Résumé : mes tourments de jeune homme, vendu comme esclave au cours d’une très excitante séance d’enchères publiques.
Le jour même de l’anniversaire de mes dix-huit ans, ma mère m’a emmené dans une salle où d’autre jeunes gens comme moi attendaient, enfermés à double tour dans une petite pièce. Ils avaient tous l’air inquiets alors que j’ignorais totalement quel serait mon sort. L’un d’eux, Corentin, m’a expliqué que sa mère, prénommée Stéphanie, projetait de le vendre aux enchères comme esclave sexuel et qu’il ne reverrait jamais sa grande sœur qu’il aimait ; alors il pleurait à chaudes larmes, et je n’ai rien su lui dire pour le consoler, car l’angoisse commençait à m’étreindre, car je devinais que ma condition serait identique à la sienne. Nous étions quatre garçons, comme les Beatles, venus non pas pour chanter sur une scène, mais pour y être vendus comme de vulgaires marchandises. Les deux autres, Tom et Lucas, étaient plutôt contents de ce qui se leur arrivait, car ils avaient hâte de copuler avec leurs nouvelles maîtresses, et peu leur importait de ne pas pouvoir choisir lesquelles, mais d’être au contraire choisis pour leur charme.
Puis deux gardiennes armées dont venus nous chercher, et leur apparence rude avait de quoi dissuader de tenter de fuir. Nous sommes montés sur une estrade, à un mètre environ au-dessus du sol. C’était dans une sorte d’amphithéâtre. Devant nous, une assemblée composée d’une cinquantaine de femmes était assise sur des bancs attendait avec impatience le début des enchères. On nous a forcés à nous déshabiller complètement. J’ai remarqué que le dos et les cuisses de Corentin étaient striées de profondes manques de coups de fouet. Une gardienne m’a dit qu’il avait été puni pour avoir tenté de s’évader, et que ce n’était qu’un avertissement, car la prochaine fois, si d’aventure il lui prenait l’idée de recommence, cela se solderait par une crucifixion en public, comme sous l’empire Romain.
Les quatre mamans, dont la mienne, se tenaient au premier rang. Il y avait aussi la commissaire-priseuse, qui menait les enchères. Elle n’avait pas l’air de plaisanter avec la discipline, et nous rappelait constamment que nous étions là pour servir les femmes et aussi pour souffrir pour elles. Cela me gênait de me dévêtir en public. Je ne l’avais jamais fait, même au vestiaire du lycée, et encore moins devant des personnes de l’autre sexe que le mien. L’une des gardiennes a dû arracher mon slip de force, sèchement. Il était tout déchiré. Elle a dit que ce n’était pas grave, parce que de toute manière, les esclaves n’ont pas à être vêtus, étant des marchandises et non pas des êtres humains. Brimer notre pudeur constituait une partie du dressage, afin de nous déshabituer à la liberté et de nous enseigner à obéir toujours à des ordres arbitraires qui n’avaient d’autre but que nous faire souffrir. Nos vêtements sont effectivement partis à la poubelle, sous nos yeux.
Tom et Lucas semblaient toujours satisfait de leur sort. Sans aucun embarras, ils souriaient et arboraient de magnifiques érections, pour le plus grand plaisir des yeux des spectatrices dont certaines prenaient des photos. Le fait d’être joliment musclés et bien montés était pour quelque chose dans leur comportement. Pendant ce temps, Corentin pleurait. Quant à moi, j’étais partagé entre l’excitation de vivre un moment fort d’érotisme pervers et la crainte de ce qui allait suivre. Nous avions reçu l’interdiction formelle de cacher nos parties intimes avec nos mains. Certaines, parmi l’assistance, riaient de nous voir nus, surtout de Corentin et moi, à cause de gêne que cette nudité nous causait et qui se lisait sur nos visages d’adolescents à peine sortis de l’enfance. Les deux autres étaient fiers de leur virilité et ne s’en cachaient pas.
La commissaire-priseuse, prénommé Joséphine, une femme assez fort d’une quarantaine d’année, est venue pour mesurer les tailles de nos pénis. Corentin et moi avons été priés de nous masturber afin d’obtenir des érections permettant d’effectuer la mesure. Mon compagnon d’infortune n’y est pas parvenu : attaché par les poignets au plafond, il a reçu cinq coups de fouet qui ont claqué très fort, et il s’est retrouvé enfermé dans une petite cage suspendue à un madrier, où il ne pouvait se tenir qu’accroupi. Il a donc été retiré de la vente, remis en stock en vue d’une nouvelle tentative, un autre jour. Tom et Lucas alignaient au tableau d’affichage respectivement vingt-deux et vingt-trois centimètres du public à l’extrémité du gland. Ils suintaient de rosée de désir. Leurs mamans exultaient : elles pouvaient espérer de très bon prix pour ces garçons dont la virilité était recherchée par les clientes gourmandes de leur corps juvéniles. Les bourses bien dodues, gonflées par plusieurs mois d’abstinence totale obtenue grâce çà des cages péniennes, promettaient de copieuses éjaculations. Ils étaient totalement épilés aux jambes, au torse et au pubis, et parfaitement propres. Jacqueline vantait la marchandise, l’exhibait sous toutes les coutures, et tout était sans défaut, à ses dires.
