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Sous les étoiles

Sous les étoiles



Automne 1971

On venait d’emménager en campagne et je m’étais fait un nouvel ami ce matin, Guy. Un gars de mon âgé mais plus costaud avec de grosses lunettes noires sur le nez, qui était venu à ma rencontre derrière une grange abandonner. Il avait aussitôt sorti une bite deux fois plus longue et plus grosses que la mienne pour ce masturber devant moi et je l’avais imité timidement, mais tout de même très exciter. Ensuite on se l’était fait mutuellement dans un vieux cimetière de bagnoles et cela m’avait fait flipper complètement. J’avais tellement aimer branler son membre démesuré, en sentir la puissance, la dureté et la douceur sous mes doigts qui en faisaient à peine le tour et sentir sa main sur ma bite que je ne pensais plus qu’a recommencé.

Après le souper, il était venu me chercher pour me montrer sa voiture. Comme moi il n’avait pas l’âge de conduire alors je l’avais suivi intriguer, mains dans les poches, en parlant de tout et de rien en ne songeant qu’a lui prendre la bite a nouveau et a me la faire prendre. Il n’était que 6 h du soir, pourtant, il faisait déjà nuit car nous étions a une semaine de l’Halloween et le ciel sans nuage était remplie de millier d’étoiles.

Je cru qu’ont allaient prendre le long de la route pour se diriger vers sa maison mais il grimpa plutôt la bute derrière chez nous pour reprendre le sentier que l’on avait emprunté ce matin qui serpentait en forêt jusqu’au cimetière de voitures. L’idée de me rendre là-bas dans le noir sans même une lampe de poche me mis mal a l’aise. Imaginatif de nature je croyais apercevoir des formes étranges derrière chaque arbre ou arbuste que l’on croisait. J’avais en faite une peur bleue de la forêt la nuit. Grand fan de l’émission « Au delà du réel, » j’avançais fesses serrer, le dos couvert de sueur froide en imaginant touts sortes de bestioles plus effrayantes les unes que les autres me sauter sur le dos. Seules ma fierté et la forte envie de toucher sa bite à nouveau m’empêchaient de détaler comme un lapin jusqu’à la maison. Soudain, il bifurqua à gauche au lieu de continuer tout droit vers le cimetière de bagnoles et à peine quelques minutes plus tard on sortit de la forêt pour ce retrouver dans un champ surplombant les rares maisons du coin, au loin en contrebas de la bute, très éloignées les unes des autres. Que des formes sombres avec des fenêtres illuminer dans la nuit en partis cacher par de grands arbres. À la lueur des étoiles et de la lune qui se levait lentement, j’aperçus une carcasse de voiture devant nous, sans roue, l’une de ses grosses bagnoles américaines, perdu la, au milieu de nulle part, comme si on l’avait largué d’un hélicoptère et je compris. C’était donc ça sa fameuse voiture.

— Passe de l’autre côté, me dit-il en grimpant à l’intérieur pour s’installer derrière le volant.

Sans dire un mot, sentant déjà mon coeur accélérer en imaginant ce que l’on allait sans doute faire, j’ouvris la portière cotée passager et, comme la voiture n’avait plus de roue, je dus me pencher pour m’installé sur le siège et forcer très fort pour refermer cette satanée porte tellement elle était lourde. Guy étira le bras et alluma le plafonnier. Surprit qu’il fonctionne toujours je plisser les yeux un instant le temps de m’habituer a la lumière jaunâtre. Les sièges et le tableau de bord étaient d’un rouge vif criard et encore en bonne condition, même les fenêtres.

— J’ai volé une des vieilles batteries de mon père cet été, m’expliqua-t-il tout en détachant sa ceinture, baissant sa fermeture éclair et soulevant les fesses pour faire glisser son pantalon et son slip d’un seul mouvement jusqu’aux genoux, sous le volant. Il se rassit en empoignant sa queue encore molle et ses couilles en me regardant les yeux vicieux.

