. Nous avons été accueillis par deux jours de pluie et l’ambiance au restaurant de l’hôtel n’était pas franchement gaie : un couple avec deux enfants, une dame seule assez âgée et un autre client d’une quarantaine d’années, un peu bedonnant, qui faisait face à Céline mais que je ne voyais pas. Il se fendait à chaque repas d’un sourire et d’un grand bonjour, ce à quoi nous répondions poliment. Nous nous ennuyions un peu pendant les repas aussi j’entrepris d’asticoter Céline en lui disant que le type regardait sûrement ses jambes. Elle disait bien sûr que ce n’était pas vrai, j’insistais et cela animait la conversation. Pendant le dîner du deuxième jour de pluie, j’essayais de pousser les choses plus loin et dis à Céline d’écarter largement les cuisses en quittant la table, afin de laisser voir son slip.

— Tu es fou ! me répondit-elle, outrée.
— Mais non : tu me dis que le type ne te regarde pas, alors tu ne risques rien !
— Oh ! Et s’il regarde ?
— Il n’en perdra pas la vue et j’aurai gagné mon pari ! Je suis sûr qu’il te reluque.
— Ok, je vais le faire car je suis certaine que je ne l’intéresse pas du tout. D’ailleurs, il lit son journal !

Très étonné que Céline ait accepté, j’étais fort excité. Sortis de table nous avons fait un petit tour dehors et j’ai demandé : alors ?

— Oh, quand j’ai ouvert les cuisses pour sortir de table, il a un peu baissé son journal, mais sans plus !

Dans le lit, nous avons commencé à faire l’amour, caresses, minette puis quand je suis entré dans son petit minou, je lui ai reposé la question.

— Oui, là ! Il a regardé !
— Il a regardé quoi ?
— Mes cuisses, tiens !
— Bien écartées, tes cuisses ?
— Oh oui ! Il a dû bien voir mon slip blanc !
— Et ça t’a excitée ?
— Bof !
— Avoue.
— Oui, un peu. Je n’ai pas l’habitude de montrer ma culotte, tu sais !

Le lendemain, il faisait enfin un grand beau temps mais avec du vent. Nous sommes tout de même partis à la plage. habillés hélas. À l’abri, nous avons tout de même pu enlever nos jeans, tout en gardant nos pulls. Céline était gênée car nous étions en slip et non en maillot de bain, ne pensant pas pouvoir nous mettre à l’aise à cause du vent. De loin je vis arriver notre voisin de table.

— Tiens, chérie, ton amoureux qui arrive !
— Arrête avec ça ! Je te dis que je ne l’intéresse pas du tout et en plus il ne me plaît pas.

En tout cas, le monsieur en pull et en boxer vint nous saluer. À ma demande, Céline n’avait pas changé sa position assise, jambes repliées, mais écartées. Au cours de la conversation sur le temps, notre ami bien sûr jetait des regards discrets sur l’entrejambe de Céline. Pour mieux voir sans doute il s’accroupit devant nous pour discuter. Je m’aperçus alors qu’un énorme gland violacé commençait à dépasser de son boxer ! Je me dis que Céline allait refermer ses cuisses et que cette histoire se terminerait brutalement là. Je montrai à Albert, puisque c’était son prénom, un bateau à l’horizon : pendant qu’il se retournait, j’ai regardé ma femme qui fixait le gland et, à ma grande surprise, ouvrait de plus en plus ses cuisses. Albert parti, elle fut obligée d’admettre qu’elle n’aurait jamais pensé qu’un gland puisse être aussi gros, ni d’une telle couleur. Quand nous sommes revenus de la plage, notre homme était à son balcon du premier étage.

— Chérie, tu me dis que tu n’intéresses pas ce type : je vais te prouver le contraire !
— Mais tu es obsédé ! Et puis je me demande bien comment !
— Je vais dire tout fort que je vais acheter des journaux et tu monteras seule dans notre chambre au deuxième : s’il ouvre sa porte, j’ai gagné !
— Je suis sûre du contraire !
— Ah oui ? Eh bien, si je gagne tu devras accepter d’entrer dans sa chambre s’il te le propose et tu te débrouilleras pour lui laisser voir à nouveau ton slip.
— Qu’est-ce que tu me fais faire, tout de même ! Bon, comme je suis sûre de gagner, j’accepte.