Avant de procéder aux enchères, il était possible de monter sur l’estrade afin de tripoter la marchandise et d’en apprécier ainsi la qualité. Les futures chalandes se pressaient autour de nous, joyeuses de pouvoir tâter de la bonne viande de garçons, voire hilares pour certaines. Les mains féminines couraient sur la surface de ma peau, palpaient mes testicules et tâtaient la verge, jusqu’à insérer des doigts à l’intérieur de mon anus afin de vérifier que tout était propre et que ma prostate était bien en place. Du liquide prostatique s’écoulait sur le sol et je bandais comme jamais.
Suivant les consignes de Jacqueline, elles prenaient garde à ne pas me laisser éjaculer. Certaines, je le devinais, étaient venues uniquement dans ce but, n’ayant pas les moyens de procéder à une acquisition, à la manière des amateurs de belles voitures qui font croire au vendeur qu’ils font partie des futurs acheteurs afin de procéder à un essai. Quelques-unes ont fait la moue devant ma maigreur et la taille limitée de mes organes masculins – sans doute leur fallait-il déprécier publiquement la marchandise pour décourager la concurrence et en baisser le prix.
Ma qualité étant inférieure à celle des deux autres, j’ai été le premier mis en vente. Mise à prix : mille euros. Mille cent à gauche, mille deux-cents à droite. Je suis finalement parti pour mille cinq-cents au bout de dix minutes. Un couple de deux femmes m’a remporté. Il paraît que c’était plutôt cher par rapport à ce que je valais. Maman était contente.
Jacqueline m’a passé un collier d’esclave autour du cou, très serré, et muni d’un anneau métallique permettant d’y fixer une chaîne ou une laisse de chien, afin d’éviter toute fuite au aussi de m’humilier au cours du transport dans la rue.
Maman et moi nous sommes faits les adieux. Nous avions deux minutes pour cela. C’était très émouvant. Je lui ai pardonné de m’avoir trahi ; elle m’a dit qu’elle avait absolument besoin de cet argent pour payer ses dettes et qu’elle était désolée de m’abandonner ainsi, d’autant qu’elle connaissait les deux acheteuses pour leur cruauté légendaire. Elle m’a souhaité bon courage pour la suite de mon existence.
Pendant ce temps, nous avons entendu des cris. C’était Corentin qui avait réussi les écarter les barreaux de sa cage afin de s’échapper – il y était parvenu, car il était très maigre. Mais les gardiennes sont parvenues à le ratt****r. Jacqueline a décidé de mettre sa menace à exécution et de le crucifier séance tenante. C’était très impressionnant. Le pauvre garçon a beaucoup hurlé au moment où les clous s’enfonçaient dans ses poignets et ses pieds. On lui a aussi planté le sédile dans l’anus avant de relever à la verticale le bois de son supplice. Les clous étaient stérilisés, comme il est de tradition aux Philippines, et on l’a laissé comme cela une dizaine de minutes pendant lesquelles il a énormément souffert, quand bien même quelques personnes du public l’ont sucé et fait éjaculer sur leur visage. Encore tout endolori d’avoir été transpercé, il a été rendu à sa mère qui lui a promis les pires sévices en répression de son manque de docilité.
Ensuite, Tom et Lucas ont été vendus plus de cinq mille euros chacun, après une longue et acharnée période d’enchères au cours de laquelle quatre couples fortunés les voulaient absolument. Les
deux esclaves souriaient continuellement, impeccables dans leur bandaison à midi, manifestement satisfait de leur succès commercial qui a fait de leur mère une femme riche.
Puis est venu le moment de nous marquer au fer rouge du signe distinctif de nos propriétaires. Nous devions nous allonger sur le dos, sur une table où nos membres étaient immobilisés, puis une professionnelle du marquage d’esclaves s’est approchée. Lucas est passé en premier, puis Tom. Ils n’ont même pas frémi quand le fer leur a brûlé la plante des pieds, dans une fumée blanche qui indiquait pourtant la combustion de l’épiderme. J’ai eu peur. Corentin gémissait encore sur sa croix. Des spectatrices se masturbaient en contemplant son supplice ; certaines utilisaient de gros vibromasseurs que Jacqueline leur prêtait gracieusement, et s’offraient de fabuleux orgasmes sadiques qui confinaient à l’extase. Lorsqu’est venu mon tour, je me suis allongé. Le bourreau femelle qui officiait m’a montré son instrument afin de renforcer ma terreur, ce qui excitait les spectatrices qui hésitaient entre se complaire des malheurs de Corentin ou des miens.
La tige métallique m’a marqué. J’ai poussé un cri de douleur, un seul. Mes deux nouvelles maîtresses ont joui en même temps. Elles m’ont juste dit :
— Bienvenue en enfer, jeune esclave. Dorénavant, tu l’appelleras Bark.
Leurs voix étaient douces et trahissait un classe sociale supérieure. Elles étaient des concentrés de pure féminité. A ce moment-là, j’ai su que j’allais puissamment aimer cette période d’esclavage érotique. Je ne me suis pas trompé. Nous sommes allés chez elles à pied, en passant par les bois. Ce fut une très sensuelle randonnée dont je conserve un merveilleux souvenir…
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