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un moment d’égarement

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Un moment d’égarement
En juin dernier, mon frère de 3 ans mon cadet, il a 33 ans venait comme tout les ans passer une semaine de congés à la maison pour pouvoir s’adonner a son passe temps favori la randonnée en montagne.
Comme je vivais depuis 6 ans avec mon mari et ma fille de 8 ans dans un village alpin il pouvait profiter ainsi de notre demeure comme base de départ pour ses sorties.
Mais cette année me retrouvant toute seule depuis mon divorce d’il y’a 6 mois,ma fille ayant décidée de vivre avec son père,pour me redonner le moral, j’avais posé une semaine de congés pour randonner avec mon petit frère qui était ravi de m’emmener en montagne
Je l’accueuillais le samedi en fin d’aprés-midi et tout en l’aidant a s’installer je ne pu m’empêcher de lui raconter mes déboires sentimentaux car avec mon frère on ne se cache rien on se dit tout.
C’est ainsi qu’il apprit que j’avais divorcé parce qu’entre mon mari et moi il ne se passait plus rien sur le plan sexuel depuis plus d’1 ans que j’avais appris qu’il me trompait depuis plusieurs années et que je me sentais frustrée et en manque de libido.
( et depuis ton divorce frangine,… tu a eue des aventures ?…) me lança t’il d’un ton moqueur.
Il faut dire que mon frère avec son physique d’apollon et un vrai tombeur et change régulierement de copines.
Je répondis à sa question en lui disant que je voulais prendre le temps et que je me méfier des hommes et de leur belles paroles.
( Eh ben… frangine…. tu te prend trop la tête…une jolie fille comme toi ..quel gâchis…. fait gaffe que ça ne cicatrise pas !!!.) lança t’il rigolard.
Sans me démonter je lui rétorquai:( t’inquiète pas pour moi frèrot j’ai ce qu’il faut pour me satisfaire…!!!.) et en voyant ses yeux écarquillés je continuai ( j’ai une belle collection de godes que j’utilise régulièrement… tu vois donc que ce n’est pas prés de cicatriser … comme tu dit !!!.)
Il resta un instant bouche bêe puis se ressaisi en me proposant de m’emmener dîner au restaurant.
ok frangin lui répondis’je contente de ma réplique, puis je le laissai finir de ranger seul ses affaire dans sa chambre.
Je me sentais toute excitée des révélations que j’avais faite à mon frère, c’est vrai que depuis que nous ne faisions plus l’amour avec mon mari,pour satisfaire mes envie de sexe je me masturbai fréquemment avec divers godes dénichés sur internet.
Je n’arrivai pas à chasser de mes pensées l’idée que pouvait faire mes révélations dans la tête de mon frère.et cela m’éxcitée réellement,et je me rendis à l’évidence que j’avais envie de baiser au diable les godemichets je désirai une queue, oui une vraie queue chaude et vibrante je voulais baiser dès ce soir, même si je cela passait par un i****te.
L’heure du dîner approchant, je décidai de sortir le grand Jeu.
Je le retrouvai avec un grand sourire , il siffla d’admiration en me voyant et ajouta:( whaou !!! si tu n’étais pas ma soeur , je te dirais que t’est vachement bandante…)
C’est vrai que j’avais fait fort, habillée trés sexy, vétue d’une minijupe noire sérrée et très courte dégageant mes cuisses gainées de bas résilles en maille rouge, de bottines à lacets vernis noirs, d’un bustier qui mettait ma lourde poitrine en valeur.
C’est ainsi que nous prîmes la route du resto.
Mon frère conduisant je pouvais constatai pendant notre conversation, qu’il posait fréquemment son regard sur mes cuisses j’avais évidement fait exprès en m’asseyant que ma jupe remonte le plus haut possible et en ouvrant lentement mes cuises je m’arrangeais pour lui laisser voir mon string en dentelles rouge assorti à mes bas résilles.
Cette situation scabreuse et excitante à souhait me mis dans un tel état que je senti mon jus couler de ma chatte.
A ma grande satisfaction, je constatai l’effet que faisait ma petite tenue sur l’état de mon frèrot au vu de la grosse bosse qui déformait son entrejambe.