Tout comme ce matin mon coeur bondit. Je déglutis en me sentant bandé juste à voir son sexe que sa main enserrait et étirait lentement pour qu’il prenne du volume tandis qu’il jouait avec ses couilles comme s’il brassait des dés. Son long prépuce se rabattait dévoilant son gland rose et luisant, ce qui me mit l’eau à la bouche. Mais je voyais en plus, cette fois, une partie de ses fesses blanches et de ses cuisses lisses et musclées. Voir cette peau nue me mit dans tout mes états, comme au cours de gymnastique quand je reluquais les cuisses des filles. Voir celles des autres gars me laissait totalement indifférent d’habitude, mais pas les siennes ce soir-là. Je dus ravaler encore une fois ma salive tandis qu’il m’encourageait à l’imiter.

Son membre imposant prit rapidement du volume et cela me fascinait. Mon coeur accélérait et pulsait dans ma bite qui s’allongeait sous mon jean en me chatouillant. L’idée de me retrouver nue fesses sur la banquette glaciale ne m’enchantait pas plus qu’il ne le fallait mais je le fis sans hésiter. J’étais déjà très excité juste a l’idée de lui montrer a nouveau ma bite mais aussi mon cul en plus cette fois. Tandis qu’il me regardait me déculotter et descendre pantalon et slip aux genoux a mon tour, il se branlait lentement les yeux river a mon entrejambe et frappait parfois son membre démesuré contre le volant comme si c’était un gourdin. Je grimaçai dès que mes fesses nues touchèrent le siège pour se couvrirent aussitôt d’une grosse chair de poule tandis que mon petit anus pulsait et que ma bite, bandé dure, bien droite et sans prépuce, sursautait toute seule. Tout mon corps fut parcouru de délicieux frissons causer autant par le froid que l’état d’excitation dans laquelle je me trouvais, mais surtout par la manière qu’il avait de me regarder ; les yeux luisants, à demi fermer, comme s’il voulait me dévorer tout crue et cela me plaisait terriblement.

— On va att****r la grippe, dis-je en commençant à me masturber lentement moi aussi tout en pressant mes couilles à travers mon scrotum déjà durci.

Il se contenta de sourire tandis que son membre énorme m’attirait comme un aimant, j’en salivais. Sa bite était parfaitement droite comme la mienne mais si grosse que je l’imaginais difficilement un jour pouvoir la mettre dans une fille. Tous les sexes de femme que j’avais vus sur les photos de Playboy ce matin dans le camion me semblaient bien trop petits pour accueillir un pénis comme le sien. Je chasser ses pensées idiotes et ne pensais plus qu’a le toucher, lui prendre, lui caresser, ou me faire toucher, ça m’obsédait. J’en avais tellement envie que ça me faisait presque mal dans le bas ventre, comme une crampe et que ça m’embrouillait l’esprit. Je n’avais jamais ressenti de pulsion aussi forte auparavant, c’était très troublant. Mais timide de nature j’attendis qu’il prenne les devants et il le fit, mais en me surprenant encore une fois en disant :

— Je te suce, tu me suces ?

Sous le coup de la surprise, ma main stoppa un instant sur mon sexe qui pulsait sous mes doigts. J’espérais seulement que l’on se branle l’un l’autre comme ce matin. Je savais ce que voulait dire sucer une bitte. Plusieurs de mes amis avaient parlé de l’envie de se faire faire une pipe, mais par une fille, pas entre gars. En plus, il l’avait bien trop grosse, même si son gland luisant était plutôt petit. Et s’il me venait dans la bouche ? J’en frémis juste de l’imaginer en le revoyant éjaculer ce matin. Sans attendre ma réponse, il lâcha sa bite palpitante pour enlever ses grosses lunettes noires qu’il posa sur le tableau de bord et se pencha vers moi en disant :

— Tu ne me viens pas dans la bouche, OK ?