Comme je m’en doutais, le type qui avait entendu notre désir d’acheter des périodiques a proposé à ma femme de lui en prêter quelques-uns. Céline m’a raconté plus tard qu’Albert avait été très correct et lui avait montré une pile de journaux sous une table basse. Céline s’accroupit pour choisir tandis qu’Albert s’asseyait jambes ouvertes sur le canapé. Ma femme regardait les revues en choisissant les moins érotiques quand elle tomba sur Union, qu’elle ne connaissait pas. Albert lui dit de la prendre, car elle y trouverait des conseils sur la sexualité moderne et pourrait lui dire ensuite quelle histoire vécue elle aura préférée. En relevant les yeux, elle ne put s’empêcher de mater l’entrejambe du type, en se souvenant du gage qu’elle devait accomplir : elle laissa donc doucement s’ouvrir ses cuisses. Elle m’avoua alors avec honte avoir désiré revoir le gland hors normes. Tout en rassemblant les revues, elle laissa voir une nouvelle fois son slip qui devait être humide ; mais rien n’apparut du boxer d’Albert !

La semaine s’achevait et la chaleur maintenant était lourde à l’hôtel, surtout pour le repas de midi. C’était notre dernier jour et je parvins à convaincre Céline de ne mettre aucun sous-vêtement sous sa robe d’été. La convaincre prit bien un quart d’heure ! Le repas se passa bien, Céline était de bonne humeur, ce qui m’incita à aller plus loin :

— En sortant, montre à Albert que tu n’as pas de slip !
— Tu es fou ? Jamais je n’oserai !
— Mais si, tu lui as bien montré ton slip avec une tache d’humidité ! Et cela t’a excitée, non ?
— Ben oui. Mais de là à montrer ma minette, quand même !
— De sa table, il verra seulement que tu n’as pas de slip, mais ne percevra aucun détail.

Ma chérie osa le faire et prit bien son temps pour sortir de table, tout en souriant à Albert. Je restai un moment après elle et Albert vint me retrouver, vantant la beauté de ma femme. Je lui dis que nous avions oublié lui rendre ses revues mais qu’il pouvait venir les chercher dans notre chambre dans quelques minutes, car nous allions nous préparer pour la plage. Il me dit que lui aussi allait se mettre à l’aise et qu’ensuite il monterait nous retrouver. Dans la chambre, je ne dis rien à Céline qui s’apprêtait : elle choisit une robe toute simple en coton, genre grand t-shirt. Je lui demandai alors de ne rien mettre dessous : nous mettrions les maillots à la plage. On frappa alors à la porte. Céline enfila rapidement sa robe et alla ouvrir car j’étais dans la salle de bain.

— Re-bonjour Madame, votre mari m’a proposé de venir rechercher les revues, j’espère que je ne vous dérange pas !

Il reluquait les pointes des petits seins de Céline qui pointaient légèrement sous le coton. Elle, rouge de confusion, le fit entrer et commença à rechercher les revues.

— Au fait, madame, avez-vous lu Union?
— Oui, parvint-elle à peine à articuler.
— Ah, très bien. Et quelle histoire avez-vous préférée ?
— Je… enfin je crois que je préfère celles qui traitent de l’exhibitionnisme ; je trouve les autres trop poussées et relevant du fantasme.
— Vous avez bien raison : il n’est rien de plus beau qu’une femme laissant entrevoir un peu de son corps.

Céline ne savait plus où se mettre, tirant sur sa robe pour cacher le haut de ses cuisses, lorsqu’elle porta son regard sur le short d’Albert : il était encore plus court que l’autre fois. Elle me confia qu’une chaleur lui avait envahi le ventre à ce moment-là. Le boxer était entrebâillé, elle pouvait voir un testicule du type, apparemment glabre, sans doute rasé. Céline se demandait ce que je pouvais bien faire dans la salle de bains : elle était seule avec ce type et elle s’avoua que cela l’excitait. Quant à moi, totalement nu dans la salle de bain, je me caressais en écoutant leur conversation ; je pouvais les voir de profil.

