Histoires de sexe en groupe Histoires érotiques au travail Histoires érotiques couples amateurs

Croniques de Baises

Croniques de Baises



Voilà maintenant quelques années que je lis avec attention les histoires de la catégorie travestie. Quelles moments d’excitation j’ai vécu ! Accéder au fantasme par les mots c’est beaucoup plus puissant que les fameux sites de streaming qui coupe toute l’imagination. Moi aussi j’aime découvrir mon côté féminin. Mon histoire est assez commune, d’abord les culottes de ma mère et puis, devant le miroir toucher mon p’tit trou qui désormais fait partie intégrante de mon sexe.

Au début j’introduisais timidement un doigt ou deux, puis rapidement j’ai senti le besoin de me remplir. Je passais des longs moments en salle de bain avec des fruits, des légumes et quand l’âge me permettait de sortir souvent et de rentrer tard le soir… j’ai enfin sauté le pas. J’ai cherché une bite, pas un homme, une bite. J’étais fasciné par ces images de femme qui se tordait de plaisir en se faisant prendre, je voulais sentir cette engin, source de plaisir, je voulais le toucher, le lécher, le laisser se frayer un chemin dans ma cavité, je voulais avoir les yeux révulsés et gémir comme elles !

Une annonce a fait l’affaire. Le dépucelage anal fût vite réglé. J’étais un peu déçu, je n’ai pas eu mal mais c’était rapide et je n’ai pas joui et la femme que je cherchais en fond de moi n’a pas vu le jour comme je l’espérais. Je suis allé sur en discuter sur des forums et on m’a dit que cela était normal, qu’il ne fallait pas perdre espoir et qu’on tombant sur le bon partenaire, la bonne bite… avec de l’expérience je prendrais mon pied. Mais cette déception m’avait convaincu que je n’étais pas une femme, mais juste un mec un peu efféminé. Et cela m’arrangeais bien, je pense que je n’étais pas assez mure accepter cela.

J’ai suivi se conseil.

Effectivement, la deuxième partie de mon adolescence n’a pas manqué de plaisir, j’ai eu une grande quantité de rapports homosexuels et j’ai adoré ça. Au fil temps, j’ai découvert le plaisir d’être dans le bras d’hommes virils, la tendresse qu’ils m’apportaient quand on lovaient ma main sur leurs bourses et la leurs qui me caressait les fesses… je me suis laisser embrasser, et j’ai regretté de n’avoir pas connu les jeux de langues plus tôt.

Bien que je ne sois jamais tomber amoureux d’un homme, je ne manquais pas d’amour et cette situation de jeune fesses volage me convenait bien. Ce n’est qu’autour des 25 ans que la volonté de vivre sexuellement la femme qui est en moi c’est réveillé.

J’avais rencontré un mâle russe qui un jour m’a fait cadeau d’un string, il m’a dit : avec ton attitude docile le pied que tu prends quand je te baise je suis étonné que tu n’es pas ta propre collection de lingerie, allez… essaie-le ! Quand j’ai entendu cette phrase mon ventre c’est tordu d’excitation, il avait démasqué se fantasme que je refusais d’assumer, il avait trouvé le déclencheur, la phrase qui allait changer ma vie…

C’était un string rose, bien « girly » semi-transparent. Le moment où je l’ai enfilé, je m’en souviendrais toute ma vie ! La texture du tissu, la ficelle élastique qui touche mon anus, et la douceur sur mes bourses ! Que du bonheur, ces yeux à lui se sont rempli d’un feu viril, il m’a pris par les hanches, m’as retourné, a sorti de sa poche un tube de lubrifiant et, après m’avoir demander d’écarter la ficelle du string et m’avoir badigeonné de gel, m’a pris contre le mur avec une énergie que je ne lui connaissais pas. Tout était nouveau, le changement avait été fait dans ma tête, je n’étais plus un mec, mais sa petite meuf à lui, je ne sentais que sa bite qui m’électrisais de plaisir, ma verge n’était plus qu’un clito qui mouillait ! C’était un moment surréaliste, même les sons de succions de ma chatte et de mes fesses qui claquer contre ces abdos me procuraient du plaisir. Avec sa main gauche il agrippait mes poignées d’amour et avec la main droite il me caressait les bourses à comme un vagin.

Mon homme ne me parlait plus au masculin, il me disait de pencher mon petit cul de salope, qu’il me baisait la chatte, que je mouillais comme la femme que je suis. Mon russe m’a besogné une bonne demi-heure…

Alors qu’il jouissait avec vigueur, je vivais l’orgasme le plus féminin que je n’ai jamais vécu, un orgasme qui partait de l’intérieur, une jouissance comme une vague avec une intensité telle que je n’arrivais plus trop à me tenir debout. Au « déculage », son sperme coulait sur mes jambes… Il m’a demandé de le nettoyer avec ma bouche et de lui remonter le pantalon.

Cette relation a duré quelques mois, mois durant lesquelles il m’a fait vivre une sexualité féminine épanouie, je vous les raconterais, enfin si vous le voulez bien.

C’était à mon tour de partager mon histoire, bon, ça fait un moment que j’y songeais mais ce soir j’étais très chaude, et je n’ai pas trouvé de partenaire disponible pour bien remplir… alors j’ai saisi l’occasion de vous partager un peu de moi avec un plug bien planté dans ma chatte anale. Pfiou… ça m’a mis dans un de ces états… j’ai doit faire des pauses à des moments pour pas me laisser aller à l’excitation.

Et pour finir, aujourd’hui j’ai des cheveux longs, ne voulant pas me lancer dans la prise d’hormones, j’ai pris un peu de poids et maintenant j’ai des petits seins… ils adorent se faire sucer… Bon je vais sortir le gode maintenant j’en peu plus.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire