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trahison

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Aurélie (la trahison)
Je m’appelle Ludo, trente ans, et suis marié depuis deux ans, avec Aurélie, âgée de vingt cinq ans. C’est justement nôtre anniversaire aujourd’hui.
Après un excellent repas au resto, et virée au champagne en boite, nous décidons de rentrer.
Nous passons une nuit terrible, que je n’avais jamais connue, depuis nôtre nuit de noces. Aurélie est en pleine forme, à ce demandé si elle n’est pas habitée par les démons du sexe. Elle n’en fini pas d’en redemander, de gémir de plaisir, quand je lui doigte le clito, ou lui bouffe la chatte. Que lui arrivait-il.
Malgré tout, tailler une pipe, ou se faire sodomiser, est exclu.
« Je ne ferai jamais ça, me disait-elle, c’est dégueulasse »
Aurélie est d’une beauté à couper le souffle. Tous les mâles se retournent sur son passage. D’autant qu’elle porte toujours des tenues assez sexy. Au bal, tout les danseurs se l’arrachent, certains la draguent, mais sont aussitôt repoussés. C’est une épouse très fidèle, en qui j’ai une totale confiance.
Cependant, depuis quelques jours, des bruits infondés courent à son sujet. On l’aurait aperçu en galante compagnie.
Par sécurité, je décide de la pister, pour tirer ces « on dit » au clair. Je la suis à distance, mais ne remarque rien d’anormal. Mes tentatives restent infructueuses.
Un jour, pourtant, alors que d’habitude, elle sort toujours à pied, elle appelle un taxi.
Elle est vêtue d’une courte jupe, d’une chemise légèrement ouverte, talons hauts, lunettes noires. Elle est sexy en diable.
Je me précipite à ma voiture.
Dix minutes plus tard, je la vois rentrer dans un bar-hôtel. Bizarre…
Elle en sort trois heures plus tard, et s’engouffre dans une ruelle adjacente au bar. Je sors vite de ma voiture, et part à sa poursuite.
Et là, surprise, je la vois monter dans une voiture de ma société. Au volant, Guy, un « collègue » de travail, avec qui j’ai eu violente dispute, et qui m’avait envoyé à la figure, devant tout le monde.
« Un jour, je baiserais ta femme, connard »
Serait-ce ça…est-ce qu’il n’aurait pas mis sa menace à exécution. Est-ce que ma femme aurait succombé au charme de ce salaud.
D’autant que je connais la réputation de Guy auprès des femmes. Surtout avec les femmes mariées…imaginez avec la mienne, avec la promesse qu’il a faite, ce qu’il est capable de lui faire.
Il me faut dès ce soir, éclaircir ce problème avec Aurélie.
Le soir, vers vingt trois heures, je rejoins ma femme au lit. Elle est entièrement nue.
Je lui caresse les seins, puis glisse une main entre ses jambes. Je m’aperçois que sa chatte est légèrement humide
-Non, pas ce soir, me repousse-t-elle, je suis fatiguée.
-A bon, dis-je, t’as fait quoi cet après-midi.
-J’ai fait du shopping avec ma mère.
-Ne mens pas, ma chérie, j’ai appelé ta mère, elle était chez elle. Par contre, je t’ai vu sortir de l’hôtel de la poste…et monter dans une voiture de ma société. Tu sais qui était au volant ? Guy…tu peux m’expliquer ?
Et là, surprise. Elle m’avoue qu’effectivement, elle a rencontré Guy dans un bar, et qu’il l’a draguée, mais qu’elle a repoussé toutes ses avances.
Je n’en crois pas un mot, sachant que Guy est prêt à m’humilier, en se vantant aux copains, qu’il a baisé ma femme. Un gros doute s’installe en moi. Je veux en savoir plus…je veux tous savoir, dans le moindre détail, même si je dois avoir mal.
J’insiste pour que mon épouse me raconte ce qu’elle a fait avec Guy.
-Alors, j’écoute, que c’est-il passé, je veux savoir…
-Tu vas me quitter après si je te raconte.
-Faute avouée, à moitié pardonnée…allez, je t’écoute.
-C’est vrai, finit-elle par dire, je l’ai croisé au bar de l’hôtel.
-Ok, et tu as couché avec ?
-Oui…on a pris une chambre. Il a tellement insisté, je n’ai pas pu résister.
-Tu as baisé avec lui…et pourquoi as-tu fais ça ?
-Je ne sais pas…j’ai eu subitement envie de lui…j’étais attirée physiquement.
-Et tu as pris du plaisir ?
-Oui, énormément…mais arrêtes, je t’en prie…
-C’est lui qui a fait mouiller ta chatte comme çà…avec ses doigts
-Oui, pleure-t-elle, il m’a branlée, doigtée…ne me pousses pas à tout te raconter…
-Vous avez fait quoi encore…combien de fois t’a-t’il fait jouir…
-Je sais plus…quatre, cinq fois, peut être plus…
-Et après, tu l’as sucé, tu as avalé son sperme…est-ce qu’il t’a enculée…
-Oui, plusieurs fois, même si j’ai horreur de ça. J’ai trouvé son sperme très bon.
-Et pourquoi tu me l’as toujours refusé.
-Je ne sais pas…j’ai voulu peut être qu’il soit le premier…il m’a tellement donné du plaisir…sa queue est tellement bonne, que j’estime qu’il le méritait…
-Est-il mieux monté que moi…d’après les échos, il parait qu’il a une bite énorme.
-Oui, c’est vrai, il est mieux monté que toi…mais là n’est pas la question.
-Et elle est ou ? Vous avez prévu de vous revoir ?
-Il me l’a proposé…j’ai refusé. Oh mon chéri, j’espère que tu me pardonneras.
Pourtant, un jour, en rentrant chez moi, et alors que ma femme est à la salle de bains, sont portable se met à vibrer. C’est Guy qui lui envoie un message.
« Ma chérie, j’ai trouvé un autre hôtel, pour nos rendez-vous coquins »
Donc, ils devaient se revoir, et elle l’a averti que j’étais au courant de leur relation.
Mes doutes étaient bien fondés. Mon épouse m’a trompé avec le pire de mes « collègues » de bureau, qui m’avait dit qu’un jour, qu’il se taperait ma femme. Je ne l’avais pas cru à l’époque, et Aurélie n’a rien trouver de mieux, que de succomber à ses avances.
Aurélie m’a tout avoué. Même le jour de nôtre anniversaire de mariage, ou je l’avais trouvé très chaude. En fait, c’est à lui qu’elle pensé. La sodomie, les pipes, c’est à lui qu’’elle les réservait.
« T’as pas entendu, me dit-elle, mais en plein orgasme, j’ai crié son nom »
Malgré ça, il est hors de question que je me sépare de ma femme, après l’énorme faute qu’elle vient de faire. Je l’aime, elle est tout pour moi. Je lui pardonne.
Peut être que c’est moi qui ne l’est pas satisfaite, installer dans la routine, et qu’elle est aIlé chercher ailleurs. Il me faut trouver une solution.
Je prends rendez-vous avec mon directeur, pour demander ma mutation.
OooOOooo
Ma mutation est acceptée. Je suis obligé de m’absenter quelques jours, pour visiter ma nouvelle boite, nôtre nouvelle maison. Je me doute que mon épouse doit profiter de mon absence pour se vautrer dans le lit de son amant. Guy sait que ma femme me refuse toujours la sodomie, ou me sucer la queue. Pour m’humilier, je suis sur qu’il doit imposer à Aurélie, ce qu’elle m’a toujours refusé. Se faire enculer, et tailler des pipes, avaler. Il me semble même l’entendre hurler de plaisir.
Ce que je ne savais pas, c’est quand m’installant ici, j’allais vivre le pire.
Aurélie et moi nous installons dans le sud de la France. Une bâtisse située à deux cent mètres d’une petite plage, pas de route à traverser. Ce qui n’empêche pas ma femme de déprimer. Il m’arrive de surprendre des mails entre elle et Guy.
« Oh mon dieu, si tu savais comme j’ai envie de te tailler une bonne pipe ».
« Et moi, si tu savais comme j’ai envie de te bouffer la chatte ».
Des messages qui font mal, et qui, je l’espère, vont cesser.
Nous sommes séparés de nos voisins, par une grille d’un mètre cinquante de haut. C’est une famille de marocains. Le père, d’une soixantaine d’années, vit avec Djamel et Farid, ses deux garçons, employés dans le garage du village. Petit à petit, nous sympathisons avec le père, mais je me méfie des deux frères.
Quand ils nous croisent, ils ne se gênent pas pour envoyer à Aurélie, des sifflets admiratifs, ou autres quolibets coquins, quand elle va à la plage.
« Ouah, putain, la bombe, dit Djamel à son frère, tu crois qu’elle suce ».
Pour éviter les polémiques, je fais celui qui n’entend pas.
Un jour, alors qu’elle était allée porter la voiture à la vidange, elle me dit que les deux mécanos, lui ont fait de sérieuses avances. Djamel lui aurait même mis la main aux fesses. Je décide de recadrer le jeune mécano, qui n’a rien à foutre de mes remarques
-Oh putain, un sacré canon ta meuf, on se la taperait bien avec mon frère. Un jour, on ira la baiser à la plage. On va se filmer, on te fera voir la vidéo, en exclusivité.
-Hey, vous vous prenez pour qui, faites gaffes, sinon vous aurez à faire à moi.
Petit à petit, l’attitude d’Aurélie change, elle est plus décontractée. Mais bon, je ne m’inquiète pas plus que ça. Sauf que de jour en jour, sa tenue vestimentaire devient de plus en plus sexy, voire inexistante. En effet, il n’est pas rare qu’elle se rende à la plage en paréo transparent, sans rien dessous. Il est vrai qu’il n’y à jamais personne qui emprunte ce chemin, mais quand même.
C’est en me rendant au garage pour régler une facture, que Djamel me prend à part. Et la, il sort son téléphone portable, et me montre une vidéo.
Les images sont claires et nettes. Je vois Aurélie, allongée sur sa serviette, se faire prendre par Djamel, encastré entre ses jambes.
-Ahou…ahou…oh oui, gémit-elle, c’est bon…c’est bon…ah oui…vas-y…
-T’aimes ça, hein…après, tu vas tailler une pipe à mon petit frère, ok…à toi Farid, fais toi sucer le zob…gratte lui la chatte …ouah, elle se régale la salope…elle n’est pas belle la queue de mon frère…avoue…
-Oh si…elle est bonne…oui…mets tes doigts dans ma chatte…branle la…fais moi jouir…ah oui…oui je vais jouir…plus vite…plus fort sur mon clito…oh oui…je joui… je joui… bande de salauds…si mon mari apprend ça…
Je vois le corps de ma femme onduler sous les doigts pervers du jeune marocain. Aurélie s’active sur l’énorme bite quand elle atteint l’orgasme. Je vois Farid se tendre. Il est en train de se vider les couilles dans la bouche de ma femme. Celle-ci garde la queue en bouche, attend que l’éjaculation arrive à son terme. Elle avale jusqu’à la dernière goutte. En effet, quand elle se tourne, je n’aperçois aucune trace de sperme sur sa bouche. Il n’en va pas de même pour sa chatte ou son petit trou, qui suintent de la semence épaisse de Djamel.
Je suis abattu, je suis en train de perdre ma femme.
-Alors, t’as vu comme elle suce ta femme, sourit Djamel, putain…je t’avais dit que je la niquerai. Tu sais ce qu’on va faire, la prochaine fois, tu viens avec nous, tu verras comme on s’amuse avec elle.
Depuis ce jour là, Djamel me montre souvent des vidéos, montrant ma femme se faire prendre par tous les trous. Mieux, une montre mon épouse allongée sur la banquette arrière d’une voiture, en train de tailler une pipe à Farid, tandis que Leila, la cousine des deux maghrébins, la gouine. Elle s’occupe de sa chatte, écarte les lèvres intimes, insère sa langue pointue. Elle fait coulisser la peau pour libérer le clitoris, et le doigte. Aurélie est prise de spasme quand elle jouit.
Que me réserve le jour fatidique, ou Djamel va me faire assister à la saillie d‘Aurélie…
Et ce jour là arrive.
Djamel me conduit dans une calanque, à l’abri des regards indiscrets. En passant près des rochers, j’entends des gémissements. Djamel s’avance lentement.
-Regarde, ils sont là. Ouah, comme il s’amuse avec sa chatte, elle a l’air d’aimer…
Je ne peux détourner les yeux de la scène. Farid est à genoux sur la serviette. Aurélie est allongée sur le dos, jambes écartées. Farid, légèrement penché en avant, promène sa queue sur le visage de mon épouse. Il écarte les lèvres intimes, libère le clitoris, qu’il caresse, tandis qu’Aurélie prend l’énorme bite en bouche. Je ne peux retirer mon regard de cette scène, même si elle est insoutenable. Je vois le majeur du jeune beur, tourner sur le clitoris décalotté, de la grosseur d’une bille. Aurélie prend appuie sur ses pieds, se cambre pour mieux se faire doigter.