Je fis oui, sans vraiment réfléchir, tandis que sa main droite remplaçait la mienne sur ma hampe et que la gauche me prenait les testicules me faisant frissonner des pieds à la tête tandis que j’écartais les cuisses le plus que je pouvais. Je me sentis tout électrique à l’idée de sentir ma bite entrée dans une bouche et mes yeux furent attirés par son cul tout blanc bien visible maintenant qu’il était penché sur moi. Je déglutis à la vue de ses fesses lisses que j’avais envie de palper mais je n’osai pas. Soudain, je sursauter et gémit faiblement en sentant ses lèvres entrouvertes toucher mon gland comme pour l’ambrassé, puis elles s’ouvrirent pour gober ma bite qui s’enfonça peut a peut dans sa bouche chaude et humide en glissant sur sa langue. C’était si agréable, si bandant que je me raidis aussitôt, les yeux tout petits en grimaçant. Il commença alors a me pomper lentement lèvres bien serrées. Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir ni ma bite devenir aussi dure, encore plus que ce matin. C’était si intense, si fabuleux, bien plus que de se masturber mutuellement, que je compris que je ne pourrais jamais dire non a quelqu’un qui voudrait me la sucer a nouveau, surtout lui. Je m’imaginais même déjà le lui faire en salivant tout en me demandant encore une fois si sa grosse bite me rentrerais dans la bouche. Mains en l’air, en pleine extase, presque le souffle couper, j’hésitai un moment a le toucher, embarrasser, mais finalement je poser une main sur son dos, l’autre sur sa tête qui montait et descendait. Je me tortillais, orteils raidit dans mes runnings, en retenant déjà, du mieux que je le pouvais, une forte envie d’éjaculer tellement c’était bon. Heureusement, sa main me la serrait si fort contre mes couilles que ça m’empêchait de jouir. Les yeux tout petits, je sentais si bien mon gland aller et venir sur sa langue, contre son palais, heurtant parfois ses dents que je me mis a gémir plus fort en lui caressant le dos et laissant mes doigts se crisper dans ses cheveux drus, très doux et couper a la militaire. Maintenant je comprenais pourquoi tout le monde parlait et rêvait de se faire sucer la bite. C’était fabuleux.

J’aurais bien aimé lui prendre la queue mais pencher comme il était il n’y avait pas la place. Je ravalais ma salive en savourant chaque seconde de cette pipe, ma première a vie. C’était si bon que j’en tremblais des pieds à la tête, les couilles déjà rentrer par en dedans.

À peine quelques minutes plus tard j’allais lui dire d’arrêter par peur de décharger tout de même quand il la sortit de sa bouche, comme s’il l’avait deviné, pour me la lécher tout du long par en dessous jusqu’aux couilles pour remonter lentement et m’agacer le gland un moment léchant le liquide blanc qui en gouttait. Sentir le bout de sa langue s’agiter sur la fente au sommet de mon gland me fit frémir, gémir de plus belle et tanguer les genoux en me trémoussant sur la banquette. Puis, il me ravala en me masturbant en même temps avec son pouce et son index rendu bien glissant par sa salive. Bouche ouverte, je planais, exciter au possible en serrant les fesses et cherchant mon air. Je me demandais si c’est ce qu’on ressentait en baisant une fille, si oui, c’était fantastique. Et ce faire sucer par une fille, comme la belle Cécile dans ma classe de math avec ses lèvres épaisses, son nez en trompette, ses taches de rousseur et ses grosses boules… se devaient être bandant a mort. Je comprenais maintenant pourquoi tout mes amis à l’école en parlaient sans même l’avoir vécu, probablement. Tout ce que ce gars me faisait découvrir depuis ce matin était si incroyable que je croyais rêver. Cette journée d’automne allait rester graver dans ma mémoire pour la vie.

Au bout d’un moment je dus lui dire de faire attention en me sentant tout près de venir et au lieu de me la lâcher, il me la lécha une nouvelle fois et plus longtemps comme si mon membre était un délicieux cornet de crème glacer. Cette fois je gémis plus intensément tandis que mes genoux se frappaient et que mon pied droit pointait. Je me tortillais comme une fille qui retient une forte envie de pisser, comme ma soeur parfois en auto, tout en me lamentant presque les larmes aux yeux. Il alterna entre sucer et lécher allant même jusqu’à me mordiller le gland m’arrachant des grimaces et de gros soupirs. Malgré l’état d’excitation extrême dans lequel je me trouvais je compris qu’il ne faisait pas cela pour la première fois et surtout, qu’il était en train de m’apprendre a le faire… a lui faire.

Je ressentis une forte envie de lui peser sur la tête pour qu’il m’avale au complet mais je n’osai pas, toute fois, j’aurais bien voulu que ça dure éternellement. Mais il stoppa malheureusement pour se redresser, laissant mon gland rougi et luisant de salive sortir de sa bouche. Il me regarda les yeux vicieux sans cesser de me masturber en s’essuyant les lèvres de la main gauche avant de reprendre mes couilles. J’entrevoyais la sienne bander dure qui palpitait sous son torse et ça me fit salivé de nouveau. Il commença à me masturber avec plus de vigueur, à poing fermer, comme un enragé et avec visiblement beaucoup de plaisir. Le léger « flic, flac » que cela produisait se répercutait dans la voiture. Son poing, bien lubrifier par sa salive, heurtait mon gland et mes couilles avec acharnement et cela m’arrachait toujours de sacrées grimaces. Je le regardais faire totalement crisper, bouche ouverte en gémissant de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus, mes genoux se frappaient ensemble et j’en tremblais. Je ne pensais qu’a jouir et au plus vite par peur qu’il ne lâche ma bite. C’était tellement meilleur avec sa main que la mienne, surtout qu’elle était si bien lubrifiée par sa salive. Il alla même jusqu’a me cracher sur le gland pour en rajouter, j’en voyais des étoiles en me lamentant de plus belle.

— Tu vas venir ? Demanda-t-il sans ralentir la cadence concentrer sur ce qu’il me faisait.
— Ouiiii ! Grognai-je faiblement en me mordillant les lèvres, une main toujours sur sa nuque, l’autre enserrant la poignée de la portière si fort que j’en avais les doigts touts engourdis. Les yeux pleins d’eau, je sentis finalement un orgasme puissant gonfler dans mon bas-ventre et mon sperme monter dans ma bite… enfin. Je serrai les fesses en arquant le dos, totalement crisper et vit des gouttes de sperme couler de mon gland. Sans doute décider à en finir, Guy serra plus fort en pressant toujours mon scrotum devenu tout petit. Mes couilles semblaient s’être envolées.

— Hummmm… Fis-je, lèvres pincer, les yeux quasi révulser, en ressentant un plaisir intense m’envahir. Je cru que mon coeur allait me sortir de la poitrine et j’éjaculer soudainement en serrant les dents.

Le premier jet gicla très haut pour retomber sur ma bite, mes cuisses et sa main. Il recula la tête d’instinct sans cesser de me branler. Je jouis en gémissant bouche ouverte tellement le plaisir que je ressentais était puissant. On fixait tous les deux les giclées de sperme qui jaillissait de mon gland devenu ultra sensible.

Je décharger beaucoup plus qu’a l’habitude, encore une fois, transit, le souffle couper en sentant sa main, qui s’agitait toujours mais moins vite sur ma hampe, devenue plus glissante à cause de mon sperme. Une vraie libération. Ma bite cracha son jus comme un petit puits de pétrole jusqu’au paroxysme de l’orgasme puis ça diminua peut a peut ne faisant plus que couler sur ses doigts et entre mes cuisses sur mes couilles réapparus et jusque sous mes fesses en me chatouillant me laissant tremblant, étourdit, en aspirant l’air froid a plein poumon. La tête me tournait tandis que je reprenais mes sens peut a peut.

Il ralentit la cadence pour me la presser, me la secouer en souriant, m’arrachant une dernière grimace de plaisir et il me la lâcha en se redressant pour sortir de sous son siège une vieille guenille. Je me la secouer a mon tour en me sentant libérer comme d’un trop-plein d’énergie. Il s’essuya les mains et me donna le torchon pour que je m’essuie la bite, les couilles et les cuisses. Il me regardait faire visiblement très exciter en reprenant son membre plus dur que jamais a le voir palpiter sous ses doigts. Je grimacer de plus belle tellement mon gland rougit était sensible en me l’essuyant, puis je me soulever un peut, heurtant le plafond avec ma tête pour nettoyer le siège, le dessous de mes cuisses maigre et mes fesses et posai la guenille sur le tableau de bord en reprenant mon souffle laissant ma bite rester dur, tanguer et sursauter chaque fois que mon coeur cognait dans ma poitrine. Les vitres de la voiture étaient touts embuer maintenant à cause de notre chaleur corporelle, on ne voyait plus les étoiles, mais toujours un peut la lune qui continuait a s’élever lentement. Mais je la voyais embrouiller, ce qui me fit réaliser que, sur le coup du plaisir intense que j’avais ressenti, j’avais pleuré.

Du dos de la main j’essuyer mes larmes, ça le fit sourire et je lui fis une grimace, comme ma soeur me faisait tout le temps quand je me moquais d’elle.

