Il vient de partir me laissant pantelante, j’ai mal partout, à la mâchoire, à la chatte, à mon petit trou. Je suis passée sous un véritable rouleau compresseur. C’est une vraie machine à baiser. Je suis devenue son esclave sexuelle.
Le forniqueur dont je parle c’est Christian, un pote de mon mari. Suite à un repas avec lui, alors qu’il était au toilette et qu’il n’avait pas fermer la porte, j’ai vu son engin. Là, il s’est retourné et en tenant son membre à pleine main, un rictus étrange déformant son visage, il m’a dit froidement, :
« Tu la veux dans le cul ? »
Je suis retournée rapidement voir mon mari rouge d’émotion, de peur et d’angoisse devant une telle vulgarité. Alain surpris me demande :
« Que t’arrive t il Michèle ? t’as vu la queue du diable ? »
La gorge nouée et n’osant quoi dire, je lui répond hésitante :
« Oui !! Enfin non !!… C’est rein… Je .. J’ai… Non rien t’en fais pas ! »
Christian revient lui aussi dans la salle et prenant part à la conversation, il dit :
« Michèle semble émotive ! Au fait Alain ? J’aurais besoin de ton perforateur. Je pourrai te l’emprunter dans la semaine ? »
« Bien sûr ! Viens le cherchez quand tu veux. Michèle sera là ! »
Il affiche le même sourire étrange en me regardant droit dans les yeux et me dit :
« Je téléphonerai avant de passer afin que d’être sûr que tu sois disponible. »
Son ton est ambiguë. Ma nuit est peuplé de cauchemars et de fantasmes fous. Je suis certaine qu’il va en profiter pour abuser de moi. J’ai peur et j’en ai envie en même temps. Je sais que je ne pourrai rien lui refuser.
Le lendemain matin, alors que je viens de faire la pipe matinal à Alain avant qu’il parte au travail, et que j’ai encore le goût de son sperme dans la bouche, j’entends une voiture entrer dans la cour. Mince, c’est Christian ! Il devait téléphoner le salop !
Je suis nue sous ma robe de chambre. Sans frapper, il entre et alors que je me suis précipitée dans la salle de bain pour me laver le visage vite fait, il crie :
« Michèle ! T’es là ? »
« Oui ! J’arrive ! »
Quelques instant plus tard, alors que je descend dans la cuisine, je lui dis :
« Quelle surprise ? Tu devais téléphoner ? »
Laconiquement, il me répond :
« Oui. Mais je suis là ! T’es pas encore habillée ? »
« Ben non ? Alain vient juste de partir et j’allais prendre ma douche ! »
Je remarque à nounveau son rictus malsain.
« Haaa ? Héhéhéhé ! T’es à poil alors là dessous ! » »
Je suis restabilisée et lui répond la gorge serrée :
« Euuuuhhh…..Je monte prendre ma douche. Sers-toi un café en attendant ! »
Je file dans la salle de bain et dans ma précipitation, j’oublie de verrouiller la porte. J’ôte ma robe de chambre et au moment où je vais sous la douche, Christian entre.
Le salop ! Il tient son sexe à la main et il bande comme un âne.
« Regarde salope ! Comme je bande pour toi ! Viens me sucer putain ! »
Je suis choquée par sa vulgarité et reste tétanisée en regardant son engin de taille impressionnante.
« T’es vraiment une belle salope et je craque pour tes grosses loches ! Alain doit se faire plaisir à te faire des cravates de notaire ! »
Je tente de le rejeter en lui disant :
« T’es fou ! Casse toi ou j’appelle Alain ! »
« Pauvre idiote ! C’est pas Alain qui va venir t’aider ! Viens me sucer ! J’suis sûr que t’es une super suceuse ! »
Il vient vers moi presque menaçant. Je reste comme une statue. Je pense même pas à me défendre ou à cacher mon intimité. Il me saisit par les cheveux et pousse ma tête vers son pieux. Comme hypnotisée, j’ouvre la bouche et il s’engouffre dedans à fond, à m’en étouffer. Je me laisse faire et il doit penser que je suis consentante.
« Suce bien salope ! J’vais te bourrer comme jamais ! »
I me donne des coups de rein comme pour me baiser la bouche. Sa queue pénètre de plus en plus loin dans ma bouche a chaque poussée . J’ai honte, je suis humiliée. Mais j’adore le sucer. Je salive et je bave. Rapidement Christian se lâche en long jets crémeux au fonde ma gorge. Ca fait ma deuxième rasade de sperme en moins d’une heure. J’avale son liquide séminal en hoquetant. Ca le fait éclater de rire.
« Excuse moi j’suis parti trop tôt mais t’inquiète j’ai de la réserve ! La prochaine, tu l’aura dans le cul ! »
Je suis dans un état d’excitation tel que je ne peux plus rien luil refuser et je lui dis même :
« Merci Christian ! Fais de moi ce que tu veux ! »
Il me fouille la chatte sans ménagement. Je mouille comme une grosse salope et il sait me le dire :
« Putain quelle chatte ! Tu dois être un vrai garage à bite ! J’vais la bouffer ta cramouille de pute ! »
« Oui bouffe-moi la chatte ! Fais-moi jouir ! »
Il se jette sur ma vulve comme un affamé. Sa langue est d’un efficacité redoutable. Je couine comme une chienne en chaleur et je pousse un cri de surprise et de douleur quand ce salopard m’enfonce deux doigts dans le cul.