(…Oh oui tu bandes pour ta grande soeur …) me dis-je
La première partie de mon plan semblai fonctionnai.
Et c’est une fois à table,au cour du dîner,assis l’un en face de l’autre que je décidai de passer au plan B,nous avions pris le soin par cette chaude nuit d’été de prendre un table isolée en terrasse,on pouvait donc parler en toute discrétion.
Je lui demandai donc, en gonflant ma poitrine ,si lui aussi ,il lui arrivait de se masturber.
Il répondit en lorgnant mes seins que lorsqu’il n’avait pas de copine il ne pouvait pas s’en empêcher et que c’était un besoin.
( ..Nous sommes pareil..on a les mêmes envies …) lui dis-je avec un grand sourire
(..Oui..c’est vrai… je pense que c’est de famille…) lança t’il en pouffant
avant de reprendre ( … dis moi t’en a beaucoup de sextoys..? )
(..Pas mal… si tu veux je te les montrerai…en rentrant…!!!) lui dis-je d’un clin d’oeil coquin.
Pendant tout le repas arrosé au champagne, nous avons parler que de sexe ,entre autre quelle était nos positions favorites.
Mon frère préférant la levrette moi le missionaire .
Un fort état d’ excitation montait entre nous deux,la fin du repas arriva ,j’attendai la suite avec impatience,ma chatte me picotai agreablement.
Sur la route de la maison ,je dévoilai encore plus le haut de mes cuisses au regard grivois du petit frère qui semblai bie apprécier le spectacle.
Une fois arrivés à la maison,il fila prendre un bonne douche pendant que je préparai le café,il reapparu bientôt torse nu vétu simplement d’un large bermuda.je pouvais admirer sa belle musculature ses bras puissants ses pectoraux saillants et surtout ses tablettes de chocolat.
A mon tour, je filai dans la salle d’eau,ou une fois sous la douche je ne pu m’empêcher de me carresser le bouton en pensant à ce qui allait advenir.
ET c’est toute nue simplement vétue d’un peignoir court qui descendai à mis cuisses que je retrouvai mon frère,assis dans le canapé du salon faiblement éclairé pas une douce lumière tamisée,pour boire le café.je m’asseyai exprés dans un fauteuil en face de lui le pan de mon peignoir grand ouvert dévoilant à sa vue malgrè la pénombre le début de ma toison de brune.
Puis au bout d’une heure environ constatant que mon frère n’osait pas faire le premier pas je lui demandai d’une voix fébrile, si il était toujours interréssé de découvrir ma panoplie de godes.
Il me répondit qu’il aimerait bien mais il se sentirai gêné si il perdait le contrôl de ses émotions.
Je le rassurai en lui disant que cela ne me gênerait pas bien au contraire
Sans attendre,le prenant par le bras, je l’entrainai dans ma chambre, de dessous le lit je sortai une valise que j’ouvris après l’avoir posée sur le lit.
Et sans aucune gêne,avec une pointe d’éxcitation, après avoir découvert ma collection de jouets sexuel mon frère me demanda si je les avais déja tous essayés et lequel était mon préféré.
Je lui montrai celui que j’utilisai le plus souvent, un gode bleu en latex translucide de 18×4,5.
( … C’est avec celui là que …tu prends ton pied ….eh ben Frangine t’es une vrai coquine dit ? ) ses paroles me mirent dans un tel état d’excitation que j’était prète à tout pour qu’il me baise.
Puis il saisi le plus gros de la collection un gode en latex noir de 24×6 qu’il agita devant mon visage,(… et celui là !!! tu t’en sert aussi…?)
( Oui cela m’arrive… quand… je suis vraiment très en manque…mais pas longtemps …. il est un peu trop gros pour moi)
( Whaouu … frangine … j’en revient pas …je ne pensai pas que tu étais aussi coquine… tu m’as tout éxcité j’vais avoir du mal à trouver le sommeil !!!).
Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits je lui proposai de lui montrer comment je me soulageai faute de mâle,en lui lançant 🙁 Attend p’tit frère,qui te parle d’aller dormir, j’en est pas encore fini …!!!.)
