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Au cinéma

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Pure délire de ma part.
Il y a une quinzaine de jours, nous Alain m’a emené au cinéma voir « 50 nances de grey ». Au cors du film, j’ai eu une envie pressante.
— Chéri, j’ai envie de faire pipi.
— Tu ne peux pas attendre la fin du film ?
— Non, c’est urgent ! Accompagne-moi, j’ai peur d’y aller toute seule !
Nous avons alors dérangé les spectateurs de notre travée, puis nous avons pris le long couloir qui menait aux toilettes. Je m’éclipse rapidement dans la partie réservée aux femmes. Pendant que j’étais aux toilettes, mon mari en a profité pour se soulager également. Il s’est retrouvé dans une situation cocasse. Un homme qui était à côté de lui avait une vrai bite de cheval et se masturbait effrontément.
Une discution s’est entamé entre eux.
— C’est pas possible !
— Elle est belle, hein ! me dit-il.
— Monstrueuse !
Sa main allait et venait sur la tige.
— Branle-moi ! lui dit-il.
— Ça va pas ? Je suis pas pédé !
Cependant, Alain restait les yeux fixés sur l’énorme engin, avec une étrange fascination.
— Tu veux que je te suce ?
J’ai alors vu Alain ressortir des toilettes affolé.
— Qu’est-ce qui t’arrive ?
— Rien !
— Tu as l’air bouleversé.
Alors, il m’a raconté l’histoire.
— Une bite comme ça !
— C’est pas possible !
— Si, je te jure ! Enorme !
— J’aurais bien aimé voir ça !
Et là, me prenant au mot, il me saisi le bras et m’entraîne dans les toilettes des hommes sans que j’ai eu le temps de réagir.
— Y a qu’à y aller voir !
— Tu es fou ! C’est dangereux !
— Tu ne risques rien !
Alain a poussé la porte des toilettes pour hommes, m’entrainant derriére lui. Le type était toujours là et se tripotait encore. Nous restions là, à le regarder et Alain a toussoté pour l’avertir de notre présence. Il a jeté un oeil par-dessus son épaule et a eu l’air surpris.
— Ah c’est toi !
Puis, remarquant ma présence :
— Tu as ramené ta salope ?
— Elle ne voulait pas me croire, dis-je en indiquant, d’un mouvement de tête, son bas-ventre.
— Approchez-vous, nous dit-il.
Alain s’avança, en me tirant par le bras.
Il me contempla avec attention et ajouta
— Elle est bien foutu ta salope !
Puis il ajouta, de manière triviale :
— t’aime ça, les grosses bites salope ?
Je ne sais pas pourquoi, mais sans doute par bravade, Alain lui répond :
— Elle adore ça !
Je regarde mon mari outrée alors que cet inconnu se retourne, exhibant son engin.
— Elle en a déjà eu de belles comme ça ?
J’ai sursauté et mes yeux se sont exorbités !
— C’est pas possible !
Il branlait nonchalamment son énorme sexe bien dure.
— Tu en as déjà vu une grosse comme ça, petasse ? dit-il, en l’astiquant de plus belle.
J’avais le souffle court, le regard fixé sur l’énorme colonne. Inconsciemment mes lèvres s’étaient entrouvertes. Il avançait maintenant son bassin vers moi, se branlant d’une main et caressant de l’autre ses couilles. Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Mon mari excité par cette situation avait maintenant une érection pas possible et me regardait, fasciné, par mon visage troublé, tourné vers la verge offerte à ma vue. Le type semblait s’être aperçu, de mon émoi car il avait avancé son bassin et sa queue s’était dirigée vers moi. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, je l’espérais même. Soudain, il me dit :
— Branle-moi salope!
J’ai alors tourné mon visage vers Alain d’un air interrogatif.
«  Tu crois que je peux le toucher ? »
En me poussant vers l’avant, il dit :
— Prends-la en main, ma chérie !
Bon sang, qu’est-ce qui m’arrivait ? J’ai tendu la main vers la tige de chair tendue. Mon coeur s’est mis à battre très fort quand mes doigts se sont repliés dessus. j’ai étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.
— Oh oui, c’est bien, vas-y ! Super, ma chérie, branle-la bien !
— Qu’elle est grosse et dure Alain!
Je m’activais maintenant avec plus de vigueur. Mes deux mains, couraient sur l’incroyable colonne de chair. Ma respiration était devenue haletante, mon regard était rivé sur le magnifique pieu et mes lèvres, entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’e j’avais de le prendre dans ma bouche devant mon homme qui s’était mis à se branler.
— Oui, vas-y putain ! Ah ! C’est trop bon ! T’es un vrai salope toi ! Vas-y !
Excitée par leurs encouragements, j’astiquais l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, je me déchaînais comme une hystérique sur l’objet de son excitation. D’un coup de rein, l’homme a porté son gland sur mes lèvres luisantes.
— Qu’elle est grosse ! Qu’elle est bonne !
Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de ma bouche tentée de happer la bite tendue. À un moment, j’ai tourné mon visage vers Alain et, comme si je devais lui demander l’autorisation :
— Je peux la sucer ?
— Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le comme tu aime le faire !
— Oui, suce-moi, salle chienne ! a renchéri le bonhomme.