Alors que je vais avoir mon orgasme, il s’arrête et me dit :
« Je crois que t’es prête je vais te bourrer comme une chienne à quatre patte ! Allez fait la chienne salope ! J’veux voir que tes trous sont prêt à se faire défoncer ! »
Il bande à nouveau et rentre d’un coup dans mon vagin pour en ressortir aussitôt et me perforer la rosette. Je hurle sous cette pénétration bestiale. Il commence aussitôt des vas et vient de plus en plus amples en m’ordonnant :
« Cambre toi plus putain ! J’vais te l’enfoncer jusqu’à la garde ! Ouaiii ! T’es bien serré ma pute ! T’aime être une pute ! Hein salope ! »
« Oui j’suis ta pute ! Défonce-moi bien ! J’veux que tu me saillisse comme une grosse salope ! »
« J’aime quand tu parles comme ça… hummm !!! Qu’il est bon ton p’tit cul ! »
Les deux mains accrochées à mes hanches, il me secoue comme un prunier. Je couine et ses couilles frappent violemment ma chatte. Je joui comme une damnée. Il se bloque au fond de mon cul et dans un grognement de bête il s’épanche au fond de mon ventre.
Je me laisse tombe sur le coté complètement anéantie et en s’essuyant dans mes cheveux, il me dit :
« T’es une sacré chienne toi ! C’est sympa qu’Alain me prête sa perforatrice ! A bientôt ma pute ! »
Il repart. Je reste allongée sur le sol de la salle de bain en me demandant ce qui vient de ce passer. Mon souffle redevient peu a peu normal. Je me relève, les jambes encore flageolantes. J’ai mal au cul. Je prend enfin ma douche et vais me recouché complètement naze. Et honteuse d’avoir laissé avec plaisir Christian abuser de moi.
Le lendemain, alors que je fais mon ménage, mon portable sonne.
« Bonjour ma pute ! »
« Heu… Bonjour Christian ! »
« Pas trop mal au cul ? »
« Je.. Si Chirstian il est très sensible. »…
« T’inquiète ! Tu t’y habituera ! Tu es prête à faire tout ce que je te demanderais ? »
J’ai un moment d’hésitation, puis lui réponds :
« Je sais pas Christian. Je crois que oui. »
« Bien t’es une bonne chienne ! Rendez-vous à 15h00 dans le petit bois de la pointe d’Agon ! Tu m’attendra nue à quatre pattes ! »
Je connais ce coin qui est réputé pour ces voyeurs et lui demande :
« T’es sûr ? C’est là où il y a des voyeurs viennent se rincer l’œil ? »
« Oui et alors ça te pose un problème ? »
Il ne me laisse pas le temps de répondre et il raccroche.
Après moult hésitation, l’après-midi je me rend dans le petit bois. Je regarde autour de moi, personne. La boule au ventre, je me mets nue et après une dernière vérification pour vérifier si il n’y a personne, je me met comme convenu à quatre pattes. J’ai la sensation d’être ridicule ainsi. Au bout de cinq minutes, j’entends des pas arriver.
Et sans dire un mot, sans même l’avoir vu venir, sans savoir si c’est Christian, une m’enfile comme un rustre. Il lui en faut pas plus pour se trouver au fond de moi. En tant normal, j’aime qu’il y ait des préliminaires. Mais pourquoi j’adore tant avec Christian être prise ainsi d’une façon aussi radicale. Il me bourre si brutalement qu’il fait sauter mes seins dans tout les sens. Je suis sa chose. Le pire c’est que je n’arrive pas à savoir si c’est bien lui qui me saute. Je couine comme une vrai salope et prend juste un plaisir presque a****l.
Sa grosse queue, glisse dans mon vagin détrempé. Il me trombine sauvagement. J’en perds la raison. Je gémis et crie comme une bête sans me préoccuper si des voyeurs sont là. Ce qui arrive bien sûr. Plusieurs hommes se masturbent devant nous. Je deviens folle sous les bam bam bam bam de sa queue qui me défonce le vagin. Christian parle enfin. A sa voix maintenant je sais que c’est lui qui me baise. Il lance :
« Messieurs rapprochez-vous ! Elle va vous branler pendant que je la baise ! C’est une grosse salope ! »
Sans réfléchir, j’ai pris les bites et les a branlé à tour de rôle. Puis Christian leurs dit :
« C’est une super suceuse ! Essayez là vous ne serez pas déçu ! »
A ce moment je le hais mais la première bite s’engouffre dans ma bouche et je me mets à sucer comme je sais si bien faire. Je les traite comme un sucre d’orge.
Je suis dépravée et j’aime ça. Rapide ment et avec l’accord de Christian la baise dé**** en gangbang. Tout mes trous sont investis. Les types me balance des coups de reins, je couine comme si c’était ma première fois. Je me fait baiser la bouche à m’en couper le souffle. L’un d’eux se met à râler comme un goret. Il retire sa bite de ma bouche et me balance tout son foutre sur le visage. Les autre et Christian ont suivis. Je me retrouve engluée de foutre. Puis comme une volée de moineau, il sont tous partis, même Christian. Je reste comme une conne, seule, couverte de foutre. Je me demande si il rappellera ? J’ai pris un pied d’enfer mais j’ai honte de me comporte en grosse salope dépravée.
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