Quelques minutes de route et nous voilà au bord de Mer, Cassis. Après avoir tourné un peu pour trouver une place de stationnement, nous voilà main dans la main à déambuler sur le port de ce magnifique petit village de pêcheur à la recherche d’un petit restaurant. Marie m’indique un restaurant de poissons, nous y entrons et nous sommes installé, par un serveur, en terrasse, légèrement surélevée avec une vue imprenable sur les bateaux et tout le port.
Marie est heureuse, son visage est joyeux, le sourire au beau fixe, ses yeux pétillent de bonheur. Un serveur vient prendre la commande et une fois fait, Marie se lève et prend la direction des toilettes. Je regarde ce petit bout de femme s’éloigner, admirant ses petites fesses se déplacer de droite à gauche au gré de ses pas. Ses jambes paraissent immense, fine, frêle et sont le prolongement élancé de ses talons aiguilles. Je constate que plusieurs clients font comme moi, admirent les jolies jambes de Marie. Cette situation m’interroge, sont-ils en mesure d’imaginer ce que faisait cette femme il y a tout juste 30 minutes. En la voyant belle, élégante et sexy comme nous la voyions tous, il me paraissait évident que non, moi même ayant encore du mal à croire en ce que je venais de vivre.
Quelques minutes plus tard, Marie revient de sa petite escale technique, elle en a profité pour comme elle dit, se refaire une beauté. Un petit trait noir sur les yeux, un peu de poudre sur les joues et un discret rouge à lèvres, elle est resplendissante, me sourit mais sourit aussi, en venant vers notre table,à tous ses admirateurs du moment. Un sourire de remerciement comme si elle percevait les compliments de chacun.
Elle s’approche de moi, se baisse, présentant ses fesses à l’assemblée, me pose un délicat baiser sur les lèvres en me tendant sa main droite qu’elle tient fermé et me dit à l’oreille:
« Ranges donc ça dans ta poche, ma pochette est bien trop pleine. Ce string m’irrite un peu. » Puis prend place face à moi.
Je glisse rapidement son sous vêtement dans ma poche et triquons à cette belle soirée. Nous dégustons un délicieux plateau de fruits de mer accompagné d’un vin blanc local. Je prends un café pour terminer, Marie, elle le prend gourmand, puis quittons le restaurant.
Nous décidons de marcher un peu, Marie est un peu pompette, peu habituée à boire de l’alcool. Elle titube légèrement, perchée sur ses hauts talons, je la plaque contre moi, nous sommes côte à côte nous tenant pas la taille. Nous nous promenons lentement sur le port, puis jusqu’au bout de la jetée, jusqu’au phare signalant l’entrée du port aux bateaux. Il est encore tôt pour aller danser, nous nous asseyons pour admirer la mer au clair de lune et écouter le bruit de petite vague s’écraser sur la digue. Mon bras entoure ses épaules, sa tête calée contre la mienne, le moment est romantique. Nous sommes début juin, les touristes ne sont pas encore arrivés, pourtant les promeneurs sont nombreux et quelques couples, jeunes et moins jeunes, viennent s’installer autour de nous. Marie me regarde, une main posée sur ma joue, vient coller ses lèvres contre les miennes. Immédiatement nos langues se déchainent, tournoient, s’enroulent l’une à l’autre dans une douceur et une sensualité retrouvée. Marie était de retour.
Après ce délicieux baiser, nous sommes restés là, encore de longues minutes, à regarder le reflet de la lune sur la mer, plate comme un lac, ni Marie, ni moi, avions envie d’interrompre ce doux moment. Nous nous sommes enfin décidés et sans lâcher les épaules de Marie, nous avons pris la direction de la boite de nuit.
Nous entrons, déposons nos vestes au vestiaire après avoir réglé l’entrée et pénétrons dans l’espace réservé aux danseurs noctambules. Le DJ passait les tubes du moment, nous nous sommes approchés du bar pour s’y faire servir deux coupes de champagne bien frais. La chaleur était lourde malgré un léger filet d’air frais difficilement propulsé par la clim de l’établissement. La fumée de cigarettes rendait l’atmosphère encore plus pesante, et la jeune, même très jeune clientèle dansait et chantait en hurlant les chansons crachées par les puissantes enceintes.
