Chapitre I – Corse, île d’Amour
Mon amie Cathy m’appelle hier soir…
Cath, je l’ai rencontrée par hasard, dans un monde virtuel, et nous avons échangé nos fantasmes de femmes, nos passions, nous nous sommes mises à nu, chacune prenant entre les mots de nos messages, de quoi s’évader de son quotidien et rêver…
– Aimerais-tu venir avec nous en Corse ?
– En Corse ? Mais…. Quand ?
– Semaine prochaine…
– Pourquoi moi ?
– Parce que j’apprécie beaucoup, tu m’apportes ton imaginaire et qu’on a loué un studio à Porto. Franck, mon mari que tu ne connais pas encore, adore la plongée sous-marine, et en fait je lui avais offert cette semaine en cadeau d’anniversaire…
– Mais on ne se connaît pas non plus…
– Tu crois ?
Elle me débite tous ce dont on a parlé depuis près d’un an… Âge, situation, physique, famille, amis, préférences, goûts, et surtout, puisque c’est le sujet de nos échanges, le sexe…
Tout ce que j’ai pu lui révéler sur ma vie intime, lui décrire certaines de mes expériences, lui faire vivre mes fantasmes par mes publications …
– Impressionnant…
– Tu vois, je te connais, et je suis devenue ton amie, en t’écoutant, enregistrant, me mettant à t’imaginer auprès de moi, de nous…
Alors, quitte à plonger dans mon fantasme de l’amour en apnée, c’est toi qui est arrivée en tête.
– Mais je…
– Chut… Tu adores l’eau, tu adores la Corse que tu as dépeinte dans une histoire, l’an passé… Tu es chaude et mystérieuse comme cette île, tu es sauvage et adore la liberté comme l’Esprit corse…
Le but final, je te l’avoue, c’est Franck… Son cadeau ultime son plaisir et le nôtre, toi et lui, toi et nous, toi et moi pour lui, avec lui, branchées en apnée, un tuyau pour respirer sans remonter, et vivre nos passions dans cet élément, découvrir des sensations nouvelles…
– C’est tentant… Franck est un bel homme, tu me l’as assez décrit, très bon amant, et vous vous entendez très bien, avec quelques encarts libertins pour pimenter vos libidos. Tu es altruiste, tu aimes le voir prendre une autre femme, la regarder jouir, je me souviens de tes mots… J’en ai l’eau à la bouche… Mais au fait, je n’ai jamais plongé, juste dans ma piscine, avec un masque pour ramasser des feuilles ou des objets tombés…
– Pas de soucis, on va prendre un cours toutes les deux, c’est dans le forfait, car moi non plus je n’ai jamais plongé vraiment. La sécurité est primordiale et se faire rappeler les règles de base sera nécessaire.
– Et Franck ne peut pas…
– Ah, non ! Avec lui, je n’écouterai rien, il suffit qu’il m’effleure…
– Oh !… Tu es coquine jusqu’au bout des nageoires…
– A propos de mec, et Romain, j’en fais quoi ?
– Pardon !… Je l’ai zappé !… Mais… Miam, ce que tu m’en as dit… C’est vrai qu’à 4…
– Le studio ?
– Ca ira s’il vient, on… mettra les matelas à même le sol, ça fera une grande surface de jeu… J’en rêve, de me retrouver comme une lionne en cage, entre deux lions en rut…
– Oh, mais quelle nympho, tu es en manque ?
– Pas du tout ! Juste des fantasmes… Et puis deux cadeaux pour moi ? Je n’avais pas pensé à Romain !…
Elle me décrit le centre de plongée, les spots à faire, des zones poissonneuses, une eau transparente…
On peut plonger en groupe, ou en libre avec un petit bateau, et là c’est la liberté totale. Franck a son permis, nous avons loué plusieurs fois, en Bretagne, en Espagne aussi…
Notre studio est à deux pas du port, elle m’envoie l’adresse et quelques photos…
Dans une semaine, il faut que je sois prête, on se rejoint sur place, car ils habitent dans l’Est et ont un vol direct. Je suis proche de Montpellier, Ajaccio à moins d’une heure…
Premier truc à faire, shopping vers les boutiques. Maillots, shorts, T-shirt, robes de plage, etc…
La journée n’a pas suffi, je suis épuisée et me plonge dans la piscine avec délice, en rentrant… Demain je remets ça…
Je prends rendez-vous avec mon esthéticienne pour mercredi matin, histoire de bien tout préparer… J’y reviendrai en détail dans un de mes textes de cet été, dans la série « Confidences de… », elle s’appelle Andréa, et c’est la douceur personnifiée…
Notre vol est confirmé, samedi 10H00…
Chapitre II – Plongée
Le vol est une formalité, je trouve un co-voiturage pour Porto, 5 euros… Super, et il est charmant dans sa Mercedes noire, ravi par mon tailleur classieux, dont la jupe remonte ostensiblement lorsque je me tourne pour regarder la vue magnifique de cette côte découpée et les eaux limpides… Il nous dépose juste devant l’immeuble…
– Bon voyage ? Nous venons d’arriver… Franck est parti faire des courses pour midi. On mange un brin ici avant. Et on ira se renseigner pour les cours.
– Ah !
