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Contraintes quotidiennes

Contraintes quotidiennes



J’ai toujours eu envie de soumission. J’ai décidé, il y a un an, de passer à l’acte. J’ai répondu à une annonce où un couple cherchait un esclave mâle totalement soumis. Après divers contacts par lettres, je reçus un contrat de soumission que je remplissais et attendis. Le jour J, je fut amené par un taxi qui me prit devant chez moi, dans une maison de la banlieue lyonnaise. Dans le salon où je me retrouvai seul et angoissé, un mot sur la table me dit de me déshabiller et d’attendre. Ce que je fis. Madame entra, très distinguée en robe du soir. Elle me dit de me retourner, me regarda sous toutes les coutures. Je dus me mettre à genoux, toujours sans prononcer un mot, car le silence est la première loi de l’esclave. Madame me lut le contrat que j’avais signé et me dit que je devais maintenant ne plus être que ce qu’elle voulait que je fusse. Elle me fit signe de la signe dans la salle de bains. Elle prit une tondeuse électrique et me rasa les cheveux en signe de totale soumission. Je dus ensuite m’allonger sur une table et écarter les jambes. Maîtresse me rasa les poils autour de mon sexe et m’enduisit les jambes de cire pour m’épiler. Ce fut douloureux mais j’aimais tellement ça. Elle m’apporta ensuite mes vêtements d’esclave. Je dois porter en permanence un collier de chien au cou, d’où part un harnais qui se termine autour de la taille, une petite culotte noire ou rouge, un porte-jarretelles de couleur assortie, des bas, des escarpins sans talons et par dessus une petite robe noire très serrée.
Je fus ensuite présenté à mon Maître qui m’inspecta et me fit mettre à quatre pattes pour me tâter sous ma robe. Sa grosse main sur ma petite culotte me fit bander et Monsieur me donna alors ma première punition pour avoir montré mon excitation. Il s’agissait d’un god attaché à une chaîne. Je dus me lever, puis relever ma robe au dessus de ma taille. Maître accrocha avec un cadenas une chaîne à un anneau que j’avais dans le dos fixé au harnais. Cette chaîne bien tendue me passait entre les fesses et maintenait bien profondément le god au fond de mon orifice en remontant se fixer avec un autre petit cadenas à un autre anneau au dessus de mon sexe.
Je remis ma petite culotte en place ainsi que ma robe et je fus alors le plus heureux des esclaves. Mon petit god bien enfoncé me rappelait ma condition, et j’adorais déjà Maître et Maîtresse…
Maîtresse me montra alors ma chambre qui n’a pour meubles qu’un lit et une chaise. Une petite pièce à côté avec un lavabo et une glace me sert de salle de bains.
Maîtresse me dit que le god me serait enlevé le soir avant de me coucher, que c’était ma première punition mais qu’elle en avait bien d’autres en réserve. Voulant remédier à mon érection intempestive, elle me fit déshabiller et je restai en porte-jarretelles et bas devant elle. Mon sexe se dressait toujours. Elle me donna un préservatif que j’enfilai puis je dus me masturber afin de vider mon sexe. Une fois cela fait, le préservatif enlevé et le sexe devenu mou, Maîtresse m’enfila un petit anneau autour du gland relié à une petite chaînette qui alla rejoindre l’anneau que j’avais à mon harnais dans le dos la chaîne du god. Mon sexe est ainsi toujours maintenu vers le bas par cet accoutrement, je ne peux ni bander ni me masturber et je dois uriner accroupi. Le cadenas maintenant cette chaîne n’est enlevé qu’une fois par semaine si j’ai bien été soumis, pour, comme dit mon maître, vider l’esclave.
Je vais, après l’accord du Maître et de Maîtresse chercher dans ma chambre un préservatif et des gants de latex que je porte sur un plateau. Maître mets les gants pendant que Maîtresse enlève le cadenas et libère mon sexe. Je soulève ma robe au-dessus de ma taille pendant que Maître me masturbe. Je dois rester debout et ne pas manifester de plaisir. Maîtresse encourage son mari en lui disant « Branle le chéri, plus vite, je sens que ça vient », etc.
Un fois éjaculé, Maître m’enlève le préservatif, le pose sur le plateau. Je me réenfile moi-même l’anneau autour du sexe et Maîtresse tire bien sur la chaîne pour bien le tendre vers le bas et fixe le cadenas à l’anneau. La clef étant toujours en sa possession. Je dois alors baiser les mains du Maître, lui enlever les gants et ramener le tout dans ma chambre sur le plateau.
C’est ainsi tous les samedi, sauf punition. J’attends ce moment avec impatience car ma position de soubrette m’excite, et les grosses mains de mon Maître sur mon sexe sont ma seule jouissance. Voici mon emploi du temps d’une journée en général.
Lever 6h30, je dois veiller à être bien épilé et bien rasé autour du sexe. Je dors dans une blouse de nylon très serrée, le sexe toujours enchaîné pour éviter les tentations. Je prépare le déjeuner de Maître qui se lève à 7h30 pour aller à son bureau. Je suis en tenue de soubrette et je l’attends dans la salle de bains. Je lave Maître et le douche en portant des gants de latex.
