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Uncaged man 14

Uncaged man 14



Uncaged man 14

J’ai donc installé Annie, nue, sur le lit, les yeux bandés quand la sonnette retentit , annonçant l’arrivée de ses deux clients.

Je vais ouvrir et je constate avec satisfaction qu’ils correspondent tout à fait à ce qu’elle n’aime pas, mais alors pas du tout…

Je les fait avancer dans la chambre.

— Voilà la pute promise. Je sais bien qu’elle n’est pas terrible mais elle est pas chère. Donnez moi 5 euros chacun et vous pourrez en faire ce que vous voudrez.

Elle sanglote doucement de honte, d’humiliation à être traitée comme ça , mais aussi de peur surement. Je pense qu’elle n’a jamais eu une telle expérience et elle sait qu’elle va subir les assauts de deux mecs en même temps.

Les types se foutent à poil. La quarantaine, trés mat, frisés, leurs bites circoncises , sans être énormes, sont d’un calibre bien au dessus de la moyenne.

Je lui enlève le bandeau et elle ne peut s’empêcher un cri d’effroi quand elle les aperçoit.

— Non, pitié, ne me fais pas ça. Je ferai ce que tu voudras, je serai ton esclave autant que tu voudras mais pas eux !

Une paire de claques bien sentie lui fait rougir les joues.
— Espèce de salope.! Tu sais ce que j’ai enduré à cause de toi ? Le nombre de mecs qui me sont passés dessus ? Le nombre de bites que j’ai sucé ? Le nombre de coups que j’ai reçu ? Maintenant à toi de payer l’addition ! Tu as le choix : tu obéis ou tu te casses et tu en subis les conséquences.

Les yeux plein de larmes , elle a du mal à prononcer un tout petit  » d’accord » que je lui fait répéter à haute voix.

— Messieurs , elle est à vous !

Les mecs s’approchent, la bite raide. Il doit surement y avoir longtemps qu’ils n’ont pas baisé, elle va s’en souvenir.
Leurs mains courent sur son corps secoué de sanglots, att****nt ses seins qu’ils malaxent, pinçant les tétons.
Leurs doigts pénètrent sa chatte fouillée sans ménagement, s’introduisent dans son cul, reviennent dans sa bouche en incessants aller et retours.

Le premier approche sa queue raide et prend la nuque de l’esclave pour la forcer à l’avaler.

— Suce moi comme il faut , salope , apres tu suceras mon copain et on t’enfilera par tous les trous.

Elle s’exécute docilement, vaincue.

Sa main vient saisir la hampe durcie et elle fait de son mieux pour engloutir le vit turgescent au plus profond .

— Oui, voilà, c’est une bonne pute ça.

Le deuxième s’approche et exige le même traitement.

Assise sur le lit, elle fellationne alternativement les deux queues , les yeux fermés, les deux mains occupées.
La séance dure longtemps, les hommes sont endurants.

— T’aimes ça , grosse chienne , sucer nos zobs.

Moi , de mon côté, je regarde, enregistrant ces instants qui participent à ma vengeance.

Ils veulent la prendre au naturel mais je m’y oppose. C’est donc couvert que le premier écarte les cuisses d’Annie, fouille sa chatte de sa pine et s’enfonce en elle lui provoquant un glapissement.
En missionnaire , il la bourre sans ménagement tandis que son copain continue à se faire sucer pendant qu’il lui tripote la poitrine.
Je vois que la pénétration est douloureuse. La garce est rétive , la mouille n’arrive pas. Je ne veux pas non plus la blesser , aussi je fais passer au mec un tube de lubrifiant qui facilite l’introduction.

Reconnaissante elle me remercie d’un signe de tête qui me laisse froid.
C’est pas pour son confort que je fais ça, c’est juste que je veux que ça dure longtemps sans sentir le caoutchouc cramé.

Les deux amis changent de place , la faisant mettre maintenant en levrette.
Ses seins ballotent quand le mec qui la baise vient buter sur son cul.
L’autre lui tire les cheveux enfonçant son dard au plus profond de son gosier.

— On peut l’enculer ?
— Oui te gênes pas

Elle fait non de la tête et ça fait marrer celui qui a sa queue dans sa bouche:
— On parle pas la gueule pleine !

