Ca fait bien longtemps que je n’ai pas franchi le portail d’un Lycée. Je suis un jeune homme nerveux qui marche rapidement devant moi dans un couloir sombre qui laisse résonner nos pas. Depuis que mon mari a trouvé ce moyen de se renflouer, il me prête à des amis pour agrémenter leurs soirées contre de coquettes sommes d’argent.
Ce samedi-là, j’ai dû suivre un jeune homme qui était venu auparavant voir mon mari. Ils étaient tous les deux dans le salon quand il m’a demandé de venir les rejoindre. Alain demande alors au jeune homme en me désignant:
« Alors qu’en penses-tu ? »
« Ah oui bien ! » Répond-il.
« Je l’avais dit à ton père qu’elle était bonne ! »
« Qu’est-ce que je vous dois ? »
« Rien. O c’est entendu touts les deux. Par contre tu me la ramènes impérativement demain et en bon état ! Pas question d’abîmer la marchandise ! »
Le jeune homme se léve et tourne autour de moi comme pour mieux évaluer la marchandise avec un œil de connaisseur. Il glisse la main dans mon corsage et me palpe un sein.
« Naturelle la miche ! Super ! » Dit-il à mon mari, d’un air satisfait après avoir vérifié la marchandise.
Il poursuit tout en me donnant une claque sur les fesses, en lui disant :
« Je vous la ramène demain sans faute ! Pas de souci. »
Surprise, je pousse un petit cri.
« N’oublie pas ! Tu me la ramènes demain et intacte ! Je l’ai promise à un pote après toi ! »
C’est ainsi que je me retrouve à suivre ce jeune homme dans les dédales d’un internat un samedi soir. Seuls quelques internes sont présents. Il m’a juste juste dit sur le trajet en voiture :
« J’ai graissé la pâte du surgé pour qu’il nous foute la paix. Avec les potes, on c’est cotisés pour se payer une bonne soirée avec toi. »
Du bout du dortoir éteint j’entends des bruits de conversations animée de jeunes hommes probablement sous la douche.
Mon guide ouvre la porte battante des douches et me pousse dans la salle en lançant à ses potes :
« Oh les mecs, j’vous ramène la salope comme promis ! »
Un lourd silence plane dans la pièce carrelée où seul le bruit des douches qui coulent résonne. Je réalise rapidement qu’ils sont au moins sept. Sept jeunes mâles en rûte prêt à en découdre avec moi. Certains se tournent vers moi à mon arrivée. Je remarque qu’ils sont déjà en érection. Il me sifflent. D’autres plus timides cache leurs sexe. Le jeune qui m’avait accompagné me dit :
« Allez Michèle fais toi à poil qu’on voit la marchandise ! »
Pendant que je me déshabille devant eux, je me demande si il n’y a pas des puceaux parmi ces mecs. A cette idée, je suis toute émoustillée. J’allais consommé de jeunes sexes vierges. Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas faite saute par de jeune queues.
Mes yeux s’arrêtent sur un jeune homme, visiblement le plus jeune qui bande comme un âne en me voyant nue. L’organisateur de cette petite sauterie s’en aperçoit et en riant lance à son ami :
« Phil ! T’es puceau ? Tu ne t’ai jamais tapé de fille, c’est ça ? »
Le jeune rougit sans répondre. Il se retourne vers moi et me dit :
« Au boulot Michèle ! Il est puceau ! Va lui faire faire le grand bond dans la vie ! »
Il bande dur le jeunot. Son engin n’est pas très long, mais plutôt large. L’organisateur me lance :
« Allez ma belle, commence par le sucer ! »
J’approche du jeune puceau qui est maintenant cramoisie. Je me met à genoux et prends sa verge en bouche pour commencer une savante fellation. Je l’entends soupirer de plaisir et les autres applaudissent devant le spectacle.
Medhi continue à me baiser la bouche. J’adore cette sensation d’une jeune bite qui me prend la bouche. J’adore le sucer et je ne boude pas mon plaisir. Je le suce goulûment. Je vais même jusqu’à lui lécher les couilles.
Le puceau ne peux pas se retenir plus longtemps et il gicle au fond de ma gorge et j’avale avec une sorte de gourmandise.
