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Un couple tabou

Un couple tabou



Dans la cuisine, au petit matin, je me suis approché d’elle à pas de loup. Maman était déjà en train de préparer le repas du midi, et confectionnait une mayonnaise qu’elle réussissait toujours à la perfection, même quand elle avait ses règles, et ce jour-là, elle les avait, ce que je le sentais à sa façon de toucher son abdomen du bout des doigts, la veille au soir. Cela m’attirait encore plus.

Elle me tournait le dos et ne m’a pas entendu, mais elle a senti mon souffle chaud dans son cou. Je ne disais rien et je me gardais bien de la toucher en la regardant tourner le pilon dans le bol et ajouter progressivement l’huile de tournesol. Elle avait quarante-trois ans et avait atteint la grâce parfaite de la maturité féminine. Secrètement, je la désirais depuis longtemps. Son corps tendu de charmes me rendait fou. Je savais qu’elle avait de nombreux amants et que ceux-ci l’emmenaient pour de terribles voyages au pays des luxures adultères que seul mon père ne remarquait pas, ou feignait d’ignorer. Je la voulais pour moi aussi, briser le tabou, goûter au fruit défendu par toutes les morales du monde. Mais, jusqu’à ce jour béni, je n’avais pas osé lui avouer que je ne me masturbais qu’en pensant à elle, quotidiennement, et elle ne m’avait pas encore dit qu’elle se caressait souvent en pensant à moi, et que, même saillie par plusieurs hommes en même temps – elle était amateure de parties fines dans les nuits chaudes du centre-ville – elle pensait encore à l’innocence de mon corps juvénile et puceau qu’elle rêvait d’initier.

Après avoir fini sa préparation culinaire, elle a léché son instrument d’une manière explicite : d’abord du bout des lèvres, puis en l’insérant dans sa bouche jusqu’au fond de la gorge. Aucune nausée. À travers le pantalon de mon pyjama, la verge tendue a effleuré ses reins. Ses reins, car je mesurais bien quarante centimètres de plus qu’elle, petit bout de femme au visage de gaité caché derrière de grandes lunettes rondes. Elle a sursauté en percevant le contact de mon membre sous les vêtements, mais elle n’a rien dit. Alors, j’ai insisté. Elle soupirait, immobile, frémissante, sidérée sans doute par l’érotisme de ce moment tabou, comme je l’étais aussi.

Elle a relevé sa robe jusque par-dessus ses épaules avant de la laisser choir sur le carrelage, et m’a permis d’abaisser sa culotte noire sur les rails de ses jambes, jusqu’aux chevilles, puis elle a levé un pied après l’autre afin que je la débarrasse de son cache-sexe. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Certaines femmes – des hommes aussi, sans doute – portent leur nudité d’une manière empruntée, comme un vêtement trop grand ou trop compliqué, mais la sienne était à la fois naturelle, comme si elle n’avait jamais été vêtue de sa vie, et provocante à m’en couper le souffle. Des odeurs femelles m’ont assailli, radieuses. Des soleils pour mes narines.

Hypnotisé par cette vénusté soudain dévoilée, je me suis mis à genoux pour humer la croupe arrondie qui resplendissait sous mes yeux éblouis. J’ai pris mon temps pour en découvrir tous les merveilleux détails. Par la fenêtre ouverte, le jour se levait sur un ciel d’azur. L’été de mes dix-huit ans commençait par un moment de sexe insane avec celle qui m’a donné naissance. Elle n’a pas eu besoin de parler pour me dire qu’elle avait une envie folle que je lui suce le derrière et qu’elle s’impatientait : il lui a suffi d’écarter légèrement les jambes tendues et, appuyée sur le plan de travail, de se cambrer pour faire apparaître, entre les globes ronds, son petit orifice à la rosette délicate, comme une bouche impudique qui susurrait avec insistance des mots d’amour obscènes.

Jamais encore je n’avais porté mes lèvres à l’anus d’une femme. Progressivement, le petit trou s’élargissait sous l’insistance de ma langue. Il s’y émanait des parfums qui me rendaient fou. Pendant ce temps, elle utilisait son pilon lubrifié de mayonnaise pour se caresser le minou. Je ne voyais pas très bien ce qu’elle faisait, mais il me semblait qu’elle se l’enfonçait dans le vagin jusqu’au point de le faire disparaître complètement, puis elle poussait sur ses muscles pelviens pour qu’il ressorte, et ainsi de suite.

Ses jambes ont commencé à trembler. D’abord, elle soupirait, puis elle gémissait, de plus en plus bruyamment. J’ai eu peur qu’elle éveille ma sœur ou mon père. Mais, dans la cuisine, seul le soleil levant assistait à nos ébats tabous. Ma langue roulée en cylindre se glissait à l’intérieur du conduit rectal sur toute la longueur disponible. Je sentais bien qu’elle voulait plus.