Marie se trémoussait contre moi et mourait d’envie de se jeter dans l‘arène. Après une dernière gorgée, elle pose la coupe, m’adresse un petit clin d’œil et se faufile pour atteindre le dancefloor. Marie tranche radicalement avec le reste de la clientèle, par sa maturité évidente, mais surtout par sa tenue vestimentaire, beaucoup plus BCBG et sexy que les jeunes filles autour d’elle. Les jeunes hommes délaissent volontiers leurs jeunes amies pour discrètement venir danser au plus près de Marie qui se déhanche sur la piste. Leurs manèges m’amuse, leurs regards fixés, sur le décolleté du chemisier rouge, pourtant peu provocant, ou sur les fesses enveloppées dans la jupe de cuir noir. S’ils savaient que le string de la belle ne se trouve pas à sa place, mais dans ma poche, ils seraient certainement encore plus excités. Un jeune homme prend la main de Marie et commence à la faire tourner, puis lui fait danser dans un rock approximatif. Marie sourit, et rit même aux maladresses du jeune dragueur. D’autres promènent peu discrètement leurs mains baladeuses contre les fesses de Marie dès qu’elle recule contre eux. Elle ne semble pas s’en offusquer et s’en amuse même.
Je pense être à ce moment là plus dérangé que Marie, peut-être serai-je jaloux ? Ce n’est pourtant pas dans ma nature, et puis, je ne suis que l’amant, elle ne m’appartient pas. Mais c’est plus fort que moi, je m’avance à travers la foule, ma carrure et ma taille me permette de m’ouvrir facilement un passage vers Marie. Me voyant, elle lâche la main de l’apprenti danseur, se jette à mon cou, me roule un patin digne des ados qui nous entourent et me dit :
« Tu me fais danser ? »
« On est venu pour ça non ? »
Je prend sa main droite dans ma gauche, pose la droite sur sa taille et synchronise un déhanché sur le rythme de la musique, nous démarrons ainsi un premier rock endiablé. L’amplitude des pas de danse oblige les jeunes à nous laisser un peu plus de place. Les danseurs commencent pour certain à devenir spectateur quand ils me voient att****r Marie par la taille pour la lancer en l’air en lui faisant faire un tour sur elle même, la ratt****r avant qu’elle ne touche le sol et l’embrasser fougueusement. La musique change une série de slows commence, Marie se serre contre moi, m’embrasse et me dit :
« Tu ne m’avais pas dit que tu étais bon danseur, cachotier!»
« C’est vrai, nous n’en n’avons jamais parlé, mais je n’ai pas de mérite, j’ai fait cinq ans de rock, rock acrobatique et un peu toutes danses de salon, donc je me débrouille »
« Tu es merveilleux, je t’adore » et m’embrasse.
Nous dansons une bonne partie de la nuit, les jeunes montrent un peu leur déception et nous font comprendre qu’ils aimeraient bien pourvoir faire danser la reine du bal. Quelques jeunes filles nous regardent également avec envie, nous nous séparons de temps à autre pour faire danser, une ou un de nos admirateurs. Le jeune homme entreprenant du début de soirée est toujours là, près de nous, et la fait danser dès qu’elle le lui permet. Il se frotte à elle de plus en plus clairement, affichant ses mains toujours plus vers les fesses de Marie. Elle sentait bien qu’il était de plus en plus excité, et l’alcool aidant, il commençait à se montrer entreprenant. Marie lui fit comprendre de ne pas insister, déçu mais courtois, il la libéra de son étreinte sans que je n’eus à intervenir. Le DJ annonce la proche fin des festivités, nous prenons une dernière coupe de champagne offerte par le jeune homme. Nous le remercions et nous dirigeons vers le vestiaire avant la cohue de fin de soirée.
Une fois à l’extérieur, le jeune blondinet nous attend et m’interpelle :
« Monsieur » comme si j’avais vingt ans de plus que lui, « vous avez vraiment de la chance d’avoir une femme super sexy, elle est vraiment super belle »
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à ce moment là, peut-être la fatigue, l’alcool, ou les deux cumulés, mais je lui ai répondu :
« Ce n’est pas ma femme, mais celle d’un autre, oui elle est sexy, elle est belle et même plus. »
« Et bien vous êtes un chanceux, moi je vais avoir du mal m’endormir » et en regardant Marie ajouta « vous m’avez donné une trique d’enfer, Madame. »
C’est Marie qui enchaina à ma grande surprise en s’adressant à moi:
« Mon cœur, on ne va pas laisser ce charmant jeune homme passer une mauvaise nuit ? » et sans que je réponde, ajoute « viens avec nous jusqu’au parking »
Sans demander son reste, il nous emboita le pas et nous suivit jusqu’au parking comme un petit chien attiré par l’odeur existante d’une chienne en chaleur. Je ne savais pas où Marie voulait nous entrainer. Toutes sortes de scénarios me traversaient l’esprit jusqu’à ce qu’elle dise en souriant au jeune homme:
« Tu vas te tenir là, sans bouger » et lui ordonna d’ouvrir son pantalon pour libérer son sexe trop à l’étroit.
Il s’exécuta et libéra un sexe tendu de taille très convenable. Marie lui sourit, me fit reculer de deux ou trois pas, me baissa le Jeans et libéra ma verge molle. Elle me fit mettre de profil et sous le faible éclairage du parking, s’accroupit et commença une fellation sur mon sexe en pleine croissance. Mes yeux étaient fixés tantôt sur Marie qui avalait de plus en plus difficilement ma queue, et le jeune qui s’astiquait le manche en nous regardant.
Après plusieurs minutes de cette délicieuse pipe, Marie se releva, retroussa sa jupe pour libérer son cul et son sexe, puis en s’adressant à notre voyeur :
« Tu as une capote sur toi ? »
« Non madame » répondit-il, penaud en comprenant que la soirée allait se terminer prématurément.
« Mais qu’est ce que c’est que ses jeunes qui sortent sans matériel ? Et bien tant pis, tu n’auras qu’une pipe, et estimes toi heureux. »
« Désolé madame » dit-il « On ne mis reprendra plus »
« Alors, ne restes pas planté là, approches toi » puis en s’adressant à moi. « Aller mon cœur, mon cul n’est que pour toi »
Elle a les jambes légèrement écartées, tendues, se penche en avant, pose ses mains sur la taille de notre invité et l’avale d’un trait jusqu’à la garde, obligeant le jeune homme à soupirer de bonheur. Je fais un pas, m’accroupis devant cette merveilleuse croupe offerte. J’hume son intimité, l’odeur acre du mélange de transpiration, d’urine, de cyprine et même de mon sperme issu de nos ébats du début de soirée, me font bander comme un âne. Je pose ma bouche contre son sexe gonflé que je fends et ouvre d’un coup de langue appuyé, qui la fond réagir par un fort gémissement étouffé par la pine de notre compagnon. Ma langue la lèche du bouton jusqu’à son œillet. Son sexe dégouline déjà et sens même mettre un deuxième coup de langue, je me relève, frotte ma verge contre sa vulve en pleur, et pose mon gland devant son anus. Marie pousse aussitôt en bonne élève docile, pour s’ouvrir et facilité l’accès. Je m’introduis en elle lentement, mais régulièrement jusqu’à être en butée contre ses fesses, la faisant gémir en libérant le jeune sexe et lâchant :
« Oh oui, c’est trop bon dans le cul » puis reprenant la verge en bouche.
« Oh merde alors, en plus elle se laisse enculer direct ? mais quel con » se lança le blondinet à lui même.
Elle aspirait cette jeune tige comme une affamé. Lui, faisait mine de l’étrangler à deux mains en lui martelant la bouche et les amygdales. Et moi, je ramonais son cul avec conviction et application. Le jeune fût le premier à montrer des signes de faiblesse, et c’est en se mordant la main pour étouffer son plaisir qu’il rendit les armes et inonda la bouche de Marie qui ne le libéra qu’une fois totalement vider. L’excitation de Marie était à son comble, la bouche bien arrosée, elle me suppliait maintenant,entre deux gémissements, de lui remplir le cul. Ce que je fis quelques minutes après, déclenchant chez elle une véritable crise, elle fût prise de spasme, tout son corps de mît à trembler et tandis qu’elle commençait à crier, le jeune amant eut l’excellente idée de lui remplir la bouche de son sexe mou pour la rendre momentanément muette.
Je retire directement et sèchement mon sexe de son cul, le laissant béant et recrachant le trop plein de mon sperme. Je l’att**** par la taille et l’oblige à faire demi tour. J’offre du même coup, à notre jeune partenaire, une vue imprenable sur le cul de la belle dont l’anus est encore ouvert et palpitant, puis glisse mon sexe en perte d’érection dans la bouche de Marie. Elle me suce avec délicatesse et application sans se soucier des impuretés qu’elle est en train d’avaler.
Une fois mou et propre, Marie se relève, réajuste rapidement sa jupe, pose un baiser sur les lèvres du jeune amant et s’installe dans la voiture. Nous quittons le parking sans un mot, laissant son admirateur, j’imagine satisfait.
Nous roulons vers mon domicile, Marie s’est endormit.
Après quelques heures d’un sommeil réparateur, je dépose Marie à sa voiture le dimanche vers midi.
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