Sébastien, mon mari est un dominateur, de ceux auquel il faut obéir. Quelques fois je me suis révoltée, mais à chaque fois j’ai eu droit à une trempe. Il est de ceux qui considèrent que l’homme est maître au foyer et que sa femme doit lui obéir en tout. Nous sommes mariés depuis deux ans et depuis quelques temps –deux mois environ- il exige de moi des choses abominables.
Ca a commencé un soir, alors que deux de ses copains étaient venus manger chez nous. Sébastien avait voulu que je sois habillée comme une soubrette : chemisier blanc, jupe noire très courte, tablier blanc et une coiffe dans les cheveux. De plus il a exigé que je ne porte ni slip, ni soutien-gorge sous mes vêtements, juste des bas qui tenaient seuls par une bande élastique à mi-cuisses. J’ai bien essayé de protester, mais quand j’ai vu son regard haineux, j’ai obéit.
Pendant que les trois hommes discutaient dans le salon je devais leur servir un apéritif. Je remarquais bien leurs regards sur ma tenue et je savais qu’ils regardaient ma croupe chaque fois que je me penchais, mais ma tenue ne me permettait pas de cacher que je n’avais aucun sous-vêtement.
Mon mari me fit servir un grand verre d’alcool en me disant que j’allais en avoir besoin. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je lui obéissais. Ne supportant pas l’alcool, j’eus de suite la tête qui me tournait et je me retrouvais comme dans du coton.
C’est alors que Sébastien me dit d’ouvrir mon corsage afin de montrer mes seins à ses amis.
Interloquée par cette demande, je me rebiffais, mais à nouveau le regard de mon mari me fit peur et je m’exécutais. Ses amis se rinçaient l’œil depuis un moment lorsqu’il me dit d’enlever le reste sauf les bas. Cette fois, je protestais, lui disant que je n’avais pas à m’offrir ainsi au regard de ses amis et qu’il n’avait pas le droit d’exiger ça de moi. En réponse, je reçus deux magistrales gifles qui me firent tomber à la renverse.
Les yeux pleins de larmes, j’obtempérais.
Une fois nue devant les trois hommes, j’essayais de cacher de mes mains mon intimité, mais mon mari m’imposa de les mettre dans mon dos et d’écarter les cuisses face à eux. Une fois en position, Sébastien se posta derrière moi et me pris les seins dans ses mains, les soulevant pour les mettre en valeur. Puis il attrapa les mamelons entre pouce et index et les fit rouler entre ses doigts. Il accompagnait son geste de commentaires salaces, disant qu’ils étaient « bandants » et que ça m’excitait de me montrer nue ainsi à ses amis. Mes pointes de seins durcissaient sous ses doigts et il en profita pour les pincer un peu plus fort. J’esquissais un geste de protection avec mes mains lorsqu’il m’ordonna de les croiser derrière ma nuque sous peine de sévices supplémentaires. Il en profita alors pour les étirer et les tourner méchamment. Je geignais et mes larmes coulaient abondamment et je crois que ça les excitaient encore plus de me voir souffrir ainsi. Il attrapa ensuite les lèvres de mon sexe, puis les écarta en les étirant vers le bas pour les allonger et écarter largement ma vulve. Puis de l’ongle de son index, il me griffa le clitoris, me faisant gémir à nouveau. Je me tortillais afin d’essayer de lui échapper et je reçus à nouveau quelques invectives.
Pendant ce temps, ses amis avaient sorti leurs bittes et se masturbaient devant moi. Sébastien me fit faire volte-face et me dit de me pencher en avant jambes écartées. Je leur montrais maintenant mes fesses largement ouvertes ainsi que le trou de mon cul obscènement présenté.
Ils pouvaient aussi voir dans cette position mon sexe par en dessous. J’étais morte de honte de devoir me présenter ainsi, mais aucune rebuffade ne m’était autorisée, sinon j’étais condamnée à recevoir des coups. Mon mari m’écarta les fesses un peu plus, puis un doigt de chaque côté de l’anus, il l’écarta un peu plus pour ensuite les y enfoncer. Je grognais, non qu’il n’ait jamais utilisé cette voie – il en était d’ailleurs adepte – mais là, il écartait largement et me faisait mal.
La première fois que mon mari voulu me sodomiser, je m’insurgeais contre cette pratique, mais à force de menaces, il eut une fois de plus gain de cause. Je ne m’étais prêtée à cela que contre mon gré et comme mon corps n’était pas consentant, il me fit ce jour-là terriblement mal. Par la suite, l’habitude fit que j’eus moins mal, mais je ne m’y prêtais toujours qu’à contrecœur. Ce jour-là, d’être exposée ainsi devant ses amis et de subir la pénétration de ses doigts me mettait au désespoir.
Il me fit ensuite tourner à nouveau dans leur direction, tout en restant penchée en avant. Il me remit deux doigts dans le cul, puis me maintenant ainsi, il me fit avancer vers le premier de ses amis, juste au-dessus de la bitte présentée. Il me dit de la prendre dans ma bouche afin de lui faire une fellation. Au point ou j’en étais, je n’eus pas le cœur de me révolter.
