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Aurore

Aurore



J’ai rencontré Aurore il y a six mois dans une association de mon quartier. Nous avons discuté et c’est le genre de femmes que j’aime. Elle est ingénieure chef de projet, divorcée, a une fille au collège, aime le sport. Elle est brune, mince, raisonnablement musclée et de contact très direct. Elle m’a dit qu’elle aimait sa vie indépendante et que ce n’était pas trop dur grâce aux copains. Moi je suis un peu plus âgé et je vis aussi seul. Je l’ai revu toutes les semaines dans cette association et j’ai fini par lui proposer un apéro à la maison.
Nous avons bu un verre sur la terrasse à l’ombre devant la piscine en discutant de nos goûts. Elle précisa qu’elle courait régulièrement pour être bien dans son corps et dans sa tête, comme moi qui fait du vélo. Au bout d’un moment elle me dit « il fait chaud, je ferai bien un saut dans ta piscine si tu permets ». Elle se leva se mit nue et plongea dans l’eau et nagea. Quand elle sortit de l’eau je lui tendis une serviette et pu admirer librement son corps épilé sauf un triangle sombre de poils courts qui semblaient montrer son clitoris. Elle a petits seins dont les tétons excités par l’eau fraîche semblaient interpeller. Drapée dans la serviette elle me fit une bise au coin des lèvres en me disant « merci, c’était bon ».
La suite s’est passée sur le divan du salon où j’ai vu qu’elle était vraiment libre dans sa tête, qu’elle aimait son corps et en user pour en tirer du plaisir. Je n’avais pas eu autant de plaisir à baiser une femme depuis longtemps. Ce jour-là nous n’avons pas prolongé plus. Je savais que j’allais la revoir car elle avait jouit plusieurs fois sans retenue aucune.
Dans les semaines suivantes nous avons fait quelques restos, cinés, balades. Nous étions bien ensemble mais aussi bien dans nos vies respectives. Elle aimait le sexe et à chaque rencontre nous faisions l’amour chez moi, chez elle, dans la voiture, dans la nature et même une fois dans une église de campagne. C’était très bon de se sentir libre et avec une femme qui ne mettait pas de contenu affectif trop prégnant.
Un jour elle me dit « tu sais, je vais dans des boites échangistes, si ça te dit je te fais découvrir ». J’ai été tenté et nous allâmes un samedi soir tard au 69. C’était, au N° 69 d’une petite rue de la vieille ville, un club très grand aménagé dans d’anciens ateliers d’artisans. La fille à l’accueil, bimbo blonde, était seins nus et ne portait qu’une mini raz la chatte. Elle fit la bise à Aurore qu’elle reconnut et l’invita à me faire visiter.
Il y avait un grand bar donnant sur une vaste salle avec piste de danse, barres de pole-dance, miroirs partout, lumières tamisées et des sièges confortables pour déguster en regardant. Elle me fit aussi voir les alcôves avec des grands lits, le fumoir et le sauna.
Nous sommes allés au bar prendre une coupe de champagne servie par un beau garçon brun, tatoué, look gitan. Installé dans de confortables fauteuils nous avons observé la salle. Il y avait pas mal de couples dont certains en tenues légères s’exhibaient sans retenue. Je vis une femme qui masturbait son cavalier en dansant. Un homme qui s’accroupit pour sucer le sexe de sa partenaire qui avançait son bassin dans sa direction. C’était chaud.
De temps en temps une animatrice faisait un strip-tease en pole dance en utilisant la barre comme si c’était un organe sexuel. Certains couples partaient dans les alcôves souvent à trois ou quatre. Il y avait à côté de chaque lit du gel, des préservatifs et des serviettes en papier et une grande poubelle.
La musique fut interrompue pour nous annoncer une animation sur une scène surélevée située sur un coté de la salle. Un couple s’y présenta et dansa en se déshabillant. C’était le barman tatoué et la bimbo de l’entrée. Ils dansèrent nus puis firent l’amour dans toutes les positions possibles. Pour le clou elle se faisait sodomiser à 4 pattes en poussant des cris signifiant qu’elle était à mi-chemin entre douleur et jouissance. Lui avait un pénis phénoménal. Ils furent applaudis par toute la salle.
Aurore alla danser sans me faire signe. Elle se rapprocha d’une cavalière qui dansait seule et elles s’enlacèrent dès qu’il y eu une musique plus lente. Elles semblaient bien se connaitre car je les vis s’embrasser et se caresser les seins et les fesses tout en dansant. Puis elles sont venues vers moi. Aurore dit « je te présente Lola, je l’ai rencontrée ici la semaine dernière, si elle te plait on peut aller jouer ensemble dans une alcôve. La fille était jeune, menue avec une robe fendue très décolletée qui la dévêtait beaucoup. Elle me regardait avec des yeux brillants en souriant. Je me suis levé pour lui faire une bise sur les lèvres qu’elle a entrouvertes pour passer sa langue dans ma bouche. Elle semblait à point.
Nous nous mimes nus sur le lit et Aurore me dit « j’ai vraiment envie d’elle, laisse-moi la chauffer ». Elles se firent des baisers partout et terminèrent en 69 pour se faire jouir avec leurs bouches. Moi je leur caressais fesses et seins en me masturbant. Lola me regarda et dit « viens, prend moi par derrière je veux continuer à faire jouir Aurore, tu peux me sodomiser, j’aime beaucoup ». Elle fit de nouveau jouir Aurore en la pénétrant avec sa main et en lui suçant le clitoris. En même temps elle poussait ses fesses vers moi lorsque je la pénétrais pour que j’aille plus profond. J’avais passé une main sous elle et lui massait activement ses lèvres et son clito. Elle partit dans un orgasme délirant, tremblant de tout son corps, s’effondrant sur le lit en vibrant de partout. Puis elle sembla perdre un peu connaissance mais se redressa et me dit « toi t’es vraiment bon, j’ai joui comme une folle ». J’ai ensuite fait l’amour à Aurore en l’embrassant tendrement pendant que Lola me caressait les fesses et l’anus.
Nous sommes restés encore un peu en buvant un verre avec Lola tout en regardant le spectacle. Elle me dit avec simplicité qu’elle était folle de son corps dont elle tirait beaucoup de jouissance. Elle venait seule toutes les semaines car l’entrée était gratuite pour elle. C’était sa façon de faire du sport. Il lui arrivait d’aller baiser dans les alcôves plusieurs fois par soirée avec des partenaires différents. Elle se pencha vers moi et me dit « tu vois la grande brune qui dance avec la fille rousse à gauche ; c’est un trans ; elle a une queue fabuleuse dont toutes les filles sont folles »
Dans la vie, elle était avocate spécialisée dans les divorces.

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