Je m’appelle Séverine. J’étais une mère et une femme modèle, avec une carrière au top ; je suis devenue une véritable salope. Je vais vous narrer les différentes aventures qui me sont arrivées ces derniers mois et qui ont faits de moi un objet sexuel offerte à tous.
C’est l’anniversaire de mon fils (voir histoire précédente) qui s’est transformé en un gangbang hors normes qui a radicalement changé ma sexualité et ma vie.
Les jours qui ont suivis cette orgie, mon fils et moi n’avons eu que peu d’occasions pour nous retrouver car, même si mon mari était souvent absent et rentrait parfois tard du travail, mes autres enfants étaient souvent là. Moi-même je n’étais que peu disponible à cause de mon travail qui devenait de plus en plus prenant et allait vite m’accaparer encore plus, vous le constaterez bientôt.
J’essayais de calmer le jeu avec Hugo qui était très demandeur de sexe, car je ne voulais pas que ça ne devienne pas une habitude. De plus, hors des moments d’excitation et de frustration sexuelle où je me masturbais jusqu’à l’orgasme en pensant à mon fils et à ses amis, je m’en voulais terriblement de ce rapport i****tueux et culpabilisais.
Mais Hugo, lui, vivait cela très bien et ne manquait pas une occasion de me toucher, de me caresser ou de me pénétrer « à la Hussarde » alors que son père était dans la pièce d’à coté. Souvent cela se passait dans le couloir de la maison où il me plaquait contre le mur, m’embrassait fougueusement, enfilait sa main dans mon pantalon pour me doigter « vite fait » puis me libérait et continuait son chemin comme si de rien n’était. Si je le croisais alors que je portais une robe ou une jupe, il me retournait, me baissait la culotte, me lubrifiait en crachant dans sa main et me pénétrait sauvagement, faisait quelques aller-retour avant de se retirer. Une fois, il me dit que ce serait plus simple si son frère, Théo, était au courant, voire même participait, car nous pourrions faire ça dans leur chambre, plus tranquillement. Je ne savais pas s’il plaisantait ou était sérieux mais Hugo me faisait un peu peur… Je ne voulais pas être une mère se faisant tringler par ses 2 fils !
Hugo était en permanence excité et profitait « à fond » de chaque minute tranquille avec moi. Il me laissait souvent déboussolée et excitée et j’essayais alors de convaincre mon mari de faire l’amour. Les rares fois où il acceptait (à contrecœur) mes invitations, il me prenait sans conviction et donc sans plaisir pour moi, jouissait et repartait à son travail devant son ordi. Il me laissait ainsi souillée et frustrée.
Ces quelques jours furent donc terribles pour moi car j’étais déchirée entre culpabilité et frustration sexuelle. Déchirée entre l’homme que j’aime mais qui ne voulait plus de moi et mon fils avec lequel je ne pouvais et ne devais rien faire mais qui était le meilleur amant que j’ai connu. Je devenais folle !
Mais la situation pris un nouveau tour un après midi où, ayant quitté le travail plus tôt, je suis allé chercher Hugo à son lycée (il est en lycée Pro alors que mes jumeaux sont en Général) avec la ferme intention de m’envoyer en l’air avec lui pour de bon. Cette décision, je l’ai ruminée tout la journée au travail, voulant d’abord tout arrêter, puis ayant envie de son sexe, puis trouvant que c’était absolument honteux de ma part d’envisager ça… puis cédant finalement à ma pulsion.
A quelques minutes de mon départ, j’étais plus excitée que jamais par l’idée de me faire baiser par mon fils et, pour la première fois de ma carrière, je me suis masturbée à mon travail. Je me suis d’abord caressée, alors que j’étais à mon bureau, mon assistante assise derrière moi et alors qu’entraient régulièrement des collègues dans la pièce. Mes doigts ont d’abord juste effleurés mon sexe au travers de mon jean puis, n’en pouvant plus, je l’ai déboutonné et ai glissé ma main dans ma culotte. Je faisais tourner 2 doigts sur me clitoris et les enfonçais régulièrement dans mon vagin. Je n’en revenais pas : j’étais à mon travail, mon assistante à 2 m de moi et avec mes 2 doigts dans mon sexe dégoulinant. Jamais en 20 ans de carrière faire une chose aussi perverse ne m’avait traversé l’esprit (la notion de perversion a considérablement changé chez moi depuis…). Je me masturbais à présent vigoureusement et retenais mes gémissements pour que mon assistante ne m’entende pas. A 2 reprises, des collègues sont entrés dans le bureau pendant que je me caressais et je dû sortir la main de mon pantalon précipitamment et taper à l’ordi comme si de rien n’était. J’avais terriblement besoin de jouir et me rendis compte que c’était trop dangereux ici. Je retire donc les doigts de mon vagin, reboutonne mon jean et me rends au toilettes pour me finir.
En sortant de mon bureau, je croise mon patron que je n’ai pas encore vu aujourd’hui et lui serre la main comme je le faits tous les jours. Sauf qu’aujourd’hui, 2 de mes doigts sont recouverts de ma cyprine !
– Bonjour Séverine, vous allez bien ? Vous êtes toute rouge…
– Bonjour M. Roland, ça va… juste une petite bouffée de chaleur
-Ha, déjà la ménopause ?? Haha !
Ce gros misogyne ne manquait jamais une occasion de me tacler, je crois qu’il n’aime pas qu’une femme puisse être n°3 d’une grosse société. Mais vu mon état du moment, je laissai couler, lui fit un sourire et me dirigeai vers les toilettes. Sitôt la porte verrouillée, je baisse mon pantalon et ma culotte et je constate qu’elle est trempée.
– Oh mon dieu ! me dis-je, mais qu’est-ce qui m’arrive ?? Pourquoi un acte si révoltant et encore impensable il y a quelques jours m’excite-t-il aujourd’hui à ce point ? Je deviens une salope, une perverse…
Je m’assois sur les toilettes, dégage un pied de mon jean et le pose sur le petit lavabo situé à gauche. Jambes ainsi écartées, je reprends ma masturbation en m’imaginant comment mon fils allait me sauter d’ici une demi-heure. Des images de l’anniversaire me reviennent et je me revois en train d’avaler un gobelet replis de sperme ou de me prendre 2 sexes à la fois dans la chatte. Ces souvenirs me rendent folles de désir et en jetant un œil à mon sexe, je constate qu’il est largement ouvert et que mes lèvres pendent de désir. J’ai envie de me faire prendre par un gros truc, de me faire remplir ! Je regarde autour de moi pour trouver quelques choses pouvant faire l’affaire : rien, à part le manche du « balais à chiotte ». Mon regard s’arrête dessus mais je ne suis pas crade à ce point….
Je me contente donc de mes doigts, et je m’en mets directement 3. Je me masturbe sans ménagement, me doigtant avec force, me massant l’intérieur de mon vagin. De temps en temps, je frictionne mon clito, écarte mes lèvres d’une main et stimule mon petit bouton rose ainsi dégagé avec un doigt. Puis je replonge mes doigts dans ma chatte dégoulinante. Je sens monter l’orgasme et accélère la cadence. Je suis alors secouée d’une puissante jouissance et sens la mouille couler en abondance de mon sexe. Je me mords la lèvre pour ne pas crier de plaisir.
Je me rhabille, me rafraichis le visage et le retourne à mon bureau. J’éteins mon ordinateur et dis à mon assistante :
– je dois y aller, Virginie. Tu peux prendre ta fin d’après midi si tu veux. A demain.
– Merci Madame, à demain.
Dans la voiture qui me mène au lycée d’Hugo, mon cœur palpite de plus en plus au fur et à mesure que je me rapproche, comme si j’allais commettre un acte inavouable délibérément. Et c’était le cas ! Ma séance aux toilettes m’avait un peu calmé, en tout cas au niveau du bas ventre, car dans ma tête s’était la tempête.