— Tu pleures souvent en déchargeant ? Me demanda-t-il amuser en se branlant lentement.
— Non, répondis-je embarrasser en me sentant rougir, c’est la première fois.
— T’as aimé ça on dirait ?
— Oh oui ! Admis-je avec conviction pour être certain qu’il me le ferait à nouveau.
— Tu me le fais ?

Mon coeur bondit en regardant le membre énorme qu’il tendait vers moi en me disant que je n’y arriverais jamais, mais je me pencher tout de même, la cervelle en ébullition, un peut nerveux en disant.

— Tu ne viendras pas ?
— Non, t’inquiète pas.

Ma main se referma sur sa grosse bite si douce et si dure qu’il lâcha. J’en eus des fourmis dans le bas ventre juste à la sentir sous mes doigts qui en faisait à peine le tour tout en tirant vers le bas pour rabattre son long prépuce. Tous mes sens me semblaient décupler tout à coup en réalisant pleinement que j’allais prendre le pénis d’un autre dans ma bouche et ça m’excitait au plus haut point. Mais tout se passait si vite depuis ce matin que j’avais à peine le temps de digérer toutes ses nouvelles expériences.

En approchant son gland luisant de mes lèvres entrouvertes, je me demandais, le coeur battant de plus en plus vite, quel goût aurait son membre. Dès que mes lèvres le touchèrent, mon pénis qui avait un peu ramolli sursauta et un petit courant électrique me traversa les couilles. J’avalai le bout de ça bite énorme le plus que je pouvais et je fus surpris quelle n’ai aucun goût particulier. Je le sentis se raidir dès je me mis à la sucer du mieux que je pouvais en salivant abondamment tout en pressant ses couilles lourdes et si douces contre le siège. J’avais un put l’impression d’essayer de gober tout rond un gros salami. Il me dit aussitôt de faire attention à mes dents. J’écartai les mâchoires un peut plus, lèvres arrondit et étirer au maximum sur sa hampe veiner que je voyais en gros plan et me mit a l’ouvrage en ravalant ma salive. C’était si étrange, si déroutant de le sucer, de sentir son gland dans ma bouche glisser sur ma langue contre mon palais et en même temps si excitant que ma bite reprit de la vigueur surtout quand il posa une main sur ma tête et l’autre carrément sur mon cul pour me le caresser. Mon corps fut parcouru de délicieux frissons.

C’était si agréable de sentir sa main me presser les fesses, surtout quand le bout de ses doigts effleurait mon anus si sensible ce qui fit sursauter ma bite, que je regretter aussitôt de ne pas lui avoir fait la même chose. Toujours une main sur ses couilles molles si douces que je pressais délicatement, l’autre sur son membre près de ma bouche débordante de salive, je donnais de la tête du mieux que je pouvais bien décider a lui faire plaisir tout comme il me l’avait fait. Mais j’avais une peur bleue qu’il jouisse soudainement. J’en eu un haut-le-coeur juste de l’imaginer, toute foi, ça ne m’empêcha pas de continuer.

Le temps me sembla s’arrêter tandis que je le suçais déjà avec un peu plus d’assurance en ressentant un mélange de peur, d’interdit et de plaisir intense à sentir sa bite dans ma bouche. Je savais bien maintenant ce qu’il devait ressentir et je m’efforçais de lui faire ça du mieux que je pouvais et il semblait apprécier à entendre ses soupirs. Il gémissait et caressait mes cheveux longs et fins les repoussant derrière mes oreilles délicatement. Voir sa hampe de si près, dure et veinée et ma main qui l’enserrait m’excitaient terriblement. Moi je suçais une bite, je n’en revenais pas, surtout que ça me plaisait et pas a peut près. Aspirant l’air par le nez, les yeux à demi fermer, je devais ravaler ma salive abondante régulièrement mais malgré tout, il en coulait de mes lèvres jusque sous mes doigts et mon menton et je m’en foutais. Je sentis son scrotum durcir sous mes doigts et ça aussi ça me plaisait tout en sachant ce que ça signifiait, mais je lui faisais confiance pour m’avertir au bon moment.