Je savais également comment mon mari aimait les pipes, il m’en avait fait la leçon de nombreuses fois, toujours sous la contrainte : Je ne devais pas utiliser mes mains, mais celles de mon mari étaient cramponnées dans ma chevelure et lui seul devait guider ma tête. Il fallait que je suce le gland, promenant mes lèvres et ma langue tout autour. Serrant de temps en temps les lèvres en aspirant afin de bien le pomper. Puis ensuite il me fallait faire coulisser la queue dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle atteigne le fond de ma gorge. Là je devais m’arrêter pour de mes lèvres essayer d’en ingurgiter un peu plus. Tant que ma bouche n’était pas collée contre les poils de son pubis, il considérait que je n’étais pas assez loin. Il fallait maintenant rester dans cette position quelques secondes, le temps qu’il ressente les spasmes qui montaient de mon estomac et qui faisait battre ma luette contre son gland. Alors je pouvais me retirer doucement, serrant fort mes lèvres contre la hampe glorieuse, pour reprendre mes caresses linguales sur le gland. Avec lui les fellations duraient longtemps et je devais le pomper ainsi jusqu’à ce qu’il se vide au plus profond de mon oeusophage. Ce n’était pas fini pour autant. Je devais encore rester ainsi sans bouger afin qu’il puisse savourer cet instant magique.
Mais aujourd’hui, ce n’était pas la queue de mon mari que j’avais en bouche et j’espérais que la fellation serait plus courte. Pendant que le premier m’enfilait son sexe dans la bouche, Sébastien me plaça le sien contre mon anus et força pour me l’enfoncer bien à fond. Je n’avais jamais été prise de deux côtés à la fois et ce que je ressentis à ce moment-là me mis dans le plus profond désarroi. Ne pouvant même pas crier et m’étouffant avec la bitte calée entre les mâchoires je ne pouvais que subir ce double viol. Mon mari s’aperçut rapidement que je ne pratiquais pas la fellation correctement. Il m’attrapa à nouveau les pointes des seins pour les écraser entre ses doigts en me disant de m’appliquer. Au comble du désespoir, j’essayais de faire de mon mieux, mais mes reins et mes mâchoires me faisaient mal. Ils prirent leur temps, et au bout d’environ vingt minutes, je reçus dans les reins et dans le fond de ma gorge leur semence abondante.
Sachant que le deuxième n’avait pas encore été satisfait, je savais que je n’en serais pas quitte pour si peu. Il s’était installé dans la chauffeuse et avait quitté son pantalon. Il me dit de venir m’assoir sur lui, sa bitte bien calée dans mes reins. D’un regard vers mon mari, je compris que je n’avais pas le choix, j’obéissais donc, me positionnant délicatement sur la bitte en érection et descendant doucement jusqu’à l’avoir en entier dans mes reins. Celle-ci était encore plus grosse que celle de Sébastien et me distendait douloureusement. Je n’osais pas bouger mais celui-ci me dit de passer mes jambes de chaque côté des accoudoirs, m’empalant encore plus.
Je devais également me pencher en arrière et me retenir sur le dossier. Je transpirais déjà beaucoup quand je vis arriver mon mari avec une cravache. C’est alors qu’il me dit de commencer à bouger pour faire coulisser la bitte dans mes reins. Je devais forcer sur mes cuisses pour me relever à la limite de faire ressortir le gland, puis me rasseoir dessus jusqu’à l’avoir en entier dans les intestins. Je devais faire cela avec un rythme assez rapide qui m’épuisa rapidement. Lorsque je faiblissais, Sébastien qui s’était planté devant moi me cravachait les cuisses ou les seins. Je criais à chaque impact et la douleur de mes reins était insupportable. Je n’avais d’autre issue que d’attendre qu’il se vide dans mon cul le plus vite possible. Pour cela je m’appliquais de mon mieux afin de ne pas souffrir trop longtemps. Ca dura un bon quart d’heure avant qu’il ne crache sa semence au plus profond de mes reins. J’étais épuisée et je m’affalais sur lui, n’osant changer de position sans leur accord.
Mon mari me dit alors de me relever et d’aller me laver. Je devais revenir habillée uniquement avec le tablier, les bas et la coiffe sur la tête. Je dus les servir à table, puis m’installer dessous. Celle-ci étant en verre, ils pouvaient voir tout ce qui s’y passait. Je devais passer de l’un à l’autre afin de les pomper pendant qu’ils mangeaient et faisaient des commentaires sur mes seins, mon cul ou ma chatte. Par moment, celui que je pompais me prenait la tête pour me faire changer de rythme ou pour me faire signe d’arrêter.
Ils faisaient en sorte de ne jamais aller jusqu’au bout, gardant leur excitation permanente et attendant certainement le moment propice….
La suite bientôt…
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