– Super, je suis… Tu es superbe, classe et élégance… Tu es bien plus grande que tu t’es décrite… Et puis, oh, tes formes !… Romain, elle t’a décrit si souvent, que des compliments…
– Merci, je suis heureux que tu aies pensé à nous pour ce spot. J’ai fait un peu d’apnée en camp d’ado et un certificat de plongée au Lac d’Annecy…
– Marika, tu es si sensuelle, on dirait un bonbon, on a immédiatement envie de défaire l’emballage… Romain tu es de la chance…
– Il faudra déguster alors…
– Justement, je vous laisse entre vous, pour faire connaissance, vous devez avoir plein de choses à vous dire, je vais faire quelques emplettes…
Son premier baiser est chaud bouillant, on s’enlace pour mieux se serrer l’une contre l’autre, nos seins s’emboîtent, nos ventres se touchent, se frottent, elle est aussi grande que moi, aussi belle, dans sa chevelure noire de jais…
Le courant passe, c’est même un court-circuit, un flash, lorsqu’elle s’abandonne, dévoilant ses seins gonflés de désir…
J’ai peur pour mon beau tailleur…
Elle commence à dégrafer, dézipper, déboutonner, soulever, relever, impatiente…
– Attends, je vais le faire…
Elle est déjà nue, offerte, prête à bondir, à s’allonger sur le lit double, à venir entre mes cuisses, goûter à ce que je lui ai si souvent commenté dans mes histoires…
Son bonbon est rasé, petit dessin coquin sur le pubis, un sourire, elle s’ouvre, remonte ses cuisses, les ouvre complétement… Je n’ai qu’à plonger ma langue…
Mais je me retourne pour équilibrer le tableau et lui donne le LA…
Emboîtées en 69, nous pouvons ainsi faire plus vite connaissance, et nos râles commencent à emplir la petite pièce, dont les stores sont relevés et la fenêtre ouverte…
Après nos langues, nos doigts déclenchent d’autres gémissements, les plaintes, et les plaisirs s’enchaînent, les orgasmes nous ratt****nt, nos sexes se liquéfient, s’emboîtent, se collent, se délectent, se tamponnent et nous affolent tandis que nos seins font la java…
Etreintes et baisers, envol de nos sens, coup de foudre, elle vient dans mes bras, nous sommes rassasiées par ce premier duel au soleil…
– Je savais que tu me plairais…
– Je partage… Tiens, lui aussi…
Franck, le sexe à la main, nous mange des yeux, elle se lève et lui fait une fellation endiablée, jusqu’au bout, avalant son sperme sans hésiter…
– Marika, je te présente mon Lion, Franck…
– Franck, tu nous laisses nous habiller s’il te plaît ? Il est l’heure de déjeuner… Romain est sorti faire des courses…
Elle a jeté un drap sur ma nudité dès qu’elle l’a vu dans l’embrasure de la porte…
J’ai eu le temps de voir une longue hampe raidie par le désir, avant qu’elle ne l’embouche en entier…
– Ça promet…
– Pardon, je suis allée trop vite, on aurait dû attendre ce soir, je t’ai sauté dessus…
– J’ai trop adoré pour regretter… Et pas de souci, j’ai apprécié la fin aussi, même en spectatrice…
Romain revient les bras chargés de bouteilles, vins et Ricard, deux roses, une pour chacune…
Romain est adorable… Cathy vient de baisser les yeux pour la première fois, hum !…
Le repas est léger, salades, fromage, tartelette aux fruit, café…
Franck s’est excusé, je lui ai pardonné, mais, il continue à me regarder en douce, surtout depuis que j’ai enfilé ma robe d’été toute neuve… Fleurie, dominance jaune, couleurs et impressions vertes, rouges, bleues, roses… Une aquarelle aux pastels…
Nous avons discuté, le mieux est de prendre des cours pour nous, puis de voir la meilleure solution pour notre rencontre avec le monde du silence.
Sans aller très loin, rester au niveau 1 pour cette semaine sera très suffisant.
Romain avait pris quelques cours et a obtenu un diplôme de plongée, qu’il a amené…
Le moniteur me dévisage, le cours se passe dehors, il a pris du matériel et nous dévoile les termes techniques, bouteilles, détendeurs, détendeurs à deux étages (octopus), servant surtout aux pros pour augmenter leur sécurité.
Sécurité avant tout, il insiste et y revient souvent…
Palmes pour nager plus vite, apprendre à nager sous l’eau, à respirer, se familiariser avec le détendeur, les lunettes ou le masque…
Savoir lire les informations de pression, de profondeur, etc…
Nous rejoignons Franck qui prépare son équipement pour un spot d’entraînement avec un groupe… Romain qui a suivi sa préparation a envie de l’accompagner… Cela lui remémorera ses cours de plongée… Le moniteur est d’accord, Romain reste observateur. Ils nous font signe lorsque le bateau démarre…
Nous voilà toutes les deux, seules, sur le quai…
– Tu as tout compris ?
– Oui, je pense… Bouteilles pleines, détendeur dans la bouche, manomètre, montre si on veut… le temps de plongée dépend de la quantité d’air emportée… Le moniteur était beau, le bateau emporte ton mari, et mon copain, tu veux vraiment qu’on fasse tout ça ?
– Non, je serai plus à l’aise si j’ai pied, j’aurais toujours peur de manquer d’air…
– Tu peux mettre le tuyau dans ta bouche, c’est facile, tu as l’habitude…
– Tu ne penses qu’à ça !…
– Masque et tuba ? Plage de sable fin ? Rivage désertique ? Crique paradisiaque ?
On se met à rire comme deux amies…
– Bon, nous sommes d’accord, mais eux ?
– On leur laisse du temps libre pour faire leurs vraies plongées, on peut les attendre dans le bateau, avec le moniteur ?
– Oh, mais ! je croyais que tu aimais passionnément ton mari.
– Oui, on s’aime… Mais ce n’est pas dramatique, ça ne compte pas…
– Bon, je t’aurai avertie…
Le soir, dîner au restaurant, le soleil nous a fatigués, Franck veut rentrer après le dessert…
– On fait un tour à pied dans le port, tous les 3 ? Il y a des boutiques encore ouvertes à onze heures la nuit…
Il prend la clé, remonte en faisant un signe…
– Bon, allez, on va faire chauffer la carte…
– Tu veux vraiment ?
Elle me sourit, en marche vers l’aventure…
En effet pleins de stands, marché d’été… Beaucoup de trucs idiots, les robes, oui, j’en essaie une, très impudique… A mon âge !…
– Prends-la, elle te colle comme un gant…
– Oui, justement, je préfère respirer…
Après une heure de balade pour rien, on prend la direction du port…
– On boit un coup avant ?
– Si tu veux, c’est ma tournée…
Un bar, en front de mer, quelques couples, nous commandons…
Nous parlons d’internet et des relations virtuelles, de nos échanges, de Franck.
Une musique tendre s’élève, Romain va voir, le bar possède une piste de danse, quelques couples sont déjà sur la piste… Il invite Cathy en me souriant…
Notre relation est claire, chacun pour soi, et puis on lui doit l’idée de ce voyage…
Je suis sollicitée, j’accepte, tiens, mon chauffeur Blablacar !…
Cela n’a pas duré longtemps, Cathy est abandonnée carrément entre les bras de mon homme…
Pour ma part, sympa et correct, très classe, il me conduit sans heurt, me berce… Oh, là, là !…
Il me serre un peu plus, en me faisant des compliments sur la robe légère, presque transparente… Mais il aimait bien mon tailleur, surtout la jupe…
Cathy est enlacée dans ce slow des années 80, un truc de fou… Je cède aussi, sa main glisse dans mes reins, nous sommes collés, il a une vue plongeante entre mes seins…
Cath a gagné, super pelle de course, un baiser baveux, une main délicatement posée sur un sein, il exagère !… Attend, on va rentrer au studio…
Hou ! Il m’a prise en traître… Ses lèvres sont douces, nos ventres se frottent, je sens une bosse…
– J’ai envie de vous…
– Je suis mariée, il est là-bas…
– Alors tu es cocue chérie…
– Pas du tout c’est mon amie, on fait ménage à 4, échangistes… Son mari nous attend au studio, on va faire l’amour ensemble dans quelques minutes, toute la nuit…
– Je peux venir ?