J’arrive au Lycée, me gare et attends Hugo devant la grille. Les élèves commencent à sortir et j’aperçois Hugo en compagnie d’autres garçons dont certains étaient à son anniversaire… Ils se séparent tandis qu’Hugo et ses comparses de partouze, ravis de me voir, viennent me saluer avec de grands sourires. Ceux que je ne connais pas ne me regardent même pas et je suis alors soulagée de voir que, apparemment, rien n’a fuité. Ils me font la bise et certains ont des mains baladeuses…
– Vous organisez une autre fête, Séverine ? me demande Valentin en posant un main sur mes hanches.
– Non, désolée. Je suis juste venue chercher Hugo.
J’étais rouge comme une pivoine car s’était la première fois que je les revoyais depuis l’orgie. Eux semblaient plus détendus et prêts à remettre ça à tout moment.
– Dommage… en tout cas vous êtes toujours aussi belle !
– Merci les garçons.
Je n’étais pourtant pas habillée sexy mais je suppose que mon « uniforme » de travail (lunettes, pantalon noir, veste assortie et chemisier blanc) suffisait à faire fantasmer des ados !
– A bientôt les garçons. Il se pourrait qu’Hugo vous réinvite prochainement…
– Avec plaisir, Madame !
Nous les quittons avec Hugo, non sans m’être fait d’abord peloter les seins et les fesses par ces excités d’ados. Nous rendons à ma voiture. Le fait d’aller le chercher nous fait gagner 30 min par rapport au bus et à l’arrivée de mes autres enfants. Il sait très bien ce qui va se passer et est aux anges. Durant tout le trajet qui nous emmène à la maison, il n’arrête pas de m’embrasser le cou, de ma caresser les seins, les cuisses, l’entre-jambe. Il ne s’arrête qu’aux feux rouges car nous pouvons être vus. Alors que nous arrivons dans un tronçon moins fréquenté, il déboutonne ma chemise pour y passer sa main et me palpe les seins au travers du soutien gorge. Il ouvre également mon pantalon et me caresse le sexe, la main directement dans mon string. Ses caresses sont divines et c’est une torture que de devoir me concentré sur la route.
– Tu es trempée, maman !
– Je sais mon chéri… mmmmhh, continue !
– Tu n’imagine même pas comme j’ai envie de toi !
– Si j’imagine bien ! Mais je te préviens : on doit faire vite avant que ton frère et ta sœur ne rentrent.
– T’inquiète… me dit-il tout en insérant un doigt dans mon sexe.
– Ecarte un peu tes jambes, maman.
– je conduis Hugo ! Tu devras te contenter de ça jusqu’à la maison…
Ce petit salaud me doigte alors frénétiquement, d’un seul doigt certes, mais efficacement.
– Hooo t’arrêtes pas mon chéri, tu vas me faire venir !
– C’est vrai ? Juste avec 1 doigt ?
– Ne t’arrête surtout pas ! Hoooo mon dieu c’est bon !
– Tu ne veux pas t’arrêter sur le bord de la route ?
– Non ! Continue…. je veux jouir comme ça, en conduisant… avec le doigt de mon fils dans la chatte….
Je pose alors la main que j’avais sur le levier de vitesse sur l’entre-jambe d’Hugo et masse sa grosse bite bien dure.
– Tu sais que tu es une maman très vilaine ? Et une belle salope en plus ?
– Ouiiii, je suis ta salope… Accélère je t’en prie ! Fait moi venir ! Ohhh oui ça vient, continue….. Ahhhhhh !
Un magnifique orgasme me secoue alors les entrailles et il me faut toute la volonté du monde pour ne pas fermer les yeux car, je le rappelle, je suis au volant !
– Ca va mieux ?
– C’était magnifique mon chéri… Mmmh j’ai hâte d’être à la maison pour que tu me défonce !
Nous arrivons chez nous, croisons notre voisin que nous saluons comme si de rien n’était et rentrons à l’intérieur. Je n’ai pas le temps de poser ma veste qu’Hugo se jette sur moi, me plaque contre le mur de la cuisine et commence à me déshabiller. D’abord surprise, je reprends mes esprits et l’aide à enlever mes vêtements. Je me retrouve nue devant lui, totalement excitée, et c’est à mon tour de plaquer mon fils contre le mur et, sans prendre la peine de lui baisser le jean, sort sa bite de son boxer et commence à le sucer goulument. Je le branle d’une main pendant que je lui pompe le gland et essaie de le prendre le plus loin possible. Même s’il me l’a déjà mise entièrement auparavant, ce n’est pas quelque chose de facile à refaire pour autant, surtout avec un calibre pareil.
Je suis une véritable furie en train de lui bouffer la bite et il n’a même pas besoin de me tenir la tête. J’alterne les moments tendres de pompage avec de grands allers-retours plus brutaux où je prends son sexe le plus loin possible, bouche grande ouverte. Je finis enfin par lui faire une belle gorge profonde, me maintiens ainsi empalée, le nez dans ses poils pubiens, durant de longues secondes. Puis, à bout de souffle, je me retire avec un long fil de bave, tousse un peu et l’emmène dans le salon en le tenait par le sexe.
-Allez, baise-moi maintenant ! Baise ta salope de mère…
Je me place sur l’accoudoir du canapé et écarte bien les jambes, lui exposant fièrement ma chatte humide. Hugo n’hésite pas et m’enfile d’un coup sa bite.
– Oooohh mon dieu ! Vas-y défonce moi ! lui hurlais-je alors qu’il commençait à me limer sérieusement.
Il ne répondit pas et se contentait de me baiser en m’enfilant à chaque fois ses 25 cm à fond. Je me sentais perforée de part en part et j’adorais ça. Au bout de quelques minutes et apparemment lassé de cette position, il me fait mettre par terre, à quatre pattes, et me reprend, en levrette cette fois. Je voulais hurler en continu mais je me retenais car le voisin, dehors, aurait pu nous entendre.
Je sentais le plaisir monter sous ses coups de boutoir :
-Ooohh continue Hugo, je vais jouir !
– Déjà !!! Mais tu as jouis il y a 10 min dans la voiture !
– Aahhh… et pas seulement…. Je me suis aussi… mmmhh…… masturbée…… au travail…. Ohhhh oui ça vient !
– Au travail ?!?! Tu es vraiment une cochonne ! Et sur ces mots, il m’enfonce son pouce dans l’anus.
-Hein, t’es une cochonne ? Tu es même ma salope personnelle… tu veux un deuxième doigt, salope ?
– Ooooohh, ce que tu veux, mais ne t’arrête pas
Il m’enfonce alors son autre pouce, les incère bien profond et joue avec mon anus en l’écartant. Ce massage anal couplé à la pénétration me déclencha un orgasme merveilleux et mes muscles se raidirent autour du sexe d’Hugo. Puis il se retire, et sans vraiment me demander mon avis, présente son gland devant mon anus. C’était la première fois depuis l’anniversaire que j’allais me faire enculer et j’avais un peu peur. Mais j’étais encore sous « l’effet » de mon orgasme et le temps que je réagisse, son gland était déjà dans mon cul. Il lui fallu un peu de temps et quelques à-coups un peu brutaux, mais il réussit à m’empaler à fond.
– OH PUTAIN ! Tu vas me déchirer le cul, Hugo !
– Que tu es vulgaire maman ! Tu deviens une vraie salope…
– Oui, je suis ta salope ! Et toi mon salaud, ça te plait de m’enculer ?
– Je m’en lasserai jamais maman, je vais te défoncer le cul, te le déchirer, te l’écarteler…
Et pendant qu’il me sortait tous les synonymes signifiant que je n’allais plus pouvoir m’assoir pendant 2 jours, il accélérait encore et encore, me limait le fion sans retenue, tapait contre mes fesses, se retirait jusqu’à la limite de sortir puis s’enfonçait encore entièrement avec ses 25 cm. Et s’il n’y avait que la longueur… mon anus était aussi terriblement délatté par son diamètre. J’avais mal, vraiment, mais, comme les fois précédentes, l’excitation de me faire prendre par mon fils, dans ce trou péché, l’emportait !
– ton cul est grandiose, maman !
– Merci, mais finis vite, j’en peux plus Hugo….
– Alors on change de position, je veux te regarder dans les yeux te faire enculer !