Elle commença par ne plus tenir le bas de sa robe qui, bien sûr, s’empressa de remonter doucement sur ses cuisses bronzées. Pendant ce temps, Albert louait les femmes qui osaient faire partager à d’autres qu’à leurs maris les beautés cachées de leur corps. Il aimait surtout l’abandon des femmes fidèles et aimantes. Céline se sentit concernée par ce discours et sentit la chair de poule lui envahir bras et cuisses. Tout en discutant, Albert s’arrangea le sexe qui commençait à se sentir à l’étroit dans le boxer ; le fit-il exprès ? Toujours est-il que Céline vit apparaître le sexe du vicieux. Mais pas le gland qu’elle aurait voulu revoir, car il était encore caché, le monsieur n’étant pas circoncis. Elle se sentit frustrée ! Perdant toute pudeur, elle se dit qu’en en montrant un peu plus le gland sortirait bien ! Et ce n’était pas bien méchant d’ouvrir un peu les cuisses !

De ma place, je vis la robe remonter encore : le bord devait être à moins de dix centimètres du minou ; je me dis que le gros cochon ne devait pas encore voir la chatte, peut-être quelques poils ? Céline est blonde et elle coupe ses poils très courts, ainsi ils ne cachent en rien le sexe. Il me sembla qu’Albert sursauta un peu ainsi que sa queue qu’il sentait grossir : le gland apparaissait maintenant pour un bon tiers, toujours aussi violacé. Cela ne suffit pas à Céline puisque ses cuisses s’ouvrirent un peu plus devant le regard ravi et que son pied remonta sur le barreau de la chaise : elle livrait ainsi la vue complète de sa jeune chatte. Le type ne quittait pas les cuisses des yeux et sa bite grossissait à vue d’œil, libérant presque tout le gland. Tandis que je m’activais sur mon propre sexe, je l’entendis dire à Céline qu’elle était belle et qu’elle devait tout lui montrer. Ma femme subjuguée ouvrit alors ses cuisses de plus en plus tout en fixant la bite : elle ouvrait et ouvrait, sentant ses lèvres intimes se disjoindre doucement tandis que coulait sa mouille. D’une voix rauque, elle lui répondit de tout montrer, lui aussi. Albert se leva lourdement et s’approcha d’elle.

— Regarde-le bien ! Tu en avais envie, avoue-le, dit-il en enlevant son boxer, laissant admirer sa grosse bite et ses couilles qu’aucun poil ne venait cacher. Touche-le, fais-le coulisser doucement, touche plus bas, oui, là, c’est bon, continue, oui, va plus loin, oui, entre les cuisses, oui, caresse l’autre trou aussi ! Et maintenant délivre entièrement mon gland et sens-le, tu aimes ? Tu aimes quand tout est rasé ?
— Oui, il est très beau, murmura Céline, montrez-moi bien tout. C’est la première fois que je vois ainsi un autre homme que mon mari !
— Tu te sens devenir cochonne, hein, petite femme fidèle !
— Oui.

Albert se retourna et se baissa puis, avec ses mains, écarta ses fesses et je vis ma femme faire des choses qu’elle ne m’avait jamais faites : elle caressait le sexe pendant, comme on trait une vache puis remonta aux bourses qu’elle malaxa doucement pour enfin les embrasser. Ensuite, sa main remonta, hésita un instant et son doigt vint caresser l’anus du gros homme.

— C’est très beau sans poils, c’est doux, dit-elle en passant les mains partout.

Excité Albert ouvrit à nouveau ses fesses pour bien montrer à ma femme inexpérimentée, mais curieuse. Son trou sembla gonfler, tellement les fesses étaient écartées. Il allait vers le visage de Céline. À ce moment-là se passa une chose incroyable : ma douce et tendre femme avança son visage vers le gros cul lisse. Je vis son nez renifler l’odeur puis sa langue titiller le trou !

— Oui ! Oh, c’est bon, continue cochonne, pousse ta langue de petite salope !

