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Anniversaire aux Antilles

Anniversaire aux Antilles



Le bateau, je le connais. Un catamaran de douze mètres pouvant accueillir jusqu’à huit personnes pour une journée de balade le long des côtes, sous le vent de l’île. Nous sommes à quai et les moteurs ronronnent au ralenti. Le programme, modifiable à la demande des clients, je le connais aussi et pour cause, c’est moi qui l’ai mis au point : sortie au moteur, navigation à la voile, mouillage dans une anse discrète, baignade, déjeuner, baignade et retour. Quatre à cinq heures à promener des touristes en espérant un beau pourboire. Il fait un temps idéal, ciel bleu et juste assez de vent pour ne pas mourir de chaleur.
Les clients, eux, je ne les connais pas. Mais en voyant un couple d’un certain âge s’avancer sur le ponton, je me doute que je vais bientôt faire connaissance avec les premiers.

— Bonjour, vous êtes Justin ?
— Tout à fait, bienvenue à bord.

J’aide la dame à enjamber les filières. Il s’agit d’un couple d’une bonne cinquantaine d’années. Lui est largement dégarni, un peu bedonnant, un look qui me rappelle les photos que j’ai vu de Frédéric Dard, l’auteur de San-Antonio : une allure d’industriel cossu faisant attention à sa ligne. Je suis sûr qu’il joue au golf et au tennis. La dame, elle, est assez grande, assez pulpeuse également. Tous deux sont en short, et elle exhibe une peau bronzée qui me semble très lisse. Son visage encadré de boucles blondes, est souriant et très légèrement maquillé. Son tee-shirt dissimule mal une volumineuse poitrine. Par contre ses hanches sont assez minces. Elle a dû être une très jolie femme et elle a de beaux restes.
Je leur présente le bateau et les installe dans le cockpit.

— Voulez-vous quelque chose à boire : jus de fruits, café ou planteur, bien qu’il soit un peu tôt ?

Ils se consultent du regard puis elle décide :

— Allons-y pour deux planteurs. Ils ne sont pas trop forts ?

Je ramène leurs boissons qui étaient déjà prêtes dans le réfrigérateur du bateau.

— Ne vous inquiétez pas, ils sont légers. Il ne faudrait pas que vous soyez trop gais avant l’arrivée des autres clients…

L’homme réagit :

— Des autres clients ? Mais nous ne sommes que deux. Nous avons loué le bateau pour nous. L’agence ne vous a pas prévenu ?

La femme intervient :

— Nous fêtons nos trente ans de mariage alors on se fait une petite folie…
— Eh bien, bon anniversaire et puisque vous n’attendez personne, en route !

J’embraye les moteurs et largue les amarres tandis qu’ils sirotent leur punch. En moi-même je me dis qu’ils ont quelques moyens pour se permettre ce genre de plaisir. Mais j’ai cru discerner un léger accent chez elle. Ce sont probablement des Suisses. Je vais les soigner et ils soigneront mon pourboire…

Leurs boissons terminées, ils s’engouffrent dans le bateau et ne tardent pas à ressortir en maillot de bain. Effectivement elle n’est pas mal du tout pour son âge. Pas ou peu de ventre, des fesses un peu molles probablement mais appétissantes et une poitrine généreuse que son soutien-gorge peine à contenir.
Elle se dirige vers l’avant du pont tandis que lui s’approche de moi.

— Dites-moi, jeune homme, nous sommes naturistes, cela ne vous choque pas ?
— Rien de me choque, Monsieur, et sur les bateaux on vit souvent nus. Par contre, attention : le soleil tape dur et il aime les fesses blanches. N’oubliez pas votre crème solaire et usez-en abondamment la réflexion sur l’eau pourrait vous brûler très rapidement. Il serait dommage de ne plus pouvoir vous asseoir.
— Merci du conseil. Peut-on s’installer sur le trampoline à l’avant ?
— Pas de soucis la mer est calme. Mais vous ne serez pas à l’abri de quelques embruns.
— Bah, l’eau est chaude, nous prenons le risque… Je vais chercher la crème solaire.