Il se mit alors sur le dos, me plaça à cheval sur lui et m’encula à nouveau. Il me prit les fesses à 2 mains, les écartas et accéléra la cadence. Il me regardait droit dans les yeux alors que moi même je me concentrais pour ne pas défaillir tant la douleur commençait à être intense. Puis finalement je le vis grimacer et le sentit se répandre dans mon cul avec de grands râles.
C’est à ce moment précis que le grincement caractéristique d’un bus qui freine se fit entendre non loin de la maison.
– Merde ! Les voilà déjà ! Cria Hugo en se retirant de mon cul
– Vite, rhabille toi et va dans ta chambre, je m’occupe d’eux.
Il couru dans sa chambre avec ses habits sous le coude et me laissa seul dans le salon où j’essayais, le cul remplis de sperme que je maintenais serré malgré la douleur, de rassembler mes affaires. J’enfile mon pantalon, remet mon chemisier et pose ma veste sur une chaise. Je n’ai pas le temps de me recoiffer que Théo et Chloé entrent dans la cuisine.
– Salut, m’man ! T’es déjà là ?
– Oui j’ai quitté plus tôt, ça va ?
– Impec’ ! Hugo est là ? me demanda Théo
– Oui dans sa chambre, en train de jouer à la console plutôt que de faire ses devoirs je pense…
– hé bin, je vais bosser avec lui alors, haha ! Théo quitte alors la cuisine et me laisse seule avec Chloé.
– Ca va maman ? T’es bizarre…
– Non, ça va, j’ai eu une journée chargée.
– Ok… fit-elle avec un air peu convaincu.
Puis elle alla dans le salon pour regarder la télé. Mais sur le chemin elle s’arrêta net, se pencha et ramassa quelque chose : mon string ! Je devins immédiatement blanche comme une morte (de honte). Elle se tourna et me le montra en le tenant du bout des doigts
– c’est à toi ça, qu’est qu’il fait là ??
– Oh…. Je… il a du tomber du panier à linge quand j’ai voulu faire une machine.
– Il est tombé dans la cuisine ? Alors que la machine est dans le garage… et ne tourne pas, d’ailleurs…
– C’est que….
– Maman, est-ce que tu trompes papa ?
– Quoi ? Non ! Absolument pas ! Je te dis qu’il est tombé du panier à linge !
– Alors je suppose que tu porte une culotte actuellement maman ?
– Heu… évidemment…
– Donc tu veux me la montrer pour me prouver que j’ai tord ?
– Je n’ai rien à te prouver du tout, jeune fille !
– Baisse ton pantalon, maman, et montre-moi ta culotte ! Sinon je dis tout à papa.
J’étais faite ! Elle allait découvrir que je venais d’avoir un rapport sexuel et le seul présent à la maison était alors Hugo. Tout était finit… j’étais livide. Les yeux baissés, je déboutonne mon pantalon et le baisse jusqu’à révéler mon sexe et l’absence évidente de culotte.
– J’en étais sur ! Tu te fais baiser pendant que papa n’est pas là ! Sale pute !
– Je te jure que non, ma chérie, dis-je au bord des larmes. C’était…en fait, je me suis juste…. masturbée.
– Hein, répète ??
– Je suis rentrée plus tôt pour me masturber, Chloé. J’en avais envie…
– Je ne te crois pas !
Elle s’avança alors vers moi et mis sa main sur mon sexe. Puis elle glissa un doigt dans mon vagin, fouilla bien profond et le ressortit. Moi, je ne disais rien, me laissait toucher par ma fille, espérant juste qu’elle croiserait ma version. Elle se lécha le doigt et dit :
– Mmmmh, je ne sens pas de sperme ou de lubrifiant à capote. Juste de la mouille. Bon… admettons. Alors comme ça tu te branle dans la cuisine alors que ton fils est à l’étage ? dit-elle l’air perverse et réintroduisant son doigt dans mon vagin
– Heu, oui… Ton père est très absent et j’étais …. en manque. Qu’est-ce que tu fais Chloé ?
– Ta chatte est très belle et la mouille est délicieuse… j’ai juste envie d’y gouter !
– Mais t’es folle !! Je suis ta mère ! Et j’espère que tu n’es pas lesbienne ??? Et puis comment tu connais le gout du sperme ??? Mais c’est quoi ton problème, Chloé ?? hurlais-je dépassée par les évènements !
– Ne crise pas, maman… Je m’envoie des garçons mais j’aime bien aussi m’amuser avec les copines ! Disons que je suis un peu bi !
Mon dieu ! Il y a encore 2 semaines j’étais une femme de droite, croyant en certaines valeurs et, sans être homophobe, l’homosexualité me dérangeait. Mais aujourd’hui, j’avais des rapports avec i****tueux avec mon fils et j’apprends que ma fille est bi et a plein de partenaires… A 17 ans ! Ma vie s’effondrait… Mais c’est vrais aussi qu’elle est superbe ma Chloé : brune, plus grande que moi, mince mais avec de belles formes, de beaux seins pour son âge, un petit minois et des lunettes qui lui donnaient un air d’intello coquine. Une bombe pour la plupart des garçons !
Pendant que je me lamentais sur mon sort et pensais aux mœurs de ma fille, Chloé continuait de me doigter et je dois admettre qu’elle savait y faire.
– Tu as eu le temps de jouir, maman ?
– Comment ça ?
– Quand tu t’es masturbé tout à l’heure, tu t’es fait jouir ?
– mmmmhh, non, vous êtes arrivés juste avant…
– Alors je m’en occupe !
Elle me baissa alors le pantalon, me fit m’assoir sur un tabouret de la cuisine et me souleva une jambe. Elle commença à m’embrasser le sexe, le ventre, les cuisses et me disant que j’étais superbe, et donna des petits coups de langue sur mon clito.
– Oh mon dieu Chloé, c’est horrible ce qu’on fait ! Si tes frères descendent ?
– Ils jouent à la console ! Et puis, ils seraient contents du spectacle, vu le nombre de fois où ils essaient de me voir à poil… Même toi, ils fantasment comme des malades sur tes gros seins, tu le sais ?
– Non, je ne savais pas… Ooooh continue, c’est excellent chérie !
Son cuni était divin, plus précis et délicat que ceux qu’Hugo ou ces copains m’ont faits. Clairement, Chloé avec plus d’expérience en broutage de minou que son grand frère ! Elle agitait sa langue sur mon clito tout en me masturbant avec 2 doigts. Je gémissais de plaisir, lui tenais la tête d’une main et me malaxait les seins de l’autre. Je luttais pour garder mon anus serré car il était encore plein du sperme d’Hugo. Elle me fit jouir assez rapidement et avala les goutes de mouilles qui coulaient de mon vagin.
– Ça ta plu, maman ?
– Oui, c’était bien chérie… très bien !
– j’ai hâte que tu m’en fasses un ! Pour voir comment tu t’en sors avec une fille…
Et avant de pouvoir répondre, elle quitte la cuisine et monte dans sa chambre, me laissant là jambes écartées, épuisée par mon quatrième orgasme de l’après midi. Je me rhabille et file au toilette où je peux enfin me délester de la semence de mon fils… quelle quantité encore une fois ! Alors que mon anus se vide, je réfléchis aux évènements et je me dis que les douches avec Chloé après l’équitation n’allaient plus jamais être les mêmes… Ni les après midi « devoirs » avec Hugo durant lesquels on est souvent seuls… J’avoue a posteriori avoir pleuré dans les toilettes.
L’après midi touchait à sa fin et j’avais eu à peine le temps de préparer le repas quand mon mari rentra du travail. Il m’annonça alors qu’il avait une conférence en Allemagne demain avec des collègues et souhaitait, si ça ne me dérangeait pas, y rester un peu plus longtemps pour passer le weekend « à boire de la bière ». Je lui répondis d’abord que cela ferait long sans le voir mais lui dit finalement oui car il avait l’air d’y tenir. Je vous assure que je n’avais aucune arrière pensée à ce moment mais il s’est avéré que ces jours sans mon mari ont été bien remplis pour moi…
Après le repas, je ressentis le besoin d’une longue douche. Mon mari était devant son ordi et moi, j’étais nue dans ma salle de bain quand on toqua à la porte.
– M’man, c’est moi ! Tu m’ouvres ? me demanda Chloé.