Je vis alors le visage de Céline coller littéralement à la raie culière du type tandis que sa petite main allait toucher son abricot d’amour ! Je n’en pouvais plus : je sortis de la salle de bain, nu, la bite dressée. Quand Albert vit mon état, il comprit que désormais tout lui était permis. Il allait pouvoir abuser d’une jeune mariée de vingt-cinq ans sous les yeux de son mari ! Il se retourna vers Céline et chercha sa bouche, qu’elle lui refusa. Tandis qu’il embrassait son cou et son visage, ses mains se mirent à malaxer les petits seins cachés sous la robe. Puis l’une d’elles descendit vers le sexe que les cuisses à nouveau jointes ne défendirent qu’un moment, pour abandonner la place brusquement, laissant cette intruse soulever la robe et violer l’endroit sacré. Céline eut un sursaut puis s’abandonna ; la bouche d’Albert revint vers celle de ma femme, dernière place encore refusée. Lorsque leurs lèvres se joignirent, il y eut une dernière résistance, mais la langue du mâle pénétra bientôt la bouche aimée. Le baiser discret devint de plus en plus profond puis sauvage : j’ai compris alors que Céline se donnait à lui.

Il lui dit quelques mots à l’oreille qu’elle écoutait sans rien dire ; il se détacha d’elle.

— À toi de te montrer maintenant, je veux voir tous tes trous intimes ! Tu en as envie, avoue-le !
— Oui, vous pouvez tout voir, tout ouvrir, tout prendre, je le veux, dit-elle en me lançant un regard interrogatif.

Je lui fis oui de la tête. Céline se mit debout et passa lentement sa robe par-dessus la tête devant les yeux du vicieux qui admirait ses petits seins pointus et sa chatte bien visible sous les poils courts.

— Allonge-toi sur le lit et ouvre les cuisses.
— Oh, chéri, il va tout voir cette fois-ci ! Oh c’est bon !

L’homme commença par inspecter les oreilles, les trous de nez puis la bouche, enfonçant sa langue partout. Il monta alors sur le lit et présenta sa grosse queue. Le gland entrait difficilement dans la petite bouche qui parvint à enfourner un tiers de la bite. Mais il en voulait plus ! Il força et la moitié de la queue parvint à rentrer. Il s’arrêta là puis descendit vers le ventre offert.

— Ouvre-toi et branle-toi devant nous.

Rouge de honte et de plaisir, Céline se masturbait, les gestes devinrent plus saccadés, elle commençait à prendre son pied ! Avec une agilité surprenante, le gros type contourna Céline et s’aplatit dessus, cherchant à la pénétrer !

— Mon chéri, me dit alors Céline, tu vois ce qu’il veut me faire ? Est-ce que tu veux qu’il me prenne ? Georges, dis-moi : je n’ai jamais été qu’à toi ! Oh, je sens son gland sur mes lèvres, il essaie d’entrer ! Oh, qu’il est gros ! Chéri, il va me baiser ! Chéri, je t’aime, mais il entre, je ne voulais pas, mais il est dedans ! Oh oui, tout au fond maintenant. Il bute au bout, il est au bord de mon utérus. Il va déverser sa semence !
— Oh oui que je vais tout te mettre, belle salope et devant ton mari qui se branle ! C’est lui qui a voulu tout ça et j’en profite ! Oh, que c’est bon un jeune con ! Ah oui, je le sens ton utérus, je vais juter dedans ! Ah ça vient. Dis-le, que tu veux tout !
— Oui, oh oui, je jouis de ta grosse bite ! Oh je n’ai jamais ressenti ça ! Oui, verse tout au fond, baise-moi, ensemence-moi !

Bien sûr je n’avais rien fait pour éviter ce que j’attendais depuis quelque temps : voir ma femme se faire baiser devant moi ! Le type s’agitait sur Céline, puis se cambra : je vis alors sa bite s’enfoncer doucement et entièrement dans le con de Céline : il pénétrait le col de l’utérus et dans un grand cri déposa sa semence dans la boîte à bébé de ma chérie ! Albert se détacha du corps pantelant de mon épouse et se remit à califourchon au-dessus de sa tête en lui disant qu’elle venait de vivre sa première expérience de salope, et qu’elle devait goûter à son jus et le sucer entièrement cette fois-ci !

Il entra sa bite dans la bouche ouverte, laissa la langue goûter et nettoyer le sperme puis enfonça la queue un peu ramollie dans la gorge. Il n’arrêta que lorsque son ventre toucha le visage de Céline. Pendant ce temps, n’y tenant plus, je la baisais à mon tour !

Telle fut notre première expérience érotique, qui se passait il y a vingt ans, époque où le sida était moins présent.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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