-Alors petite française, dit Farid, c’est bon de se faire doigter par un arabe…hein…
-Oh oui…salaud, gémit Aurélie…vas-y, grattes ma chatte…fais moi jouir…oh oui… toi aussi viens…je veux que tu vides tes grosses couilles dans ma bouche…
Ils se positionnent en soixante neuf. Aurélie pompe l’énorme pieu, palpe les grosses couilles. Farid fait un travail dévastateur sur le clito et la chatte de ma femme, qui, malgré qu’elle ait la bouche pleine, gémit de plaisir.
-C’est bon ça, dit-il…c’est meilleur qu’avec ton mari, hein, avoue.
-Hum…ho oui…bien meilleur…ah…je jouis encore…salaud, tu me maques là…
J’assiste impuissant, au terrible orgasme de ma femme, et à l’abondant largage de sperme au fond de sa gorge. Djamel me prend par l’épaule, m’éloigne de la scène.
J’entends Aurélie hurler de plaisir…certainement un énième orgasme.
En arrivant chez moi, je réfléchis. J’en déduis que ma femme est devenue leur chose. Non seulement ils se l’a sont accaparée, mais en plus, je vais être obligé de me soumettre à tous leurs caprices, comme ma femme s’est soumise. Ils ont une emprise sur elle.

Ils l’obligent même à faire des gâteries à leur père.
Le matin, vêtue d’un simple peignoir, elle rejoint le vieux à la grille, s’agenouille, et lui taille une pipe. Il l’oblige à tout avaler, à bien lui nettoyer le zob. Puis, elle fait glisser son peignoir au sol, se retrouve entièrement nue. Pas farouche pour un sou, elle écarte les jambes, se laisse caresser les seins, la chatte. Le vieux lui doigte le clito, la branle jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il éclate de rire quand elle jouit.
En fait, Guy, Djamel et Farid, ont fait ce que je n’ai jamais su faire. Réveiller la chienne qui sommeillait dans les entrailles de mon épouse.
Et le pire reste à venir.
Deux fois par semaine, Djamel et Farid passent à la maison. Toute la nuit, ils s’amusent avec Aurélie. Ils la baisent, l’enculent, se font tailler des pipes, l’oblige à renier mon nom, pour mieux crier le leur. Pour mieux m’humilie, ils commencent leurs préliminaires, sur le canapé, la font jouir devant moi. Aurélie les supplie de la baiser. Quand ils l’a juge enfin prête, ils l’emmènent à la chambre, laisse la porte ouverte pour que je l’entende hurler de plaisir quand elle atteint l’orgasme.
Un soir, ils m’ont demandé de les accompagner pour assister à leurs ébats.
C’était affreux. Je découvrais Aurélie en exercice. La gamme entière y passait. J’assiste même à la double pénétration de ma femme. Je me demande comment elle peut se faire enfiler par de si grosses bites. Et eux qui en rajoutent.
-Oh putain, souffle Djamel, elle est bonne ta meuf…quelle salope. Elle aime la queue…dans tous les trous…regardes comme elle mouille…elle se régale.
-Tu vois comme elle est gourmande, poursuit Farid, elle avale tout nôtre jus…tu crois que ton mari serait d’accord pour me tailler une pipe, demande-t-il à Aurélie.
-Ouais, rit Djamel, j’en profiterais pour l’enculer…qu’est-ce que tu en penses salope.
-Espèce de salauds…vous n’en n’avez assez avec la femme, il vous faut le mari.
On n’en est pas encore là, mais à ce rythme, ça ne devrait pas tarder.
Déjà, Djamel m’oblige à lécher la chatte de ma femme, pour nettoyer leur sperme qu’ils y ont déposé. Leur bite, c’est mon épouse qui s’en est chargée.
-La prochaine fois, dit Djamel, c’est nos queues que tu nettoieras, hein Farid ?
-Ah ouais…après nous avoir taillé une bonne pipe.
Vers six heures du matin, ils vont prendre une douche. A Les entendre rire, et à entendre les gémissements de ma femme, je devine ce qu’ils doivent lui faire.
Quand ils quittent l’appartement, ils me narguent, me donne une tape amicale sur l’épaule.
-Tu aurais pu préparer le café, sourit Djamel. La prochaine fois, penses-y…sinon.
Je ne suis plus maître de la situation, Aurélie ne m’appartient plus.
Ce que je redoute le plus, c’est qu’ils mettent leurs projets à exécution. Que je devienne leur deuxième femelle.
C’est ce qu’ils veulent, nous posséder.

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