– Ah, non, séance privée… Alors ? Rien ? Tu en as envie pourtant…
– Prends-moi dans ta voiture…
En 10 minutes chrono, j’ai connu fellation, cunnilingus, étreinte, baise passionnée, une queue de pro, puis 3 orgasmes, et floc, éjaculation, il était ravi, et moi détendue…
Je les cherche, aux toilettes…
Ils prennent de l’avance, comme moi… Appuyée sur l’abatant des WC handicapés, Romain la sodomise, elle adore ça, mais comment le sait-il ?
Je me passe une lingette, dans la toilette des femmes, elle se met à gémir…
– Doucement, j’entends tout !
– Oh, il est bon ton mec… Vas-y, bourre-moi encore…
– Ça suffit, gardez-en pour tout à l’heure !
– Tu verras, Franck va te labourer la chatte, alors laisse-nous terminer l’apéro…
Tout craque, une jeune femme arrive, me passe devant en me fixant dans les yeux…
– C’est libre les femmes ?
– Oh, oui…
– J’aime quand on me regarde dans les yeux…
– Eux aussi, ils en sont au dessert…
Elle fait pipi porte entrouverte, écoute les râles…
– Oh, oui, gicle, viens ! Tu préfères que j’avale ?
– Non, je te prends jusqu’au bout…
– Ah ! Je jouis !…
– C’est chaud, dis-donc, tu te régales ?
– Je viens de me faire sauter dans une voiture…
– Ah, c’était toi dans la Mercedes noire ?
– Oui, pourquoi ?
– Une vitre était ouverte, le mec que je suçais dans la voiture à-côté, a tout filmé…
Ils sont chauds les Corses…
Nous rentrons dans l’appartement, Franck est assis sur le balcon, en slip, un verre à la main…
– Alors, bonne promenade ?
– Enrichissante et délassante…
– Tu nous sers de ton truc, là ?
– C’est de la Myrte, un alcool d’ici, super frais…
Nous trinquons…
– On fait comme on a dit on met tous les matelas sur le sol ?
– Les hommes, coucher sur un matelas par terre, ça ira ? Nous ne serons pas trop serrés, et libres de nos mouvements…
– Il fait chaud encore, oui…
– Bon, je donne l’exemple ou vous voulez faire autre chose ?
– On rendez-vous à 8 heures demain, nous…
– Alors dodo… Et que dodo hein ?
On place tout de la meilleure façon, matelas avec 1 drap par couple, rejetté sur le côté en attendant que la température baisse. Puis chacun passe par la salle de bains minuscule, Cathy me suit…
– Tu restes en culotte ?
– Pourquoi s’encombrer…
Eux aussi n’ont rien mis, on s’allonge au milieu et nos hommes contre nous…
– Quelle chaleur, tout est ouvert ?
– Oui… Si vous… Enfin, si on… faudra mettre une sourdine, les voix portent la nuit…
– On a plus de place en s’allongeant sur nos hommes…
Le silence se fait… Dehors, par contre, depuis un des studios, une douce mélopée, des feulements, juste audibles, mais qui augmentent… Je sens le sexe de Romain grossir contre ma cuisse droite…
– Calme…
– Ben, c’est érotique, torride, d’imaginer…
– Tu as raison Romain… Franck ! Arrête !… Oh !……
Ils nous ont prises toutes les deux, nous nous pénétrons lentement de leur sexe, en soupirant de plaisir…
Il est doux, il m’accompagne, remontant son bassin vers le mien, accentuant mon plaisir de le sentir pleinement…
Cathy s’est relevée, bras tendus, pour lui offrir ses seins qu’il malaxe à pleines mains…
Elle adore ça, se fait chatte, le serrant dans son vagin, il grogne…
Je l’imite, pour transmettre mon plaisir à son sexe qui me lutine tendrement…
Je me soulève, il me prend à fond, nos pubis s’entrechoquent…
Dehors, c’est devenu l’orage, des gémissements de chatte, crûment commentés, des bruits divers, craquements, grincements …
– Qu’est-ce qu’elle prend !
Romain devient ardent, son désir augmente avec celui de nos voisins… je me tourne et lui offre mon postérieur, en levrette il adore…
Il me pénètre royalement, devant le visage de Cathy qui att**** mes seins…
– On ne va pas tergiverser, nous sommes là pour ça tous les quatre… Nous faire du bien, échanger, se donner… Romain, viens me prendre avec Franck, j’en rêve depuis…
Elle se laisse dériver, relever, écarteler, allongée, cuisses ouvertes, chatte ouverte, anus distendu par Franck. Elle le prend en soupirant, à la limite du cri… Puis, calmée, elle offre sa chatte détrempée…
Le sexe bandé de mon chéri plonge dans son fourreau…
Elle jouit, puis elle gémit quand ils la prennent en cadence… Je me colle à elle, nos bouches se joignent, elle me masturbe en jouissant…
Que de partage, elle se laisse faire, vibrant sous leurs assauts…
– Doucement, Marika en veut autant, venez…
On m’emporte, on me prépare, on m’investit, on me tort, on me sodomise doucement, je jouis de sentir ce sexe, long, glisser dans mes entrailles, des doigts agiles s’emparent de ma chatte, tournent, s’enfoncent, ressortent et un sexe puissant vient rejoindre le premier pour un concert de gémissements… Cathy ferme la fenêtre et revient s’écarteler devant eux…
Je décolle vers mes fantasmes, révise mon plan de vol, je suis pilonnée, ils me portent au sommet, je perds conscience, Cathy se frotte contre moi, excite mes seins, me fait mal, mais j’accepte, je les sens venir en moi tous les deux, c’est du délire, Cath se précipite et les suce chacun leur tour, puis s’offre à Romain, tandis que Franck enfonce son gros dard dans ma chatte et je découvre la joie d’être endormie, bercée de caresses, son pieu enfoncé, jusqu’au milieu de la nuit…
Première nuit, premier relâchement, Cathy m’avouera avoir refait l’amour en silence avec Romain, sur le matin… Bonheur…
Petit déj’, yeux cernés, douche, on se savonne ensemble mutuellement, on se frôle, on s’embrasse, chut !…
Le port est tranquille, le bateau nous attend… On a choisi un spot sur la plage, ils pourront plonger à 5 mètres, et nous rejoindre après, nous entraîner au snorkeling, si besoin.