D’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre mes lèvres gourmandes. Plus rien n’existait maintenant pour moi ! Sans retenue, je m’efforçais d’enfoncer le plus possible la belle queue dans ma gorge. Plus rien ne comptait pour moi que ce plaisir de sucer et d’enfoncer profondément lcette bite gonflée dans ma bouche distendue dans un bruit de succion de plus en plus sonore.Tout en se masturbant frénétiquement, mon mari m’encourageai.
— Oui, ma chérie ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond ! Lèche- lui les couilles !
— Quelle pompeuse, votre salope ! renchérit le bonhomme.
Il avait empoigné ses seins, maintenant, et les tripotait doucement.
Alain me caressait les fesses, quand le bruit sourd de la porte des toilette se fait entendre.
— Quelqu’un arrive ! Dis je en me relevant tout d’un coup, affolée.
— Venez ! a dit l’homme, me prenant la main.
Il nous a poussés vers les WC et a fermé la porte derrière nous. C’était de vastes toilettes, prévues pour les handicapés. Il y avait une barre d’appui le long du mur. Notre homme y a calé ses fesses et, comme naturellement, je me suis accroupie à hauteur de sa grosse queue. Il avait relevé mon pull et avait mis à l’air mes seins gonflés. Il caressait mes tétons dressés. À son tour, mon homme a éprouvé le besoin de me toucher. Il a glissé sa main sous ma jupe, jusqu’à ma chatte brûlante. Ma fente était gluante de mouille. Sa caresse a multiplier mes sensations, et je me déchaînais à présent comme une folle sur le gros truc tendu. Mon mari me criat presque :
— Suce-le bien, ma salope, tu aimes, hein, les grosses queues !
Alain me branlait frénétiquement.
— Bouffe-lui ses couilles !
Je lui obeis et suça, pompa, et avala les grosses boules velues.
Alain c’est placé derrière moi. Il m’a pris par les hanches et s’est enfoncé sans résistance dans ma chatte baveuse. Bon sang comme c’était bon ! J’étais trempée ! Je me déchaînai, sur la queue de l’inconnu et mon mari me pilonnai sans ménagement.
— Remonte-bien sa jupe, que je puisse mater le cul de ta pute ! a dit notre étalon.
Complaisamment, je me cambrait un peu plus.
— Quel beau cul !
Il s’est penché en avant et a claqué mes fesses rebondies. Ses mains malaxaient les globes avec brutalité. Alain de son coté, s’enfonçai de plus en plus profondément dans ma chatte chaude de chienne en chaleur. Je geignait de plus en plus fortement. Bon sang ! Nous ne nous contrôlions plus. Nous haletions tous les trois comme des forcenés. Je m’abandonnais sans retenue. Un doigt fouillait ma rondelle. Plus rien ne comptait plus que cette frénésie de plaisir qui nous submergeait ! Soudain, le gars s’est redressé, puis a porté la main à sa poche. Il en a extrait un préservatif de taille visiblement XXL, puis l’a enfilé sur sa bite de cheval. Avec autorité, il a ajouté :
— Passe-la moi, maintenant !
Il s’est porté à la hauteurd’Alain la bite dressée, avec l’intention de prendre la place de mon homme. Alain s’est retiré, un peu à contre-coeur, de l’endroit tout chaud. Il m’a pris par les hanches. Je me cambrais davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute !
— C’est pas possible ! Tu vas la déchirer !
Mais la grosse queue m’investissait la chatte écartant mes chair et me remplissant pleinement. Ma chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueuse ! j’hurlait sans retenue maintenant.
Oh oui, c’est bon, trop bon ! Défonces moi bien salopard !
— Tu aimes, mon amour ?
— Oui chéreie c’est trop fort!!!!!!!!!!!!!!!!
I me fourrait avec une facilité surprenante ! Mon vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur mes hanches il s’enfonçait pratiquement tout entier. Alain, de me voir ainsi baisée, à m’entendre ainsi hurler mon plaisir, prenait un pied fou. Il se branlait comme un forcené. Il encourageait notre homme :
— Vas-y, baise-la bien ma pute ! Défonce-la cette chienne!
— Tu aimes, hein, ma cochonne ! Elle est bonne, sa queue ! Tu te régales putain!
Le pubis du gars, maintenant, claquait régulièrement contre mes fesses.
Mes cris allaient crescendo. De multiples orgasmes me secouaient. Je poussais soudain un cri d’extase, comme une déchirure de tout mon être. Mon mari voulu glisser sa bite dans ma bouche, mais au contact mes lèvres, il j’éjacula ! Maculant mon visage de sperme. Agrippé à mes hanches charnues, il s’épanchait maintenant à longs jets dans mon intimité, heureusement protégée par le préservatif. Pendant un moment, inous sommes restés comme soudés l’un à l’autre. Puis, comme au ralenti, le sexe encore gonflé s’extrait doucement, comme avec regret, de mon ventre. Les choses ont été très rapides, alors. Pendant que je remontais ma culotte et remettais de l’ordre dans ma tenue. J’étais maintenant honteuse. Le gars a essayé de nous retenir encore, nous invitant à passer boire un verre chez lui. Visiblement, il aurait bien voulu prolonger la rencontre. D’ailleurs, pendant que je me rhabillais, ses mains ne cessaient de me peloter. Nous nous sommes enfuis, un peu comme des voleurs. Il me suffit de songer à ces moments pour qu’un désir profond s’empare de moi.

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