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Le loup-garou 8

Le loup-garou  8



Jeudi matin.

9h 06 – Au village médiéval.

On se pousse du cul, on se lève, on se lave et on descend déjeuner naturel en silence. Monsieur toupet arrive en costume d’époque. En grand bobant. Cote de maille pis toute.
-Je vous enlève votre princesse pour la journée M Lemieux. Fait-il joyeux. Ça vous dérange pas ?
Sourire assassin de ma part.
-Noooon grippeminaud !
-Hein ! Fait-il.
-Moi je dois travailler assit dans mon lit Tudieu. Menti-je juste pour le plaisir de leur voir la face quand j’allais me pointer la bas au bras de sa femme.
-Bonne journée ! Fit Marie en se levant. Mais elle hésite et son regard s’attendrit, par fierté je regarde dans le décolleter de Sally qui desservait.
Regard assassin de Marie mais des quelle fut sortit, je le regretter avec des petits noeuds dans l’estomac.
Gros soupir.
En plus le mari colle a sa belle somnambule bien ronde comme si il la surveillait. Mais il m’aide quand même a décharger mon camion de 5000$ de babioles médiévales pour les monter à la chambre. Je lui apprends que l’on m’a inviter à la fête et il m’annonce fièrement que l’on va s’y voir, lui et Sally y on un kiosque de produit naturel. Wow !
Puis, déprimer, je file au garage faire laver mon beau Hummer. Fermer pour la journée, le garagiste aussi a un kiosque a la fête. Mais de quoi ? Pièce d’auto médiéval. Shit.
En route pour la fête et tant pis pour le loup-garou. Mais qui sait, le prêtre allait peut-être s’y montrer, j’en profiterais alors pour le questionner encore un peut et essayer de le décourager de manger du chevreuil.