Je dois porter ces gants chaque fois que je lave Maître et Maîtresse. Maître aime beaucoup que je le caresse le matin en le lavant autour du sexe. Son érection énorme me fait comprendre son plaisir. Debout dans la baignoire il m’appuie alors sur la tête, ce qui signifie que je dois m’agenouiller pour le sucer. Je suce ainsi Maître tous les matins, cette petite fellation le met en forme. Lorqu’il a bien déchargé dans ma bouche, je me rince la bouche et je le lèche ensuite pour bien lui nettoyer sa belle bite qui a bien voulu de ma gorge. Ensuite je sèche Monsieur et pendant qu’il déjeune je nettoie la salle de bains.
Monsieur parti à 9h, la Maîtresse se lève ensuite. Je la lave aussi, la sèche, la sert du mieux que je peux. Maîtresse aime beaucoup ma langue dans son intimité. J’aide Madame à s’habiller, puis je vaque à mon travail domestique. Je lave, nettoie, astique jusqu’au soir. Si je casse quelque chose ou si mon
attitude n’est pas assez soumise, les punitions sont alors exercées.
La chaîne de maintien est une grosse chaîne qui part de mon collier de chien et qui, très tendue, me passe dans l’anus et remonte de l’autre côté. Lorsque Maîtresse l’installe, je dois me tenir courbé de façon a ne pouvoir me tenir droit sans que la chaîne ne me rentre dans les fesses. Cela fait très mal lorsque je marche ou m’assois. Le god attaché dont j’ai déjà parlé, c’est la punition que je préfère. La cravache me plaît aussi. Je dois m’installer sur les genoux de Monsieur, plié, les mains touchant le sol ainsi que les pieds. La robe ayant été enlevée, je ne garde que ma petite culotte. Les coups de cravache de Maîtresse sur ma petite culotte me font mal mais j’aime ça et je sens très fort mon sexe qui ne peut se raidir emprisonné dans son anneau.
J’ai dû porter aussi pendant les trois premiers mois une chaîne qui reliait mes deux chevilles afin de m’habituer à faire des petits pas. Maître me trouve des allures trop viriles. Cela n’est plus nécessaire maintenant. Je suis très féminisé. Mes Maîtres m’appellent Vinnie et cela fait plus d’un an que je ne suis plus habillé qu’en femme.
Certains soirs Maître et Maîtresse me convient à leurs ébats; mais sans jamais participer autrement qu’avec la bouche ou les mains gantées. Mon sexe étant toujours prisonnier de son anneau, sauf cas exceptionnel.
Ces soirs là je dois rester en culotte et porte-jarretelles. Maître me fait venir dans la chambre où Maîtresse se trouve déjà. Je dois déshabiller mon Maître avec douceur puis Maîtresse me demande de caresser Monsieur pendant qu’elle se prépare. Je dois lécher Monsieur des pieds à ses tétons qu’il a très pointus. Je prends ensuite en bouche le sexe de Monsieur pour le faire devenir bien dur et gros. Lorsque Monsieur est prêt, ils font l’amour comme des fous pendant que je dois être à genoux à côté du lit. Lorsque Monsieur et Madame sont rassasiés d’amour, ils s’allongent côte à côte sur le lit, et là commence mon travail de petit esclave. Je lèche au plus profond de son intimité Madame pour la nettoyer du foutre de Monsieur, puis lèche le sexe de Monsieur afin de le rendre bien propre aussi. Madame me demande parfois de la faire jouir de nouveau avec ma langue ou mes doigts de latex. Si Monsieur est très en forme et qu’il me demande le préservatif, je comprends de suite ce qu’il veut. Je ramène le préservatif et enlève ma petite culotte. J’enfile délicatement la capote autour du sexe de Monsieur en le suçant légèrement. Puis je m’accroupis sur le lit, la tête entre les cuisses de Maîtresse.
Pendant que je lèche du mieux que je peux Madame, Monsieur me pénètre alors, et sa grosse bite dans mon petit cul me fait beaucoup de bien. J’adore ses coups de boutoir, c’est pour moi un signe de soumission totale.
Lorsque Monsieur a déchargé, il se retire et je lui enlève la capote avec la bouche en la roulant délicatement pour ne pas perdre de la semence de Maître. Pendant que je me remets ma petite culotte en Mâchant bien mon préservatif bien plein, Maître pour me récompenser, fais alors signe à Maîtresse. Celle-ci ouvre mon petit cadenas, me libère le sexe qui peut enfin se raidir. Je sors mon préservatif de ma bouche et me le pose sur le sexe. Il est tout mouillé de ma salive et plein encore du sperme de Maître. Je dois alors, toujours à genoux sur le lit, me branler devant Maître et Maîtresse sans manifester de plaisir. Une fois mon sexe vidé, je m’enlève le préservatif et me le remet dans la bouche pour bien profiter de la semence ainsi récupérée. Je me repose l’anneau autour du gland et Maîtresse me recadenasse. Puis je me rhabille et vais dans ma chambre attendre d’autres ordres.
Mes cheveux ont maintenant repoussé. Je peux les garder, mais ils doivent toujours être tirés en arrière et maintenus par une barrette. Maîtresse me demande aussi de porter une serviette périodique lorsqu’elle a ses règles. Je suis exactement en son pouvoir et c’est ma seule joie.
Ma soumission est ma raison d’être, je l’ai choisie et j’en suis heureux.

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