Ma bite pulsait sous moi, refusant de ramollir tandis que je réalisais pleinement encore une fois ce que je faisais tout en le sentant presser mon petit cul. Dieu que j’adorais sentir sa grosse main chaude sur mes fesses, j’en frissonnais de plaisir, surtout quand le bout d’un doigt me tapotait délicatement l’anus, cet endroit si intime et si sensible. Ma bite sursautait a chaque fois et de gros frissons me faisais frémir. Parfois, comme il me l’avait fait, je la sortais de ma bouche un instant pour reprendre mon souffle et lui lécher le gland et la hampe comme si c’était la chose la plus délicieuse du monde avant de le ravaler avec envie. Le sucer était tout aussi excitant pour moi à présent que de me le faire faire, même si cela me gênait encore un peu.

Au bout d’un moment je sentis du liquide épais et saler me tomber sur la langue. Sur le coup, paniquer, je cru qu’il allait éjaculer et je stopper tandis qu’un courant électrique me traversait le corps, mais rien ne se passa. Le goût délicieux me remplit la bouche me forçant à ravaler ma salive à nouveau en écrasant son gland contre mon palais le sentant se raidir. Mais la peur soudaine qu’il ne jouisse vraiment cette fois fut la plus forte et je me redresser en lâchant ses couilles presque disparues, laissant son gland rougi et luisant de salive sortir de ma bouche. Je m’essuyer les lèvres et le menton avec mon bras pour le masturber ensuite de la main droite en serrant fort, l’imitant encore une fois, mais aussi parce que j’aimais branler ce sexe démesuré. Je voulais l’emmener à l’orgasme à mon tour tout en posant mon bras gauche sur ses épaules sans réfléchir pour assurer ma poigne sur son sexe. Mais la position était un peu embarrassante. Nos visages se touchaient presque, ça me donna l’impression d’être sa copine, comme ces couples qui s’enlacent sur un banc de parc bien coller l’un contre l’autre et, étrangement, ça me plaisait énormément tout autant que de masturber son membre qui dégoûtait a présent. J’eus peur un instant qu’il ne se fâche parce que je l’enlaçais mais ces yeux restaient river sur ma main qui allait et venait sur son sexe de plus en plus dur. Et comme il me l’avait fait, il se cracha sur la bite. Je voyais et sentait sa salive chaude couler sous mes doigts pour bien lubrifier sa hampe et, même si je commençais à avoir mal au poignet, j’accélérai la cadence. J’étais heureux de lui faire plaisir c’est certain, mais, ce que j’aimais le plus, c’était de sentir sa bite sous mes doigts et de voir Guy de si près grimacer et de l’entendre gémir. J’aimais tellement le branler que mon coeur s’emballait a nouveau et que ma bite en pulsait.

Je me revoyais le sucer quand j’aperçus quelques gouttes de sperme épais s’écouler de son gland pour glisser sous mes doigts fins et délicats les rendant encore plus glissants en se mélangeant à sa salive. Je le sentis frémir contre moi, il allait jouir et cela me fit frissonner.

— Plus vite, dit-il soudainement les joues rougies en plantant presque ses ongles dans mes fesses. Ça m’électrisa tandis que ses genoux tanguaient sous le volant et que les gros muscles de ses cuisses se crispaient.

Je resserrai ma poigne et accélérer encore plus, très exciter a l’idée de le faire jouir en sentant la peau mince de son gros membre glisser sur les muscles durs. Son scrotum était devenu tout petit et plisser et même si je commerçais a avoir vraiment mal au poignet je continuer a le branler sans relâche. Son visage était si près du mien que je ressentis à nouveau comme un malaise en le regardant, surtout quand il tourna la tête et me fixa droit dans les yeux en me pressant les fesses avec force tout en m’attirant plus contre lui. Je baissai les yeux par timidité et il m’embrassa soudainement, tête pencher en poussant sa langue profondément dans ma bouche. Ma bite sursauta tandis que mes yeux s’arrondissaient de surprise pour ensuite se fermer comme pour mieux sentir sa langue qui s’agitait et jouait avec la mienne. Je me sentis ramollir, le corps parcouru de grosses chairs de poule en m’abandonnant complètement a lui en gémissant dans sa bouche sans cesser de le masturber. Je ressentais tellement de choses en même temps que j’en étais étourdi ; ses lèvres si douces, sa langue contre la mienne, sa main sur mes fesses, la mienne sur sa queue, ma bite qui sursautait violemment…