L’autre sort de sa chatte, enduit le latex de crème, vise son trou et l’enfile d’un seul coup..
Elle crie la gonzesse, on dirait une truie qui passe à la casserole…
Il y va de bon coeur et sort puis rentre plusieurs fois.
Elle finit pas se faire au calibre et ne fait que gémir doucement.

— Et si vous la preniez en double ? Je suis sur qu’elle aimerait…
— Non, pas ça !!!
— Mais si, tu vas voir, tu vas te sentir baisée comme jamais..

Le mec qui se faisait turlutter la fait assoir sur sa pine érigée, se couche l’attirant vers lui.
Son cul est à porté, l’autre s’y introduit.

Ils coordonnent leurs mouvements et la tringlent en beauté.
De derrière, j’ai une vue imprenable sur ses deux orifices distendus par les mandrins qui la besognent en rythme, lui arrachant des petits cris et des  » non, arrêtez  » qui n’ont aucun effet sur les mâles affamés.

C’est ce moment que choisi mon épouse pour faire son retour dans la chambre, nue et propre.

— T’es vraiment un salopard vicieux ! Me dit elle en voyant sa copine ainsi entreprise
— Oui et tu t’y connais ! Ne puis je que répondre à celle qui m’a livré en pâture à des inconnus sur excités, ne devant mon salut qu’à Madame Clélia.

Les deux hommes sont sur le point de jouir. Ils délaissent les orifices d’Annie pour venir se branler devant son visage et exiger de juter dans sa bouche.

Trop heureuse d’être délivrée de leurs pénétrations, elle met tout son coeur à les sucer même si elle ne peut retenir une grimace de dégout quand ils prennent leur pied sur sa tronche et sur ses lèvres l’obligeant à avaler leur jute abondante.

— Putain, c’était bien. C’est une bonne salope que tu as la..
— Oui t’as raison, c’est une grosse chienne.

Même si leurs bourses sont vidangées, ils restent encore en érection.

— Vous avez assuré les gars, je vais vous faire un cadeau. Leur dis je en désignant Florence
— T’en a jamais assez ,me crache t elle quand elle se rend compte qu’elle va y avoir droit.
— C’est bientôt fini ma chérie, va faire plaisir à ces deux gentils Messieurs..

Elle s’approche docilement du duo encore haletant et transpirant.
Les deux mecs s’emparent d’elle, l’un lui roulant une pelle, l’autre lui caressant le cul.

— J’aimerai que vous la baisiez comme sa copine, elle a été jalouse..

Ni une ,ni deux, ils s’équipent et commencent à la tringler par le cul et par le con sans s’emmerder dans des préliminaires inutiles.

Je ne sais pas si elle a déjà eu droit à ça mais ça n’a pas l’air de la déranger.. Je la soupçonnerai même de commencer à y prendre plaisir et ça, ça m’ennuie..

— Hé les gars, essayez donc une double anale pour voir.

Ça , ça la fait réagir.
— Non , t’es barge, ils vont me déchirer.
— Mais non, tu vas voir, c’est comme le plug gonflable que tu me mettais dans le fion.. Tu te souviens ? allez les gars, a deux dans le cul.

Ils sont obéissants les bougres, même s’il faut que je les aide un peu en écartant les fesses de ma chère et tendre.

Pour le coup elle déguste, son anneau a atteint ses limites et elle pleure de douleur.
Annie veut intervenir :
— Arrête , c’est trop
— Ta gueule poufiasse sinon c’est toi qu’ils vont baiser comme ça.

Elle se le tient pour dit et ferme son clapet.

Ils continuent à la baiser comme ça pendant de longues minutes avant de jouir dans leurs capotes.
Le déculé laisse à ma femme le trou béant, palpitant et le visage ravagé de larmes.

— Maintenant tu sais ce que j’ai pu souffrir. Je ne te pardonnerai jamais mais nous sommes quittes.
Je vais partir en même temps qu’eux. Quand je reviendrai demain, tu auras pris toutes tes affaires et tu te seras barré de chez moi.
On se reverra pour le divorce. Adieu.

J’ai passé le reste de la nuit à l’hôtel , une nuit douce, sans sentir la cage, ma première nuit d’homme libre .

Et quand le lendemain, je suis revenu chez moi….

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