Nous sommes déjà hors du chenal. Tandis qu’il cherche sa protection solaire, j’enclenche le pilote automatique et vais en pied de mât hisser la grand-voile.
La dame est étendue à plat-ventre dans le trampoline. Elle n’a pas attendu mon autorisation pour se mettre nue. Elle est vraiment appétissante. Je ramasse son maillot qui gît au pied du mât.

— Je range votre maillot à l’intérieur pour éviter qu’il ne finisse à l’eau, lui dis-je.
— Merci, vous êtes adorable.

De retour dans le cockpit, j’explique brièvement le programme au mari qui, nu, s’enduit copieusement de crème. En bon mâle vaniteux, je constate que question taille je n’ai pas à avoir honte…
L’homme s’inquiète :

— La baie où nous déjeunerons ne sera pas trop fréquentée ?
— À cette saison, il y a des chances que nous y soyons seuls.
— Tant mieux, ma femme et moi tenons à profiter pleinement de cette journée. Pour vivre heureux, vivons cachés.

Puis il s’en va dans le trampoline rejoindre sa femme.
J’ai coupé les moteurs, le bateau avance tranquillement sur l’eau transparente. J’hésite à envoyer le génois, la voile d’avant, car cela risquerait de faire de l’ombre à mes clients. Je décide de les laisser bronzer. Je vais à l’intérieur du bateau où, à la radio, je préviens mon compère Joseph de mon horaire probable d’arrivée à l’anse où il réside. De la table à cartes, j’ai une vue plongeante sur le cockpit et je vois l’homme qui consciencieusement enduit sa femme de crème solaire.

Consciencieusement car je trouve qu’il insiste beaucoup sur les fesses et l’intérieur des cuisses. Elle glousse et se retourne. Elle a une grosse poitrine, naturelle qui pend un peu et, bingo, c’est une vraie blonde. Sa toison pubienne est taillée au cordeau. L’homme continue ses caresses sur le haut des cuisses tandis que d’un geste naturel, elle s’empare du sexe de son mari qu’elle commence à caresser. Un grésillement dans la radio me rappelle à mes obligations. C’est Joseph, mon compère qui a en charge d’amener le sublime colombo de poulet que sa femme cuisine et que je sers aux clients.

— Hey Justin, tu m’entends ?
— Oui Joseph.

Je parle bas dans le micro.

— J’étais perturbé par un charmant spectacle.

De fait, sur le trampoline, l’homme bande ferme et sa femme vient de se pencher sur son sexe. Ça y est, elle l’a mis dans sa bouche et entame une fellation experte.

— Tu verrais ça, vieux frère. Bon oublie le colombo pour midi, je n’ai que deux clients et ils ont loué tout le bateau. Amène des langoustes.
— Ti male, elle doit être pas mal ta cliente.
— Tchembé raide.

J’éteins la radio. Le couple est maintenant allongé sur le côté, lui, derrière elle, et à ses mouvements de bassin je comprends que la vie est belle pour eux.

Je regagne l’arrière du bateau et me remets à la barre. Et en parlant de barre, j’en ai une sacrée dans mon short. Le fait de les entendre glousser n’arrange rien. Après un long moment, c’est le silence… L’homme a dû arriver à bon port… En tout cas ils me sont sympathiques avec leur sans-gêne et leur totale impudeur.
Un claquement de vague dans une étrave, et des hurlements joyeux. Ils viennent de se faire doucher.
Effectivement, je ne tarde pas à les voir revenir trempés. Lorsqu’elle marche, ses seins libres de toute entrave ballottent tellement qu’elle en amortit les mouvements de son bras replié. Ils s’installent en riant dans le cockpit.

— Vous aviez raison pour les embruns… Dites-moi, vous reste-t-il de ce planteur ?