Aprés mettre débarrassée de mon peignoir, je m’allongeai sur le lit en ayant pris soin de m’emparer du gode bleue et c’est d’un regard plein d’envie que je fixai mon frangin en lui disant:
( Regarde p’tit frère….comment ta grande soeur s’y prend pour assouvir ses pulsions…!!!)
Et c’est sous le regard excité de mon frère que je commencais par lécher le gode puis je le fit coulisser dans ma bouche pour bien l’enduire de ma salive,je me carressai les seins toute excitée.
Mon frangin était vraiment au premières loge,je pouvais voir ses yeux avides parcourir tout mon corps, se fixant parfois sur mes seins ou plus longuement sur ma fente ouverte d’oû coulait mon jus de femme en chaleur.
(Alors le spectacle te plait !!! hein …. tu aimes bien mater ta grande soeur entrain de se branler …)
( Oh ouii !!! frangine …continue… t’es vraiment excitante !!!)
Puis j’écartai largement les cuisses et je plongeai avidement le gode dans ma chatte affamée.
Puis comme une salope en manque, je me mis à me branler lentement la vulve, dans un gémissement de femelle en rut,en fixant mon frangin qui tout excité par ce qu’il voyait, se carressait le sexe a travers son bermuda.
Je l’encourageai par ces mots ( allez p’tit frère … montre moi toi aussi comment tu te branle j’ai envie de voir ça !!!)
Mes paroles l’élèctrisérent il approcha du lit puis enleva son bermuda je poussai un cri d’étonnement en découvrant la taille de son sexe bandé a mort le gros gland violacé dépassai largement le nombril la hampe était parcourue de grosses veines gonflées et la grosseur de ses couilles laissait présager des éjaculations torrides.
Il s’arrêta debout à hauteur de mon visage,sa queue était encore plus impressionnante vue de près. puis, il commença d’une main a branler sa grosse queue en fixant le gode que j’activais encore plus fort dans mon vagin.
Nous nous masturbions de concert avec la même fréquence quand l’un d’entre nous accèlérait l’autre prenait la même fréquence.
Cette scène de masturbation mutuelle nous rendait fous nous gémissions avec la même fréquence les yeux dans les yeux ,nous allions jouir en même temps.
Je priai mon frère de jouir sur ma poitrine je voulais sentir son sperme chaud arroser mes seins,et je n’en fût pas déçue.
quand arriva mon orgasme cela déclencha celui de mon frère qui suivant mes paroles dans un râle sonore tenta de balançer ses longues et abondantes giclées de sperme sur ma poitrine,mais son état l’empêchant de bien viser son foutre m’inonda du visage au pubis même la couette en fût recouverte.
je ne put m’empêcher d’y goûter frénétiquement en n’ en prélevant de mes doigts, sous le regard admiratif de mon frangin qui avait repris le travail masturbatoire de son sexe toujours en éréction.
N’en pouvant plus, préstamment je retirai le gode de mon vagin et c’est avec des paroles crues que je demandai à mon frère de venir me baiser.
( Oh ouiii… p’tit frère ….viens vite me baiser …. J’ai trop envie de ta grosse bite… tu sais j’en ai jamais eue de si grosses…. allez viens vite…..me l’enfiler… tu n’as pas envie de baiser ta salope de grande soeur ? )
( Si j’ai vraiment envie de te baiser frangine !!! tu m’as tellement excité !!!) dit’il en venant se positionner entre mes cuisses grandes ouvertes.
Puis il commença par frotter son gland mafflu de bas en haut sur ma fente trempée par mes sécrétions, je n’en perdais pas une miette toute excitée , en appui sur mes coudes tête relevée les yeux fixant le gros pieu de chair
Quand il jugea son sexe bien enduit de mouille,il le pointa à l’entrée de ma chatte puis le poussa lentement,oh putain quelles sensations ,en sentant mes grandes lèvres écartelées comme jamais ,j’implorai mon frère de s’y prendre avec douceur,se qu’il fit avec tact malgrès son excitation.
En appui sur ses mains il enfonça sa grosse matraque lentement, progressivement dans ma chatte trempée et en fonction de mes reactions,il stoppait net la progression de son pieu de chair palpitante.
