Je reste bouche bée et mon regard est complètement plongée dans cette superbe paire.
– Ca va pas ? me dit-elle pour me réveiller
– Ah non ça va pas du tout!!
– pourquoi donc?
– Parce que d’aussi beaux seins sous mon nez …
– et?
– et bien tu vas encore me faire bander et puis disparaitre!
– tu crois vraiment?
– Croire quoi? que ton espagnol va arriver dans 2 min, que tu vas t’enfuir en moto après m’avoir dit que ce soir tu allais t’en prendre une belle…
– Tu es de bon humeur dis donc! Je parlais de te faire bander…
– Oh ça tu y arrives toujours très bien en me racontant tes histoire de fesses mais là…
– Là quoi?
Je ne dis rien de plus, la regarde dans les yeux, je m’approche d’elle et là Valériane recule.
– T’es sérieuse?
– Oui oui!
– Super bah salut!
Pensant que la fête est finie, (enfin a-t-elle vraiment commencé comme toujours avec elle…) je lâche l’allumeuse du regard et tente de retrouver mes esprits.
– Tu te sauves?
– Je vais pas attendre ici que tu trouves encore le moyen de me faire mal à la bite et me laisse en chien…
– Mais non voyons!
– Alors quoi?
Sentant mon exaspération, Valériane remet son pull et là je suis encore plus fou de rage! Je tourne la tête, range mes deux trois affaires, sors une clope de mon sac quand… Je reçois un tissu délicat et parfumé sur la tête avec un rire discret en fond sonore.
Je passe ma main dans les cheveux et je vois pendouiller une bretelle rouge de soutif devant mes yeux!
– Oh la garce!!!!!
– Merci mon cher
Je prends le soutif en me retournant et je lance bêtement:
– Tu en as deux?
– t’es con!
– Oh… tu… tu…
Je sens ma queue se redresser et ma confusion s’accentuer. Va-t-elle s’amuser à me rendre dingue encore longtemps sans rien consommer ou va-t-elle finir par me laisser gouter à son corps si délicieux?
– Je quoi?
– Tu as plus rien sous ton pull!
– Tu es intelligent quand tu veux mon cher, me lâche-t-elle avec son meilleur sourire.
– Je peux le garder alors le soutif? c’est mon cadeau pour cette soirée de merde?
– T’es toujours aussi con toi en fait.
Continuant de jouer avec mes nerfs, Valériane, décide d’aller encore plus loin. J’aime beaucoup les moments comme ça où tu as l’impression d’être sur une poutre et que tu sais pas de quel côté tu vas tomber. Soit tout s’arrête et tu rentre chez toi comme un con, soit tu finis par te retrouver dans un moment de luxure imprévu! Mais Valériane, m’a tellement habitué à me faire bander tout le repas en me rappelant au dessert qu’elle est une pure cochonne totalement fidèle que je ne peux pas croire que je n’aurais plus le droit que de toucher son soutif… et encore, pas sur elle! Ne sachant quoi penser, ayant peur d’être la victime de ses allumages gratos, mais tellement excité par son corps, ses seins, son cul d’enfer, la promesse de sodomie, sa petite chatte épilée, le gout de sa langue je décide de continuer dans son jeu.
– Tu as assorti le bas?
– Quelle question…
– Oh bah écoute…
Cette fois, j’ai compris et j’ai eu ma dose! Je ferme mon sac et … mais c’est son string dans mon sac! La garce elle a profité de mon rdv pour le glisser… enfin je pense. Il est bien rouge en tout cas… Je le passe dans ma main, il est bien chaud encore, et il y a une petite auréole sombre bien placée.
– Valériane ?
– Oui ?!
– Tu vas me rendre dingue!
– J’espère bien oui…
– Non mais sérieux, là je sais plus…
Je ne finis pas ma phrase, voyant qu’elle est toujours plantée au milieu du bureau, je m’approche d’elle bien déterminée.
Je la fixe du regard, elle ne bouge pas et souris toujours avec sa manière bien à elle de pas y toucher.
Je suis à quelques centimètre de ma comptable, je ne sais pas ce qu’elle compte faire mais moi je n’ai plus qu’une idée en tête, je veux vérifier avec mes mains que ses seins sont libérés de son soutif et qu’elle a le cul à l’air…
– Approche toi
– Moi?
– Arrête maintenant
– Oh Monsieur se fâche
– Viens là, je lui att**** le poignet, elle pourra pas se dérober facilement
– Oh ça joue les gros durs
– Ca tu y es pas encore arrivé ma belle
– Ah oui?
Elle ne se démonte pas la garce et sa dernière phrase s’accompagne d’une main qui vient directement dans mon entrejambes. Elle commence à jouer et palper ma queue demi molle, elle pèse mes couilles et les malaxe…
Je décide de ne pas me laisser faire et passe ma main sur ses gros seins tout en l’embrassant dans le cou.
– Bah alors, tu as raison tu es pas tout dur cochon!
Elle profite que j’ai commencé à relâcher la pression sur son poignet pour se retirer de mon étreinte et reculer.
– Oh putain Valériane t’abuse là!
– Reste poli jeune homme.
– Non mais attends…
– Attends quoi? que tu te décides à bander?
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