J’étais un guerrier samurai légendaire de l’an 1600. Surnommé l’assassin silencieux par mes pairs mes attaques furtives et rapides ne savant que décontenancer mes adversaires. Participant à de nombreuses batailles avec mon armure assemblé d’une façon plutôt démunie et légère. Me permettant de faire des gestes plus précis et de bouger plus rapidement mettant du même coup mon corps plus à risque vis à vis les dangers de blessures. Accumulant les batailles sanglantes le nombre de mes victimes en croissances constantes. Ma vie avait été dédié à l’art du combat et au précepte du bushido. N’ayant eu guère le temps de m’assouvir d’une jeune demoiselle malgré mon âge avancé (27 ans). Les guerres se propageant dans tout le pays entre le shogun et les daimyos. Vint la bataille de Sekigahara ou je me fit blesser gravement lors d’un duel. En premier instant au genou gauche réussissant à trancher la gorge de mon opposant au même moment. Sa lame me sectionnant un huitième du ligament poplitéo-fibulaire m’empêchant du même coup de me déplacer de façon convenable. M’apprenant un peu plus tard être avoir mis un terme à la vie d’un samurai de renom. Menant son clan à plusieurs victoires expéditives par sa fougue et sa détermination. Me faisant transpercer l’instant d’après d’une flèche m’ayant ciblé dirigée entre mon épaule gauche et ma poitrine. M’obligeant à rebrousser chemin avec l’assistance d’un de mes alliés. Mes habiletés un grand atout pour leur progression sur les champs de batailles voulant me protéger à tout prix. Au menu du jour la convalescence d’un samurai déchu ne pouvant plus courir. Me retirant ainsi de la circulation pour une période indéterminée.
La guerre tirant à sa fin devenant un ronin à temps plein. Parcourant le pays la guerre finissant au delà d’une semaine. Mon épaule et mon genou gauche pansés pratiquement guéris voulant ratt****r le temps perdu avec la gente féminine. Me retrouvant au quartier des plaisirs pour ainsi venir culbuter quelques gentilles dames. Le catholicisme apparaissant en cette même période en ce pays. M’assouvissant d’une rare gaijin rousse française de 29 ans à la peau laiteuse et d’une grosse japonaise du même âge à bas prix. Julie et Mykio toutes les deux ayant la chatte taillée au naturelle. Déferlant mon fiel comme un démon de feu tout droit sorti de l’enfer. Les deux femmes exprimant leurs plaisirs de voix vivent et chaudes. Appréciant ma jolie rousse un peu grosse avec une belle poitrine moyenne les goûtant. S’agrippant à mon fessier citant mon nom. Me rappelant être un ancien guerrier d’élite mes nombreuses cicatrices le démontrant. En indiquant une sous l’oeil droit à l’horizontale et une autre à la verticale au bas de la joue gauche. Mes adversaires du temps informés pouvant me reconnaître étant un très fort adversaire. Ma tige plongeant dans son antre chaud en vitesse des bruits mouillés résonnant dans toute la pièce. Gémissant telle une louve elle semblait prendre mes approches avec bonheur. Mykio nous observant allongée sur le côté l’air ébahie. Mon endurance à ses yeux tout à fait surprenante sa chaleur corporelle augmentant de plusieurs degrés. Elle m’observait attentivement dans la pénombre en sous vêtement sa chatte visiblement mouillée. Me retirant pour venir éjaculer sur son ventre et reprendre ma cadence entre les cuisses de Mykio. Voluptueuse et tout aussi chaude que sa consoeur elle était super bonne à assouvir. Une belle grosse vulve douce et généreuse prête à se faire remplir dans tous les instants. Y allant de plusieurs vas et vient bien portés dans son antre chaud l’entendant gémir. Me retirant pour venir éjaculer sur son ventre à elle aussi satisfait de mes deux premières relations sexuelles.
Mon porte monnaie généreux revenant les voir plusieurs fois dans la semaine les deux dames appréciant fortunes et appréhensions. Poussant la belle rousse à l’épuisement à chaque reprise sa chatte toujours très agréable à assouvir. M’aguichant de grosses dames mon endurance physique préférant choisir ce type d’enveloppe corporelle. Craignant les femmes plus menues ou frêles ne pouvant s’accaparer de mon énergie grandissante en constante progression.
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