Il se retire et laisse la place à un autre qui vient me fouiller la chatte. Il m’écarte les lèvres et il excite mon clito qui réagit immédiatement. Il me force lui aussi à lui sucer la bite, mais il est plus endurant et il n’éjacule pas. Un autre lascars, qui présente une queue de belle taille, me prend fermement par les hanches et me pénètre la chatte d’un coup en me disant :
« Tiens vieille salope ! Prends ça ! »
Il me fourre son braquemart dans la bouche et m’appuie sur la nuque pour que je l’avale en entier. Il me bloque la tête dans cette position. Je suffoque presque. Il relâche enfin la pression. Je peux à nouveau respirer. Il va jouir mais il veut décharger dans ma chatte. Il pousse son collègue qui grogne de frustration et prend sa place dans mon vagin. Celui-ci se pousse mais n’a pas le temps de venir dans ma bouche qui est aussitôt investit par la bite d’un autre jeune. A peine entré dans mon conduit vaginal qu’il lâche dedans de longs jets de sauce épaisse et chaude. Il vient ensuite l’étaler son sperme sur mon anus en y introduisant deux doigts. Je sens que je vais jouir moi aussi. L’organisateur film les scènes en se masturbant. Juste au moment où je sens mon orgasme monter en moi, l’organisateur de la sauterie lance brusquement :
« Stop ! Arrête de travailler cette pute ! Regarde la salope, elle va jouir ! Il faut faire durer le plaisir et qu’elle nous supplie de la faire jouir. Je l’ai amener pour qu’on s’en serve comme sac à foutre. Pas pour qu’elle en profite et se fasse plaisir ! D’ailleurs j’ai une petite idée pour s’amuser encore avec elle ! vous voulez les mecs? »
« Mais j’ai envie de la baiser? j’ai pas eu le temps d’en profiter ! » Dit le puceau d’un air dépité en se retirant de mon con.
« T’inquiète! Attends un peu et tu sera pas déçu du voyage pour ton dépucelage ! »
Pendant ce temps j’étais secouée de spasmes sans que mon orgasme se déclenche tellement l’excitation envahissait encore mon ventre. Là, les salops m’attachent pour que je ne puisse me faire jouir.Très rapidement, ils rassemblent du matériel fait de manches à balais, de ruban adhésif.retrouvés dans un placard, et même un bout de corde.
« Il faut surtout lui attacher les jambes écartées à cette chienne pour qu’elle n’arrive plus à se faire jouir ! »
« Bien, regardez cette vieille chienne avec ses trous offert et dégoulinant de sa jute ! Elle est bonne à se faire défoncer cette salope ! C’est parfait çà ! »
Un grand black sur lequel s’approche et je peu voir qu’il a une queue gigantesque.
« On t’a amené un pote qui rêve de t’ouvrir le cul ! »
Je proteste :
« Nooon ! Il est trop gros ! Vous allez me déchirer avec un machin pareil ! »
« Parceque tu crois qu’on te demande ton avis ? On t’a loué à ton mari ! Alorsz on fait ce qu’on veut ! »
« Il vous dit de prendre soin de moi aussi ! »
Il rigole et me rétorque :
« Ben oui c’est c’qu’on va faire ! On va prendre soin de ton cul de pute ! »
A peine dit, que le black graisse sa queue avec ma mouille et pousse sur mon oeillet avec son gland pour enfoncer son pied dans mon petit trou. Il est si gros qu’il a bien du mal à rentrer et moi je serre les dents pour ne pas crier.
Les autres défouraillent en même temps et je me retrouve avec 4 bites fièrement dirigées vers moi. Je dois les sucer et ils investissent rapidement mes trous sans défense et trop offert.
« Allez ma belle passons aux choses sérieuses ! »
Je me retrouve en un rien de temps dilatée par toutes ces jeunes queues.
« Allez ma belle passons aux choses sérieuses ! »
Les autres défouraillent en même temps et je me retrouve avec des bites fièrement dirigées vers moi. Je dois les sucer et ils investissent rapidement mes trous sans défense et trop offert.
Je suis prise en double et triple pénétration. Mes seins qui pendent son durement malaxés et subissent des claques et des étirements douloureux. Je crie et leur demande pitié en pour la faire crier, demande pitié et d’être moins brutaux mais j’ai à faire à de jeunes mâles en tûtes que rien ne va arrêter. Je suis leur objet sexuel et ils comptent bien s’en servir jusqu’à épuisement.
Les bites se succèdent et me pourfendent à grands coups de reins sans ménagement. Je suis utilisée comme un bout de viande, une décharge à sperme sans considérations de ces jeunes cons, mais, dans cette baise brutale, bestiale, où je suis prise comme une pute, ça me plaît.
Alors qu’ils me défoncent, je m’entends dire :
« Ouiiii Merdeux ! Allez-y à fond ! J’vais jouir ! »
« Ahhhhh ! Vieille salope ! Tiens prends çà dans ton con et ton cul ! On va-t’remplir l’estomac de jute putain ! Sac à foutre ! »
« T’aimes nos queues grosse vache ! »
Tour à tour, ils se lâchent tout en me traitant de tout les noms. C’est insultes avilissantes et humiliantes, au lieux de me vexer, elles déclenchent en moi un orgasme qui me semble sans fin et même douloureux.
Ils râlent de plaisir et je sens un liquide chaud envahir ma chatte et mon cul. Ma bouche n’est pas en reste et je dois avaler leurs liqueurs. Ce que je fais d’ailleurs avec plaisir. Certains, quand ils ont éjaculé en moi, essuient leurs queues dégoulinantes sur mon cul.