– Heu, je vais me doucher, là… J’hésitais à lui ouvrir alors qu’hier encore, cette demande ne m’aurait pas choqué. Nous partageons souvent la même salle de bain, sans forcément nous montrer nues.
– Tu vas en avoir pour des plombes et je veux juste me brosser les dents et me démaquiller.
– Ok…
Je m’entoure d’une serviette et lui ouvre la porte. Chloé entre et je vois alors passer Théo dans le couloir et me regarder d’un air bizarre. Il s’attarde sur mes jambes qui sont presque entièrement nues, la serviette ne cachant que l’essentiel. Puis il passe son chemin sans rien dire. Je referme la porte et la verrouille.
– Tu vois ce que je te disais ? Les garçons fantasment sur toi, maman ! Je suis sûr qu’ils se branlent en pensant à toi…
– Arrête de dire des choses comme ça ! Bon je vais me doucher…
– Ok…
Je pensais qu’elle allait se retourner vers le lavabo mais elle me regarda avidement alors que je faisais tomber ma serviette, me retrouvant nue devant elle.
– Tu es vraiment bonne, maman ! Des gros seins, un beau cul, pas de ventre… et une chatte, mmmhhh !
– Arrête avec ça ! Je ne veux plus qu’on en parle !
Puis j’entre dans la douche et commence à faire couler l’eau tandis que j’entends le robinet du lavabo couler et un bruit de brosse à dents.
L’eau chaude me fait du bien après un après midi mouvementé et me vide la tête. C’est alors que le rideau s’ouvre et qu’apparait Chloé entièrement nue. La voir ainsi fut un choc car je n’avais jamais remarqué à quel point ma fille, mon bébé, était devenue une femme. Rien d’enfantin dans son corps : des gros seins très fermes (moins lourds et tombants que les miens), des magnifiques hanches, de belles jambes, un de ces cul… mon dieu ! Juste son minou, entièrement rasé, rappelait son jeune âge. Mais il paraît que beaucoup de femmes mures le font aussi. Elle monta dans la douche.
– Qu’est-ce que tu fais Chloé ? Sors de là !
– Tu m’avais promis un truc, maman !
– De quoi tu parles ??
– Tu le sais très bien… Je t’ai brouté le minou, je veux que tu fasses pareil ! Je t’ai fais jouir, je veux que tu me le fasses aussi !
– Mais ça va pas dans ta tête d’obsédée lesbienne ! Je ne suis pas gouine et ce n’est pas avec MA fille que ça va changer !
– Tu as pourtant bien joui tout à l’heure ? On est toute un peu goudou, maman ! Même toi…
Et sur ces mots, elle dépose un baiser sur mes lèvres et pose la main sur mon sexe. Puis elle commence à me lécher les seins en buvant l’eau chaude qui ruisselle dessus. Je n’arrive pas à m’y opposer, je n’en n’ai ni la force, ni la volonté. Je deviens l’esclave sexuel de mes enfants et commence à me faire à cette idée. Elle insiste bien sur mes tétons qui durcirent et les mordille un peu. Elle masse mon clito et m’enfile un doigt délicatement.
– Je le savais… je t’ai à peine touchée que tu mouilles déjà, maman.
– Parle moins fort, ma chérie, on pourrait t’entendre !
– Ok… à ton tour, montre-moi comment tu fais jouir une fille !
Et elle m’embrassa langoureusement, avec la langue, me roulant une pelle comme si j’étais un petit copain de lycée. Me sentant embarrassée, elle me prend la main et la pause sur un de ses seins. Mon dieu qu’ils sont fermes ! Je les masse et, sous l’effet de son doigt habile, commence à trouver tout cela très excitant. Je stoppe le baiser pour embrasser ses seins, contact inédit pour moi, et lèche ses tétons. Ma main descend le long de son corps, passe sur son ventre plat et musclé, m’aventure sur ses fesses et atterrit enfin sur son minou. Il est lisse et je constate qu’elle ne se rase pas mais plutôt s’épile… Alors que ma main descend encore un peu plus et touche à présent ses lèvres, je sens ses tétons durcirent sous ma langue. Je caresse son vagin d’une main délicate (mon dieu, je touche un vagin !) et aventure un doigt à l’entrée de son orifice. Ma petite Chloé mouille abondamment !
– Ca va ma chérie ? Ca te plait ?
– Mouai, pas mal pour l’instant, maman… pas mal…
– Pourtant tu mouille !
– Parce que tu m’excite… mais faut encore que tu me fasses jouir ! Je ne sais pas si tu vas y arriver vu que c’est ta première fois !
Cette petite coquine me mettait au défi et j’admets qu’à ce moment je n’étais pas sûr de moi… Je décide donc d’appliquer sur elle la même recette que ce que je fais sur moi : la masturber et la doigter. Je commence donc à faire un mouvement de rotation avec 2 doigts sur son clito et enfonce mon majeur de temps en temps dans son vagin. Elle soupire et commence à gémir un peu… je suis sur la bonne voie ! J’accélère mon mouvement tout en lui mordillant les tétons et entre à présent 2 doigts dans sa chatte. Elle n’est pas étroite mais il est clair qu’elle ne pourrait pas se prendre un poing en entier comme je l’ai fait ! Elle me prend la tête entre ses mains et m’embrasse à nouveau. Puis nos lèvres se décollent mais nous continuons à jouer avec nos langues… comme de vraies lesbiennes !
– Lèche-moi, maman ! Je veux ta langue, s’il te plaît… me demande-t-elle entre 2 gémissements
Sans lui répondre, je me place à hauteur de son sexe et j’embrasse son minou. Je ne sais pas exactement comment faire mais je sors ma langue et commence à tournoyer sur son petit bouton, comme je le faisais avec mes doigts. J’accélère aussi mon doigtage et n’ose introduire un 3ème doigt de peur de lui faire mal. Elle me passe ses mains dans mes cheveux mouillés, me plaque bien contre son sexe
– Oooohh, c’est pas mal du tout, maman ! Continue comme ça avec ta langue…
Je la lèche à présent avidement, donnant de grands coups de langues sur son clito et ses lèvres, goutant au passage sa mouille épaisse… J’adore ça ! Et alors que j’avalais avec délectation une petite gorgée de la cyprine de ma fille, je me fis la réflexion que j’étais devenue est véritable salope. C’était officiel !
Je suis maintenant excitée comme une folle et lui bouffe littéralement la chatte. Je lui fais poser un pied sur le rebord de la douche pour bien lui écarter le sexe et redouble d’effort pour la faire jouir. Je lui insère finalement 3 doigts car je sens que cette coquine est largement assez trempée et dilatée pour les prendre. Je la doigte sans ménagement et plus elle gémit de plaisir, plus j’accélère mon mouvement. J’ouvre plus fort l’eau de la douche pour masquer les bruits car Chloé a du mal se retenir de crier. Dans l’excitation du moment, je me surprends à jouer avec son petit anus et donne des petits coups de langue sur son œillet.
– Tu t’es déjà fait prendre par là, Chloé ?
– Non, j’ai jamais voulu… C’est les putes et les actrices porno qui se font enculer !
Merci pour la pute ! pensais-je intérieurement. Alors comme ça ma petit Chloé est frigide du cul… comme moi il y a encore quelques jours. Et bien c’était à mon tour de lui faire découvrir des choses. J’entreprends donc de lui insérer un doigt dans l’anus et enfonce péniblement une phalange.
– Ooohh, maman, qu’est que tu fais ?? Pas par là !
– Fait moi confiance ma chérie, c’est moi désagréable qu’il n’y paraît…
– Ah ? Tu laisses papa t’enculer ?
Mais sans répondre à cette question embarrassante, j’enfonce le reste de moi doigt dans son cul. De l’autre main, j’enfonce 2 doigts dans sa chatte (rendue un peu plus étroite par l’insertion anale) et tout en lui léchant le clito, je commence un double mouvement d’aller retour. Son anus est très serré et je décide de prendre de la crème hydratante sur le lavabo (la même qu’Hugo a pris pour m’enculer la première fois) pour le lubrifier et je reprends mes vas-et-viens de plus belle.