Je me tape 5 km de route poussiéreuse pour découvrir une grande clairière en bordure de la forêt ou son installer des dizaines de tentes. Un vrai village.
Je me stationne sous un arbre près des autres véhicules et un fois sortit je reste la un moment a observer. C’est fabuleux, j’ai l’impression d’avoir fait un voyage dans le temps.
Il y a une bonne centaine de personne même plus et tous en costume d’époque. Promeneur, jongleur, ménestrel, guerrier et même un mage. Des d****aux vole au vent, des gens combattent, un gros a****l cuit sur la broche. Wow !
Je cherche ma belle Marie des yeux mais… Tant pis. Je démarre l’antivol sur mon camion, bip bip, et je fais à peine deux pas sur le terrain que…
-Hola visiteur, il faut une invitation pour entrer se ce fief et être bien accoutré !
Une gros gras bedonnant et barbe de quelques jours, lance pointer vers moi, s’approche portant tout le kit du parfait guerrier.
-Oui je…
-Rien de moderne sur le site compagnon c’est la loi de Sir Bertrand.
-Oui je…
-Gor..ge ! Une voie qui grésille et qui sort visiblement d’un walki-talki et la réception est mauvaise.
Rien de moderne sur le site. Ben oui.
Le gros sort le petit appareil bleu électrique et jaune d’un sac qu’il porte en bandoulière et pèse sur le bouton.
-Oui sir ! Il lâche le bouton. Friture.
Il agite l’appareil et tape dessus. Je soupire et on entend…
-C’est… jour… is…
-Hein ! Grogne t-il.
-C’est… is….te…
Il se tourne et fini par trouver une meilleure réception en pointant la mini antenne vers le ciel bleu.
-J’ai pas comprit Sir Bertrand, j’ai dut oublier de recharger la batterie.
-Crétin, la tu m’entend tu ?
-Eh oui. Fait-il nerveux.
-C’est le journaliste, celui qui est avec Marie Lemieux, je vois mal d’ici ?
Il se retourne vers moi.
-Vous êtes un… Eh… Un homme de lettre voyageur, le compagnon de Dame Marie ?
Je pointe du pouce mon camion avec le logo de l’émission juste derrière moi.
-Ah ! Oui c’est lui ! Cri t-il a ça radio.
-Qu…o…
-Faut vous retourner monsieur. L’avertit-je poliment.
-Ah oui merci ! Oui ces lui Sir !
-Mets le au cachot, je m’en occuperai plus tard, et eh… Ces un jeu hum ! Il m’entend ?
-Eh, oui ! Avec joie Sir !
-Pardon ! Lâchai-je tandis que le gros me souriait en pointant sa lance droit sur mon coeur. Comment ça au cahot ? C’est quoi ces billevesées ?
Le gros me regarde sans comprendre puis cligne des yeux et dit.
-Suis-moi malotrus.
Heureux de sa réplique lancer comme le meilleur des mauvais comédiens, il me sourit.
Je tasse la lance, son sourire s’efface et continue d’un pas rapide en me fourrant un cigare entre les lèvres. Avec les longues jambes que j’ai, le gros doit courir à côté de moi en traînant sa lance et ça grosses bedaine.
-Mais… Mais, vous avez pas le droit monsieur, vos avez pas de costume, dit-il presque larmoyant, ces pas le jeu… On doit aller au cahot. Vous… Eh…
Des tas de promeneurs nous regarde en souriant.
La j’aperçois ma jolie reine-tigresses sortir d’une tente. Dame Viviane en personne portant une magnifique robe noir et un cône avec un voile sur la tête qui discute avec une fort jolie dame âgée au décolleter ben plongeant.
Je remets mon cigare dans ma poche et lève les deux bras en l’air.
-Hola ! Criai-je, fier de lancer un mot en espagnole histoire de décourager un peut plus le gros George en sueur.
-Hola ! Répondit la mairesse tout sourire en venant vers moi bras en l’air aussi et on se donne le bisou.
-Contente de vous voir Paul.
-Moi aussi mais qui est ce bougre, demandai-je me prenant au jeu, ce bâtard, se damné fils de pute de sire Bertrand que j’aille lui arracher les couilles a mains nue ? J’aimerais bien l’occire joyeusement celui la ou le branché au gros chêne la bas !
Elle me regarde les yeux ronds, sans doute impressionné par ma tirade quand a George, on en parle même pas. Je devais parler klingon pour lui.
-Mon mari, répondit-elle, pourquoi !
Mon sourire s’efface.
-Shit ! Sérieuse ?
Elle est morte de rire, ouf…
-Sir Bertrand a ordonner qu’on mette ce manant au cachot ma reine. Fit George nerveux et essoufflé. Et il menace Sir Bertrand de… De… enfin, comment ose t-il ?
-Dégage George ! Ordonna telle
Il baisse la tête et file avec sa radio qui griche et sa lance qui traîne.
-Excuse le Paul ses un des lèches cul de mon mari mais pas méchant. Je pense que mon époux voulait s’amuser un peut ses tout. Bon, viens j’ai une armure pour toi.
-Une armure, déjà !
-Oui, ton combat est prévu pour bientôt.
-Mais j’ai jamais… Je dois pas m’entraîner auparavant ?
-Sa vas aller, on fait sa pour s’amuser.
-Good ! Mais qui j’affronte ? Ton mari j’espère ?
Elle rit.
-Quand je lui et annoncer que je t’avais inviter, la face y as changer à celui la !
-Tien, tien !
-J’ai rencontrer Mm Lemieux, elle est très gentille. Elle filme la fête pour un de ses amis journaliste. On va parler de notre festival a Montréal.
-Good ! Mais… Pas jalouse ?
-Bof, moi et mon mari on se sépare. Je savais qu’il avait des aventures mais pas a ce point la et pis… Je devrais peut-être pas te le dire mais, il a un gros fix sur ta blonde depuis des années. Y roucoule comme un pigeon devant elle. Ça en est ridicule. Viens, dit-elle en me prenant par le bras, on va aller te costumer.

10h 45 – Potius mori quam foedari.

Elle m’entraîne dans une des grandes tentes tout en bordure du bois, elle est remplie d’arme et de costumes et la j’arrive face à face avec Thor en personne. Grand. Bâtit comme une montagne, long cheveux blonds, barbe blonde, hache à double tranchant attacher sur le dos.
-Paul je te présente Ulrich, notre forgeron, il va te trouver une armure a ta taille, on se revoit plus tard.
Elle file prestement et me laisse avec le géant qui me sourit. Je fais presque six pieds. Mais le type me dépasse d’une bonne tête.
-A poil mon gars, mais on garde les slip.
-Tudieux !