L’homme a la voix joyeuse du mâle après l’amour. Et ce sont de joyeux drilles.

— Bien sûr.

Je leur ramène deux punchs glacés. La dame a pris ses aises. Elle est assise sur une banquette, tête en arrière, yeux fermés, les jambes tendues devant elle, pieds posés sur un siège et les cuisses légèrement ouvertes. Sa lourde poitrine est attirante, mais surtout, lorsque je passe devant elle, j’ai une vue plongeante sur son intimité.
Au moment où je vais regagner le poste de pilotage l’homme m’arrête.

— Vous trinquerez bien avec nous ?

Je repars vers le carré et repasse devant la dame puis reviens un verre de punch à la main et fatalement devant elle. À chaque fois je ne peux m’empêcher de regarder ce sexe semi-ouvert, quasi-offert. Mon état ne doit pas passer inaperçu car l’homme interpelle sa femme :

— J’ai l’impression que tu ne laisses pas notre skipper indifférent, mon amour.

Elle ouvre les yeux et son regard se fixe sur mon short, tandis que je suis affreusement gêné.

— Allons, je pourrais être sa mère…

Toujours est-il qu’elle tend la main et effleure la bosse que fait mon sexe en érection dans mon short.

— C’est vrai qu’il bande… Vous nous avez vus dans le trampoline, c’est ça.
— J’ai vu sans le vouloir, Madame, difficile de faire autrement.
— Je vous l’avais dit, très chère, que vous vous comportiez comme une chatte en chaleur. Regardez ce pauvre garçon maintenant. Vous ne pouvez pas le laisser comme cela…
— Mais il ne voudra pas d’une vieille femme, mon ami…
— Vous êtes très belle Madame
— Flatteur.

Elle a glissé sa main dans ma ceinture et m’attire vers elle. D’une seule main, experte, elle a dégrafé ma ceinture et mon short tombe à terre. Je ne porte pas de slip et mon sexe tendu semble pointer vers son visage. Elle soupire :

— Ce serait dommage de laisser perdre cela.

Elle finit son verre d’un trait et se penche sur mon problème. La sensation de sa bouche rafraîchie par la boisson sur mon sexe brûlant est à crier de bonheur.
Son mari regarde la scène, confortablement installé en sirotant sa boisson. Je n’ose rien dire, rien faire pour ne pas casser la magie du moment. La tête blonde monte et descend sur mon membre, aspirant, chatouillant, léchant. Le silence est intense seulement interrompu par le clapotis de la mer sur les coques et les bruits de succion de ma cliente. C’est une experte en pipe et elle atteint son objectif : je sens le plaisir monter de mes reins et je me déverse dans la bouche accueillante. Elle a resserré ses lèvres autour de ma hampe et semble téter pour aspirer les dernières gouttes de mon plaisir.

Quand, enfin, elle me libère, je pars sans un mot à l’intérieur et ramène d’autorité trois autres boissons.
La dame a repris sa position légèrement obscène. Je pose un verre près d’elle et je m’assois à côté de son mari dans l’axe de ses jambes entrouvertes…

— Elle suce comme une reine, n’est-ce pas ?

L’homme semble très fier.

— Je n’avais jamais connu cela. Vous êtes une experte, Madame.
— Merci jeune homme. Votre avis m’intéresse car mon mari n’est pas objectif. Il est amoureux…
— Pas du tout très chère, vous avez une bouche divine, un cul de reine et votre sexe est d’une douceur sans égale ; et je suis objectif…
— Allons mon bon, vous allez encore perturber notre jeune skipper.