Je sens alors Chloé défaillir et, bouche grande ouverte sans sortir un son, tous ses muscles se contractent et elle est secouée par un orgasme très violent. Elle s’appuie sur moi pour ne pas tomber et je cesse mes allers-retours dans ses orifices, me contentant d’attendre que les spasmes se calment.
– Ca t’a plus ma chérie ?
– Oh putain, c’était énorme, le plus grand pied de ma vie ! dit-elle essoufflée
– Tu as aimé le doigt dans le cul ?
– C’était génial ! Très excitant… je me sentais comme …
– … une salope ?
– Exactement !
Elle sortit alors de la douche, se sécha et sortit rapidement non sans m’embrasser amoureusement avant. Moi-même j’enfile une chemise de nuit et me brosse les dents. Hugo entre alors discrètement dans la salle de bain, referme la porte sans bruit et viens à coté de moi.
– Ca va maman ? Me demande-t-il en chuchotant
– Oui, très bien pourquoi ?
– Parce qu’on vous a entendu avec Chloé ! Vous pourriez être plus discrète quand vous vous envoyez en l’air !
– Oh merde ! Qui a entendu ? Ton père ?
– Non, je ne pense pas, il encore dans son bureau en train de bosser. Mais Théo et moi, on a rien loupé !
– Oh noooon, pas Théo…
– T’inquiète pas pour lui, il est grand ! Tu devrais voir les nanas qui se tapent : un vrai tombeur ! Et je ne te dis pas les fois où il se branle en reniflant tes culottes sales… ou celles de Chloé. Encore plus pervers que moi le frangin !
– Mais qu’elle famille de dégénérés ! Tu savais que Chloé était bi ?
– Oui, elle me l’a dit une fois où….
– Où quoi ?
– … une fois où elle m’a branlé… Elle m’avait gaulé en train de me paluché et elle a voulu me finir pour rigoler. Mais on n’a pas baisé, maman, je te jure !
– Ca c’est rien, mon chéri… Je suppose qu’entre frère et sœur pervers, ça se fait !
– Surtout qu’elle nous allume en permanence… La moindre occasion est bonne pour se montrer en culotte ou en soutif’ !!
J’étais un peu déboussolée par ses révélations mais vu les évènements récents, cela ne me surprenais plus vraiment.
– Je passe te chercher au lycée demain ? demandais-je machinalement, comme si c’était normal.
– On est en entreprise le vendredi… et on nous ramène directement chez nous.
– Ok…
Il glissa alors sa main sous ma chemise de nuit, me touchant les fesses et aventura un doigt à l’entrée de mon vagin, encore trempé de l’aventure avec Chloé.
– Ne t’inquiète pas maman, on aura l’occasion de se revoir. Papa s’en va demain et Chloé n’est plus vraiment un problème…
– Et Théo ? Il ne faut pas qu’il sache pour nous !
– Je m’occupe de lui… D’ailleurs, ça te dirait un petit jeu ? me demanda-t-il tout en me caressant la vulve.
– Quoi comme jeu ?
– Je voudrais que ce weekend, tu allumes Théo le plus possible ! Que tu l’aguiches, que tu le fasses bander comme un malade mais sans jamais aller trop loin…
– Et pourquoi je ferais ça ?
– Déjà parce que tu es ma salope personnelle, c’est toi qui me l’as dit ! Et aussi parce que si tu l’excite bien et qu’il s’absente dans sa chambre pour se soulager ou qu’il sort parce qu’il est embarrassé, ça fera du temps libre pour nous…
– c’est un peu tiré par les cheveux ton truc ! Mais admettons, je vais le chauffer un peu !
Je ne me reconnaissais plus. Une telle proposition m’aurait scandalisé il y a encore 2 semaines mais aujourd’hui elle… m’émoustillait ! J’avais fait un strip-tease devant 10 ados sans qu’on me force (et sans savoir comment ça allait tourner…) alors ce n’est pas de montrer un peu mes fesses à Théo qui allait me gêner ! Satisfait, Hugo retire ses doigts et me disant qu’il a hâte de voir ça.
– Tu es trempée, maman… Je suis sûr que papa pourrait en profiter avant de partir !
– J’y comptais bien… Ta sœur m’a mis dans un des ces état !
– A au fait, j’aimerais que demain, au travail, tu te masturbes encore. Autant de fois que tu pourras et partout où tu pourras. Et à chaque fois, tu prends une petite photo avec ton portable et tu me l’envoie. Ok ?
– Si tu veux… espèce de pervers !
J’insultais mon fils de pervers alors que j’avais hâte d’être à demain pour voir là où on peut se doigter tranquille à mon travail et que je ne pensais maintenant qu’à une chose : allumer mon Théo et le faire bander comme un taureau !
J’étais au lit depuis un moment quand mon mari vint se coucher et, exceptionnellement, c’est lui qui voulu faire l’amour. J’acceptai volontiers. Il vint vite et ne me fit, encore une fois, pas jouir. Mais ce fut agréable et j’étais soulagée de voir que j’avais encore de la tendresse pour lui malgré les évènements. Je lui ai même proposé de m’enculer mais il refusa, trouvant cette pratique dégradante (il est encore plus conservateur que moi…) et parût choqué que je veuille le faire. J’ai prétexté que cela ne me plaisait pas non plus mais que c’était un « cadeau » avant son départ. Mon cul ne se fit donc pas visité ce soir là et je me dis que, puisque mon mari n’en voulait pas, il resterait l’exclusivité d’Hugo. Je me trompais…
Le lendemain matin se passa comme d’habitude et j’arrivai à mon travail à 9h00. Je n’avais pas oublié la demande d’Hugo et j’avais bien l’intention de me masturber dans divers lieux de mon boulot et de lui envoyer de belles photos ! La première fois fût à 11h aux toilettes pour faire une « pause orgasme » après de 2h de dossiers pénibles à traiter. Je pris une photo avec mon portable de ma chatte bien écartée et trempée et l’envoya à Hugo. Il me répondit dans la foulée : Parfait, continue !
Dans la journée, je me suis masturbée (ou parfois juste touchée) à mon bureau pendant que mon assistante était en pause, dans un locale technique, dans un coin discret du parc dehors et même dans le bureau de mon boss, à l’étage du dessus, pendant sa (longue) pause déjeuner. A chaque fois, Hugo avait droit à une photo. J’étais épuisée de jouir autant et mon clito me faisait mal tellement je l’avais sollicité dans la journée. Mais Hugo répondit à mon dernier MMS : « On dirait que tu aimes ça… continue salope ! ». C’est vrai que j’aimais ça et je voulu contenter mon fils en pimentant un peu le jeu.
Vers 18h00, alors que les bureaux commençaient à se vider, je décidai donc de rester encore un peu pour achever mon œuvre.
Après avoir vérifié que les locaux étaient vides et prévenu le gardien que j’avais un rendez-vous téléphonique et que j’allais donc rester encore un peu, je me mis entièrement nue dans mon bureau. Je me sentais libre, folle et dévergondée. Je pris quelques photos de moi dans plusieurs positions sexy (voire porno, du genre à quatre pattes avec un crayon 4 couleurs dans le cul…) et me mis à déambuler dans les locaux !
Je me fis un café à poil, fis des photocopies à poil, passa un vrai coup de fil à un client depuis le poste de mon boss, jambes écartées en train de me caresser. Je m’assis dans les fauteuils de mes collègues en frottant bien ma chatte sur dessus, m’allongea nue sur certains bureaux, m’enfonça dans le cul divers objets que je trouvais ça et là, puis les reposaient. Je faisais tout ce qui à de plus pervers quand on est toute nue sur son lieu de travail, pourvu que ça fasse une bonne photo ! Cela me permettait aussi de relâcher d’une certaine manière une énorme pression professionnelle accumulée depuis des semaines dans une sorte de « je vous emmerde » général…
Excitée par ce petit jeu, je finis par me masturber pour de bon en plein milieu du couloir, jambes bien écartée comme offerte à toute mon entreprise, même si j’étais seule. Je me suis imaginée dominer et fouetter mon connard de boss, me faire baiser en tournante par tout le service technique et me faire recouvrir de sperme, me faire enculer sauvagement par un jeune collègue qui, dans la réalité, était mignon mais pas très discret quand il me reluquait. Je me suis même imaginé bouffer la chatte de mon assistante, Virginie, une belle jeune femme blonde, souvent habillée sexy que tous les mecs de la broîte draguaient sans succès.