Le bateau s’éloigne après nous avoir déposées, avec nos palmes, nos tubas…
La plage est déserte, le sable fin, le paradis…
Nous prenons nos marques, puis entrons dans l’eau transparente…
Elle est tellement bonne que je ne résiste pas. Je plonge, ouvre mes yeux… Le masque me renvoie cette pureté, quelques habitants des fonds, 1, 50 m de profondeur…
Cath s’est équipée, palmes, tuba et masque, elle part en nageant, belle et libre, je la suis, nous longeons la plage, trouvons quelques rochers, la vie y est plus intense, algues, petits poissons colorés… Je me sens un peu essoufflée et revient où j’ai pied.
Elle me rejoint…
– C’est beau, non ?
– Superbe… Surtout ici, les poissons sont ravissants…
– Tu as vu le crabe ?
– Non… Je me repose un peu… L’âge…
Elle retourne vers les rochers, s’éloigne…
Nos affaires sont à distance, on a pas mal nagé…
Je lui fais signe que je retourne…
Elle me suit de loin…
C’est paradisiaque, seules sur toute cette immense plage…
Elle me rejoint sur ma serviette étalée, je retire mon haut, elle fait pareil…
– Magnifique…
– Mes seins ?
– Oui, aussi…
J’entends un bruit de moteur, un canot pneumatique, assez gros, deux personnes à bord…
Il fonce sur nous, arrive à notre hauteur…
– Bonjour, gendarmerie maritime, vous pêchez ?
– Heu, pas du tout, nous promenons sur la plage, et entre autres nous essayons notre équipement de snorkeling… Plongée en apnée…
– Oui, on sait… La pêche est interdite dans la réserve…
– Vous… Vous avez des papiers ?
– Non, nos maris sont en spot de plongée avec un bateau de location, là-bas, vers les îles. Nos affaires y sont restées…
Il regarde mes seins avec l’air de ne pas y toucher…
– Je n’ai rien dans ma culotte non plus, il faut la retirer aussi…
– Je vois, enfin, je… Excuses…
Cathy ne s’en prive pas, et la voilà nue…
– C’est… Tu as vu Jean ?
– Oui, avec plaisir…
– Jean, c’est de la provocation…
– Oui chef, c’est interdit, la nudité est prohibée, complétement, mais c’est si joli…
– Ah ? Ici, en Corse, un interdit ?
– Ben, oui… cela s’appelle de la provocation…
– Impudeur ? Nudité intégrale ? Agression visuelle ?
– Non ! Habillez-vous !
– Attentat à la pudeur… Chef, je confirme… Mais c’est beau et ça fait de l’effet…
Nous entrons dans l’eau, jusqu’aux seins…
– Revenez, qu’on vous arrête…
– Et si on prenait notre pause, chef ?
– Ah, oui, on est en pause, revenez…
Leurs mains s’agitent, les uniformes volent, Cathy s’acharne sur le plus jeune, presque un enfant, un dard de cheval en rut !…
Chef est plus discret, mais durcit vite entre mes mains, puis dans ma bouche…
Ses mains ouvrent mes cuisses, je l’attire dans l’eau…
Il me soulève, me porte, je sens son membre à ma porte, il me glisse, m’ouvre… Oh…
Cathy est agenouillée et le pompe avec application, puis ses mains s’agitent, il se défend, se tort, le braquemart s’allonge encore, elle l’étend dans le sable, écarte ses cuisses à califourchon, elle l’engouffre avec un bruit de succion……
Il est en moi, il me tient fortement… Je soulève une cuisse contre sa hanche, il entre et sort en cadence, une envolée lyrique s’en suit……
– Tu aimes la bite, toi… Tu es ouverte comme une huître à Noël…
– Tu veux me la déguster ?
Il passe dessous et écarte mes cuisses, sa langue titille, tourne, écarte, découvre puis et plonge dans mon puits d’amour détrempé de mouille et de salive…
Il me reporte sur le sable, au milieu de la serviette de plage, prête pour une levrette…
Il s’enfonce délicieusement, me baise, me détruit, sa bite devient démente, et prend possession de mon derrière, sans ménagement…
– Aïe ! Sauvage, violeur ! Oh ! continue, prends-moi…
Jean dépose Cathy dans la même position et nous voici côte à côte, subissant les assauts de ces deux représentants de la maréchaussée… Pilonnées, mitraillées, martelées, broyées, laminées, leurs queues s’acharnant comme des plantoirs, de l’une à l’autre, devant derrière, nous crions sans relâche, de plaisir, de rage, de liberté, de satisfaction, d’emportement, d’orgasme en orgasme…
Ils nous démontent, puis nous prennent à deux, l’une après l’autre, nous replantant leurs belles queues, comme des évadés de prison en cavale…
J’ai le goût du sperme dans ma bouche…
Une dernière étreinte, une ultime fellation dans la quelle je mets ma douceur et mon expérience, telles qu’il explose entre mes lèvres serrées, pris par la patrouille, à cours de munitions…
– Dieu tout puissant, tu m’as vidé…
Nous revenons à nous, l’air hagard, perdues sur cette plage…
– Allez… On y va…
– Au revoir c’était super…
– On leur ressemble ?
– A qui ?
– Aux vrais gendarmes !
Abasourdies par ce commentaire, nous les suivons jusqu’à l’horizon…
Nous avons soif, nous avons faim, nous prenons un long bain, régénérant nos corps meurtris de tant de passion.
Allongée dans l’eau, la tête sur le sable, comme si je venais d’atteindre la grève après un naufrage, je me sens comme un navire échoué, vivante après la tempête, encore ivre de ce que l’on a subi, sous le choc de cette forfaiture, qu’il nous sera difficile de dénoncer…
J’ai trop pris de plaisir pour dénigrer leurs assauts, juste vexée d’avoir été bernée…
Cathy me sourit, elle pense la même chose, un sourire béat sur les lèvres…
– On ne dit rien… Tant pis… Je n’avais jamais été violée vraiment dans ma vie…
– On oublie cet épisode, ce n’était que du sexe après tout… J’en ai mal à la gorge d’avoir crié mon plaisir, et le reste reprend forme…
– Moi aussi… Quelles queues…
– Ils étaient en manque, c’est certain.
– Et pas trop en règle…
– Des pirates modernes, voleurs, agresseurs, aux aguets…
Nous nous sommes endormies sous un palmier, dans les hautes herbes, au frais…
Ils nous recueillent…
– On a été plus long que prévu, vous allez bien, ce n’était pas trop long ?
– Oh, tout va bien, nous avons profité des hauts fonds, rencontré des poissons étranges, ramassé des coquillages, enfilé des perles, nues, seules, avec quelques requins assoiffés de sexe qui sont venus nous faire peur, nous faire rêver, nous abandonnant à notre sort sur cette plage oubliée du monde des vivants…
Ils nous regardent, se demandant quel produit nous avons ingurgité !