Il était fort,il m’ouvrait avec une autorité nonchalante,c’était comme si mes parois internes se dépliaient pour la première fois,s’éveillaient à des sensations inconnues,se modelaient avec complaisance sous la poussée de cette queue hors norme qui me perforait.
Je ne bougeai pas d’un centimètre seulement attentive à goûter cette intromission,j’avais l’impression qu’elle n’en finissait pas et je m’émerveillai de me sentir si profonde, si accueillante.
Quand la verge fraternelle parvint au terme de sa course,une décharge électrique parcouru mon corps quand sa queue heurta le fond de mon vagin,jamais je n’avais ressenti une telle sensation,je sentais le poids,et la chaleur de ses couilles sur mes fesses,je m’agrippai au bras puissant de mon frère qui demeurait parfaitement immobile en me fixant du regard.
Subitement,alors qu’aucun signe prémonitoire n’était venu l’annoncer et que je ne m’y attendais pas , un orgasme fulgurant me foudroya.
Il fut si puissant et si imprévu que je ne puis rien faire d’autre que de m’accrocher désespérément encore plus fort au bras de mon frère,en poussant un long gémissement de femelle blessée,la jouissance irradiait ses ondes bienfaisantes dans tout mon corps.
Aprés quelques secondes, les reins de mon frère se soulevèrent,sa queue se retira presque entièremment,et j’eus un court moment de panique à l’idée qu’elle allait me quitter.
Mais elle revint, m’emplit à nouveau avec vigueur, cogna brutalement au fond de moi, cette fois si je poussai un cri.
Et je poussai un cri à chaque fois que la matraque cognai au fond de moi,je me sentais bestiale,femelle couverte par un mâle puissant, et les cris que je poussais mêlaient jouissance et stupeur sous les assauts de cette colonne de chair qui martelait mon intimité.
Je perdis connaissance sous la brutalité des sensations alors qu’il remuait avec de plus en plus de puissance en criant ( Oooh … ouiii … frangine…. ouiii…comme t’es bonne…. aaah…ta chatte…elle est si douuuce….ouiaiii…)
Quand je revint à moi,ma première pensée fut que je ne croyais pas qu’il fut possible de jouir aussi pleinement que je venais de le faire.
Mon petit frère était étendu sur le côté ,il m’observait d’un regard limpide,sa queue rouge et gonflée avait perdu de sa rigidité,elle luisait de nos sécrétions mélangées,il avait joui en moi et je ne m’en étais pas rendue compte !
Je ne sais pas pourquoi,mais j’en éprouvais une pointe de remords et de gêne, mais non pas d’avoir baisé avec mon frère mais de mettre laissé allez à ma propre jouissance sans me préoccuper de la sienne, j’avais commis une faute que je devais réparer.
Je pris sa queue dans ma bouche ,je voulais me racheter de se que je considerai comme une négligence.les saveurs mélangées de nos deux sèves me furent comme une communion
J’y retrouvai mon propre fumet marin et la fadeur lourde du sperme fraternel,je les avalai avec le sentiment d’accomplir un acte interdit,nettoyant consciencieusement touts les replis du volumineux pénis et des bourses glâbres.
Pour finir j’aspirai le gland en passant délicatement ma langue autour de la collerette se qui eue pour effet de faire durcir à nouveau la belle queue chérie qui gonfla dans ma bouche.
un frisson me parcouru tout le corps en sentant sur mes lèvres le satin chaud et humide du gros gland mafflu gorgé de sang.
Mon frère se laissa faire un bon moment,en haussant les reins pour s’offrir d’avantage, sans en perdre une miette en geignant de plaisir ,son râle rauque et lancinant m’excitait beaucoup ( Ouii…frangine…c’est bon…. tu suçes trop bien… tu me fait durcir….aah ouiiii !!!)
Bientôt,je sentie ses grandes mains parcourir mon corps ,elles parcouraient mes seins dont les pointes durcissaient à ce délicieux contact,le creux de mes reins,mes fesses,puis j’en sentie une carresser l’intérieur de mes cuisses.( ta peau est si douçe frangine) lança mon p’tit frère.
Je laissai échapper sa belle queue de ma bouche mais je continuai à la branler d’une main,j’approchai mon visage du sien, lèvres entrouvertes,bientôt nos bouches se soudèrent dans un baisé passionné nos langues s’entremélèrent fougueusement,nous étions deux amants avides de sexe.
