Année 199… Sur l’autoroute de Balt…. , je remarquais des choses incroyables! Des mecs, et des gonzesses sans slip, habillées d’un manteau de fourrure pour pratiquer tous les sports sexuels, à savoir, fellations, cunnilingus et autres scènes que je voyais à l’aide d’une paire de jumelles.
Des hommes, et puis des jeunes dont l’âge moyen correspondait à environ la trentaine, et bien entendu des hommes en uniformes et des hommes matures, s’exhibant devant les mecs ou les femmes, et secouant leur bite pour éjaculer facilement vu toutes les partouzes que cette aire de repos et pas seulement l’unique car lorsque mon petit ami me demandait de venir avec lui vers d’autres lieux ou d’autres aires, cela me donnait souvent l’envie de me masturber rien qu’en voyant les beaux mecs donner des coups de langues sur les clitoris pour en récolter le jus quitte à mettre leur bite pour gémir et jouir.
En somme, ce joli coin, j’en ai gardé un bon souvenir et je vais vous dire lequel.
J’en profitais car l’été était bel et bien là. J’avais pris au hasard une capote car me connaissant, je devais savoir ce qui allait se passer.
Le camion de mon petit ami, Hervé, un bear de 40 ans (barbe qui plaît aux hommes car amateur de fellation), s’était fait contrôler car une lampe de son camion avait grillé, mais rassurez-vous : son camion n’était pas borgne et moi non plus, car l’occasion était présente et moi, j’en avais profité pour glisser ce préservatif dans son portefeuille. Quatre hommes en uniforme étaient présents et ils se sont mis à l’interroger et lui ont exigé les documents.
Ensuite, ils lui ont demandé d’autres certificats à l’appui pour savoir si son camion était en règle et lui ont demandé sans scrupules, qui était cette personne (moi) et que faisait-elle.
Nous lui avons répondu que nous nous connaissions depuis la frontière franco-….. et que nous étions amis depuis…
Le premier homme en uniforme lui demanda son permis. Mon copain lui donna ses documents qui étaient dans un revêtement plastifié mais lorsque cet homme de loi s’était aperçu que le préservatif était à l’intérieur, il avait tout de suite compris et nous demanda si parfois, la chasse à la queue ou autre était bonne.
Nous lui avons répondu tout en étant discret que les heures creuses amélioraient parfois la présence de mecs et avons répondu que nous n’étions point des pervers, seulement, lorsqu’un mec voulait des faveurs sexuelles ou être satisfait, cette aire était le meilleur moyen de nous relaxer et d’accompagner le plaisir.
Rien qu’en voyant le préservatif, le premier homme en uniforme était avec un supérieur hiérarchique car le second lui dit que s’il était prêt à être sucé pour lâcher sa dose, il nous exonérait pour la lampe grillée et comme il était très sympa, il nous disait lui-aussi d’enlever les slips pour nous sucer : nous étions alors six.
Les suces étaient ainsi : le problème était qu’il n’y avait qu’une capote mais nos zigounettes étant propres, les deux premiers mecs, nous les avons sucés pour une durée de 10 minutes et jetèrent leurs liquides ensuite grâce à nos langues et ils aimaient bien la suce car nous étions à la pratiquer depuis plusieurs années.
Il en était aussi pour les deux autres, et qui, bien avant d’être sucés, ils se la tournaient, jusqu’au moment où leur bite venaient se fourrer dans nos bouches jusqu’à la gorge : ils gémissaient car ils disaient que ça les chatouillaient et enfin ils jetèrent leur liquide tant ça les chatouillaient.
Puis, en guise de récompense, les quatre hommes se mirent eux-aussi à tâter nos couilles et glands et nous étions prêts à être leur « proie », ils nous disaient d’écarter nos jambes et se mirent à nous lécher partout jusqu’au pubis et s’amusaient avec leur langue fourrée à nous sucer le gland, ce qui nous donna aussi l’envie de cracher comme un litre de lait.
L’heure étant venue et s’étant prononcés, ils nous dirent que le paiement était facultatif et qu’en contre partie, exonérés. C’est la devise des hommes en uniforme.
La morale : voilà l’autre façon de payer : en nature. C’est la mode d’aujourd’hui.
Par ALLIGATIN. Histoire imaginaire
Remarque : pas de copie sans mon consentement.
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