De fait, de les entendre discuter ainsi, sans pudeur, tout en ayant sous les yeux sa toison blonde qui souligne plutôt qu’elle cache son sexe, je sens ma bite reprendre quelque vigueur. L’homme s’enquiert :

— Dans combien de temps arrivons-nous ?
— Encore une petite heure.
— Eh bien ma chère, vous avez le temps de nous montrer vos talents, ainsi ce jeune homme pourra juger que je suis objectif.
— Mais c’est au jeune homme qu’il faut demander.
— Mais je suis entièrement d’accord avec votre mari, Madame. Entièrement d’accord.
— Bon, mais n’attendez rien d’exceptionnel. C’est plutôt moi qui ai la chance d’avoir deux queues sous la main. Allongez-vous sur le dos.

J’obtempère immédiatement. Elle se pose à mon côté et saisit ma verge semi-érigée dans sa main. Quelques mouvements de poignet, en douceur, et me voici en érection.

— N’avais-je pas raison jubile son mari, elle réveillerait un mort.

Je ne peux qu’acquiescer. Elle se lève et m’enjambe. J’ai au passage une merveilleuse vision de son sexe. Puis elle s’accroupit au-dessus de ma queue et j’ai maintenant une superbe vue sur son cul. Elle s’empare de ma verge, la place à l’entrée de son sexe et dans un mouvement lent mais déterminé elle s’empale sur mon membre en poussant un soupir d’aise…

Je vois son derrière un peu flasque monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle se tient très droite et regarde son mari dans les yeux. Son mouvement est régulier et elle monte jusqu’à la limite puis se laisse retomber en profitant de toute ma longueur. Lorsque ses fesses touchent mon bas-ventre, elle a de petits mouvements de bassin comme pour gagner encore quelques millimètres.

— Alors jeune homme, me demande son mari, le verdict ?
— Divin.
— Et toi chérie ?
— Il est long, c’est agréable.

Elle a une voix un peu lente, comme si elle était concentrée sur mon mouvement, sur son plaisir, sur notre plaisir.
L’homme se lève. Il a repris de la vigueur et se place devant sa femme.

— Allons chérie, vous savez faire plusieurs choses à la fois.

Il place son sexe devant les lèvres de sa femme et docilement elle commence à le sucer.
Notre trio s’active ainsi un bon moment puis l’homme sort sa queue de la bouche de sa femme et la fait se relever et pivoter sur elle-même. Maintenant, c’est sur sa poitrine que je fixe mon regard tandis qu’elle s’empale de nouveau. Je malaxe plus que je ne caresse ses mamelles. Puis l’homme pousse sur son dos la forçant à poser ses seins sur mon torse puis il farfouille derrière elle. Je sens un moment sa queue sur la mienne et je m’immobilise. Il trouve enfin ce qu’il cherchait : l’entrée des reins de sa femme. Je sens qu’elle se cambre. Puis elle pousse un cri. Son mari s’est introduit. Je me remets à bouger en essayant de calquer mon rythme sur celui de son époux. Elle pousse de longs gémissements de plus en plus rauques et de plus en plus forts. Puis son corps se tend comme un arc prise d’un intense orgasme. Son plaisir déclenche le mien. Et celui de son mari. Nous nous déversons dans les deux orifices investis en grognant de bonheur.
Après un instant son mari se relève en mettant une claque ferme sur les fesses de son épouse.

— Un cul de reine, je vous l’avais dit.

Nous étions devant l’anse où je comptais m’arrêter. Impeccable, personne… Le temps d’y entrer et d’ancrer le bateau et ils étaient tous les deux à batifoler dans l’eau comme des enfants.
J’avais remis mon short en prévision de la venue de Joseph et je mettais la table pour les clients. Trois couverts car l’usage est que le skipper mange avec ses clients. Compte tenu de ce qu’ils m’avaient fait vivre, j’étais content d’avoir du champagne au frais et je disposai des coupes. Il y aurait en dessert une salade de fruits et des fruits frais du pays. Des avocats en entrée et des langoustes. Le temps de préparer un plat de riz et le tour est joué. Un déjeuner sympa par lequel j’espérais montrer ma reconnaissance pour le plaisir reçu.