Trente minutes plus tard ma vision se limite à un petit rectangle devant les yeux. L’armure est plus légère que je le croyais et ne limite pas trop mes mouvements mais les sons m’arrivent étouffé sous le casque. Le bouclier rectangulaire n’est pas trop lourd non plus ni la longue épée a double tranchant. Wow. En dessous je porte des vêtements d’époque.
Thor me fait faire différent mouvement pour vérifier que tout me va bien, a ce moment ma belle Marie entre suivit du maire qui porte toujours son petit coq au toupet. Ridicule.
Ma blonde porte une magnifique robe bourgogne très décolleter et on lui a tresser les cheveux. Elle est superbe.
-Je peux ? Fit-elle en montrant la caméra au géant.
-Mais oui gente dame. Fait celui-ci en se courbant ce qui fait sourire ma belle. L’armure que vous m’avez commander Sir Bertrand est prête. Rajoute t-il.
-Parfait, fait le maire en se pointant devant moi et frappant sur mon casque. Qui est la dedans, C’est toi ?
-C’est… Commença Thor.
-Oui ces moi. Risquai-je amuser en prenant une grosse voix.
-Ah, fait le maire prétentieux. C’est toi Raymond ok. Bon… On se voit tantôt. La il me fait un clin-d’oeil avant de se retourner et rajoute, Marie !
-Oui !
-Tes prête a te déshabiller !
Ma main se resserre sur l’épée et je la lève prête à lui couper le toupet pendant qu’il s’éloigne mais l’on m’empoigne soudainement par les bras sous le regard amuser de Thor et deux grand guerrier m’entraîne hors de la tente pendant que j’entends Marie dire…
-Ok, mais dehors les gars…
On m’assoit sur un banc devant un air de combat ou deux balourds avec des casques a corne font semblant de se battre férocement et c’est maladroit. Navrant. Mais la foule tout autour les encourage.
-Hiii… Hooo… Haaa…
-Votre adversaire va arriver. M’annonce un des gars avant de filer.
Moi je me promets de leur donner un bon spectacle car j’avais vu un excellent documentaire sur les combats en armure a l’épée, comment paré les coups et…
Le maire s’approche et s’assoie près de moi et me dit sur un ton de conspirateur.
-Merde. Le chum de Marie Lemieux a disparue. Ce crétin de Gorge la laisser filer avec Viviane et on le trouve put. Je veux pas l’avoir dans les pattes aujourd’hui.
-Mordiable ! Grognai-je.
-Hein !
-Tudieux de nom de nom !
-Eh… !
-Boutedieu !
-Quoi ?
-Le bougre est en cavale.
Y me regarde drôlement.
-Ta bue encore ?
-Je suis pas dans la grisaille de si tôt la matine.
-Hein !
-Alors, le drôle, y est pas au cachot !
-Non ! Eh… Tabarnak lâche la bière !
-Qu’est ce qu’on fait houlier ! On rappel la merdaille a la rescousse ?
-Jésus-Christ Raymond, parle en français.
Je soupir ben fort dans mon casque, pas de culture le coquart.
-Ok, tu le veux pas dans les pattes pourquoi déjà ?
-Tu le sé ben… Pis oublie pas… Tu te rappelle ce que je t’ai dit hein ?
Je soulève les épaules et ces pas facile en armure.
-Idiot, s’emporte t-il, tu dois la laisser gagner. Je veux que ce soit sa journée. On va fêter ça, boire, se faire un bon repas seul tous les deux et je vais bien finir par me la taper la Marie Lemieux et tu sais ou ! Oui monsieur dans mon baisodrome.
Surprit je tourne mon casque vers lui. Y se les pas faite l’idiot. La laisser gagner ? Mais de quoi y parle au juste et la baiser ou ?
