Histoire à quatre mains envoyé par Gosch
Sur le retour, comme il fait beau et je décide de prendre mon temps en passant par le bois. Après avoir pris un chemin de terre, je coupe le moteur à côté d’une autre voiture déjà arrêtée. J’ai hâte de revoir mon acquisition. J’ouvre le coffre, lui enleve son collier et lui dis :
« Sors du coffre et montre-moi tes charmes ! Va marcher un peu pour te détendre les jambes ! »
Je suis vraiment content. En la voyant marcher de dos, je me dis :
« Elle n’est pas donnée mais qu’es-ce qu’elle est bien roulée la salope ! Sa chute de reins, sa taille et son cul ! Huuum ! C’est quelque chose. Je ne regrette pas l’argent que j’y ai mis ! »
Entendant des voix qui se rapprochent, Michèle prend peur et revient vers la voiture tentant maladroitement de cacher ses charmes avec une main devant son intimité et l’autre devant ses seins.
Agacé par le comportement de ma femelle, je lui lance :
« Combien de fois va-t-il falloir que je te le dise, hein ? Pour marcher, c’est mains dans le dos ! Et devant moi, c’est à genoux, mains derrière la tête, coudes et cuisses écartés ! C’est compris ? Allez repars et quand je te siffle tu reviens ! »
Les voix se rapprochant, elle tarde à obéir. Je lui donne alors un bon coup de laisse qui claque sur ses cuisses. Elle pousse un petit cri et je la laisse s’éloigner à une bonne dizaine de mètres.
« Stop ! Tourne toi … mains derrière la tête ! »
C’est à ce moment que deux hommes apparaissent dans la clairière. Un grand jeune homme et visiblement son grand-père qui reviennent des champignons. A la vue de ma femelle, ils s’arrêtent stupéfaits.
Je les rassure :
« Je la dresse mais elle n’est pas farouche ! Allez Michèle aux pieds … plus vite ! »
En trottinant vers moi, mains derrière la tête, ses seins ballottent. C’était un vrai régal.
Arrivée devant moi, elle s’agenouille et se met en position. Je lui remet son collier. On ne sait jamais, les animaux doivent toujours être tenus en laisse dans les lieux publics.
Après cet exercice, les deux hommes se rapprochent satisfaits de cet imprévu. Le plus âgé m’interroge :
« Ca fait longtemps que vous l’avez ? »
« Non, je viens juste de l’acheter. Il faut que je l’habitue à obéir. »
« Belle femelle, dites-donc ! »
Le jeune, plus timide, reste en retrait mais ne la lâche pas des yeux. Je sens bien qu’il n’a pas dû voir d’aussi beau spécimen souvent devant lui.
Doucement, le grand-père me dit :
« Il va avoir trente ans mais il est toujours puceau ! Il ne parle pas, vous avez compris ! Il est légèrement retardé et il n’a jamais quitté ses parents, le pauvre. Je le prends de temps en temps avec moi aux champignons pour le sortir ! »
« Mince ! Et vous pensez qu’il serait content de la toucher ? »
« Demandez-lui ! Il saura vous l’exprimer ! »
« Eh petit ! si tu veux la toucher, tu peux ! Elle ne te dira rien. Elle ne mord pas ! »
Il approche la main et commence à lui toucher délicatement les cheveux, le visage et descend jusqu’au sein. Fasciné par son contact il restait sans bouger. C’est incroyable avec quelle douceur, ses doigts la frôle.
« Allez vas y touche-la ! N’aie pas peur ! »
Peu à peu en confiance, il commence à poser ses mains sur elle et à lui malaxer les seins avec vigueur.
« C’est bon, hein ? Tu n’en avais jamais touchée avant ? C’est chaud, c’est doux, hein ? Allez vas-y fais toi plaisir! »
Rien qu’à la bosse qui se forme au niveau du pantalon, on sent bien que l’envie est là mais qu’il n’irat pas plus loin .
« Attends, je vais te montrer ! »
J’ouvre ma braguette et sors ma vieille bite tout molle. Je tire sur le collier, lui lançant :
« Viens ici Michèle ! Montre à ces braves gens comment tu suces ! »
Elle gobe ma bitte et commence à me sucer. Je dis au vieil homme :
« Si ça vous dit ? Ne vous gênez pas ! Et puis ça va montrer au petit ! »
« C’est proposé si gentiment ! Pourquoi pas ! »
Il se place à côté de moi et sort lui aussi sa bite.
« Allez Michèle ! Suce bien et ne me fais pas honte ! Sinon gare ! »
Une main branlant nos bites pour les faire grossir, elle passa de l’une à l’autre pour se les mettre en bouche avec un va et vient très serré .
– »Putain, dit le vieux ! J’avais oublié combien c’était bon ! Vraiment, c’est une bonne chienne que vous avez là, dites-donc ! »
« Oui ! C’a aurait été dommage de ne pas en profiter, non ? A notre âge, il ne faut pas attendre ! »
Pendant qu’elle continue consciencieusement à nous sucer l’un et l’autre, je dis au petit :
« Allez ! Sors là On est entre homme ! »
« Il n’ose pas, le pauvre ! »
« Je tire alors le collier en arrière pour que Michèle lâche nos bites et lui commande :
« Allez va t’occuper du petit ! »
Toujours agenouillée, Michèle déboutonne la braguette et sort difficilement son sexe. Une fois dégagée, une queue énorme et tendue apparaît. Elle se dresse fière, monstrueuse et palpitante avec le prépuce qui cache encore un peu le gland. Surprise par un tel monstre, Michèle ne bouge plus.
« Allez vas-y ma chienne, va le sucer, mais doucement, hein ! C’est la première fois ! »
Elle ouvre la bouche et s’approche de l’énorme engin qu’elle prend en bouche vivement. Je dois tirer sur le collier en lui donnant une bonne claque sur les fesses :
« Doucement j’te dis ! Ne lui fais pas peur salope ! »
Le jeune lâche rapidement une quantité invraissemblable de sperme dans la bouche de ma femelle qui s’en étrangle tant la quatité est importante. Décidément j’avais une belle affaire avec cette pute.
« C’est bien Michèle ! Tu es une bonne chienne ! Mais maintenant, tu dois nous vider les couilles ! Viens me sucer pendant que le grand-pére t’encule ! »
Docilement en continuant à déglutir le sperme de l’attardé, Michèle rejoint son Maître pour le soulager avec sa bouche.
Le vieux passe derrière et pose son gland sur la rosette de Michèle qui appréhende cette pénétration à sec. Il pousse et s’enfonce inexorablement dans le conduit étroite de la belle qui grimace sur ma queue. Une foi au fond, il commence à la défoncer en la tenant par les hanches. Ses gros seins ballottent sous elle et c’est de concert que nous la sautons en cœur.
Le vieux est le premier à se vider en elle tout en me remerciant de son usage. Je ne tarde pas à le suivre enlui disant dans un grognement de plaisir :
« Il n’y a pas de quoi Monsieur elle est faite pour ça ! »
Puis je remet ma chienne dans le coffre et repars chez moi., laissant les deux promeneur satisfait de ma femelle.
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