Le bruit du moteur de la barque de Joseph me surprend au moment où je finis de dresser la table. De mon âge, Joseph est un jeune pêcheur local, excellent plongeur et joyeux compagnon qui ne refuse jamais un ti’ punch au grand dam de sa femme. C’est plutôt un beau mec avec un corps musclé mais élancé.

— Alors, ils sont où tes clients, demande-t-il en déposant sur la table du carré un plat de langoustes grillées.
— Ils sont partis se baigner.

Il jette un œil dehors.

— Ok, je les vois sur la plage. Mais, ils sont à poil.
— Ouais, des naturistes. Et des libertins. Je te raconterai. Mais pas maintenant, ça va me faire bander.
— À ce point… J’espère qu’on te paye pas pour ce job-là, dit-il éclatant d’un rire joyeux.

Je lui sers un verre afin de détourner la conversation et lui demande des nouvelles de sa femme. Nous bavardons un moment puis il prend congé et regagne sa barque au moment où mes clients se hissent sur la jupe arrière du bateau.

— Bonsoir messieurs-dames dit Joseph les yeux rivés sur la poitrine de la dame.

Je le présente aux clients.

— Joseph, un ami qui vient d’apporter des langoustes.
— Des langoustes. Comme c’est gentil, s’écrie la cliente. Venez prendre l’apéritif avec nous !

Joseph ne se fait pas prier et remonte à bord. Je crois que pas un instant, il n’a quitté des yeux les seins plantureux qui s’exhibent sous son nez.
Mes clients s’installent à table en me félicitant pour la décoration tandis que Joseph s’assoit sur un des postes de barre.
Je débouche le champagne sous le regard ravi du mari et de la femme et je porte un toast :

— À vos trente ans de mariage.

Ils se lèvent tous les deux et s’embrassent langoureusement. Nous trinquons.
L’ambiance est festive. Le rhum déjà ingurgité et nos exercices physiques n’y sont pas pour rien. Joseph nous regarde un peu intrigué par cette bonne humeur.
Je le mets à l’honneur.

— Venez voir ce que Jo a apporté. Ils se lèvent et me suivent à l’intérieur. Leur nudité est totalement naturelle. Cris de joie devant le plat de « bêtes à cornes ».
— Oh, c’est magnifique.

La dame ressort va vers Joseph et l’embrasse sur les deux joues :

— Merci beaucoup, c’est superbe.

Je vois Joseph embarrassé, une femme, âgée certes mais attirante dans ses bras et une coupe de champagne à la main. J’imagine qu’il doit commencer à être assez excité.
Le mari intervient et m’interpelle :

— Écoutez, il y en a trop. Verriez-vous un inconvénient à ce que votre ami déjeune avec nous ?

La femme est toujours dans les bras de Joseph.

— Oh oui Joseph, restez avec nous.

Bien sûr, je n’y vois pas d’inconvénients et Joseph non plus !
Le déjeuner est animé, agréable et Joseph raconte des tas d’histoires sur son île, les traditions, sa vie de pêcheur. Certes son regard est très souvent rivé aux seins de ma cliente mais son mari n’est pas jaloux et elle-même semble prendre plaisir à s’exhiber. J’ouvre une deuxième bouteille alors que nous dévorons les langoustes, et c’est repus que tout le monde se vautre sur les banquettes tandis que je débarrasse la table.
J’annonce le programme :

— Allez, on va se baigner une dernière fois et on met les voiles.
— Super, ça va nous faire digérer.

La femme est déjà debout. Elle prend Joseph par le bras et le tire vers les jupes arrière du bateau.

— Allez Joseph, à l’eau avec nous.

Joseph est un peu ivre. Le rhum, il connaît le champagne moins. Il hésite un instant puis se débarrasse de son short et plonge à l’eau, aussitôt suivi par le couple de clients.
J’en profite pour faire la vaisselle et ranger les couverts pour éviter la casse. J’entends les cris joyeux, puis l’homme remonte et s’essuie.