– Bon le repas est dans la glacière, Homard, crabes, crevettes géantes, un vrai supermarché !…
– Miam !… Quel délice !… Nous reviendrons ici, c’est paradisiaque…
– D’accord les filles, allez direction le port, le soleil s’enfuit…
Après d’interminables douches pour tout remettre en place, je passe une nuisette pour ma part, culotte en coton, bien douce et enveloppante… Cathy a opté pour un déshabillé arachnéen, « ras la touffe », un appel direct sans doute…
Chacun s’occupe de quelque chose, apéro, entrées, mayonnaise maison, et nous avons pris quelques glaces en passant…
L’apéritif est servi sur la terrasse, par nos hommes, l’air de la mer nous fait du bien…
Quand nous passons à table, il est près de dix heures du soir, nuit tombée…
Serrées par couple de chaque côté de la table, Cathy déguste les pinces de crabe en mayo, le premier homard est au court-bouillon, Nous avons trouvé une sauce corse spécial pour le napper…
Franck nous les prépare, les ouvre, en sort le meilleur, nappe de sauce, goûte…
– Oh ! Bon !… Vous allez aimer les filles, ça envoie les pieds !…
– Il vous faudra éteindre les incendies ?
– Toujours prêt Marika, ta forêt sera préservée !…
– Alors je veillerai à refroidir ta lance…
– Et moi au repos du pompier…
Le repas se termine, joyeux, délicieux, et nous restons un moment à digérer avec la Myrte et la glace achetée…
Je débarrasse la table, Cathy m’aide pour la vaisselle, il n’y a pas grand-chose, les hommes discutent de leur sortie…
– Alors, calmée ?
– Oui… C’était bon cette sauce, je me sens… ailleurs…
– Tu parles de quoi ?
– Du repas !…
– Ah… Moi je sens encore sa queue qui me propulse vers mon dernier orgasme, j’ai senti son jet ! Gendarme pompier…
– Tu as encore des forces ?
– Hum… Toujours pour baiser !…
– Tu veux du gel ?
– Pour ?
– Un produit pour calmer et lubrifier, il stimule aussi, nous et eux…
– Ah, c’est nouveau ?
– En France, oui… Mais je ne l’ai pas encore essayé, je le gardais pour un cas spécial…
– Gardes-en si on les revoie…
La nuit s’étire, nous parlons à voix basse, de ce que l’on programme demain…
Vers minuit, la même mélopée s’élève des balcons supérieurs, tombe sur le nôtre, vient réveiller nos libidos…
– Quelqu’un lui fait du bien…
– Ou une…
– Quel balcon, tu crois ?
– Au-dessus ? Au 4eme ?
– En face ?
– Je penche pour le studio de gauche, le son se répercute sur l’immeuble en face, et nous revient, amplifié…
– Ici, juste à côté ?
– Ecoute, on l’entend par la cloison, si on se met… Là !
Franck s’est déplacé, a ouvert la salle de bains, en effet, un gémissement divin arrive à nos oreilles,
– Une voix de jeune femme, 30 ans, en pleine maturité sexuelle, et elle en veut !…
– Tiens ! c’est en stéréo ! Elle lui répond, par la même caresse…
– Deux gouines ?
– Leurs voix se mélangent, elles se caressent ensemble, jouissent ensemble…
La main de Cathy est sur les cuisses de Romain…
La main de Romain est logée dans la chatte brune…
Franck s’assoit contre moi…
– Oh, elle va jouir la première, la voix plus jeune se fait sucer la chatte…
– Ca y est c’est parti, elle s’envole… L’autre a dû mettre ses doigts…
– Ecoutez, elle a un orgasme, elle se laisse aller…
La voix monte d’un ton, le souffle court, elle jouit !…
– Exactement, elle se fait fouiller à fond, quelle envolée… Quelle salope…
– On n’entend plus rien, elles s’embrassent ?
– C’est au tour de l’autre… Montée d’adrénaline, ça booste, elles se masturbent, elles gloussent…
– Le lit grince un peu…
– Le son est cristallin, l’autre atteint des sommets, même avec leurs voix étouffées…
– Qu’est-ce qu’elle dit ?
– Jouir… Chatte, bonne, viens…
– Oui… Chut !… Encore…
– Gode, vite, pousse, là, mouille-moi, oui tu y es !
– Oui, elle le voulait dans le fion…
– Elle l’a, car ça part en flèche…
On entend nettement « oh, oui, prends ma chatte »…
Franck n’a pas résisté longtemps, entre le concert gratuit, voir sa femme en face de lui, abandonnée aux mains de Romain, et moi qui ai sorti son pénis et le secoue dans ma main, il a enlevé délicatement ma belle nuisette et me fait réciter un concert en me triturant les seins avec sa bouche, une main délicieusement plaquée entre mes cuisses…
Un long silence suit une envolée orgasmique…
Chez nous, le membre est dans ma bouche, Cathy est assise sur Romain, face à lui et bouge lentement, en tous sens… Ses seins ondulent, mais les mains agiles de mon ami leur font une corolle, un tendre nid douillet qu’elle semble apprécier autant que le reste…
Franck m’allonge sur la table, à l’abri des regards extérieurs, nue… Il vient entre mes cuisses et sa langue m’électrise…
Cathy se retourne et vient m’embrasser sur la bouche, un baiser doux et tendre, et elle se rassoit sur Romain, se reprenant avec passion, profitant du sexe qui l’a pourfendue…
Les mains de Franck viennent sur mes seins, et me font délirer…
Cathy tressaute en rythme, délirant son plaisir…
Franck s’allonge sur moi, replie mes genoux, mon bonbon à l’air, offert, luisant de désir dans la pénombre…
La bouche de Cathy se referme sur son dard avant qu’il n’ait le temps de réagir, puis libéré après une douce fellation entre époux, il me prend brutalement, rugissant…
– Oh !… Oui !…
Alors que Franck s’en donne à cœur joie, plantant son membre en rythme, et que Cathy se met à jouir du sexe planté en elle, j’aperçois le temps d’un clin d’œil une tête à gauche du balcon…
Emportée par nos ébats, je me concentre et me libère… Il vient d’appuyer insidieusement sur mon clitoris, en même temps qu’il m’a donné un coup de reins de folie, j’en ai lâché un cri de hyène…
Le visage se réinscrit dans l’encoignure du balcon…
– Tu veux une photo ?