Mon premier french kiss. Je le réalisait a peine quand sa langue sortit de ma bouche et qu’il recula la tête en grimaçant pour refermer sa main gauche sur la mienne sur son membre tout comme ce matin pour me faire le branler encore plus fort et plus vite…

Je fini par croire qu’il n’y arriverait pas, mais il se crispa soudainement en fermant les genoux et éjacula en abondance très haut et comme pour moi tout à l’heure, ça retomba sur ça bite, nos mains et ses cuisses. La sienne sur mes fesses glissa sur ma hanche et sans doute sous le coup du plaisir intense qu’il ressentait, il me plaqua avec force contre lui. Je fixais son gland qui laissait s’échapper de longues giclées de sperme gluant que je n’aurais voulu avaler pour rien au monde et que je sentais passer sous mes doigts avant que ça ne jaillisse de son urètre. La tête me tournait et mon coeur cognait de le voir décharger avec encore le goût sucrer de ses lèvres sur les miennes. Très vite, ça ne fit plus que couler le long du gland et Guy se détendit et expira longuement, visiblement très soulager a son tour.

Quand il eut fini d’éjaculer, il lâcha ma main et mes hanches pour prendre la guenille. Je continuer a le masturber un moment tandis qu’il reprenait son souffle. Je fixais ça bite sans me lasser puis je la secouer et la lâcher un peut à regret finalement pour me rassoir étourdis par tout se que j’avais ressentit. Il s’essuya avec le vieux torchon, moi aussi et il le remit sous le siège et on resta comme ça un long et fabuleux moment silencieux, mains sur nos bittes rester dur à cueillir quelques dernières gouttes de sperme avec non-pouces pour ensuite les lécher tout en se remettant de nos émotions. Chaque fois qu’il me regardait, je me surprit a lui sourire comme un idiot, il fini par se pencher a nouveau vers moi pour me frencher une nouvelle fois une main sur ma cuisse contre mes couilles ramollis. Ça m’électrisa. Ce deuxième french me laissa groggy et sans voix. Il recula la tête pour me fixer longuement et dit ;

— Ça te dérange que je t’embrasse ?
— Non !
— T’as une bouche de fille, des cuisses de fille et un beau petit cul. On dirait une fille mais avec une bite. C’est bandant à mort de se faire sucer par toi.

Je me contenter de sourire ne sachant trop quoi répondre de toute façon. Mais le compliment me touchait plus qu’il ne l’imaginait car j’aimais porter les vêtements de ma soeur et même ceux de ma mère parfois. J’aimais me voir en fille seul chez moi, même me maquiller et me masturber car je me trouvais plutôt joli, mais jamais je n’aurais osé le lui dire.

On se reculotta finalement car le froid nous gagnait, je commençais même à grelotter. Puis on parla longtemps de BD, de cinéma surtout et de se film extraordinaire qui venait de passé a la télé, « La planète des singes, » et des filles puis il me dit que l’on ne se reverrait pas avant samedi prochain car il ne pouvait sortir la semaine et comme on n’allait pas a la même école, j’allais trouver la semaine longue. Il me raccompagna jusqu’a la porte derrière chez moi et la, il m’enlaça soudainement très fort et me frencha a nouveau avec fougue. Je me suis senti fondre dans ses bras en bandant a nouveau et lui aussi je le sentis bien. J’avais une peur bleue que ma mère n’ouvre soudainement la porte pour nous traiter de maudit cochon. J’en serais mort de honte. Mais, heureusement, cela n’arriva pas.

Il me lâcha et sans rien dire il partit dans la nuit me laissant transi et bander dur. Tellement que je dus attendre un peu en regardant le ciel rempli d’étoile avant de rentrer.

Ce soir la, je planais totalement dans mon lit, incapable de trouver le sommeil, les deux mains dans le pantalon de mon pyjama, me masturbant discrètement en écoutant ma soeur de trois ans mon ainé ronfler dans le lit jute a côté.

Je passai la semaine la plus longue de ma vie et, le samedi matin, jour d’Halloween, je me lever doublement exciter. Ma mère m’ordonna de passer la tondeuse, je le fis en t-shirt car il faisait étrangement chaud cette journée-là, une vraie journée d’été. Quand Guy arriva finalement, en chemise à manche courte, mon bas ventre me chatouilla instantanément…

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