— Votre ami Joseph et très agréable. Et il fait honneur à son pays.
— Comment cela ?
— Eh bien, vous ne l’avez pas vu ?

Il éclate de rire.

— Mon cher, il a une queue d’âne… Ma femme va être folle. Ça m’étonnerait qu’elle résiste.

La femme surgit de l’eau, accrochée à l’échelle de bain, suivie par Joseph qui du coup doit avoir un vue intéressante sur son sexe et son cul.
Effectivement, quand il surgit de l’eau je vois que l’homme n’a pas menti, Joseph est monté comme un âne et en plus il est en semi-érection. De quoi nous donner des complexes. Il s’empare prestement d’une serviette et commence à s’enrouler dedans dissimulant son membre à nos regards. La femme ne peut s’empêcher de réagir. Elle bloque son bras, att**** la serviette et lui retire.

— Ah non, ne cachez pas un engin pareil, au contraire…

Joseph roule des yeux éberlués tandis qu’elle s’approche de lui et pose sa main sur sa bite.

— Je n’en ai jamais vu une si grosse.

Elle soupèse le membre qui dodeline dans sa main.

— Je n’ai jamais vu de sexe noir. Vous vous rendez compte. Elles sont toutes de cette taille ?

Joseph s’étrangle à moitié et c’est d’une voix de petit garçon qu’il répond :

— Non Madame, ma femme dit qu’elle a de la chance
— Je la comprends. Vous permettez ?

Elle s’agenouille devant et prenant ses seins dans ses mains, elle entoure la queue dans une douce prison et fait coulisser l’engin entre ses mamelles. Je connais la femme de Joseph qui a un corps de gamine et de tout petits seins. Sûr qu’un traitement pareil est une première pour lui. Le mari s’est assis et regarde la scène avec intérêt, une flûte de champagne à la main.

Sa femme branle doucement le sexe avec ses seins et profite que le gland émerge de sa poitrine pour le lécher puis finalement finit par le mettre dans sa bouche. Joseph a les yeux exorbités le souffle rauque et il a un soubresaut. Il se vide dans la bouche qui l’emprisonne tandis que la dame continue ses va-et-vient. Du sperme dégouline le long de la queue et coule sur son menton.

— Eh bien, vous êtes rapide, vous aviez une grosse envie. C’est flatteur pour moi, minaude sa suceuse.

Ce salaud ne débande même pas. Il reste raide comme la Justice et avec des yeux déments, il repousse la femme, passe derrière elle, la fait mettre assez brutalement à quatre pattes et se rue entre ses cuisses en s’enfonçant de toute sa longueur d’un mouvement brutal qui arrache un petit cri à la dame. Effaré par la tournure des événements je me laisse tomber à côté du mari. Nous avons sa femme face à nous, haletant la bouche ouverte, du sperme sur les lèvres et le menton, sa lourde poitrine ballottant entre ses bras dans une houle puissante imposée par les coups de reins frénétiques de Joseph, derrière elle, les yeux fermés, qui la tient fermement par les hanches et lui imposant de véritables coups de boutoir de toute la longueur de son membre disproportionné. C’est un coït primitif, bestial, mais très excitant puisque le mari bande maintenant et se branle vigoureusement. Il finit par pousser un cri rauque et se levant précipitamment, tenant son sexe à la main, il s’approche de sa femme. Pliant les genoux, il éjacule à long traits sur son visage. Elle continue à haleter la bouche ouverte, le sperme de son mari se mêlant à celui de Joseph. Son mari introduit son sexe quasi-flasque dans la bouche béante, finissant de se vider, extirpant de son corps les dernières gouttes de jouissance sans que celle-ci ne réagisse.
J’ai moi-même sorti ma bite et me branle également avec énergie.