De ma main restée libre je parcourais le haut de son corps un peu craintive devant la largeur des épaules et la puissance d’une poitrine étonnamment douce.
bientôt je sentie deux doigts s’insinuer dans ma fente humide des doigts lourds et épais mais d’une incroyable légèreté qui me faisait onduler du bassin.
Puis mon frère vint se placer entre mes cuisses,il contempla ma chatte puis de ses deux mains,il ouvrit mes grandes lèvres et admirait mon clitoris gonflé par le désir
Puis il fourrra son museau dans ma vulve avec un tel entrain que j’eu un haut-le-corps de surprise,ses lèvres et sa langue,me dévorèrent avec une avidité qui tenait de la gloutonnerie,c’était efficace et diablement jouissif.
Je l’encourageai par des mots que je ne pensai pas prononçer un jour,toute excitée en plus par la vue de son gros sexe bandé.
( Ooh ouiii…p’tit frère….vas’y… bouffe moi la moule….ouiii….met bien ta langue….aaaah !!!!!!)
Il lapa bruyamment le jus qui coulai de mon ventre et me conduisit à l’orgasme sans me laisser une seconde de répit qui me tira des râles d’extase.
Je venais à peine de jouir que mon frère me demanda de me mettre à genoux il désirait me prendre en levrette.
Sans hésiter,j’ai adopté la posture qu’il affectionnait le plus,je n’étais pas encore rassasiée ,de son gros braquemard,je voulais encore le sentir en moi.
A quatre pattes,le visage dans l’oreiller,les cuisses très écartées,et les fesses levées le plus haut possible,pour l’exciter un max.
( Putain !!! quel beau cul tu as frangine,ça me fait bander à mort…)
Lança mon frère,à genoux derrière moi.puis il carressa mes fesses un moment,et quand il constata que ma fente dégoulinait abondamment,il présenta son sexe à l’entrée de celle-ci,puis me tenant fermement par la taille avec ses grosses mains,il me tira lentement en arrière,( Ooh ouiii…. comme t’es bien sérrée…aah frangine c’est bon!!! j’en revient pas!!! je suis entrain de baiser ma grande soeur!!! et j’aime ça !!!)
Alors le corps de l’imposant phallus s’engagea dans ma chatte trempée et dans un flop sonore vint buter tout au fond de moi,avant que mon frère ne commence de longs et réguliers va-et-viens puissants dans un chuintement mouillé et sonore,le sac de ses couilles frappant à intervalle réguliers les babines de ma chatte en feu.
une fois de plus,j’étais transportée dans un état second,ma vulve de femelle en rut dégoulinait de mouille,mon excitation se propageait peu à peu ,ma poitrine était lourde,les têtons brulants,le ventre traversé par des contractions délicieuses,des gouttes de sueurs coulaient sur mes joues en feu et mes yeux se brouillaient.
Une fois de plus j’ encourageai mon frèrot par des mots qui n’étaient pas dans mon vocabulaire de tout les jours.
( Ooh Ouii !!! p’tit frère,mets moi ta queue !!!… j’en ai envie…!!! défonce moi la chatte !!! ouii vas’y !!! baise ta grande soeur !!! je suis une salope !!!je baise avec mon frère !!!! et j’adore son gros gourdin qui me martèle la chatte ooh ouiiii c’est booon !!!)
A ces mots mon frère mis encore plus de vigueur dans son étreinte,et,il se mis encore plus fort à pilonner ma chatte.
j’étais bourrée, défoncée ,comme une femelle en rut,je ne pouvais plus retenir mes cris de jouissance un spasme ravageur fit trembler tout mon corps quand vînt l’orgasme énorme ,intense,des contractions involontaires secouèrent ma vulve malmenée par l’énorme gourdin.
la jouissance de mon frère arriva à ce moment là,son sperme chaud fusa en longues giclées crémeuses se fracassant contre les parois écartelées de mon vagin.( Ohh !!! putain!!! frangine !!! je jouis ouiii !!!! aahhh dans ta chatte !!!ouiii que c’est bon !!!)

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