-Quoi ? Fait le maire. Té bizarre toi aujourd’hui !
Ravis je dis avec ma grosse voix de caverne dans un français qu’il peut comprendre.
-Tien, le chaud lapin a pas encore tirer son coup avec la belle grande rousse.
Il rougit, il est fâcher le toupet et me pointe du doigt près a m’engueuler mais il se ravise et sourit.
-Y as que toi qui peux parler comme sa. Mais si tu tiens à ton contrat de déneigement recommence put.
-Ok !
-Shit, tu sais quoi. ?
-Non !
-Ma femme me laisse pour Ulrich.
-Oups !
-Y as quoi de plus que moi ?
-Ben, je dirais un bon 12 pouces, pis un peut partout.
Le toupet soupire et je veux le cuisiner pour savoir ou il veut emmener ma blonde pour la sauter mais…
Sa reine vient le chercher en me souriant.
-Bonne chance sir Raymond. Me dit-elle en me faisant un clin-d’oeil elle aussi.
Je grogne quelque chose.
Juste devant il y a une estrade avec deux grands fauteuils pour le roi et la reine sans doute et comme de faite ils contournent la foule et vont s’y asseoir.
Thor vient me voir et me chuchote dans le rectangle de vision.
-Son gars, Raymond, je l’est mis au cachot, la reine veut que vous et votre dame vous amusiez un peut. Profitez ans et elle dit aussi que Mm Lemieux est vraiment quelqu’un de bien et quelle espère que les choses vont s’arranger pour vous deux.
-Merci ! Mais ces avec elle que je vais combattre ?
-Oui, c’est votre adversaire sir Raymond et si j’étais vous, je la laisserais gagner.
Je vais me battre contre Marie, et ben.
-Ok ! Mais les gars du maire veulent me mettre au cachot.
-Vous inquiétez pas, je veille sur vous et mes compagnons aussi. Ordre de la reine.
-Merci mon brave. Saurais tu par hasard ou le maire a son petit baisodrome !
Sourire du géant.
-Non, mais je me renseigne.
Il file, je regarde distraitement les adversaires. Merde, elle se tape pas le maire. Mais alors qu’est ce qu’ils font tout le temps ensemble.
Songeur je me prépare au combat en me promettant de la laisser gagner mais pas trop facilement quand même pour pas que sa est l’air trop louche. Après je la quitte pas des yeux histoire de faire comprendre au toupet que Marie est chasse garder. Yes, et ce soir petit souper d’amoureux quitte à l’attacher à l’auberge.
Justement, elle arrive en armure sexy et s’assoit près de moi et me tend une main de fer.
-Dame Marie.
-Sir Raymond !
J’évite de trop la regarder en lui serrant la main.
-J’ai jamais fait sa, j’ai peur d’avoir l’air ridicule Raymond.
Sa visière est lever et ses magnifiques yeux brun-vert brille au soleil. Mon petit coeur s’emballe.
-Sa vas aller, inquiétez-vous pas et défouler vous, j’en est vue d’autre.
-Ok ! J’ai hâte, j’ai toujours rêver de faire un combat comme ça.
-Je le sais.
-Pardon ?
-Eh… Oui, je l’ai lut dans un article Mme Lemieux.
-Ah ! Cette armure je l’adore, je m’en achète une demain et une épée aussi.
Je souris en pensant à tout ce qui encombrait notre chambre.
Elle regarde un moment les gros balourd et rajoute.
-Fâcher vous pas Raymond mais j’aurais aimer mieux me battre contre mon chum.
-Ah, fis-je ravit, pourquoi ? On dit au village que sa vas mal vous deux, pourtant, y parais que c’est un sacré bon gars.
-Wais, pis y paraît qui baise la mairesse pendant que moi je travaille. Je lui couperais la tête joyeusement aujourd’hui.