Aidée par ces idées lubriques, je me fis jouir une énième fois aujourd’hui, ici, dans le couloir de mon travail. Je pris une dernière photo, l’envoya à Hugo, me rhabilla et rentra chez moi.
Il était tard et mes enfants étaient déjà à la maison. Chloé me dit bonjour comme si rien ne c’était passé hier et Théo, comme d’habitude, ne voulu pas de bise de sa « vieille mère ». Il allait voir comme la vieille allait le chauffer ce weekend ! Hugo descendit de sa chambre pour me saluer puis me glissa discrètement que mes photos étaient parfaites et que ses copains avaient adorés !
– Quoi ??? Tu les as montrés à tes potes ?? Lui demandais-je discrètement mais fermement
– A ceux qui t’ont baisé l’autre jour maman… et je les ai gardés dans mon téléphone. Ils ne les ont pas.
– Et s’ils en parlent, tu imagines les conséquences pour mon travail ?
– Ils n’ont dis à personne qu’ils t’avaient baisé à 10, que tu t’étais pris des kilomètre de queues et bu des litres de sperme ! Alors je ne crois pas qu’ils vont parler de photos de mauvaise qualité où on ne voit pas ta tête !
– mouai…. Mais fait attention Hugo, si un jour ça se sait, c’est toute notre vie qui est foutue… A toute la famille, pas qu’à moi !
– Je sais… Bon, en parlant de famille, tu n’oublie pas que ce weekend, tu dois allumer Théo comme une grosse coquine ?
– T’inquiètes pas, c’est prévu !
Il me claqua les fesses, fière de sa salope personnelle.
Le soir même, le petit jeu commença. En cette chaude soirée d’été, je me suis d’abord changée pour passer une robe courte très légère et des sous-vêtements qui se distinguaient en dessous. Puis j’ai préparé le repas ainsi, en me penchant pour tendre les fesses dès que Théo entrait dans la cuisine. Ma tenue devait lui plaire car il me proposa son aide, du jamais vu depuis, je dirais,… 17ans ! Il pu observer mes fesses, mon string, mon décolleté et mon entre-jambe de nombreuses fois. Il faut dire aussi que j’ai été très maladroite et faisant sans cesse tomber des choses !
Le repas s’est déroulé normalement. Apres avoir débarrassé la table, je demandai à tout le monde s’ils avaient des devoirs et, constatant que Théo en avait beaucoup, lui proposa de l’aider dès ce soir pour qu’il ait le weekend tranquille. Il accepta.
Nous nous sommes installés à la table du salon, lui devant ses bouquins, moi assise à coté, tournée vers lui. J’ai ainsi passé 1h à croiser et décroiser les jambes le plus haut possible pour lui montrer mon string, tant en lui expliquant ce qu’était une asymptote. Le bas de ma robe était à mi cuisse et je faisais en sorte qu’elle remonte le plus possible. A chaque croisement de jambe qui révélait mon entre-jambe, il ne perdait pas une miette du spectacle. Je posais parfois une main affectueuse sur sa cuisse lorsqu’il ne comprenait pas un problème. Il était complètement déboussolé et n’arrivait plus à rien avec ces devoirs. Après lui avoir reproché de ne pas être concentré, nous avons stoppé les devoir et il est allé dans sa chambre.
Je suis allé à la salle de bain, ai enfilé ma chemise de nuit puis ai fait le tour des chambres des enfants pour leurs demander leur linge sale. Chloé, toujours aussi dévergondée, c’est déshabillée devant moi pour me donner sa culotte et son soutif’ et a ouvert ma chemise de nuit pour me regarder nue. Hugo, lui, n’avait pas de linge sale mais m’a demandé de lui faire une petite pipe, ce que je fis avec plaisir. J’étais debout, cul tendu, en train de sucer mon fils qui était sur son lit alors que n’importe qui pouvait rentrer dans la chambre… En l’absence de mon mari, je perdais toute forme de pudeur ou de prudence et devenais la trainée officielle de mes enfants. Il n’a pas eu le temps de jouir mais m’a donné rendez-vous dans le salon d’ici 1 heure, quand tout le monde serait couché.
Enfin, pour finir a tournée de linge sale, je desserre un peu ma chemise de nuit et vais voir Théo pour son linge. Des chaussettes et des caleçons trainaient partout et je du me pencher pour les ramasser. Je ne portais rien en dessous et espérais bien qu’il avait pu voir une partie de mon sexe. Je reste longtemps ainsi, cul tendu au nez de mon fils en train de ramasser ses vêtements. En me relevant, un sein s’échappe de la chemise et je le range avec un « oups » innocent face à un Théo médusé. Je me penche une dernière fois pour un T-shirt qui traine et, cette-fois ci, fait en sorte d’écarter un peu les jambes pour que ma chatte lui soit entièrement visible. Cela ne dure qu’un instant mais j’imagine très la tête qu’à du faire cet ado plein d’hormone en voyant ainsi mon beau cul tendu, révélant ma chatte et mon anus. Puis je sorts, lance une machine et retourne dans mon lit pour bouquiner en attendant d’aller me faire baiser dans le salon.
Une heure plus tard, je me rends dans le salon alors qu’Hugo m’y attend, assit sur le canapé, la bite à l’air et bien dure. Il fait tomber ma chemise au sol et m’invite à le sucer à nouveau. A genoux devant lui, je lui fais une belle pipe, lui pompe le gland, lui gobe les couilles, lui lèche de bas en haut son long sexe. Mais je n’arrive pas à le prendre très loin dans ma bouche et ai des haut-le-cœur à chaque fois que j’essaie de la prendre dans ma gorge. Il n’aura donc pas droit à une gorge profonde cette fois, on ne peut pas être au top tout le temps… Néanmoins excitée et trempée, je stoppe la pipe, me mets à cheval sur lui et m’empale sur son gros sexe qui m’écarte la chatte et me pénètre sans aucune difficulté.
– Alors, satisfait de mon allumage ? lui demandais à vois basse, entre 2 gémissements discrets de plaisir.
– C’est parfait. Théo est venu me demander si je te trouvais normale ce soir… Je lui ai dit que je ne voyais pas de quoi il parlait !
– Mmmmmh….. tu crois… qu’il s’est… branlé ?
– C’est sur, vu la gaule qu’il avait, il a du se soulager !
– Il en a une grosse, aussi ?
– Pas mal… Un peu plus petite que moi mais plus grosse que celle de Valentin, tu te souviens ?
– Mmmmmhh, oui je me souviens !
Comment oublier celui qui avait fait en sorte qu’un simple strip-tease finisse en gangbang et qui m’avait baisée en long, en large et en travers ! Pendant que nous parlions, Hugo continuait de me limer calmement et à me lécher les seins.
– Et… tu crois qu’il voudrait me baiser ? Tu crois que Théo aussi voudrait me sauter sur ce canapé ?
– Toute le monde veut te baiser, maman ! Théo, mes copains, le voisin, tes collègues… tu pourrais te taper qui tu veux ! Mais…. tu as envie de te faire baiser par Théo ???
– Non ! Enfin je ne sais pas, il est jeune et…. enfin peut être…. Mmmmm
Il me prit les fesses à pleines mains et accéléra la cadence. Moi, je ne faisais rien d’autre que me faire défoncer en le tenant par le cou, gémir de plaisir et délirer sur ce que Théo voudrait me faire :
– Ooohh, tu crois qu’il voudrait…. me prendre en double….. comme tes amis ?
– J’en suis sûr ! Tu aimerais avoir les 2 bites de tes fils dans la chatte ? Hein ?
– Ohhh oui…. Vous pourriez me remplir la chatte…. Et tu crois qu’il voudrait m’enculer, comme toi ?