Toute ma chair mâle lui était offerte. J’ai abaissé mon pyjama, et fourré mon pieu tout moite de rosée dans le trou maternel. Il est entré sans difficulté, avalé d’un seul coup de reins. Maman s’est penchée en avant et a écarté plus largement ses jambes afin de me laisser la foutre jusqu’à la limite anatomique de mes possibilités. La chair humide s’ouvrait sur mon passage comme la mer Rouge pour permettre l’avancée du peuple de Moïse. Je lui ai attrapé les deux seins en même temps, les mamelles rondes qui m’ont nourries, et je les ai pétries comme des pains de joies, sans ménagement, en sentant sous mes doigts les tétons se durcir.

D’abord, elle a pris un bol qui trainait sur le plan de travail, un bol vide et propre, et elle a retiré brusquement le pilon pour approcher le récipient de sa vulve. Tout d’un coup, elle a éjaculé avec abondance son nectar incolore ; je n’en revenais pas qu’une femme puisse en émettre autant : jusqu’à remplir le calice de sa sécrétion dans un flot jaillissant comme une source claire. Elle a basculé sa tête en arrière, et elle a joui dans un râle de mourante. Je n’en revenais pas d’avoir su mener Maman jusqu’à l’extase dès la première fois – car il y en a eu beaucoup d’autres par la suite.
Maman s’est retournée, souriante. Elle m’a tendu sa bolée éjaculatoire. La mouille était mêlée de sang menstruel. J’ai tout bu. C’était amer, salé, odorant, délicieux. Le nectar des dieux.

J’en voulais encore. J’étais assoiffé de ces humeurs féminines. Alors, je me suis agenouillé et je lui ai léché la chatte, portant mes lèvres jusqu’au vagin pour en aspirer les sécrétions, avant de m’intéresser au clitoris qui dépassait largement de son fourreau. Il y avait énormément de poils longs et bruns qui entraient dans ma bouche. Pour être plus confortable, elle s’est assise sur le rebord du plan de travail et caressait mes cheveux pendant que je m’occupais de sa fleur sexuelle avec l’application d’un fils aimant qui voulait se montrer à la hauteur des espérances maternelles. Ses soupirs ponctuaient le bruissement de sa voix : on aurait dit un chant très doux, une berceuse câline à la gloire de notre amour interdit. Puis elle a joui de nouveau, d’une manière différente de l’autre orgasme : plus lent, plus profond, plus intériorisé, avec une complainte plus grave. Elle serrait ses cuisses à m’en briser la mâchoire, puis elle les écartait tout en gardant ma tête captive de ses mains caressantes : elle en voulait encore. Elle a en eu encore. Tant et plus.
Quand elle a relevé ses fesses, je me suis aperçu qu’elle avait enfoncé son pilon dans son cul, jusqu’à l’avaler complètement, avant de l’expulser. L’outil était tout gluant se sécrétions. Cela ne l’a pas empêchée de le sucer avant de l’insérer dans mon derrière, après m’avoir, d’un geste tendre, invité à m’assoir comme elle sur le plan de travail, les cuisses relevées, afin de rendre accessibles non seulement mes organes génitaux, mais aussi la partie arrière de mon anatomie. Elle l’a glissé d’un doigt précis, comme les suppositoires qu’elle m’administrait lorsque j’étais petit. Nullement habitué, contrairement à ma mère, à solliciter cette zone-là, j’avais la rosette écartelée. Cela n’a pas retenu Maman, malgré quelques saignements, d’enfoncer l’engin jusqu’au bout. Celui-ci appuyait fortement sur ma prostate et renforçait encore mon érection, tout en me causant de troubles sensations internes, jusque-là inconnues, qui montaient par vagues et me faisaient frissonner d’une fièvre étrange. J’ai failli exploser ainsi, sans aucun contact sur la verge.

Maman m’a invité à me masturber pendant qu’elle chatouillait mes testicules. Plusieurs fois, j’ai senti la venue du plaisir suprême, mais elle a attrapé mon poignet pour me ralentir, afin de faire durer ce moment plus longtemps.
Lorsque l’orgasme est devenu inévitable, elle a enfourné mon phallus dans sa bouche, jusqu’au fond de sa gorge où je me suis répandu à grands flots. Je sentais mes testicules se contracter à n’en plus finir, et mes jambes s’agitaient involontairement. Il me semblait que j’allais mourir sous l’effet de la puissance de la volupté. Maman a bu toute ma semence, sans en laisser se perdre une seule goutte, pendant que je transpirais comme un damné. Elle m’a dit plus tard qu’elle préférait mon jus à celui de Papa et que tant qu’elle vivrait, elle serait disponible pour m’offrir des fellations à volonté.

Ensuite, nous nous sommes rhabillés et avons pris un café ensemble, avec des tartines beurrées, comme s’il ne s’était rien passé. Je lui ai parlé de mes projets pour l’été de balades à la montagne avec des copains de lycée.

Image issue du site xhamster.com.

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