Shit !

11h 30 – Elle m’aime, yes !

-La reine n’est pas comme ça. Hasardais-je malheureux.
-Ah non ?
-Pas du tout !
-En tout cas je vais lui poser la question droit dans les yeux a mon chum, je le vois tout de suite quand y m’ment.
Je déglutis difficilement dans ma gorge de métal. Le soleil me plombe dessus en plus et je suis en sueur. Ça doit être l’été des indiens. J’ai l’impression d’être une tranche de pain dans un toasteur.
-Y as des rumeurs a votre sujet aussi et du maire vous savez. On vous voit souvent ensemble.
-Pour mon émission rien de plus et l’enquête avance bien grâce à lui. C’est professionnel et rien d’autre.
-On dit pourtant que c’est un chaud lapin.
La elle rit.
-Lui, et ben… A le voir y as l’air de ça mais pas avec moi en tout cas. Y m’intéresse pas et vous pouvez le dire a tout le monde Raymond.
-Ok ! Mais j’ai oui dire qu’il se préparait aujourd’hui a vous entraîner quelque par pour… Enfin vous me comprenez.
-Ah oui. Je voudrais ben voir sa. Mais sa femme est gentille j’ai jaser avec. J’ai de la misère a croire quelle et Paul… Enfin.
-Mais J’ai lu quelque part que vous étiez un couple ouvert tous les deux.
-Vous lisez beaucoup vous.
-Et oui !
-Oui mais la, c’est… différent.
Ben voyons, me dis-je, pourquoi ? En faite moi aussi je suis jaloux tout a coup. Qu’est ce qui nous arrive ? C’est comme ça depuis qu’on est ici dans ce damné village.
-Vous l’aimer beaucoup ?
La elle me regarde les yeux brillant.
-Vous êtes curieux vous Raymond.
-C’est ce que ma blonde me dit tout le temps.
Elle regarde le ciel et dit.
-Wais je l’aime ben gros mon chum, et vous votre blonde ?
-Oh oui, plus que tout. En tout cas vous faite un beau couple, dis-je heureux, et monsieur Lemieux est ben bon dans votre émission, même qu’on le voie pas assez a mon avis. C’est aussi ce que dit tout le monde au village.
-Merci ! Fait-elle en me regardant drôlement. Cé drôle votre voix…
Je tourne la tête et tousse dans mon casque main sur la bouche qui devrait être-la.
-C’est à votre tours compagnon. Fait le gros George toujours avec sa lance en s’approchant.
On se lève et on s’avance au centre du cercle l’un en face de l’autre pendant qu’un gars annonce le combat et que des genres de trompettes sonnent.
Dame Marie va combattre contre Sir Raymond. Wow.
-Raymond, me dit gorge tout prêt, on dirait que ta grandit.
-Gorge ?
-Oui.
-Dégage ou je déneige pas t’on entré de l’hiver.
Il file la queue entre les jambes.
Je regarde la foule et ma blonde dans son armure étincelante épée a la main et bouclier rectangulaire prête à se battre. Wow, elle est magnifique et elle m’aime. Ça c’est une journée magique. Le ciel est d’un bleu azur superbe, des corbeaux vole la haut et je file le parfait bonheur en pensant au petit cadeau qui remplissent la chambre a l’auberge. Marie allait sauter de joie en découvrant tout ça et sur moi, pas de doute. Tout va pour le mieux me dis-je, mais… Soudain…
Une grosse mouche a chevreuil entre dans mon casque.

11h 45 – Le combat.

Ces petites bêtes la porte bien leur nom car se sont des mouches énormes et qui morde. Popa panique et se démène, sa vrombit dans le casque comme un moteur de Ferrari, elle marche sur mon visage, essais de me rentrer dans une oreille, puis dans une narine.
Je laisse tomber bouclier et épée et me retourne dos a Marie, j’enlève mon casque et la bestiole s’envole… Ouf. Je le remets rapidement en entendant la foule qui s’amuse et m’applaudit. Je ramasse mon armement et voie le maire debout les yeux ronds. Oups… La reine rit en me faisant signe de me retourner, et lorsque je le fais, Marie est la, a deux pouces de moi des éclairs dans les yeux.
-Sir Raymond hein… Pis tu te trouve drôle je paris Paul Tremblay.
-Eh… En fait chérie je…
Elle approche son casque a toucher le mien et ses yeux me fixent à demie fermer. Je souris bêtement même si elle ne peut le voir et la j’entends sa superbe voix érailler et très glacial qui me demande.
-Tu la tu baiser ?
Mon coeur cogne soudainement très fort en lui faisant les yeux doux mais…
-Ah mon tabarnak, je le savais.
Elle se recule rapidement en baissant sa visière lève son épée et frappe. Par réflexe je lève mon bouclier. Le coup est si puissant que le bras m’en tremble et un autre coup et un autre et je tombe sur le cul en reculant…
-Oooooohhhhh… Fait la foule.
Elle lève son épée pour me frapper encore mais deux gars l’att**** et la soulève pour la faire reculer tandis quelle se débat furieusement agitant ses jambes dans le vide.
-Hhhhhhhhiiiiiii… Fait la foule.
Deux gars m’aide a me relever et l’un d’eux me dit.
-A n’as dedans la Madame Lemieux.
-Et oui !
Ma blonde veut me tueur ! Petit jésus !