Et sur ces mots, je me soulève un peu, extrais sa bite de mon vagin et le place devant mon anus. Je me rassois sur lui et sens son sexe forcer l’entrée de mon petit orifice. Contrôlant la pénétration, je fais en sorte de ne pas avoir mal et cherche enfin à ressentir vraiment du plaisir par le cul. Hugo respecte mon rythme et se contente de bien m’écarter les fesses.
– tu as pris gout à la sodomie, on dirait… C’est parfait ! Tu aimerais que Théo t’encule aussi ?
– ooohh mon dieu, j’adore me faire enculer, dis-je en gémissant alors que son sexe progressait tranquillement dans mon colon encore étroit.
– Tu veux te faire enculer par Théo, ou pas ? Dis-le !
– Oui, je veux que Théo me sodomise…. Je veux que Théo me défonce la chatte et le cul… Je veux boire son sperme… Ohhhh
Je devenais folle d’excitation et ne savais plus ce que je disais. Je savais juste qu’à ce moment précis, je voulais que Théo soit là pour me prendre en double avec son frère. Je voulais plus de bites, je voulais les bites de mes fils ! Le sexe d’Hugo était alors presqu’entièrement rentré dans mon cul et décrivait des allers retours très agréables. Pas de douleur cette fois, à part une sensation d’écartement à la limite de la déchirure. Mais j’adorais les vas-et-viens de sa bite alors que jamais je n’avais pensé qu’on pouvait éprouver du plaisir par là.
– Ohh mon dieu que c’est bon ! Je voudrais… mmmmhh…. Que Théo me prenne aussi. Je voudrais que vous me preniez en double… Ooohh continue, défonce moi !
– Pas de problème, je vais te le défoncer ton cul !!!! Haaaa ! Très bientôt, c’est Théo qui te le défoncera !
Et il accéléra son mouvement brutalement. Nous chuchotions toujours (machinalement) mais nous ne pensions absolument plus à autre chose que notre plaisir. Chloé et Théo pourraient être là en train de regarder, je ne les aurais pas remarqués. Il me limait le fion comme un fou mais la douleur se faisait toujours discrète. Par contre, le plaisir, lui, était vif et allait en augmentant.
– Oh mon dieu, ne t’arrête pas !!! Je crois que je viens… je crois que je vais jouir du cul !
– Ahhhhh ma salope, tu vas jouir du cul ???
– Ouiii ça vient ! Mon dieu, c’est divin !!! Ooohhhh !
Un orgasme puissant me secoua soudain les entrailles tandis que je me mordais la lèvre pour ne pas crier. Je ne sais pas si c’est la sodomie en elle-même qui m’a fait jouir, ou la pression du sexe d’Hugo sur mes muscles vaginaux, ou le fait de m’imaginer prise en double par mes 2 fils mais ce fut merveilleux ! Je serrais mon cul le plus possible autour de la bite de Hugo et fis en sorte de me caler sur lui, ses 25 cm enfoncés entièrement.
– Tu as joui mon chéri ?
– Non, j’ai d’autres projets !
Il se retire alors, me soulève et me met à genoux par terre. Il se met debout devant moi et me présente son sexe dur.
– Allez, finis-moi !
– T’es dégelasse ! Elle sort de mon cul, dis-je dégoutée.
– Je sais, mais ça fait partie de ton apprentissage. Si tu ne peux pas sucer une bite qui sort de ton cul, comme tu veux qu’on te prenne à plusieurs par là ??
– Arrête, Hugo ! C’est répugnant !
– Tu t’y habitueras ! Allez, suce-moi ! Dit-il en me prenant la tête.
Puis il frotte alors son gland sur mes lèvres et je sens une odeur très forte. Puis, cédant à la pression et encore sous l’effet de mon orgasme, je le prends timidement dans la bouche. Il est clair que le gout était affreux mais je fus pragmatique : plus je le sucerais, plus le gout partirait vite. Je décide donc de le lécher avidement en salivant le plus possible. Je recrache de la bave nauséabonde et recommence mon nettoyage ainsi jusqu’à avoir dans la bouche une bite bien propre.
– Tu vois, c’étais pas si terrible ! Allez, ouvre la bouche, je vais de donner ta récompense !
Il se saisit alors de son sexe et se masturbe au dessus de moi. Je suis là, assise devant lui, bouche ouverte, dégoulinante de bave, attendant comme une chienne que mon maître me donne un sucre. Sauf que ce ne fut pas un sucre que je reçu mais des jets de sperme chaud et épais. Le premier, puissant, me recouvrit le visage d’un large trait allant du menton au front. Les suivants finirent dans ma bouche. J’avalai cette grosse gorgée de foutre et pompa les dernières gouttes directement à la sortie du gland de Hugo.
– C’est très bien, tu es une belle salope !
– Et toi un sacré pervers…
Je repris ma chemise de nuit, me lava le visage et alla me coucher. Je me fis la réflexion que j’avais encore envie que Théo me fasse toutes les choses que j’avais dites… ce n’était donc pas que l’effet de l’excitation. C’était décidé : ce weekend, je m’enverrai en l’air avec mes 2 fils et ils me feront tout ce qu’ils voudront avant que leur père ne revienne. Et avec Chloé aussi, pourquoi pas. Je me suis à nouveau masturbée pour calmer mes pulsions et me suis endormie juste après un énième orgasme aujourd’hui.
Je n’imaginais alors pas à quel point ce weekend allait être de la pure orgie.
Le lendemain était un beau samedi ensoleillé et je me dis qu’une séance de bronzage dans le jardin pourrait me permettre de m’exposer devant mes enfants et peut être de convaincre Théo de me faire ma fête. Hors de question de le forcer, je voulais qu’il en ai envie. Qu’il ai envie de se taper sa mère ! J’allais juste lui donner de bonnes raisons d’en avoir envie…
9h00 du matin, je suis en chemise de nuit et je me prépare mon petit déjeuner. Je suis assise au bar de la cuisine en train de boire mon café quand j’entends quelqu’un se lever à l’étage. Je me tourne donc jambes croisées face à la porte d’entrée sur mon tabouret et remonte ma nuisette le plus haut possible. Je n’ai aucun sous-vêtement, évidemment.
C’est Chloé qui entre dans la cuisine. Elle me regarde, me fait une bise en me disant que je suis très sexy ainsi. Elle-même est très attirante : elle porte un petit débardeur sans soutif’ et un mini short de pyjama qui s’arrête juste sous ses fesses. Alors qu’elle se penche pour prendre des céréales dans un tiroir, je ne peux m’empêcher de regarder son beau petit cul. Le short laisse apparaître la bas de ses fesses et moule bien son sexe. J’ai furieusement envie de lui baisser et de la lécher ! C’est officiel, je suis bi !
– tu as des projets aujourd’hui Chloé ?
– Faire mes devoirs et trainer un peu… Pourquoi ?
– Je voulais faire une séance de bronzage dans le jardin, si ça te dit.
– Pourquoi pas… comme ça je te donnerai un coup de main pour aguicher les garçons !
– Quoi ?? Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Arrêtes, maman, c’est bon… Depuis hier, tu ne manque pas une occasion de montrer ton cul à Théo et tu le rends fou ! Tu n’avais jamais fait ça avant… Et ces messes basses avec Hugo, ses regards complices quand tu écartes les jambes… Je ne suis pas aveugle !
– Attends…. C’est juste un jeu, pour délirer quoi….
– Bien sur, et hier quand tu es allé rejoindre Hugo dans le salon et qu’il t’a baisé, c’est pour délirer ?
– Mon dieu, tu étais là ????
J’étais affolée car jusqu’à présent, personne de savait pour Hugo et moi (sauf ses copains…) et je voulais que Chloé, très proche de son père, ne soit pas au courant.
– T’inquiète, maman. Je ne dirais rien à papa.
– Et… qu’est ce que tu as vu ?
– Pas grand-chose… j’étais dans le couloir et je jetais un œil de temps en temps. J’ai entendu que tu voulais te taper Théo et je t’ai vu assise sur Hugo à monter et descendre.
– Et ça ne te choque pas plus que ça ?