– Pas besoin… J’admire… Je savoure…
– Venez alors si ça vous plaît… On allait passer aux choses sérieuses…
– Nous sommes deux avec ma copine…
– On vous ouvre…
– Cathy se lèvre et va ouvrir…
Deux jeunes femmes, magnifiques brunes, en robette de plage, nues, viennent nous embrasser sur la bouche, chacune… Cathy la prend par la main et l’entraîne dans notre chambre de jeu…
Je me lève et prends la main de la seconde, rejoins les deux autres au milieu du lit…
– Moi c’est Isa, elle Sally, nous sommes lesbiennes ce soir…
– On adore vos témoignages…
– Ah, c’est difficile de se maîtriser dans certains cas…
– Les mecs vous regardez, c’est tout, buvez un coup…
Sally embrasse Cathy, elles sont entrelacées, ventre contre ventre, sexe contre sexe, se massant réciproquement les seins, magnifiques chacune, puis suit une danse lesbienne magique, douce, sensuelle, chacune caressant l’autre et la portant au plaisir, se léchant, comme nous, en 69, pour mieux jouir chacune de l’autre…
– Oh, oui! A 4 c’est génial…
Le tableau grossit, 4 partenaires, sensuelles, actives, envoûtantes…
Elles prennent ma brune amie, ses yeux marrons me sourient, m’appellent, je m’y colle…
Le nez entre les fesses écartées de Sally, on me masturbe, et je masturbe, on me suce et je lèche, je plonge mes doigts dans un vagin détrempé, les râles fusent, les gémissements redoublent, on s’entrelace, on se chevauche, on se gouine, sexe contre sexe, déchaînées, en furie… Un orgasme plus profond, les hommes craquent, on les invite cuisses ouvertes, oh, que oui, j’ai envie d’une bite…
Ils ne sont que 2, mais ils assurent, nous n’avons pas trop à attendre notre tour, et leur sexe nous emporte pendant le temps qu’il faut, je jouis chaque fois, et nos deux voisines en avaient tant envie qu’elles s’offrent ensemble, à chacun, gémissant, convulsant, larmoyant de plaisir en vociférant leur orgasme….
Elles en prennent plein le cul, démontées par les coups de reins rageurs de nos amants…
Elles s’embrassent en pleurant, se nichent contre nous en ressentant monter leur orgasme mutuel, écartelées, offertes, jusqu’à la délivrance, une nuée de spasmes violent les clouent contre nos ventres…
Que de sexe…
Elles s’endorment avec nous, entre nous, entre eux, se relèvent, échangent, nous font l’amour encore et encore, et jusqu’au matin, laissant nos hommes épuisés, hors d’usage…
Romain me prend en fin de nuit, délicieusement, sans bruit, dans mon dos, investit mon vagin, j’ai pensé à remettre du gel et je m’envole de nouveau, et il me fait l’amour tendresse, jusqu’au bout, et je coule de ce qu’il lui reste de semence, et ses baisers sont adorables et je jouis pleinement pour la énième fois de la journée…
Retraitée, mais pas de la chatte !…
Nos amies déjeunent avec nous, heureuses de cette nuit coquine, elles repartent se doucher chez elles, avec un gentil sourire…
Visite de la ville et promenade, puis la pluie arrive, nous dînons dans une brasserie. Le bateau de plongée est à quai, le nôtre en stand-by…
– Le plein est fait, on vous charge votre équipement ?
– Pas de risque d’orages ?
– Non, mais ici, le temps est capricieux à cause des montagnes.
– On risque de se faire mouiller ?
– Oui, mais si l’orage arrive et que vous êtes loin, accostez, un port ou une plage et attendez. C’est plus prudent. Evidemment, pas de sous l’eau…
– Bon, on y va les filles ?
– OK, mais on n’est pas changées…
– Ah, c’est un problème ?
– Non…
Mon sourire énigmatique fait sourire Franck, nous partons peu après…
– Au fait, il faut que vous restiez dans le bateau lorsqu’on plonge tous les deux, on s’est fait engueulés par le mec, là-bas, un gendarme. Mais vous allez attendre, on plonge longtemps…
– Ah… Et si on invitait les voisines ?
– 6 personnes, oui, on gère… Mais non, trop risqué…
– Je préfère que vous reveniez nous apprendre à respirer avec vous, en snorkeling, l’octopus nous alimentant si besoin……
– Vrai, hier on a fait plus d’un kilomètre, seules avec les palmes, mais sur le sable c’est pas top, on préférerait le refaire avec vous, dans les rochers…
– D’accord, venez, je vais voir pour faire monter un second détendeur, l’étage octopus.
– Il existe une autre solution, un système nouveau, avec pompe et narguilés.
– Ah ?
– Pour ne pas ressortir de l’eau, on plonge jusqu’à dix mètres maxi.
Ils sautent sur le quai, le vendeur est mitigé… Leur déconseille ce genre de jeu… La sécurité, faut pas en démordre… Mais il pense que juste quelques bouffées pour gagner en profondeur et voir de plus beaux poissons, surtout vers les coraux…
– Bon, ce n’est pas très autorisé, mais pour quelques minutes là où on a pied, elles seront contentes d’avoir « plongé »…
– Tu as raison… En tous cas je me suis régalé cette nuit, deux salopes folles de bite…
– Ouais, on les croyait lesbiennes…
– Oh, que non, j’en ai eu mal au chibre à force de les limer…
– Imagé, mais réel… Ta femme est merveilleuse, je l’adore et ne regrette pas de vous avoir rencontré.
– Pareil, Marika me pousse dans mes derniers retranchements… Elle ne fait pas son âge, en rien, je me sens ailleurs avec elle, avec toi, votre décontraction, sa sensualité…
– Vous êtes très imaginatifs… On se reverra…
– Oui, j’aimerais… Bon on plonge ?
Ils mettent le cap sur les îles où ils étaient hier…
– Voilà, regardez du bateau. On ne sera pas trop longs et vous pourrez nous suivre, avec le signal que l’on va dérouler et qui flotte sur l’eau, au-dessus de nous…
– Ah, c’est ça ? Petit d****au rouge avec la croix de St André ?
– OK…
Ils plongent chacun leur tour après avoir vérifié, leurs bouteilles une dizaine de fois…
Le silence se fait, on s’allonge, on ratt**** un peu de sommeil…
Un bruit de moteur…
– Alors les filles, un goût de revenez-y ?
– Je serais vous je ne traînerais pas par ici. Nous vous avons signalés aux vrais…
– Vous voir comme ça, allongées et quasiment nues… Je resterais de quoi revivre hier…
– Moi aussi, chef… Des belles salopes comme vous, c’est rare…
– Nos maris sont en plongée et peuvent ressortir immédiatement…
– Je vois… Venez avec nous, on a une cabine… On dira qu’on est en train de vous fouiller…
– Oh, oui, chef !… Fouiller !… Mais elles n’ont rien !… Oh, chef, vous êtes coquin…
– Vous n’auriez pas la rétention de nous refaire subir des attouchements sexuels ?