Joseph ne faiblit pas et la femme pousse maintenant des râles ininterrompus. J’accède rapidement au plaisir et comme le mari, qui s’est rassis et reprend son souffle, je me précipite sur la femme et lâche ma semence sur son visage, sur ses cheveux et dans sa bouche grande ouverte en poussant des grognements de bête. La femme, maintenant hurle sa jouissance à pleins poumons tandis que fauché par le plaisir, je m’effondre à côté du mari, n’ayant pas la force de ranger ma bite qui pend hors de mon short.

Soudain, Joseph pousse un couinement qui en d’autres circonstances aurait été ridicule. Il donne un dernier coup de reins, écrasant les fesses un peu flasques de la cliente et se vide dans les entrailles de la femme qu’il lâche.

Elle se laisse aller à plat-ventre, la croupe un peu surélevée et reste immobile, silencieuse, haletante, le cul offert, dans une pose grotesque.

Le membre de Joseph perd de sa vigueur et il semble émerger d’un rêve. Il nous voit le mari et moi, qui le regardons. Ses yeux se baissent sur la femme qui gît à ses genoux. Il voit son visage de profil, inondé de sperme, ses cheveux blonds dégoulinant où ma semence s’est mêlée à l’eau de mer.

Soudain il se relève rapidement, saisit son short et sans prendre le temps de l’enfiler, il saute dans sa barque, lance le moteur et s’enfuit avant que nous n’ayons pu dire un mot.
Le mari le regarde s’éloigner, me regarde stupéfait et nous éclatons de rire.

— On aurait dit qu’il avait le feu aux fesses.
— C’est plutôt ma femme qui a le feu au cul.
— Alors il avait vu le diable.
— Ce n’était pas le diable, mais son gros zob poilu, chantonne le mari entre deux hoquets.

Nous sommes tous deux en proie à un fou-rire et nos hurlements finissent par faire sortir la femme de sa torpeur.

— La vache, qu’est-ce qu’il m’a mis.
— Chérie je crois que ton maquillage coule.

Elle passe la main sur son visage et la contemple recouverte de sperme.
Nous continuons notre fou-rire et après quelques instants, elle nous rejoint dans notre hilarité nerveuse.
Le temps avait passé plus rapidement que prévu et nous nous jetons à l’eau pour essayer de reprendre des forces et pour la cliente, procéder à une toilette nécessaire.
À peine remonté à bord, je vais hisser les voiles, relever le mouillage. Nous prenons rapidement la route du retour, sous grand-voile et génois. Mes clients sont installés dans le cockpit et finissent la bouteille de champagne. Elle est très bavarde.

— Il est incroyable Joseph. J’avais l’impression d’être dans la guerre du feu. Prise en levrette par un monstre qui me pilonnait sans arrêt… Bestial. Mais quel pied, quel pied…

Elle caresse distraitement le sexe de son mari qui ne réagit plus.

— Pour nous aussi c’était impressionnant à voir, lui explique-t-il. Notre jeune skipper et moi on s’est masturbé et on a pris notre plaisir sur ton visage sans que tu réagisses.
— Vous avez fait cela ? Ah les cochons minaude-t-elle en simulant une fâcherie, en tous cas j’avais une peur : qu’il essaie de prendre mes reins. Je n’aurais pas survécu…

Je remets le pilote et vais ouvrir une troisième bouteille, la dernière de mon stock.
Je porte un toast à tout ce que nous avons vécu aujourd’hui.

— Si tous les clients étaient comme vous, ma vie serait un rêve.

Flattés ils trinquent avec moi.
Nous nous sommes rhabillés à l’entrée du chenal et c’est fatigués mais heureux que nous avons pris nos amarres. Les adieux sur le quai sont émouvants car après avoir vécu une telle intimité, les relations sont différentes.

D’ailleurs ils m’invitent à dîner pour le lendemain à leur hôtel. Et le pourboire que l’homme me glisse discrètement témoigne que leur anniversaire de mariage leur a laissé un souvenir inoubliable !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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