– Non, on a baisé toutes les 2, c’était super… tu peux aussi le faire avec les garçons… A leur place, j’en profiterai aussi ! Et franchement, que tu sois leur mère ou pas, ils ont juste envie de baiser. Ils pensent avec leur bite, les mecs…
– Et toi, tu l’as déjà fait avec les garçons ? Je connaissais en partie la réponse à cette question mais je voulais savoir si elle me mentirait.
– Bin… une fois j’ai branlé Hugo que je l’avais surpris à fouiner dans mes petites culottes…
– Et avec Théo ?
– Non, c’est mon jumeau ! Ce serait trop… bizarre.
– Et avec ton père ? demandais-je, très inquiète de la réponse
– Non, maman… plusieurs fois je me suis promenée en petite tenue pour le provoquer un peu mais il m’a juste engeulée car ce n’était pas une tenue correcte. Je suis sur que ça ne lui viendrait jamais à l’esprit de me sauter !
– Alors promets-moi de ne jamais rien tenter avec lui et que tout ce qui ce passe avec tes frères restera entre nous !
– Promis, je ne dis rien et toi tu ne lui dis pas pour Hugo et moi… ça le tuerait.
– Ca marche.
Un pacte malsain avait ainsi été scellé avec Chloé et je comptais bien intégrer à ce pacte Hugo et Théo pour que rien ne se sache.
Chloé pris son petit déjeuner devant la télé tandis qu’Hugo se levait. Je lui dis que Chloé savait pour nous et de mes intentions envers Théo et que je lui avais fait promettre de garder ça. Il me dit à juste titre que si elle participait, elle serait bien obligée de ne rien dire !
Il était près de 11h et Théo n’était toujours pas levé. Cela me contrariais à la fois en tant que mère et en tant que femme excitée… Je monte donc dans à l’étage pour le réveiller et entre discrètement dans sa chambre. Il est sous ses draps, tournant le dos à la porte. Je constate que les draps sont secoués d’un mouvement régulier. Il est en train de se branler ! Je suis fixe, ose à peine respirer de peur qu’il m’entende. Il continue de s’astiquer doucement, ne semble pas spécialement presser de finir et prend de grandes respirations, comme s’il reniflait quelque chose.
Soudain il se met sur le dos mais garde les yeux fermés et ne me voit pas. Il renifle effectivement quelque chose, un morceau de tissus blanc. Je mets un certain temps pour distinguer ce que c’est à cause de l’obscurité de la chambre et vois finalement qu’il s’agit de la culotte que je portais hier. Je l’avais laissé au pied de mon lit quand je me suis changée. Ce petit pervers est allé la chercher ce matin et se paluche avec ! Et vu la journée que j’ai passé hier, entre le bureau et mes petits jeux, elle doit être effectivement imbibée de mouille… Il retire l’étoffe de son nez, et la replace de façon à avoir l’intérieur de la culotte face à ses narines et inspire un grand coup. Ce petit salaud à l’air d’apprécier puisqu’il retire le drap qui le couvrait et accélère la cadence. Je vois maintenant nettement sa main branler son sexe et, comme me l’a dit Hugo, il est très bien monté ! Un peu plus petit et étroit qu’Hugo mais bien mieux équipé que son père… Décidément, cela fait 20 ans que je me tape une petite bite sans le savoir !
Il semble à 2 doigts de jouir et estime que c’est le bon moment pour tenter quelque chose. Sans prévenir, je lui crie :
– qu’est ce que c’est que cette histoire, Théo ?? Tu renifle mes culottes pour te branler ??
Théo sursaute alors et, nu comme un vers et sexe bandé, parait complètement affolé. Il se cache le sexe et crie :
– Maman ?? Sort de ma chambre !
– répond moi, Théo ! C’est ma culotte que tu renifle ?
– Heu…non, c’est celle de…. Chloé
– Et tu crois que c’est mieux ?? Quel frère renifle les culottes de sa sœur pour le palucher ?
– C’est elle qui nous aguiche tout le temps ! Et toi aussi…. Comme hier où te faisais exprès de te pencher !
– Et le spectacle t’a plu ?
– J’en sais rien, sort de ma chambre !!!
– Allons, laisse-moi te donner un coup de main…
Alors que je lui disais cela de manière provocante, je m’approche de lui et me met à genoux au pied du lit.
– Qu’est-ce que tu fais ??
– Tu es très beau, Théo. Un véritable homme, très viril. Je suis très fière, dis-je en posant une main sur les abdos.
– S’il te plaît, laisse-moi, maman…
– Plutôt qu’une vieille culotte, tu ne veux pas mater quelque chose de plus concret pour te branler ?
J’ouvre alors ma chemise de nuit et lui révèle mes gros seins dont les tétons pointaient déjà. Je lui prends la main qui cache son sexe et la pose sur mon sein.
– Tu vois comme ils sont gros et fermes… autre chose que des seins d’adolescente, hein ?
– Maman….. arrête…. Je…. C’est bizarre…
– Bizarre qu’une mère veuille donner du plaisir à son fils ? Et sur ces mots, ma main se saisi de son sexe qui n’a rien perdu de sa vigueur et commence un léger mouvement de va et vient.
– Détends toi une minute, tu verras, c’est tellement mieux quand c’est une femme qui te masturbe…
Il ne répond pas mais ferme les yeux et se détend. Il se laisse aller, me malaxe le sein sans que j’ai à l’y aider. Mon mouvement s’accélère tandis que ma deuxième main vient lui masser doucement les testicules.
– Oooh, continue, ça vient… c’est excellent !
Je sens que de ça main, il essaie d’atteindre mon sexe. Je me redresse donc et écarte un peu les jambes pour lui permettre de me caresser la chatte. Ses doigts ne sont pas très précis, autant par manque de concentration que par manque d’expérience je pense, mais ce contact inédit et tant désiré depuis hier me fait énormément d’effet.
– Tu sens comme je mouille, mon chéri ?
– Oui…. Tu es trempée…
– C’est parce que tes doigts sont très habiles… tu peux en rentre un si tu veux…
Il m’insère alors le majeur dans le vagin et me branle timidement. Je constate alors que ce doigtage a est terriblement excitant pour lui et il me dit en se crispant :
– Ohhh, je vais venir, maman !
– Tu veux me jouir sur les seins, Théo ?
– Oh oui !
– Alors lèves-toi !
Il retire son doigt de ma chatte, se lève et se place devant moi alors que je me mets à genoux. Je continue à la branler puis, le sentant à 2 doigts de craquer, tends la poitrine sous son sexe. Il me jute alors dessus de puissants jets de sperme qui viennent me recouvrir la poitrine. J’étale le foutre avec son gland et lui nettoie d’un coup de langue.
– Ca va mieux mon chéri ?
– Oui… c’était génial… mais faut pas que les autres l’apprennent.
– Ne t’inquiète pas, je m’occupe de ça. En attendant habilles-toi et lèves-toi, il est tard !
Alors que je m’apprête à sortir de la chambre, Théo me demande timidement :
– Maman, on… pourra le refaire ?
– Bien sur ! D’autant que tu ma bien chauffée avec ton doigt… Il faudra que tu finisses ce que tu as commencé au plus vite !
– Aujourd’hui ?
– On verra…
Je sors de la chambre, réajuste ma chemise de nuit, non sans avoir gouté un peu se son sperme étalé sur mes seins… délicieux ! Je sens que je vais encore me régaler ces jours-ci ! Je me change, me nettoie et enfile un maillot de bain et un paré haut pour aller bronzer. Mon plan est en marche et tout se passe à merveille. Je suis convaincue que j’aurais bientôt mes orifices comblés par les bites de mes fils et j’en mouille d’avance.
A suivre…
Suite :
Le soleil me chauffe la peau au fond de mon jardin depuis un moment tandis que mes enfants vaquent à leurs occupations. Hugo est passé me mettre de la crème, ainsi que quelques doigts, mais n’a pas insisté car Théo était dans le coin. Il ne savait pas ce qui s’était passé dans la chambre et je comptais bien lui faire la surprise au moment opportun !
Chloé m’a rejoint un peu après en portant un maillot très sexy, une sorte de mini bikini… le haut ne masque que l’essentiel de ses seins et le bas est un string tellement court qu’il laisserait voir les poils pubiens si elle en avait… Je ne me souviens pas lui avoir a
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