– Si !…
– On a baisé toute la nuit avec deux voisines en chaleur… Elles aimeraient sûrement, des tigresses… Quelle nuit elles nous ont fait passer… Nos mecs étaient sur les genoux…
– A six ? Une orgie ?… Mon dieu… Vous aimez le sexe, vous…
– Un petit coup en souvenir ?
– Qu’en penses-tu Cathy ?
– Bon va faire une chose, je pense à la sécurité de nos mecs. On va aller sur votre bateau, dans la cabine, chacune notre tour… cela vous va ?
– OK, la première ? Ah, Marika !… Viens, prends ma main, là… Allez, rentre et toi Cathy, surveille le fanion rouge et blanc…
La cabine est petite, mais complète, il y a tout, une grande couchette au fond, donc à l’avant, avec une écoutille donnant sur le pont et 2 hublots de chaque côté. C’est clair, fonctionnel…
Je m’allonge, ils m’encadrent…
Je pars instantanément, dès que je sens un sexe contre le mien… Des mains partout, une bouche, je savoure, ils sont doux au début… Je me laisse guider…
Levrette, classique missionnaire, sandwich, je m’envole et pendant un quart d’heure, ils me prennent ensemble, variant les positions, les assauts, je les suce, je crie mon plaisir à les avoir tous les deux, puis j’ai deux orgasmes coup sur coup, dément…
Ils m’invitent à me baigner pour me laver…
– Tu es démente, je t’adore… Quelle adresse tu dis pour les gonzesses ?
Cathy, traverse à son tour, me sourit…
– Bien ma fille… J’espère qu’il en reste…
Une bonne demi-heure plus tard, elle revient, échevelée, épuisée, elle a du mal à monter par l’échelle et je l’aide du bras…
– Putain, ma chérie… Quel pied… Ils m’ont détruite… Je n’en peux plus… J’ai du sperme de partout, même dans les oreilles… De tous côtés, par tous les trous, dans toutes les positions… C’est rare de me laisser entraîner comme ça, ils m’ont fait des choses inavouables… Je vais me nettoyer avant que Franck ne me trouve ainsi…
– Ils vont proposer leurs services à nos voisines…
– Aux deux salopes ? Si elles pouvaient leur bouffer la queue…
Nous nous baignons dans l’eau transparente, ils ont disparu à l’horizon…
Dans la glacière je trouve de quoi nous désaltérer…
On s’allonge mi ombre…
Le silence et le clapotis de l’eau contre la coque, le d****au a changé de place, ils ne doivent plus avoir beaucoup d’air…
– Superbe les filles…
– Magnifique, une épave, alors on a voulu voir… Des poissons à foison, de toutes sortes, des algues colorées, des animaux que je ne connais pas…
– Et vous ça va ? Pas trop long ?
– Près de 2 heures… On s’endormait…
– On va changer de bouteilles, prendre les grosses et on vous emmène visiter les fonds…
L’ancre est fixée, ils partent devant, on s’accroche… On essaie l’embout libre, je respire normalement par la bouche, un temps d’adaptation…
On a remis un maillot, on les suit sans problème, nos palmes nous propulsent, les fonds sont clairs, lumineux… Le fond s’éloigne et nous trouvons les premiers coraux… Franck me prend en duo, je partage son tuyau… je pense à quelqu’un… Je souris…
Ses bouteilles sont pleines, nous avons une heure d’autonomie avec un peu de marge…
Je regarde nos amis, Romain cherche l’épave, il l’appelle du bras…
Il lui fait signe de prendre l’embout, elle a un mètre, elle se laisse conduire par la taille, et ils s’enfoncent dans les profondeurs… On a dit 5 mètres maxi…
Franck les regarde, il me pose la question ?
Bof, les suivre ? Allons trouver autre chose… Viens…
Je le suis, il regarde au fond, voit quelque chose, il me fait signe de tirer le fanion à nous, puis me fait signe qu’il plonge voir…
Il remonte après un palier de quelques minutes, je flotte, accrochée à la bouée, ça me repose…
Il a trouvé un objet, genre amphore… Il est tout content… Il m’invite… Je prends le détendeur de secours, et m’accroche à lui… Il se colle dans mon dos ce qui lui permet de me diriger… Il me tient par la poitrine, mais sur mes seins… Je flotte sous lui, comme un bébé requin… Bébé dauphine…
C’est merveilleux, un paysage rare, éclairés par les ondes lumineuses… 5 mètres pile… Pas plus… Nous faisons le tour, c’est un chargement, recouvert par la sable, les coraux, les algues… Il y a des poissons magnifiques, des petits des plus gros, des murènes je crois, j’ai un peu peur, il me serre contre lui…
Je respire doucement, pas d’effort, nous glissons, tournant autour de cette épave…
J’ai pied, au fond… Il se pose contre moi, ses mains prennent mes seins…
Au bout de trois secondes, son sexe apparaît, droit, tendu…
Je ne peux le prendre en même temps que mon détendeur…
Il sourit, m’enlace et m’adosse contre lui, ses mains massent mes seins délivrés, son sexe est en moi !…
Il me prend, me baise sans effort, doucement, j’écartèle mes jambes, mes cuisses, je flotte délicieusement, et comme une plume, descend m’empaler encore…
Il me fait l’amour à moins 5 mètres, je jouis de me retrouver épinglée ainsi, quelques poissons multicolores et curieux nous tournent autour…
Son sexe me prend lentement, coulisse, il est long, s’enfonce jusqu’au bout, me faisant jouir à chaque pénétration…
Je ne bouge pas, je reste muette, et pourtant je bouts…
Il est en moi… Je sens sa verge, il pousse, m’attire… On essaie alors l’autre côté, je lui fais face, et m’embroche de nouveau, et je tremble, je jouis encore, il pousse mes fesses, j’enroule mes jambes autour de lui, des siennes, il me perfore encore…
Dieu que c’est bon… Cachés ainsi, j’ai envie de le sucer, de le faire jouir, de l’embrasser comme ce matin, qu’il me baise dans mon sommeil, sous la mer…
C’est une première…
La lumière disparaît, j’ai peur, et me colle de plus belle, le serrant contre moi…
C’est nos conjoins…
Cathy est aussi rivée à Romain, nue aussi, elle est face à lui, il la possède en cadence… Elle semble crier de plaisir, elle fait signe qu’ils remontent…
Franck fait un geste, palier de 3 minutes, juste à 3 mètres…
On remonte un peu en regardant le profondimètre…
Nous restons là sans bouger… Romain me sourit derrière son masque… Sa bite est sortie, elle la caresse…
Je fais de même… Ma main caresse lentement… Cathy passe une main entre mes cuisses, me soulève… je monte… Elle me positionne, écartelée au-dessus d’eux, sa langue vient me prendre elle remet vite son embout, ses doigts s’enfoncent en moi, ils quittent leurs gants, leurs doigts aussi… On prend mes seins, on me caresse de partout, on me baise de nouveau…
Nous flottons, je suis nue, eux aussi, les bouteilles sur la plage, j’arrive à faire une pirouette sous deux mètres d’eau… Ils me prennent ensemble, en sandwich, leurs deux queues fichées en moi, ils s’agitent, Cathy me soutient, m’embrasse, se frotte à moi… je jouis portée par les flots, abandonnée contre eux trois… Je masturbe mon amie qui se donne, s’écartèle… Franck la prend alors, l’emporte plus loin, ils font l’amour sous l’eau, devant nous, mes lunettes me permettent de les regarder jouir, Cathy et Franck, ressortent de temps en temps pour respirer un instant ensemble, puis ils replongent, suçant librement le sexe de son mari, elle en profite, pour s’offrir en 69, les cuisses autour de son cou… Il la mange, elle fait pleins de bulles… Puis donne un grand coup à bout de souffle…
Je fais pareil, Romain me soutient, j’embouche sa verge et le pompe rapidement, je sens sa langue envahir a chatte, ouvrir mon vagin et ses doigts font les reste, mais je n’ai pas sa capacité pulmonaire, malgré tout il jouit dans ma bouche sous l’eau…
Je me redresse avec son aide, j’avale son sperme qui me gène, je l’embrasse tendrement comme éperdue de tendresse et d’amour…
Franck est en train de sodomiser Cathy sur la grève, elle pleure de joie.