« Putain qu’elle est bonne ! La salope m’a fait jouir comme jamais ! Son mec ne nous avait pas menti ! »
Un jeune taillé comme un rugbyman utilise mon cul tout en s’en servant de pushing ball. Cette fois, je suis épuisée et ça commence sérieusement à me faire mal. Mais je n’ose rien dire.
« Elle va adorer que j’l’encule la grosse salope ! Je vais lui enfoncer mon mandrin bien au fond, je vais la bourrer pour qu’elle gueule comme une grosse chienne ! »
Aillant retrouvé ses esprit, l’organisateur lui dit :
« Vas-y doucement s’il te plaît Joseph ! Lui déchire pas la rondelle ! J’dois la rendre intacte à son mec ! »
Il me tient par les hanches et sans écouter son pote, il continue à me pilonner à fond. Il me tire vers lui violemment. Son énorme pieux me déchire et m’encule de plus en plus fort. Il hurle sa victoire.
« Ahhhhhh ! Ma bite est bien dans son cul ! C’est trop bon ! Tu la sens bien là dans ton gros cul de sale pute ? »
L’organisateur dit à ses amis :
« On en a pour notre argent les gars ! Alain m’avait bien dit qu’elle n’était qu’une traînée, un trou à bite ! »
Le jeune est endurant et se déchaîne dans mon cul. Il sort puis rentre à fond d’un seul coup de queue. A chaque fois il me fait mal. Mais ma cyprine coule à flots. Je deviens une vrai fontaine. L’un de ceux qui à déjà joui dans ma bouche, voyant mes jets de cyprine, se met à me broute la chatte et boire mon jus de femme. Il lampe avec avidité le liquide qui s’échappe de mon con. Il me fouille la chatte et doit sentir la bite de son pote à travers la fine paroi de mon périnée. Il s’en donne à cœur joie.
Mon enculeur s’est immobilisé au fond de mon cul. Je sens les spasme de sa grosse machine. Il grogne comme une bête blessée et de puissantes giclées viennent inonder mon fondement.
Il n’a même pas débandé. Il reste planté au fond de mon cul. Il me retourne comme un crêpe et me présente à ses potes, bien emmanchée sur son bâton. J’ai conscience d’être totalement obscène dans cette position. Il leurs lance :
« Allez, qui vient planter son dard dans sa fente en même temps que je l’encule ? »
Je n’y crois pas. Ils vont quand même pas me prendre encore en double ? Ils vont me tuer ! Ils ont infatigablement ces jeunes salops. C’est le puceau, qui ne l’est plus d’ailleurs, qui s’y colle.
« Hummm oui ! Faut qu’j’en profite pour une première ! J’vais la baiser pendant que tu l’encules ! Prenez des photos les mecs ! Il me faut un souvenir ! »
Il a du mal à l’introduire dans cette position. Mais c’est sans compter l’aide de l’organisateur. Ils m’écartèlent littéralement. Il ouvre encore plus mes grandes lèvres. Le « puceau » arrive cette fois-ci à entrer son pieu dans ma chatte. Je sens bien ces deux bites qui me pilonnent. L’une par derrière, l’autre par devant.
Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là.
Heureusement pour moi, ils déchargent tous les deux en même temps. J’ai reçu tellement de sperme que ça déborde de ma chatte et de mon cul béants.
Les deux jeunes sorte des mes trous et essuient leurs engins gluants dans mes cheveux. Ils semblent enfin tous vidés et moi je ne tiens plus sur mes jambes. Mes trous me font mal et d’avoir avalé trop de sperme me donne la nausée.
En l’espace d’une demi-heure je viens de prendre un paquet de belles grosses queues dans mes trous de pute. J’ai hâte de partir et d’aller me doucher et me reposer.
Les mecs me prennent en photos, sous toutes les coutures. L’organisateur me pétris les nichons qui me font mal. Il étire mes tétons qui sont durs et bandés. Il en tête un goulûment. Il joue avec mes mamelles. Il lèche les aréoles, mordille les pointes, malaxe, écrase, soupèse mes loches.
Il écrase mes seins violemment. Mais, malgré la douleur, je sais que j’adore me faire maltraiter par un mec. Il semble cette foi qu’ils en ont terminé avec moi. Je n’en peu plus. Ouf, je vais pouvoir souffler un peu. Mes 4 tortionnaires remballent leurs engins et sortent des douches me laissant seule avec l’organisateur. Je suis totalement épuisée. Incapable de réagir. Je reste là dans ces douches, complètement nue, dégoulinante de sperme et de cyprine. Je pue, j’ai mal, je suis pantelante, mais, heureuse d’avoir fait honneur à mon homme. Lentement, je recouvre mes esprits. Je tiens à peine sur mes jambes. Il m’aide à me rhabiller mais les mecs m’ont piqué mon soutif et mon string. Les jeunes cons, ils sont partis avec. Au prix que ça coûte ! Il me raccompagne chancelante chez moi. Mon homme dort et je prend un bain relaxant dans lequel je m’endort épuisée.
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