Il l’on à peine lâcher quelle fonce à nouveau sur moi. J’essais, un peut paniquer, de me rappeler ce bon documentaire mais… Boum… Un coup de bouclier qui me fait quitter pieds de terre et tomber sur le dos. Elle lève son épée quelle tien a deux mains et l’abat pour me pourfendre en deux, pas de doute la dessus.
-Hiii… Moi
-Hi, hi ! Le maire sans doute.
-Aaaaaaahhhhhh… La foule.
Paniquer et me rappelant soudainement un bon vieux film avec Tony Curtis, je roule sur moi-même plusieurs fois et réussit à me relever pendant quelle extirpe son épée de la terre.
Seigneur.
-Yéééééhhhhhhh…
Elle revient à la charge mais cette fois je pare les coups et réplique lame contre lame, cela produit de jolies étincelles et ces essoufflant et d’un solide coup de bouclier je la projette à mon tour sur le cul jambe en l’air.
Yes !
-Ooooooohhhhhh…
Sa applaudit. Elle se relève et sa recommence, elle est vraiment furieuse mais fatigue plus vite que moi. On tombe, on se relève, on se tourne autours, on se frappe, la foule est déchaîner. Du plat de la lame je lui tape le cul en l’évitant comme un toréador. Furieuse la madame mais a bout de souffle elle abandonne finalement après 20 minutes de combat acharné. J’allais le faire aussi en sueur et a bout de souffle, mais on me proclame grand gagnant. Des trompettes sonne. Des gars l’aide a se relever, la désarme et lui enlève son casque, j’enlève le mien et salut la foule épée lever, on m’applaudit et on crient.
Shit, en plus j’ai oublier de la laisser gagner.
Puis le silence se fait et le maire, visiblement pas content se lève et proclame.
-Nous avons eu droit a un combat épique mes amis et Sir Eh… La reine lui souffle mon nom a cet idiot… Eh oui, Sir Paul est le grand gagnant donc Dame Marie est votre prisonnière monsieur.
-Oh ! Fis-je en regardant Marie toujours retenue par les deux solides gaillards. Elle a encore ses petits éclairs dans les yeux mais elle aussi est à bout de souffle. Tenez la solidement hum.
Les gars me font signe que tout vas bien.
Marie me fait une grimace.
Je m’approche, laisse tomber le bouclier et pose un genou par terre et plante mon épée dans le sol et en la regardant droit dans les yeux je dis en prenant ma plus grosse voix pour qu’on m’entende de loin.
-Moi, Sir Paul de Tremblay, demande pardon a la charmante Dame Marie pour m’être endormie avant de pouvoir l’honorer convenablement en ce mardis de l’an de grâce 2011 et pour d’autre petite chose disons… Plus personnelle…
Un long silence.
Marie a une ébauche de sourire mais ses yeux fulmine toujours.
-Alors minou, est-ce que papa est pardonner ou c’est le cahot pour la dame ?
Toujours le silence et quelques rires.
Plus d’éclaire dans les yeux de ma douce mais un petit sourire en coin.
-Et ? Fis-je.
Gros sourire cette fois.
Elle penche la tête et me fixe avant de dire.
-Wais !
-Wais quoi ?
-Wais, je te pardonne idiot.
Encore une foule déchaîner qui nous acclame et nous applaudit et un maire encore plus malheureux.
Quant ça se calme elle demande.
-Y peuvent tu me lâcher la ?
-Chut pas sur.
Une autre grimace, les gars me regarde. Je leur fais signe que oui, il la lâche et elle se jette sur moi, me renverse d’un solide coup de pieds avant que j’aie le temps de dire ouf. Je tombe lourdement sur le dos et elle s’agenouille sur mon poitraille.
-Hhhhhiiiiiiiii…… La foule encore.
Les gars sont tout prêt au cas ou.
-Je devrais t’étrangler, Sir Paul.
-Ben non !
-Ben oui !
-Ce serait dommage minou.
-Ah oui ! Pourquoi ?
-Ben… Je nous est préparer une sacré soirée seul tous les deux, sans parler des petits cadeaux.
-Tu pense que tu vas t’en tirer comme ça avec des petits cadeaux. Ta même pas été assez galant pour me laisser gagner en plus.
-Ooooohhhhhhhh…
Maudite foule.
-Eh… !
La elle rit et m’embrasse, ses longs cheveux cuivrer me chatouillent les joues.
-Aaaaaahhhhh…

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