Elle tombe dans se bras, il la prend face à face, cuisses écartées… C’est bon aussi, un échange intime, nous les regardons faire l’amour en plein jour, le visage illuminé…
Elle se met à jouir, elle monte sur lui pour le recueillir…
– Oh, oui… Donne-moi ton foutre… Oui !… Comme cela… Je te sens… C’est bon, je t’aime tant chéri…
– Que c’est bon, que c’est merveilleux de le faire sous l’eau, mais j’ai appréhension…
– Et puis on ne peut pas s’embrasser à loisir…
– Ni se faire sucer…
– Ni crier à pleins poumons !
– Là, c’est idyllique, une version romantique, une fusion des corps avec la nature…
Nous restons ainsi un long moment, serrées dans les bras de nos hommes…
Le soleil descend lentement sur l’horizon, il faut rendre le bateau…
J’ai soif et mangerai un cachalot !
Nos sorties s’enchaînent, les après-midis sont délicieuses, toujours vers le même spot, vers ces deux épaves, entre lesquelles nous nous perfectionnons. Notre technique et notre souffle nous permettent maintenant d’éviter le palier de décompression à 3 mètres qui n’atais que souhaité et non obligatoire.
Je sais enlever mon masque et mon détendeur sous l’eau, eux aussi, et nous accomplissons des figures inédites, tous les quatre, en apnée, entre poissons et coraux, des instants de rêve, de fabuleux souvenirs, entre Cathy, Franck et Romain…
Elle évolue, délicieusement heureuse et comblée, prise par nos deux hommes, j’aurais aimé prendre quelques photos, mais nous n’avons pas d’appareil étanche.
Juste ces quelques bulles, qu’elle n’arrive pas à retenir, lorsqu’elle se met à jouir, pilonnée par l’un et l’autre dans un concert aquatique…
Quant à nos nuits, entre nos voisines et nos douces et tendres séances de repos avant sommeil, je ne me suis jamais autant reposée que dans ce cocon transformé en baisodrome…
Nos hommes sont tendres, attentionnés, toujours à quémander caresse ou plus, affinité nous l’avons et c’est avec plaisir que nous nous chevauchons, mêlant nos envolées lyriques à celles de nos voisines…
Restaurant sympa pour notre dernier jour, la nuit est épique, démente, une sorte de point d’orgue dans nos ébats…
Le dernier matin, nos hommes sont sortis en avance pour régler les notes de nos prestataires…
J’entends de nouveau un feulement de chatte dans le studio d’à côté…
Je me penche par le balcon, nous n’y avions pas pensé, mais nous aussi avons une vue imprenable sur les 4 personnes enchevêtrées… Je vois des bites aller et venir, des corps qui se tordent, je reconnais Sally, du moins sa chatte, pilonnée, alors qu’elle est prise par derrière jouissant déjà de sa sodomie… Isa regarde en se masturbant, puis s’offre à la bouche avide d’un des deux hommes, qui entre sa main dans la chatte détrempée…
Je reconnais au fil de mon observation, nos deux faux gendarmes…
Ce que Cathy me procure pendant quelques minutes est tabou, il fallait vider le frigo…
Finalement, n’y tenant plus, nous tapons à leur porte en robette de plage, nues évidemment…
Ils sont là et nos adieux sont explosifs, autant avec elles qu’avec eux, je laisse sonner mon téléphone, Romain peut attendre….
Mais je suis obligée d’envoyer un SMS au bout d’un moment, disant que nous sommes sorties quelques minutes, pour un dernier shopping entre femmes…
Alors après une demi-heure d’échanges, je les vois se glisser hors du studio, refermer délicatement la porte, ils nous pilonnent comme jamais, de vraies bêtes sauvages, c’est irréel, moins de tendresse, et plus de brutalités, des positions indescriptibles, obscènes, ils nous violent, ils nous tiennent, ils nous menottent, nous ligotent, ils photographies nos chattes et nos culs pleins de sperme (pour leur collection !…), nos seins rougis d’être massés, nos fesses à force de fessées…
Cathy devient hystérique après un orgasme, je la calme d’un long baiser…
Ils en profitent pour se glisser tous les deux dans mon vagin, une double pénétration qui me fait délirer, comme elle… cela faisait longtemps que je n’avais pas baisé comme ça, aussi hard…
Je prends une longue douche avec elle, nous savonnant, effaçant les traces de nos griffes, de leurs morsures… Mais ils en sont au même point, saignant presque de nos griffes sur leur omoplates…
Je ne sens plus mon ventre, sous ma robe, ni mes seins… Nous poussons la porte, ils discutent gentiment, Sally et Isa étendues lascivement entre les deux hommes, attendant peut-être un miracle, pour leur souhaiter un dernier adieu…
L’avion semble voguer sur l’eau, j’aperçois nos îles au décollage, mon ventre se serre…
Je m’endors jusqu’à Montpellier…
FIN
Marika842010
août 2018
Ajouter un commentaire